La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°741)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°741) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°741)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°738) - Humiliations enivrantes avec les Banquiers Genevois -

Mes fesses me brûlent. Je reçois l’ordre, sèchement avec autorité dans le ton, de me redresser et de me dévêtir totalement face à Monsieur Blowell et son assistant. J’ôte mes chaussures, mon pantalon et mon boxer toujours à mes chevilles, puis ma veste de costume. Alors que je m’apprête à quitter ma chemise, Karl, le jeune banquier, intervient.

- Rhabille-toi ! ordonne-t-il

Lorsque je suis de nouveau recouvert Karl lance :

- Tu appelles ça te déshabiller pour nous ? dit-il d’un ton plus que sévère.

Je me mords la lèvre inférieure. Je n’ai vraiment pas fait attention à le faire pour eux, mettant dévêtu sans penser à ceux me Dominant.

- Pardon Monsieur.
- Pardon ? me répond-il d’une voix accusatrice

Je me sens mal, comme pris au piège, comme dans un engrainage, plongé dans un univers odieux et terriblement pervers. Pourtant ces sensations humiliantes me font bander. Ma queue tendue se devine très nettement sous mon pantalon. Je baisse la tête… Eux se plaisent à me mettre plus bas que terre. Le Maître ne dit rien, se tient en retrait, il tire sur son Havane, écoute, voit, examine sans perdre une miette de mes agissements hasardeux.

- Déshabille-toi correctement maintenant.

Je ne sais pas trop comment faire, je ne veux pas me lancer dans un strip-tease grotesque. Je me concentre, me déshabille en pensant à ce que je vis réellement, une outrageuse humiliation.

- C’est mieux, je t’écoute !

Je ne comprends pas. Que me faut-il dire… Je n’ai rien à dire, je m’affole, cherche le regard du Maître. Lui semble prendre un malin plaisir à me voir ainsi. Il ne dit rien, me regarde attentivement, autoritairement, un sourire pervers aux commissures des lèvres…

- Je t’écoute ! répète Monsieur Sylvain et pointant son regard sur l’armoire grande ouverte contenant les instruments de flagellation.

Je réfléchis encore trente secondes puis souffle.

- Je… je mérite une punition Monsieur !
- Et que oui ! Un esclave ne sachant pas s’offrir en permanence doit être puni. Il faut que tu comprennes bien que tu es à notre totale disposition, ainsi en a voulu Le Maître, Monsieur le Marquis. Va chercher le martinet dans l’armoire, je pense que tu sais à quoi ressemble un martinet ?

Je me dirige vers l’armoire, regarde les différentes étagères mais il y en a de nombreuses sortes.

- Lequel dois-je prendre Monsieur ?
- Celui en daim avec des longues lanières.

Par un hochement de tête, Monsieur Karl me fait comprendre que c’est bien celui-ci qu’il souhaite.
- Mets-toi à quatre pattes devant moi.

Je m’installe dans une posture que je qualifierai de parfaite, je cambre mes lombes, écarte les cuisses dégageant ainsi ma raie, affichant mes couilles et ma bite toujours tendue. Pendant ce temps, Monsieur Karl a dégrafer la braguette de son pantalon de costume et à libérer son sexe de son sous-vêtement.

- Maintenant, suce-moi, la chienne !

J’avale cette bite de belle taille tant en longueur qu’en épaisseur et sursaute lorsque je sens le premier coup tomber sur mes reins. Le claquement sonore multiple produit par l’objet me surprend, puis la douleur, très différente de celle de la cravache. Avec cet instrument, il y a d’abord une onde de choc, sans grande douleur mais qui se propage en une chaleur piquante qui irradie tout mon dos. Je gémis, Il gronde :

- Je ne veux pas t’entendre, et fais ça mieux ! Tu sais faire les pipes non ? Alors ne me déçois pas ou la punition sera à la hauteur de mon déplaisir.

Je m’active, je pompe ce dard maintenant turgescent et extrêmement tendu, mes succions sont beaucoup plus vigoureuses, le jeune Dominant gémit doucement puis se reprend :

- Regarde-moi dans les yeux quand tu me pompes, espèce de putain !

J’exécute, vois et sens de nouveau les lanières s’écraser sur mon dos. Je ne bronche pas et officie avec une stricte rigueur jusqu’au moment où les lanières tombent sur ma raie, s’écrasant sur mon trou et effleurant mes couilles. Je couine. Lui ordonne sèchement !

- Tais-toi ! Tu n’es pas là pour te plaindre mais pour me sucer correctement. Alors fais ce que j’exige !

Je reste silencieux, les dix coups tombent durement. Je suce autant que je bande. Ma queue n’a jamais été aussi raide… Me sentir ainsi, dans l’opprobre, dans l’avilissement le plus total, aiguise mes sens. J’en frissonne comme si j’avais froid. Je suce et garde mon regard dans ces yeux autoritaire me surplombant. Ma langue s’enroule, titille, exacerbe. Mais sans doute pas suffisamment encore puisqu’une claque tombe sur mon cul meurtri. Monsieur Blowell me fesse encore sauvagement.

- Cambre ton cul mieux que ça ! ordonne-t-il.

Mais je suis cambré, ai-je envie d’implorer…

- J’ai dit mieux que ça ! reprend-il encore en me fessant toujours
- Veux-tu te faire punir pour mieux comprendre ce que l’on veut de toi ! Reprend Karl

Je réajuste ma posture, exagérément je tends mon cul à en avoir une douloureuse sensation au creux de mes reins.

- Tu vois quand tu veux ! reprend Monsieur Blowell

Et au même moment, il me plante son dard au fond de mon petit trou. Il me pénètre d’un trait en s’agrippant à mes cuisses. La pénétration, sans la moindre prévention, me cisaille, me coupe le souffle. Une véritable saillie animale.

- Suce mieux que ça salope ! m’ordonne encore Karl

Il me prend la tête entre ses deux mains et dirige maintenant totalement la fellation. Il s’enfourne en moi avec fougue et une énergie extraordinaire, alors que mes sphincters cherchent à retenir cette queue qui me taraude le cul. Je suis pris des deux côtés, brutalement, bestialement. Une main me caresse sous le cou, me faisant redresser la tête comme pour m’aider à avaler un plus encore cette bite allant et venant en moi, puis glisse sous mon ventre, me pince mes tétons violemment, m’attrape les couilles ballotant au rythme de cette saillie, deux doigts effleurent ma bite plus que jamais turgescente. Une autre appuie sur ma colonne vertébrale pour maintenir mes lombes cambrées. Sans voir, je la reconnais, les mains du Maître. Il maintenant là agenouillé près de moi.

- Là est ta place Mon chien ! Donne-toi et avale ces queues telle une bonne pute que tu es, j’aime te voir ainsi offert, Ma pute !

J’aimerai me voir ainsi, dompté et assailli par trois Dominants à la fois. Alors, faute de glace, j’imagine cette image que je donne de moi, subordonné aux exigences et aux queues endurantes de ces deux banquiers pervers. Mes trous sont bien plus que sollicités, ces bites s’acharnent comme si elles menaient un terrible combat en me harcelant de part et d’autre. Et lorsque celles-ci m’embrochent et giclent, presque au même moment, en éclaboussant largement mes deux orifices contraints, je crains un instant de jouir à mon tour, tant je suis tourmenté par mes propres plaisirs autant physiques que mentaux… Je suis obligé de nettoyer avec ma langue et une à une ces deux queues qui m’ont sailli la bouche et le cul. Je suis dans cet état second lorsque Karl intervient encore.

- Tu n’es même pas capable de te souvenir de mes ordres. N’ai-je pas exigé de toi des remerciements à chaque fois !

Merde, me dis-je, tellement dans mes pensées jouissives dévastatrices, j’ai omis de remercier mes assaillants.

- Combien ?
- Dix coups ! Dis-je timidement.
- Je n’ai rien entendu !
- Dix coups, Monsieur.
- Réponse non recevable, Je double celle que j’avais prévue… Tu étais prévenu et tu savais, ce sera trente coups, et le Maître va choisir l’instrument de son choix, cette fois-ci.

Monsieur le Marquis, sans perdre un instant se dirige vers cette armoire maudite et en sort un instrument que je ne connais pas.

- Mon chien va goûter au chat à neuf queues, c’est un peu comme au martinet, sauf qu’il y a des nœuds au bout de chaque lanière. Tu vas vite sentir la différence, Ma pute désobéissante !

Le Maître tendit l’instrument à Monsieur Blowell.

- Nous allons lui administrer dix coups chacun, à vous la priorité cher ami…

Monsieur Blowell ne se fait pas prier, il me fait me mettre debout.

- Mets-toi dos à ce mur et pose une main en haut de chaque meuble.

Je me place comme désigné entre deux commodes d’environ un mètre cinquante de haut. Les bras à l’horizontale, j’offre mon corps à la vue des trois Dominants, quelque peu surpris de devoir me placer ainsi, quelque peu honteux d’exhiber ma nouille tendue. Je m’attendais à me mettre à quatre pattes ou prosterner en levrette. Ainsi face au Maître et au deux banquiers j’appréhende d’autant plus la sanction. Monsieur Blowell jouant avec l’instrument avance en m’interpellant.

- Je veux que tu me regardes droit dans les yeux.

Je redresse la tête surpris de ce nouvel ordre. Je vois arriver l’instrument et s’abattre sur ma poitrine. Surpris de douleur j’hurle tout en bandant un maximum d’excitation.

- Veux-tu que nous doublions la punition, ne crie pas ! lance Monsieur Blowell.
- Pardon Monsieur
- Alors redresse toi et prends une pause plus offerte.

Monsieur Blowell frappe de nouveau, j’en ai les larmes aux yeux, tant les lanières s’écrasant sur mes mamelons m’envoient une douleur intense et violente.

- Je recommence puisque tu n’as pas daigné compter ! Soupire Monsieur Blowell.

Je le remercie silencieusement de n’avoir pas augmenté la sentence après cette seconde erreur, puis décompte en prenant soin de bien articuler et tente de supporter la punition sans broncher ni hurler. L’instrument porte bien son nom, on croit entendre le feulement du chat. Ensuite la sensation est la même que celle d’un martinet mais les lanières se retirent plus vite, mettant en contact leur bouts arrondis suivi d’une corde émoussées avec la peau. J’ai l’impression d’une multitude de petites griffures qui recouvrent ma poitrine. Au bout de la première dizaine l’instrument change de main, Monsieur Karl par un excès de zèle s’emploie manifestement à couvrir les zones sur ma poitrine, restées blanches. Mon excitation est au zénith. Le Maître enfin, dans une cadence ultra rapide, à peine ai-je le temps de compter d’ailleurs, distribue les dix derniers coups. Cette fois-ci, toujours gardant la pause imposée, je n’omets pas de remercier humblement les trois protagonistes.

- Tu arrives enfin à obéir correctement ! me lance Monsieur Blowell en s’approchant de moi.

Je bande terriblement d’excitation quand je baisse le regard et vois ses mains se poser sur ma poitrine zébrée et endolorie. Il me pince le téton gauche, je sursaute légèrement. Cette douloureuse pression exercée sur mon mamelon redressée par l’excitation, me fait immédiatement bander encore plus fort. Ma nouille se déploie de nouveau et j’arbore avec fierté mon plaisir d’appartenir. Le Maître me congratule et me branlant doucement puis me fait mettre à quatre pattes et m’entraine, tenu par les cheveux jusqu’au petit salon. Lui et les deux banquiers s’asseyent, après avoir sorti une bouteille de Champagne du réfrigérateur.

- Un grand merci Monsieur le Marquis pour nous avoir prêtés votre chien. Annonce Karl.
- Quoi de plus normal, portons plutôt un toast à la signature de ce nouveau contrat ! lui répond le Maître.

Après quelques échanges « professionnels », la conversation dérive de nouveau :

- Comment faites-vous Edouard, vous permettez que je vous appelle Edouard !
- Evidemment, cher Monsieur Blowell
- Pas de Monsieur, appelez-moi Pierre…Comment faites-vous, vous disais-je, pour avoir des spécimens, comme celui à nos pieds, toujours aguerris et performants.
- Une sélection méticuleuse d’abord, du dressage et rien que du dressage ensuite ! Répond le Maître.
- Votre modestie vous perdra mon cher Edouard…
- Dois-je vous l’avouer, je vous amène toujours ceux les plus performants. Voyez, celui-ci fait partie du cercle très fermé de mes esclaves attitrés. Ceux portant mes Nobles Initiales – MDE - accolées à leur nom sont ceux qui ont le plus de mérite, mais le plus d’obligations aussi. Ils savent à quoi s’en tenir lorsqu’ils rentrent dans Mes Cachots.
- Et combien en avez-vous dans Vos Cachots Edouard ?
- Seulement quatre actuellement, voyez les places sont chères… Trois femelles, et lui ce mâle docile et servile, sur la cinquante d’esclaves dont je dispose au Château.
- Une cinquantaine ! s’exclame subitement Monsieur Karl, resté jusqu’ici silencieux.
- Oui une bonne cinquantaine… Je ne sais plus au juste précisément.

Comme un regain d’intérêt à cette conversation mondaine, Monsieur Blowell se hisse sur son fauteuil, étire son bras et m’attrape par les cheveux. Il m’entraine ainsi entre ses jambes, dégrafe de nouveau son pantalon et me tend sa queue de nouveau très en forme. Karl intervient encore.

- Croyez-vous possible, que je puisse faire près de Vous Monsieur le Marquis, en votre Noble Château un stage de Dominants. Je débute tout juste dans la maitrise et je dois encore me perfectionner.
- Mais bien évidemment et quand vous voulez… Peut-être pourriez-vous venir cet été, je suis en passe d’organiser les Mondiaux de la Domination/soumission, chez moi !
- Les Mondiaux de la Domination/soumission ? répond Karl interloqué.
- Vous avez bien entendu, Cher Ami. Enfin j’espère que ces Mondiaux s’organiseront chez moi, je m’avance un peu… Je suis justement ici en Suisse pour organiser tout ça…

Alors que le Maître donne des informations plus précises sur l’organisation et le nombre de personnes prévues à ce rassemblement D/s mondial, j’avale et me délecte du jus intime de Monsieur Blowell. Il vient de jouir dans ma bouche sans la moindre retenue. Il me dégage de sa queue, et aussitôt je me prosterne à ses pieds pour le remercier. Mais à peine ai-je le temps de finir mes mots que je me retrouve entre les cuisses de Monsieur Karl. Lui a baissé pantalon et sous-vêtement à ses chevilles.

- Suce ! me lance-t-il.

J’ai juste le temps de faire un ou deux vas et viens sur sa tige turgescente qu’il me bouscule, me retourne me fait tenir cambrer sur les accoudoirs du fauteuil. Il me prend par le cul, s’enfourne et me pénètre d’un trait et commence à m’enculer sévèrement tout en continuant à converser avec le Maître, comme si de rien n’était… Sa bite ne tarde pas à décharger et m’arroser copieusement par plusieurs saccades, tant les informations données par le Maître sur les Mondiaux D/s l’ont excité.

Peu après cette seconde fellation et sodomisation, je reçois l’ordre de me revêtir, et sitôt habillé, nous quittons le bureau de Monsieur Blowell pour regagner le rez-de-chaussée de l’immeuble.

- Votre taxi vient d’arriver Monsieur le Marquis, je vous souhaite un bon séjour en Suisse, et merci encore de la confiance que vous accordez à notre Etablissement.
- Merci à Vous Messieurs et à bientôt, j’espère, peut-être vous verrai-je en juillet chez Moi ?
- Je réfléchis rapidement à Votre proposition Monsieur le Marquis, et vous tiendrai rapidement informé quant à mes décisions, répond Monsieur Karl
- Bonne journée à Vous Monsieur le secrétaire particulier ! me dit Monsieur Blowell avec un sourire malicieux et néanmoins Dominateurs.

Le Maître et moi, saluons les banquiers Genevois et regagnons le taxi…

(A suivre…)

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