Après midi de débauche, mon Mardi avec Jenny

- Par l'auteur HDS Mickey57 -
Récit érotique écrit par Mickey57 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Après midi de débauche, mon Mardi avec Jenny Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Après midi de débauche, mon Mardi avec Jenny
Depuis Dimanche je n'attends qu'une chose, me retrouver avec Jenny, chez elle et d'abuser de son corps.
Hier, je rageais de la savoir avec Moussa, je l'imaginais se donner sans retenue dans les bras de cet homme qui depuis le samedi était devenu outre mon rival, mon complice.
Ce matin même j' ai envoyé un texto à Jenny pour lui rappeler que je passais en début d'après midi et que je souhaitais la voir dans la même robe que Dimanche et qu'elle n'oublie pas de se couvrir les jambes avec des bas. Je n'ai pas eu de réponse mais cela m'importait peu puisque j'y serai et que si l'idée de se défiler devait la prendre, je lui ferai payer cette audace !
A midi ma compagne me dit : tu sembles bien énervé, c'est ton rendez vous ?
j'aurai souhaité lui dire Oui ! mais je ne pouvais quand même pas lui dire : je vais baiser ta fille...
Je me suis garé à proximité de chez elle et j'ai attendu de la voir emmener les enfants à l'école. De ma voiture j'ai pu voir qu'elle portait la robe de Dimanche, cela m'a rassuré d'autant qu'elle partit à pieds. Un quart d'heure plus tard, elle passait le coin de la rue, je suis sorti du véhicule et me suis rapproché de son domicile. Elle m'a vu, impossible pour elle de se dérober, nous sommes arrivés devant sa porte et je l'ai suivi à l'intérieur. A peine la porte fermé j'ai cherché à la serrer dans mes bras mais elle s'est éclipsée vers le salon. Elle a posé sa veste sur le fauteuil et j'en ai fait autant, mes yeux se sont fixés sur ses jambes, à priori elle avait enfilé les bas que je lui avais demandé.
Elle commença par vouloir me dissuader d'avoir une relation avec elle, elle me parla de sa mère, de son mari, des enfants, etc, etc....
rapidement, je lui ai dit : et ton homme si il apprenait ce que tu fais dans son dos, est ce qu' il imagine que sa petite femme chérie s'envoie en l'air à peine il est dans l'avion.
Par ailleurs Vendredi dernier est ce qu'il s'est rendu compte que sa femme avait fourniqué l'après midi même avec un presque inconnu qui l'a fait jouir et remplie de son sperme.....
S'en est il aperçu en te faisant l'amour après une semaine d'absence ?
Son visage s'est fermé, des larmes ont perlé sur ses joues.
N'essaie pas de m'attendrir, depuis le temps où je souhaite te posséder, je ne vais pas abandonner maintenant.
Je me suis assis dans un fauteuil, elle était debout devant moi, fragile et résignée.
- Retrousse ta robe !
mon ordre est tombé brutalement, elle prit le bord de celle-ci et remonta lentement le tissus sur ses cuisses.
Quel bonheur de la voir ainsi soumise, ses cuisses se dévoilaient de plus en plus atteignant la lisière des bas, elle marqua un temps d'arrêt, plus haut lui ai je dit !
Elle continua son mouvement, la peau nue de ses jambes m'apparaissait, mon sexe se redressait dans mon boxer, il fallait que je le libère de sa prison.
Puis vint le bas de sa culotte en dentelle blanche, au travers de celle-ci je voyais les poils pubiens couvrant son nid d'amour.
J'en pouvais plus, j'ouvrais mon pantalon, le baissais à mi cuisse et exhibais mon sexe.
Elle était là, devant moi, elle ne bougeait plus, je lui dis : écarte tes cuisses !
Ce qu'elle fit. Je me délectais de sa pose, jambes ouvertes, retroussée jusqu'au dessus de son sexe. J'aurai aimé que cela dure longtemps, mais mon appétit devenait incontrôlable.
Approche toi !
Tout près de moi en tendant le bras, ma main vint se poser sur sa cuisse, je pouvais à présent faire glisser celle-ci sur la soie de ses bas, puis plus haut, frôlant son entrejambe, mon index pouvait caresser au travers du tissus de sa culotte, cette chatte dont j'allais me régaler.
Je pris mon temps, je contrôlais mon envie, je continuais à caresser son sexe qui au travers du tissus s'humidifiait. Tu prends ton pied avec Moussa ?
Elle ne voulut pas parler de cette relation, mais moi je voulais savoir ce qu'il pouvait lui faire, et ce qu'elle pouvait lui faire aussi.
Avec bien du mal elle m'expliqua ce qu'il en était, le plaisir qu'elle avait avec lui, un plaisir sans sentiments, bestial, les mots crus qu'il employait, la traitant de bourge, de catin et qu'il allait la dresser pour mieux l'utiliser.
Par rapport à ton mari qu'en est il ?
Rien à voir, avec lui c'est du sexe hard, avec P.H c'est autrement.
Et alors, qu'est ce que tu préfères ? elle n'a pas répondu...
Tu es plus chienne que tu ne le croyais ?
Je me suis rendue compte à ma première rencontre avec maman et avant qu'il me drague, que les absences de mon mari me pesaient, je pense que c'est la curiosité qui m'a poussé à accepter sa première invitation. Quand j'ai pris conscience de mon comportement, il était trop tard pour faire marche arrière et il en a profité de suite, le lendemain puis toi Dimanche, j'ai honte et en même temps je me dis tant pis de ce qu'il arrivera.....
En moins d'une semaine mon appétit sexuel c'est décuplé, je ne comprends pas ! Et tout à l'heure quand j'ai enfilé mes bas, je n'ai pu empêché de me toucher au point que j'ai du remplacer mon sous vêtement. Et maintenant, je n'ai qu'une envie c'est que tu me prennes sans retenue.
S'en était trop, je l'ai couché sur le canapé, j'ai écarté sa culotte, dévoilant sa chatte, j'ai empoigné mon sexe et après quelques contorsions j'ai investi son nid d'amour. Elle poussa un râle de contentement pendant que mon dard pénétrait cet antre chaud et humide. Il fallait que je jouisse rapidement, nous primes tous deux un plaisir non dissimulé tant elle en avait envie.
Rapidement, ma queue a gonflé dans son ventre et sans chercher à savoir si elle était protégée où pas, mon sperme gicla au fond de son ventre, elle fut prise d'un orgasme en même temps que moi. Contrairement à Dimanche mon plaisir fut réel et manifestement le sien aussi.
Je me suis retiré, l'ai prise par la main et nous sommes montés dans sa chambre. Je vais te prendre dans le lit conjugal... je suppose comme hier ? Elle baissa les yeux.
Je me suis entièrement dévêtu et elle en fit presque autant, ne gardant à ma demande que ses bas. Je ne m'étais pas aperçu dans cette précipitation qu'elle n'avait pas mis de soutien gorge.
Tu as raison, inutile d'en mettre, à quoi elle me répondit : sauf avec mon mari ! il ne comprendrait pas.
Elle est venue s'allonger contre moi et nous avons fait comme si nous étions de vieux amants.
On s'embrassait avec beaucoup de délicatesse, elle se frottait contre ma cuisse, mon sexe reprenait de la vigueur. Mets toi à genoux, dos tourné et suce moi ! Dans cette position j'avais ses fesses devant mes yeux, j'ai écarté les lobes et ma langue est venue sucer son petit œillet plissé. Il t'a sodomisé ? Elle avait peine à me répondre, ma queue dans la bouche ne lui permettait pas de s'exprimer.
Nous avons continué à nous lécher mutuellement, chacun de nous essayant de donner un maximum de plaisir à l'autre. Quand ce ballet cessa, je pus renouveler ma question.
Oui, il a tout investit.
Et alors ?
Au début, j'ai eu un peu mal, puis petit à petit il m'a bien fallu reconnaitre que c'était bon et j'ai fini par capituler et prendre un pied d'enfer.
Ce que je vois, c'est qu'il a du s'activer car tu es encore bien dilatée.
Je te dois une vérité me dit elle.
Il est passé ce matin, je faisais un peu de ménage, je n'avais pas beaucoup de temps et lui était pressé, je portais une autre robe, il m'a penché sur la table de la salle à manger, il l'a relevé, me baissa ma culotte m'ordonnant d'écarter mes fesses. J'ai senti un liquide froid dans ma raie fessière et sans autre préparation il me planta sa queue dans les intestins. J'ai poussé un cri qui aurait pu ameuter les voisins, puis il m'a littéralement défoncé les reins, il me besogna et j'ai joui quand il s'est épanché au fond de moi. Il s'est rapidement réajusté, tourna les talons et partit en me disant : baise bien cet après midi.
Je suis restée dans cette position sur la table un bon moment, les jambes écartées, une partie de son sperme s'échappa de mes fesses et vint tâcher le carrelage. Puis j'ai remonté ma culotte et suis partie chercher les enfants à l'école. Devant la sortie, j'ai croisé deux copines qui m'ont dit : tu as l'air radieuse ! en effet je l'étais en sentant mon entrejambe souillé par Moussa.
Et je te dois une autre vérité, il viendra dormir cette nuit, je dois coucher les enfants de bonne heure, il sait que P.H va me téléphoner vers 21 heures et il veut que nous soyons déjà au lit quand il le fera.
J'ai regardé l'heure, il était moins de 15 H, il me restait presque deux heures pour assouvir toutes mes envies, à commencer par jouir dans sa bouche ce qui fut fait rapidement en pensant à mon rival, puis pour ne pas être en reste, je l'ai sodomisé en me donnant le temps, lorsque je me suis retiré de ses reins toutefois sans le souiller son orifice était hyper dilaté, cette nuit elle ne réveillera pas ses voisins. Après quoi, je l'ai prise en levrette l'obligeant à avoir ses yeux rivés sur la photo de son mariage.
Dis le à ton homme que tu es à présent une bonne petite ch.....
Je pense que des remords l'ont tenaillé quand d'une voix étranglé elle répétait : chéri, tu étais le seul et depuis quelques jours je ne suis plus la petite femme fidèle que tu crois.
Je l'ai même contrainte à embrasser la photo pendant que je vidais mes couilles au fond de son utérus.
Nous nous sommes habillés, je lui ai interdit de mettre une culotte, vas chercher les enfants comme cela, je te veux soumise autant que tu l'es avec Moussa !
Avant de sortir, j'ai roulé le tissus de sa robe sur ses hanches afin de la raccourcir à mi-cuisse. Je ne peux pas y aller comme ça ! me dit elle, je fais pute ! et alors c'est ce que tu deviens....je ne sais pas si elle a eu l'occasion de rajusté celle ci avant d'y être, ne pouvant l'accompagner jusque devant l'école sans me compromettre, j'espère juste que ce fut le cas et que quelques papas ont pu se rincer l'œil.
Je suis rentré auprès de ma compagne satisfait de mon peu louable comportement, j'aurai l'occasion dès Jeudi de revenir la pervertir. Peut être même que je passerai demain en matinée pour la posséder comme l'a fait Moussa aujourd'hui et sachant qu'il recommencera cette nuit.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Je veux connaître la suite! Super!

Histoire Erotique
merci pour cette histoire excitante vivement la suite avec moussa comme soumise

Super histoire, on veut la suite avec moussa...



Texte coquin : Après midi de débauche, mon Mardi avec Jenny
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