La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°776)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°776) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°776)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°774) - 3 mois plus tard et 3 jours avant le début de l’ouverture des Mondiaux -

Il y a deux jours, Monsieur Walter est venu me chercher dans le cachot numéro 2 que j’occupe depuis que le Maître en a décidé ainsi, puis m’a installé dans une vaste, luxueuse et lumineuse chambre au deuxième étage du Château. Des deux hautes fenêtres je peux voir l’immense parc jusqu’à la lisière du grand bois, les deux grandes fontaines avec leurs jets d’eau puissants de chaque côté de l’allée gravillonnée menant au Château, et beaucoup plus loin la maison des gardes près de l’entrée de cette auguste Demeure, au-delà l’immense portail de la propriété de Monsieur le Marquis avec le mur d’enceinte de trois mètres de haut… Depuis que je suis ici, collier arrimé autour du cou, cage de chasteté fixée sur ma nouille, une longue chaine attachée à l’une de mes chevilles, me permettant toutefois de vaquer assez librement aux quatre coins de cette vaste pièce, je reste de longues heures, seul. Je dispose d’un grand lit, de deux chaises, d’une salle de bain avec lavabo, une douche à l’italienne, des toilettes, bref le grand luxe pour le chien soumis que je suis. Depuis ces deux jours, Je n’ai vu que Madame Marie, la fidèle et perverse cuisinière du Maître. Elle vient, trois fois par jour m’apporter ma gamelle. Elle assiste aussi à ma douche à la fin de la journée. Mais elle repart très vite, sans vraiment s’intéresser à moi, me parlant très peu. Cet isolement me pèse et dois-je me l’avouer, je me morfonds quelque peu, à faire les cents pas. Voilà qui me change de ces entrainements sportifs intensifs que j’ai vécus chaque jour depuis mon retour de Suisse. On a tout fait pour que je devienne endurant et performant physiquement.

Ce matin, venant tout juste de terminer le petit déjeuner, je me mets derrière l’une des deux fenêtres car dehors, du bruit attire mon attention. Une dizaine d’esclaves mâles, harangués par trois gardes, construisent de toute pièce, avec de lourdes barres métalliques un immense gradin, sur une verte pelouse fraichement tondue. Cette animation me permet de rompre avec l’ennui. Enfin un peu d’animation ! Je vois les esclaves aller et venir, s’activer sans cesse, travailler durement et ardemment. Parfois des coups de fouets marquent le dos de l’un ou de l’autre, parfois même, l’un est stoppé dans son action et son élan pour se faire enculer et démonter sauvagement, là où il se trouve, par un garde survolté ayant besoin de se soulager dans le fion d’un esclave. Quelle chance a-t-il cet esclave, me dis-je ! Moi qui n’ai plus vécu cela depuis mon retour de Suisse. Trois mois sans me faire bourrer, sans la moindre sexualité, sans me vider les couilles, une abstinence et chasteté imposée bien lourde à porter. Passionné autant qu’excité par ce qu’il se passe dehors, je suis surpris par un raclement de gorge, que j’entends, juste derrière moi. Je n’ai pas entendu le Maître entrer dans la chambre... horreur, je ne suis pas agenouillé ! Alors, aussitôt, je me prosterne devant Lui, une levrette parfaite, t lui présente mes plus humbles excuses et respectueuses salutations. Juste avant de plonger prestement au sol, à Ses Nobles Pieds, je me suis aperçu qu’Il était accompagné d’un homme, vêtu d’un simple survêtement Adidas, des baskets aux pieds.

- Comment vas-tu Ma putain ?
- Très bien Maître, merci.

Le Maître approche la pointe de sa chaussure près de ma bouche, je comprends alors qu’il me faut l’honorer de ma langue. Je m’applique longuement jusqu’à temps qu’un nouvel ordre me soit donné.

- A genoux ma salope, mains sur la nuque.

J’adopte immédiatement la posture en baissant respectueusement la tête.

- Non regarde-moi ! m’ordonne Monsieur le Marquis.

Il m’est toujours difficile de porter mon regard dans celui du Maître, j’obtempère toutefois.

- Ce matin, Monsieur Florent, ici présent va te faire un long massage. Et il en sera ainsi demain et après-demain. Je te rappelle que d’ici trois jours débuteront les Mondiaux de la Domination/soumission ici au Château. Je te veux en pleine forme !

Je ne dis rien, écoute attentivement, essayant de garder mon regard dans ces yeux bleus naturellement Dominants.

- Florent sera ton kiné attitré pendant ces Mondiaux, toujours près de toi, comme d’ailleurs Madame Agnès que tu découvriras cette après-midi, une infirmière que je t’alloue également. S’ajoutera à ce staff Monsieur Gabriel, médecin de profession. Tout ce petit monde sera là, entre autre, pour panser tes petits bobos, pour te remettre d’aplomb rapidement. Je veux que tu sois performant !

J’acquiesce par un seul mouvement de tête de bas en haut. La pression monte d’un cran subitement, je comprends qu’il me faudra donner le meilleur de moi-même. Je sais que Monsieur le Marquis d’Evans déteste la médiocrité. Il va falloir que j’assure et combatte. Je me sens prêt pour cette compétition, même si je n’en connais pas encore le contenu… Mon collier et ma cage de chasteté me sont ôtés, ma cheville est libérée de cette longue et lourde chaine.

- Suis-moi, esclave Endymion MDE ! m’ordonne Monsieur Florent.

A quatre pattes ? Debout ? Je ne sais comment faire. Le Maître me connaissant parfaitement bien et voyant mon désarroi intervient auprès de Monsieur Florent.

- Cet esclave ne prend aucune initiative. C’est ainsi que je l’ai dressé. Il faut donc, que tu sois précis dans ton commandement. Tu dois luis dire, suis-moi à quatre pattes ou suis-moi debout et là il ne marquera aucune hésitation, ou s’il en marque une, il sait qu’il sera puni, sévèrement et sur le champ !
- J’ai bien compris Monsieur le Marquis, désolé, je n’ai pas encore votre habitude, lui répond le dit Florent.

Finalement, c’est debout que j’accompagne Monsieur Florent, bite au vent, ma queue c’est enflammée sitôt sortie de cette cage. Nous n’allons guère loin, au fond du couloir, dans une petite pièce aménagée dans laquelle se trouve une table de massage.

- Couche-toi sur le dos ! m’ordonne-t-il

Son regard ne quitte pas mon bas ventre, il faut dire que je m’affiche queue raide, gland humide, violacé et bien décalotté, sans une once de pudeur, tel qu’on me l’a enseigné. Serait-il, lui, gêné ? Lui quitte le haut de son survêtement, dévoilant ainsi son torse nu et poilu. Ses pectoraux sont bien dessinés comme d’ailleurs ses abdominaux, de vraies tablettes de chocolat. Ses biceps sont imposants et ce qui me surprend le plus chez lui, ce sont ses mains, larges et longues ! De bons battoirs, me dis-je… Ma queue redouble d’intensité à cette réflexion stupide que je viens d’avoir. Ah satané masochisme !… Je me vois déjà fesser par Lui et prendre du plaisir. Monsieur Florent vient de me glisser une serviette de bain roulée sous les genoux, se frotte les mains d’huiles essentielles, m’attrape d’une main la partie inférieure de mon tibia de l’autre il se saisit de mon pied gauche. Tout en maintenant ma jambe, il me fait tourner le pied en l’emmenant dans son amplitude maximale en dedans, en dehors, en haut et en bas en le fléchissant et en l’emmenant en extension. Puis commence alors un massage de la plante du pied, comme ensuite la flexion et l’extension de mes orteils. C’est un vrai moment de détente que m’offre Monsieur Florent. Même ma queue est redevenue flasque. Ce n’est que lorsqu’il entreprend de me masser les cuisses que je recommence à bander quelque peu. Mais lorsqu’il me demande de relever mes cuisses sur ma poitrine pour masser le périnée, alors ma queue s’érige sérieusement. Ses doigts huilés glissent de mon anus à mes testicules, vont et viennent avec un malin plaisir pervers, parfois effleurent mon trou.

Maintenant couché sur le ventre, je me laisse manipuler tout en regardant l’entrejambe de ce masseur. Sous son survêtement se dessine un membre tendu, orienté vers la gauche, d’une taille à priori plus que respectable : Pas de doute, Monsieur Florent bande ostensiblement… J’ai envie de cette queue, je la dévore des yeux et aimerai la dévorer tout court…Mais il n’en sera rien. Au bout d’une heure et demie de ce délicieux massage, je suis reconduit dans la chambre et de nouveau enchainé et encagé (avec beaucoup de difficulté). Juste avant de me quitter, Monsieur Florent ragaillardit m’intime l’ordre de lui baiser les pieds pour le remercier. Je me positionne instamment en levrette et m’exécute. Je l’entends dire alors :

- T’inquiète salope, un jour viendra où tu auras ma grosse pine dans ton cul de lope…

Il s’en va. Je reste sur ma faim, frustré ! Je me remets derrière l’une des fenêtres et constate que le chantier à l’extérieur a bien avancé, les gradins sont désormais installés. Monsieur Walter en Majordome accompli en fait le tour. Sans doute vérifie-t-il la bonne exécution des travaux. Derrière lui, en laisse et à quatre pattes, je reconnais soumise Cypris MDE accompagnée de soumis Cyno MDE le suivant comme deux bons chiens que l’on sort pour une petite balade. Le temps s’égrainent encore, doucement, lentement jusqu’au repas de midi, puis de nouveau je reste seul, désœuvré une grande partie de l’après-midi. Ce n’est qu’en fin d’après-midi que la porte de la chambre s’ouvre. Un homme et une femme entrent et s’approchent de moi. Je ne les connais ni l’un ni l’autre, sans doute sont-ils le médecin et l’infirmière dont le Maître m’a parlé. L’homme petit et râblais, les cheveux frisés, des mains potelées me saisit par le collier et me pousse sur le lit sans ménagement. La femme elle, grande, l’air sévère, une lourde poitrine, des cheveux blonds tombant sur ses épaules, exige immédiatement.

- Montre-moi tes couilles, la pute !

Couché sur le dos, je relève les jambes et offre mon intimité

- Ecarte-toi plus encore ! Insiste-t-elle très sévèrement.

J’obtempère immédiatement. Elle soulève mes burnes. L’homme intervient :

- Je vais lui ôter sa cage pour faire ce que nous avons à lui faire. Agnès prépare le matériel, Monsieur le Marquis ne tardera pas.

Ma nouille est libérée, mes burnes empoignées et malaxées. Bien que ce traitement soit quelque peu douloureux, je me mets à bander.

- Une belle bite ! constate l’infirmière, tout en mettant des gants en latex.

Le Médecin fait rouler entre ses doigts, la peau fine de mes bourses. Avec une lampe de poche, il regarde attentivement et par transparence les tissus fibromusculaires.

- Bien, dit-il en se redressant, aucun problème, pas de petits vaisseaux à cet endroit précis. Tu le piqueras là ?

Piquer ? Ai-je bien entendu. Aucun doute possible, je vois Madame Agnès préparer des instruments stériles dont un cathéter. Je blêmis et me mords les lèvres. Mes couilles sont lavées, nettoyées, désinfectées et aseptisées soigneusement.

- Combien lui injecte-t-on ? Demande Agnès
- Commençons par 250 cc, nous verrons ce qu’en dit Monsieur le Marquis.

Je n’en mène pas large. Madame Agnès prépare le flacon, le perfuseur et l’aiguille. Elle décapsule le flacon, puis désinfecte la membrane qui va recevoir le perfuseur, qu’elle met en place peu après. D’un geste sûr et rapide elle purge le tuyau en ouvrant la molette afin de chasser les bulles d’air.

- Ne bouge pas chien, je pique ! Me dit Madame Agnès.

Je n’ai quasiment rien senti… Le geste a été sûr, rapide, professionnel. Mon sac se remplit doucement. Tout au plus, j’ai une impression de fraicheur liée à la température du liquide injecté. Me voilà soulagé et maintenant la situation m’excite de nouveau. Ma queue se tend, mon scrotum se distend… Je suis là, sur ce lit, cuisses écartées, jambes relevées sur ma poitrine, sous le regard attentif des deux professionnels de santé. Au bout d’un quart d’heure, je suis débranché, Monsieur Gabriel me fait me relever. Je me regarde avec cette grosse paire de couilles bien encombrantes :

- A quatre pattes, le chien ! m’ordonne-t-il

Etrange sensation, mon sac gonflé tel un ballon de baudruche, ballotte entre mes cuisses A peine suis-je installé dans la posture ordonnée que le Maître entre dans la chambre.

- Alors, vous avez terminé ?
- Voilà votre chien, Monsieur le Marquis, avec de bien belles et grosses burnes ! Qu’en pensez-vous ?

Le Maître s’accroupit derrière moi et attrape mon paquet. La sensation est particulière, mes couilles protégées par le liquide injecté ne sont plus sensibles du tout…

- C’est pas mal, déjà un beau volume… combien lui avez-vous injecté ? Interroge le Maître
- Seulement 250 cc… Lui répond Madame Agnès.
- Nous voulions débuter doucement ! Reprend le Médecin.
- Je pense que pour le jour de l’ouverture des Mondiaux lors de la présentation des esclaves, nous pourrons lui injecter un peu plus, je veux le voir bien couillu Mon slave !

Le Maître tâte encore, puis soudainement un de ses doigts effleurent mon anus. Je frissonne de plaisir.

- Je suppose que vous n’avez pas eu le temps encore de vous occuper de cette rondelle.
- Non pas encore, Monsieur le Marquis.
- Le trou de cette catin est habituellement souple et tonic, mais sachant que depuis trois mois, il a été soumis à un strict sevrage, Il me semble opportun, dès aujourd’hui, de le reprendre en main par un entrainement intensif et approprié afin de le dilater et bien le façonner. Le cul de cette salope sera très régulièrement sollicité pendant ces Mondiaux, il faut donc bien le préparer. Je compte donc sur vous deux !
- Vous pouvez, Monsieur le Marquis, nous allons nous y employer, lui réponds le Médecin.

Sans autre recommandation le Maître quitte la chambre à grand pas, me laissant là avec ces deux inconnus m’écartant déjà les fesses et s’intéressant de très près à ma boutonnière fripée… Hummm ! J’en bande un maximum ! ...

(A suivre…)

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Texte coquin : La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°776)
Histoire sexe : Une rose rouge
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