J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -11-

- Par l'auteur HDS Dresser -
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -11- Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -11-
Ce vendredi matin, je passe voir Fannie dans son bureau, devant nos collègues je lui demande de venir m’assister dans la recherche d’un dossier aux archives. Nous descendons donc tous les deux au sous-sol. Dans les escaliers, j’arrête Fannie.
- retire-moi cette jupe maintenant.
-euh ! Mais si on nous surprend ?
-un vendredi, ça risque pas, aller retire là.
Elle retire sa jupe, laissant apparaitre son intimité absent de tous poils et donnant vu sur ces quatre anneaux qui pendouillent entre les cuisses. Je reconnais que cette vision me fait plaisir, merci à Marion qui est devenue ma chère et tendre, c’est encore bien plus humiliant pour ma bourge. Nous entrons dans le local, je passe ma main dans l’entrejambe, jouant avec les anneaux, découvrant un sexe humide.
-ça t’excite de te balader cul nu ?
-Oui, je sais je suis mouillé, alors je pense que oui, je suis toute émoustillé de savoir que l’on pourrait me voir dans cette tenue.
-justement, il y a ton homme qui va te mater sur son tél via skype, regarde depuis que tu es dans les escaliers il te regarde.
Je montre à Fannie mon téléphone.
-ta pauvre lopette te vois, il va participer à cette petite séance de baise rapide, histoire de bien le préparer pour ce soir, il va avoir le droit de te butiner.
J’accroupis ma soumise qui sort ma queue et la prend en bouche. Elle me suce comme une bonne soumise, s’appliquant, honorant mon chibre. Derrière l’écran son mec la mate.
-bon suffit maintenant, allonge toi sur la table.
Allongé, elle écarte les cuisses, prête à être prise, son entrejambe est bien mouillé. Je la prends d’un coup sur toute la longueur.
-ahhhhh !
-c’est bon sale chienne ?tu mouilles tellement…., tu mouilles pour qui là ?
-oui, oui ? je.. je suis, enfin je mouille pour toi.
-pas pour ta lopette de mec ?
-non pas pour luiJe m’active en cette chienne que j’apprécie pour sa soumission, je la laboure longuement, le téléphone envoyant les images à R. Lui ne dit rien, il regarde simplement, voyant Fannie aimer se faire prendre, exhiber, utiliser. Je prends le temps de bien la limer, l’insultant, entrant et sortant entièrement pour la repénétrer profond.
-ça te plaît salope ? ton mec te mate et peut même pas se branler, ce soir il va te défoncer vite fait bien fait tel une lopette qu’il est. Il va se vider en un rien de temps.
Fannie est complètement dilater, je la laboure encore et encore dans son intimité abondamment lubrifié. Fannie jouit quand je lui maltraite les tétons, je lui pince, tire. Je continu à la prendre violement, claquant fortement mon pubis contre son entrejambe.
-tient salope de chienne prend mon jus, je vais te remplir.
J’explose en elle de long jet bien chaud.
-qui t’autoriser à jouir avant moi ?
-pardon, pardon j’en pouvais plus, je pouvais plus me retenir.
-nous règlerons cela se soir. Allo la lopette, tu as apprécié le spectacle ?
-oui ……!
Je coupe la transmission. Fannie se remets de cette baise, se rhabille.
-tiens prend ce papier avec toi pour remonter. Ce soir nous passerons chez vous vers 20h30 alors soyez prêt et toi tu auras ta correction.
Nous remontons et la journée de travail reprend son cours normal.
Nous arrivons le soir comme prévu chez notre couple de soumis, accompagné de Linia, une amie de Marion, une femme black. Fannie nous ouvre, surprise de la présence d’une inconnue. Les présentations faites je cadre la soirée pour nos deux soumis.
-toi, R, nous avons décidé de te retirer tous poils de ton corps, Linia va s’occuper de t’épiler, par chance tu n’es pas trop poilu, sinon tu aurais douillé.
-toi Fannie puisque tu n’as pas été correct ce matin, tu connais la punition ?
-non-et si pourtant, Linia va s’occuper de te raccourcir tes jolis cheveux de bourgeoise.
-non pas ça, je ne ferais plus rien qui pourrait…-trop tard, c’est la punition et tout le monde va pouvoir voir que tu es rasée de prêt, une belle humiliation.
Sans attendre, R est mise à disposition de Linia pour commencer l’épilation. Notre invitée est une femme charmante, qui n’est ni esthéticienne, ni coiffeuse, mais qui maitrise parfaitement ces deux arts. R est épilé à la cire, bande après bande, elle retire les quelques poils du torse, pose la cire pour retirer les poils des bras et s’affaire à l’épilation des jambes. Pour les aisselles, le sexe est le cul, Linia sort un petit instrument électrique qui permet de retirer les poils courts. Durant ce travail R grimace, sans lâcher un mot ou un cri. Il sait qu’il doit être exemplaire si il veut avoir une récompense. L’épilation de R terminé, Linia prend un café pendant que Marion va rincer notre lopette et bien évidemment, histoire de bien le rabaisser, elle le rince à l’eau froide. En revenant dans la pièce, R est nu comme un verre, plus un poils sur le corps, les cheveux tondu à ras, il est une parfaite lopette à mec.
Fanny nous regarde apeurée, elle sait que c’est à son tour de passer dans les mains de Linia.
-allez la belle, je crois que je dois m’occuper de ta chevelure.
Fanny hésite, nous regarde, croise le regard de Marion, croise mon regard. Elle comprend qu’elle n’a d’autre choix que de se remettre entièrement entre les mains de notre hôte. Marion attache Fanny à la chaise ou elle est assise, puis sort de la sacoche de Linia un adhésif noir, coupe une bande et la pose sur les yeux de Fanny. Cette dernière refuse, tourne la tête.
-arrête de bouger, je veux que tu puisses découvrir ta prochaine coupe à la fin. Si tu ne te laisses pas faire, je crois que nous allons devoir passer à la boule à zéro, comme ton cher R, alors si c’est ce que tu veux, très bien.
-non, non, Marion pas ça, oui je vais me laisser faire, mais pas comme lui, non pas ça, ce n’est pas possible, je ne pourrais pas.
-ok pour cette fois-ci, alors arrête de dire non, compris.
-oui Marion.
Marion appose l’adhésif sur les yeux de Fanny. Linia, se frotte les mains.
-ah ! mes amies, le moment que j’aime le plus dans ces moments-là, c’est de ma faire plaisir sur la tête d’une soumise et d’en tremper ma culotte.
Marion quant à elle retire la cage de chasteté de R et libère son sexe.
Sur ces mots, Linia commence à tailler dans la chevelure de notre soumise. La coupe n’a pas été définie avec Linia, elle a le droit de laisser son imagination, son fantasme, ses envies voguer sur la tête de Fanny. Seule la tonte totale est proscrite, nous voulons, pour le moment, qu’elle reste « féminine », même si moi je pense qu’une femme aux cheveux court reste très féminine. Nous voyons Linia sourire, prendre du plaisir dans ce qu’elle fait. Elle jongle entre ciseaux, peigne et tondeuse. R qui est face à Fanny, regarde, se délecte de voir sa compagne se faire dépouiller de sa coiffure, de sa personnalité, de la voir subir, comme lui subit et a subit la tonte totale. Il n’est pas insensible, puisque nous pouvons constater que son sexe gonfle et prend de l’ampleur, et pour cause, cela fait plusieurs semaines qu’il est encagé.
-voilà, pour moi ce que cette chienne doit avoir comme coupe, je me suis bien fait plaisir, vous pouvez voir que ça ondule entre femme et je ne sais quoi d’ailleurs, à vous de juger.
Marion retire l’adhésif de Fanny, prend un miroir et notre bourgeoise se découvre. Elle écartèle les yeux en se découvrant. De face elle découvre une frange très courte, au fur et à mesure que Marion tourne le miroir, elle voit une coupe de style carré, mais un carré très court, dégradé qui laisse apparaitre une tonte qui doit avoiné le 1mm avec une nuque quasiment découverte, sans cheveux long, mais juste une belle tonte à ras. Fanny ne doit pas apprécier cette coupe, elle est provoquante, un tantinet humiliante pour qui n’assume pas.
-ça te plait ?
-oui Marion.
-ce n’est pas vrai, mais tu n’as pas envie de te retrouver comme ton mec.
-je suis soumise, alors si ça vous convient je dois accepter.
-biennnn, tu as enfin compris ma chérie. Je vais te détacher et tu vas honorer notre hôte qui t’a fait cette jolie tête, je pense qu’elle doit être mouillé abondamment.
-oh oui Marion ma culotte est trempé, je rêve d’une bonne langue.
-va t’installer sur le sofa, Fanny arrive pour nettoyer tout ça.
Fanny est libéré de tout liens et Marion la fait mettre nue, la dirige vers Linia et l’installe entre les cuisses de son amie.
-Tu vois elle à garder sa culotte, alors tu vas devoir la nettoyer avant de pouvoir t’occuper de son intimité et pendant ce temps R va t’observer et si il considère que tu ne fais pas bien les choses il te cravachera les fesses.
Fanny pose sa bouche sur la culotte de Linia et commence à lécher le tissu. R estimant que ce n’est pas bien fait cravache de deux coup les fesses de Fanny. Elle ne dit rien et s’applique au mieux, évitant ainsi les coups. Linia retire sa culotte, prend Fanny par la tête et la plaque sur son sexe qui est luisant de mouille. Fanny embrasse, nettoie, lèche cette intimité qui ne cesse de couler tellement Linia est excitée. Quelques coups de cravache pleuvent de tant à autre, remettant notre chienne au travaille appliqué. Linia se met à onduler de plus en plus vite, respirant fortement, râlant, clamant le plaisir qui pointe son nez. Linia entoure la tête de Fanny avec ses jambes, la maintenant fermement contre son pubis et éclate son plaisir.
-je jouuuuiiiiiiis !!! encore salope, encore……Marion, pousse son amie Linia et prend la place pour se faire délecter la chatte. Fanny n’a d’autres choix que de venir planter sa langue dans l’intimité de sa maitresse, puisque finalement Marion soumet Fanny à ces moindres envies. Marion et Linia échangent des baisers, leurs langues s’entremêlent. Linia vient dévorer les seins de Marion, titillant, pinçant, tirant les tétons avec ces dents et ces lèvres. Marion s’occupe également des seins de Linia en les pinçant fortement entre ces doigts et les tirants, les tirants encore et encore, intimant l’ordre à Fanny de doigter la chatte de Linia avec le maximum de doigts possible et tout en continuant à lui laper le sexe.
-Marion, plus fort, tire plus fort, ouii !! fais moi jouir Marion, tu sais me faire………..
Linia part dans un râle de plaisir entre ses seins martyrisés et son intimité pénétrée de quatre doigts, elle abdique et lâche sa jouissance. Marion n’est pas en reste, excité par le plaisir de voir Linia crier son plaisir, elle ne tarde pas à exulter son plaisir sous les coups de langue de Fanny, lui lâchant sa cyprine. Maintenant que nos deux « maitresse » ont pris leur plaisir, nous autorisons R à saillir sa femelle. Cette dernière a le sexe ruisselant de mouille, R la pénètre d’un coup, il y a tellement longtemps qu’il n’a pas utilisé son sexe, qu’il ne tarde pas à lâcher la purée dans l’intimité de Fanny qui ne prend pas vraiment de plaisir. Marion ordonne à R de nettoyer le sexe qu’il vient de remplir, il exécute l’ordre, léchant l’intimité à la fois humide de la mouille de Fanny et maculé par son jus de batard. Quant à moi, je décide de venir planter ma queue dans la chatte de R. Je le pénètre d’un coup, sans me préoccuper de son plaisir ou pas. Marion m’encourage, puis Linia se joint à Marion.
-vas-y baise moi ce batard d’éjaculateur précoce, vas-y, vas-y, fais lui voir qui commande, qui est le maitre. Linia vient m’aider, nous allons traire cette lopette.
Les deux filles passent leurs mains sous le ventre de R et commence à branler la queue, tirer les couilles, pendant qu’il doit nettoyer Fanny et pendant que je le baise comme une bonne petite lopette qu’il est. A chacun de mes mouvements, la chatte de R s’ouvre encore un peu plus. R à les couilles tellement pleines qu’il ne tarde pas à se vider sur le sol. Les filles trait sans concession la queue qui a été si longtemps encagé.
Notre petite pute de mec est vide des couilles mon chéri, alors tu peux lui remplir la chatte.
Je continu mes vas et vient dans le fondement de ma lope, prenant le temps de bien le prendre profond, de bien lui ouvrir cette chatte de mec. Je me retire. Marion retire R des fesses de Fanny et oblige R à nettoyer le jus jonchant le sol, lapant goutte après goutte sa semence. Je reprends les choses en mains. R est installé dos sur la table, présentant sa chatte face à moi. Je m’introduis de nouveau en lui et le laboure pour mon seul plaisir. Fanny est amené par Marion qu’il l’oblige à traire de nouveau R, mais avec la bouche, elle doit vider une troisième fois les couilles de son mec. Linia, durant ce temps tiraille les seins de la lope à mec. Je sens rapidement sa chatte se contracter et je sens R se vider dans la bouche de Fanny. Ces contractions me font jouir, je remplis abondamment le conduit de notre batard. Fanny, elle ne jouira pas ce soir, c’était prévu, ce n’était pas son jour. R lui, à eut le droit au plaisir, mais c’est tellement rare pour lui de jouir avec son sexe que j’espère qu’il a jouis de cette jouissance.

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