attachée et offerte un soir dans les bois...

- Par l'auteur HDS Eléa -
Récit érotique écrit par Eléa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : attachée et offerte un soir dans les bois... Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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attachée et offerte un soir dans les bois...
Au fil du temps, celui qui se trouve au bout de l’écran m’a fasciné. Comme un prédateur hypnotise sa proie avant de lui sauter dessus : elle sait qu’elle est à sa merci mais elle s’abandonne car elle n’a aucune chance de fuir.

Chat après chat, M., m’a d’abord amené à avoir une aventure avec lui. Une fois, classique, plutôt banale pour nous deux et une autre fois ou j’avais surtout besoin de réconfort ! Puis petit à petit, notre discussion, qui a continué sur le net, est devenue un jeu, un jeu de pouvoir et de soumission. Il m’a amené progressivement à lui dévoiler des pans de moi que j’ignorais moi-même et mon envie profonde de me soumettre à la volonté d’un homme : et spécialement lui, car plus que tout autre je lui fais confiance.

Au fil du temps et de nos discussions, j’ai appris à le connaître. Je sais qu’il peut être dur, ou très tendre, méprisant, câlin, sec, attentionné, rassurant, sévère, patient, technique, sensuel et j’en passe… Mais jamais il ne me mettra en péril ni ne me blessera en dépassant mes limites. Il est très respectueux de sa partenaire, même s’il peut la plier totalement à ses désirs. Il m’attire et me fait peur, mais notre relation est amicale, pas amoureuse mais surtout je lui fais totalement confiance.

Jusqu’au jour ou il m’a décidé à sauter le pas. J’étais tiraillée entre ma peur et mon désir, et ce soir là c’est le désir qui a enfin pris le dessus. Nous dialoguions en ligne et…

J’accepte de le rejoindre, sans bien savoir ce qui m’attend. Juste qu’il fera de moi ce qu’il veut.
Il me laisse royalement le choix de l’endroit ou se retrouver. Un chemin désert et connu de nous deux fera l’affaire.

Je m’habille à la hâte, une jupe droite serrée et un chemisier ouvert, qui ne ferme qu’avec un simple lien et dévoile mes seins. Je veux qu’il puisse se servir de mon corps sans difficultés s’il le souhaite… Un string et un soutien-gorge noir complètent le tout.

Le cœur battant je pars au rendez-vous. Comme toujours avant de le rencontrer je suis nerveuse. C’est bête mais incontrôlable. J’arrive au lieu fixé, il est 21h30, je vois sa voiture, une décapotable. Il m’attend tranquillement, assis à l’intérieur, une cigarette à la main. Il me dit bonjour, me fixe d’un œil simultanément froid et amusé ( je crois qu’il sait qu’il me fait flipper ! ), j’ai du mal à le regarder dans les yeux. Je crois que je suis déjà en état de soumission. Il me donne alors mon premier ordre de la soirée : « gares-toi et montes ».

Je m’engouffre dans sa voiture et nous partons. Il glisse immédiatement sa main entre mes jambes. Docile, j’écarte les cuisses, afin de lui faciliter la tache. Mon string ne lui plait pas : « enlève-le » est le second ordre. Je me tortille, remonte un peu ma jupe, la dégrafe pour me simplifier la tache, et j’enlève le bout de tissu qui le gêne. Pour ne pas me disperser dans sa voiture, je le roule discrètement dans ma main et le glisse dans mon sac. Il me récompense d’un « c’est bien, tu commences bien ». Je le regarde un peu étonnée, ne sachant s’il plaisante ou s’il est sérieux, mais non il est sérieux. Tant mieux, je suis contente de répondre à ses attentes.

Je me rassoie, il me re-glisse immédiatement une main dans l’entrecuisse et me caresse. Je sens ses doigts écarter mes petites lèvres, puis descendre jusqu’à l’entrée de mon vagin : je suis trempée. Tellement mouillée que j’en ai honte, de lui montrer à quel point je suis déjà disponible, prête à me faire saillir. Je remonte un peu ma jupe, pour lui faciliter l’accès : il remonte vers le clitoris, sa caresse s’intensifie, je ferme les yeux. Il conduit d’une main, je ne fais plus attention à la route. De toute façon, ce soir je suis à lui, il peut m’emmener ou il veut, me faire ce qu’il veut. Je suis juste une petite chienne en chaleur, qu’il va soumettre à sa volonté. Je gémis pendant le trajet, déjà incapable de résister au plaisir qu’il me donne. J’effleure discrètement sa cuisse, juste pour le toucher, mais je n’ose pas aller plus loin bien que j’en meurt d’envie : il ne me l’a pas demandé et j’ai peur qu’il ne me remette en place.

Après une succession de virages, de petites routes puis de chemins, il m’emmène dans les bois, au bout d’une allée sombre cachée par des branches. La voiture s’engouffre dans le taillis et s’immobilise définitivement. Je rouvre les yeux et prend conscience de la réalité qui m’entoure. Nous sommes carrément dans les bois, dans SES bois, au milieu de nulle part, et au bout une tache claire, peut-être un champs. La nuit est presque totalement tombée et commence à nous envelopper.
Il m’ordonne de descendre. Puis il fait le tour de la voiture et s’approche de moi. Il est plus grand que moi, musclé, sa stature m’impressionne et la situation me fait me sentir toute petite… Sans dire mot il me déshabille entièrement excepté mes sandales. Me voilà nue, dans la nature, au milieu de cette tiède nuit d’été.
« Marche tout droit je te rejoins ». Je pars droit devant moi, distinguant à peine le chemin herbeux sous mes pieds. Je marche sans me retourner, certaine qu’il va arriver, et je l’entends rapidement se rapprocher de moi.
« Viens ici ». je fais volte-face, me rapproche de lui. Il me retourne pour me mettre face à un tronc d’arbre, et commence à me caresser en se plaquant contre mon dos. Ses mains parcourent mon corps : je me cambre, cherchant désespérément son contact, puis n’y tenant plus je passe une main dans mon dos pour le toucher. Je commence à glisser la main sous son tee-shirt, j’arrive à la peau. Je sens ses abdos se contracter et poussant l’initiative plus loin, je m’enhardie à lui dégrafer son pantalon. Je sens son sexe tendu mais immédiatement un ordre claque : « je ne t’ai pas dit de me caresser ». J’arrête net car il me confirme ce que j’ai senti instinctivement dans la voiture : je n’ai pas à le toucher sans son autorisation, c’est lui qui mène le jeu.

Il poursuit ses attouchements, remonte vers mes seins, les pince, me frotte le clitoris, je sens ses doigts explorer mes recoins. Je suis complètement shootée : l’environnement, l’heure, la situation, tout est irréel et contribue à me faire flotter dans une déferlante de sensations. Puis il s’arrête et je le vois lever une sangle à hauteur de ma tête. Il l’attache avec des gestes précis au tronc face à moi. Ensuite il me ligote solidement chaque poignet individuellement avec les deux bouts de la sangle ( en réalité une ceinture de karaté ).

Cet instant précis est très particulier : à partir de maintenant il contrôle tout. Je ne peux pas me caresser, me toucher ou le toucher, je suis totalement soumise à son bon vouloir. La situation m’excite tellement que j’en ai le vertige…Ma respiration s’accélère, je suis tendue au maximum. Mes sens sont aiguisés pour deviner ce qu’il va me faire, et je cherche à me mettre à sa disposition du mieux possible. Je l’entends me susurrer « j’ai envie de prendre tout mon temps »…

Sa main glisse entre mes cuisses et descend vers ma chatte trempée : il me glisse un doigt, puis deux, puis peut-être plus et me caresse…je griffe le tronc en gémissant. Je me cambre, tourne les fesses vers lui, je m’offre autant que je peux en écartant les chevilles. Je n’attends plus qu’une chose, c’est qu’il plonge en moi : mais au lieu de ça, il se glisse derrière moi et me frotte sa queue entre les jambes, jusqu’au clitoris. Il peut le faire car il a un sexe long et épais, de tellement bonne dimension que j’ai du mal à le prendre dans ma bouche. Je subis sa caresse sans pouvoir bouger : il me penche en avant, mes poignets remontent vers le tronc, et pour mieux me tenir j’empoigne les sangles qui me tiennent dans cette position d’offrande. Je gémis, sans plus faire attention aux bruits environnants, ni à l’idée que quelqu’un pourrait nous voir : pourtant j’ai horreur de ça !

Enfin il entre en moi. Je crie, oubliant complètement ou je me trouve ; seule compte sa queue, qui me prend inexorablement, me pénètre au plus profond de moi : je me cambre, je m’offre, pour être sa chose, sa soumise, pour qu’il prenne le maximum de plaisir avec ma chatte offerte.

Mais ce n’est pas fini : il se retire et me laisse sur ma faim. Puis je sens rapidement ses doigts se présenter face à l’ouverture de mon cul. J’ai peur car aucun homme de sa dimension ne m’a jamais possédé par là. En plus étant étroite, aucun de mes ex-compagnons n’ayant vraiment d’expérience, ne m’a sérieusement travaillé en sodomie. Mais un doigt me pénètre, puis deux, je sens petit à petit mes sphincters se détendre et se soumettrent aux aussi à sa caresse implacable : je sais que je serai sodomisée ce soir, prise par tous mes trous, que ça me plaise ou pas : je suis là pour ça, pour être dressée et possédée par tous mes orifices, pour être à lui ou plus tard, pour être à qui il voudra m’offrir.
Petit à petit, avec douceur mais insistance, je me sens envahie par une présence de plus en plus grosse : il a probablement enfilé ses doigts dans une capote, et fait des va et vient dans mon cul après l’avoir enduit de gel. En même temps, pour atténuer la morsure de la sensation, il me caresse le clitoris avec l’autre main, et parfois me pénètre avec ses doigts dans le vagin. Je suis environnée de sensations, accrochée à mes sangles, les articulations blanchies tellement je m’accroche. Soudain, irrésistible, une première jouissance me submerge… Une explosion, un feu d’artifice comme jamais. Je crie comme une chienne, je suis une petite pute soumise et offerte en train de jouir dans le sous-bois, et mon maître me donne du plaisir avant le sien…

Puis les doigts se retirent et je sens sa queue se présenter devant l’orifice. J’ai peur mais je m’abandonne : je suis à lui ce soir. Et il entre, doucement et je ne sens pas la douleur redoutée et expérimentée avec d’autres, plus maladroits. Sa queue immense se fraye un chemin dans mes entrailles, petit à petit, cm par cm, et mes gémissements de plaisir remplacent ceux de douleur…Il continue à me caresser en même temps et le plaisir m’envahit, plus fort que la légère douleur qui s’installe. Il commence des va-et-vient précautionneux. Soudain je me redresse, honteuse de lui dérober mon cul, mais j’ai mal ; une plainte m’échappe. Il est entré de je ne sais combien mais je crois que je suis au bout de ce que je peux faire ce soir ! Il me bloque le bassin avec une main, et sans se retirer, joue avec mon clitoris, jusqu’à ce que je me détende : puis il en profites pour s’enfoncer encore de quelques cms... Il me dira ensuite qu’il est entré à 75 %, ce qui vu ses dimensions et l’habitude que j’ai de l’exercice, constitue pour moi un véritable exploit !
Il continue ainsi à me sodomiser, prenant son temps, laissant mon cul s’habituer à cette présence inhabituelle et volumineuse. Je sens que le moment ou la sodomie deviendra un plaisir n’est enfin plus très loin. Jusqu’à maintenant je l’ai toujours envisagé avec frayeur mais là, le plaisir commence à être au rendez-vous.
Puis il devient plus autoritaire, me penche d’avantage en avant, m’attrape les cheveux et me les tire en arrière, m’obligeant à me cambrer encore d’avantage, si c’est possible : il peut ainsi disposer de mon cul comme il l’entend. « tu es une bonne petite salope » me dit-il… Oui ça il a raison ! Je tortille le cul, je crie, je gémie…Tout en me sodomisant, il se penche au dessus de moi et introduit les doigts dans mon vagin en même temps. Le sentant je ne peux m’empêcher de penser qu’il me prépare progressivement à une future double pénétration. Il me fait l’amour comme jamais personne ne l’a fait : il me fait hurler de plaisir dans le sous-bois, plus fort que les chevreuils environnants dont j’entends les aboiements, et qui doivent bien se demander ce qui se passe !

Puis il se retire et je laisse échapper un soupir à la fois de soulagement et de déception. Il me met les doigts dans le cul et me dit « tu vois tu es bien ouverte maintenant ». je lui réponds que je n’ai jamais été aussi ouverte, que tous mes trous sont tous à lui. Me prenant au mot, il me rétorque alors « et encore, je ne t’ai pas encore baisé la bouche… ». Puis il me pose quelques claques sur les fesses, plus pour le plaisir de les faire légèrement rougir que pour vraiment me faire mal.

Il me détache. Je me demande si c’est terminé, mais il me dit « à genoux et suces-moi » . Je tombe à ses pieds et gobe sa queue sans demander mon reste. Je dois humecter mes lèvres plusieurs fois, tellement j’ai la bouche sèche d’avoir tant crié. J’adore le sucer, le caresser ainsi. Il gémit de plaisir et laisse échapper un « c’est vrai que tu suces vraiment bien, tu es une vraie petite chienne », puis m’empoignant les cheveux il me baise la bouche, pénétrant bien au fond. « si je sens les dents je t’encules encore ». Difficile vu la taille de son sexe, mais j’ouvre la bouche au maximum, cherchant à le caresser le plus délicatement possible sans perdre de vigueur dans ma caresse néanmoins. Ma langue parcours son gland, je suis concentrée sur son plaisir. Je lui attrape les couilles, les caresse en même temps, et j’ai la satisfaction de sentir que mes attentions lui font de l’effet…Je me demande s’il va jouir sur moi dans cette position mais non : il me remet debout, me retourne et me penche vers l’avant mais sans m’attacher.
Je l’entend enfiler une capote, puis il me reprend, je suis tellement dans le brouillard que je ne sais même plus par quel trou ! Je crois qu’il me sodomise encore…Il a du sentir mes dents tout à l’heure malgré toutes mes attentions ! Je suis ouverte et dilatée par tous mes orifices de toute façon. Il me laisse les mains libres et pour m’aider à oublier la douleur, il m’ordonne « caresses-toi en même temps ». Je n’aime pas trop ça, j’ai toujours un peu honte de me caresser pendant qu’un homme me prend, voire même de me caresser tout court devant un homme ! Ca me bloque. Mais je le fais sans discuter en glissant ma main vers mon clitoris. Il me prend encore avec quelques va et vient, et m’ordonne sèchement « tu as trente secondes pour jouir, dépêches-toi ». Je me caresse frénétiquement, je sens le plaisir monter mais je n’ai pas le temps dans le délai imparti : je n’ose pas continuer à me caresser et j’arrête. Je le sens se retirer, puis il change de capote et replonge dans ma chatte. Là il se lâche enfin et commence à me pilonner, je rentre un peu les reins car il est tellement bien monté qu’il me fait mal en arrivant au fond de moi. Mon plaisir remonte en flèche, je m’accroche au tronc d’arbre et j’ai un deuxième orgasme fulgurant pendant qu’il me défonce à grands coups de boutoir.
Je le sens jouir enfin derrière moi, au moment ou il se retire. Nos cœurs battent à 100 à l’heure, je ne sais pas pour lui mais moi en tout cas, je suis restée accrochée au plafond ! Je suis complètement flottante, les émotions et les jouissances ont été trop fortes.

Nous retournons à la voiture, je me rhabille. Il me ramène à ma voiture, et nous discutons un peu en profitant d’une dernière cigarette avant de nous séparer.

Maintenant…S’il le souhaite, je serai de nouveau à lui, soumise à ses désirs.

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Elea

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Très belle histoire, très excitante



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