Floriane, sous une nappe de restaurant

- Par l'auteur HDS Laetitia sapho -
Auteur femme.
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Récit libertin : Floriane, sous une nappe de restaurant Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Floriane, sous une nappe de restaurant
Ce diner au restaurant avec un groupe d’amis, je n’avais pas vraiment envie d’y aller.
J’étais éreintée de ma semaine et une seule envie, passer le vendredi soir avec ma chérie sur le canapé.
Mais j’avais promis, j’ai essayé de me défiler , mais ils ont insisté et au final, je n’ai pas regretté.

Il y avait la bande habituelle et quelques personnes que je ne connaissais pas, dont ma voisine de droite, Floriane, une amie de Patrick, ou de Antoine, je ne sais plus trop.

Floriane, entre 35 et 40 ans, à vue de nez, blonde, cheveux mi longs, de grands yeux noisettes et un beau sourire, plutôt jolie, malgré des dents un peu trop grandes et un nez un pu long, un maquillage discret.
Rien de rédhibitoire, surtout qu’elle semblait avoir un fort joli corps, bien mis en valeur par un tailleur gris perle. Une jupe qui lui arrivait à mi cuisse, une veste échancrée sur un haut blanc qui compressait une poitrine généreuse, le tout avec quelques bijoux discrets, et juché sur des escarpins à talons hauts.. Un en coup d’œil, j’avais fait le tour des choses, jaugé, pesé Floriane. Il y avait de quoi passer une charmante soirée au lit, c’est sur.

Mais ce soir, j’étais trop crevée pour aller à la chasse à l’hétéro.

La chasse à l’hétéro, c’est un effort de longue haleine. On se fait en général rembarrer tout de suite, ou bien alors, le sujet rougit jusqu‘au oreille, bafouille, masque mal sa gêne. Si on insiste un peu, on s’aperçoit vite si il y a une petite chance ou pas.. C’est le râteau, voir le clash, ou bien la petite ouverture. Tout l’art de la chasse à l’hétéro tient dans la faculté à maintenir cette porte entrouverte et à progressivement l’ouvrir de plus en plus. Pour ça, il y a plusieurs tactiques, y aller franco ou tout en subtilité et en douceur, tout dépend u sujet. Certaines ont besoin d’être un peu bousculée, d’autres préféreront de petites allusions, puis qu’on flirte un peu, avant d’être plus entreprenante.
Voilà, la chasse à l’hétéro nécessite de mettre en œuvre de savante tactiques et techniques de chasse, ce soir, c’était trop pour moi.

Floriane, je l’ai donc jaugée et décidé d’en rester là.

D’emblée, je m’étais placée en bout de table. Ma fatigue se doublait d’un mal de crâne, et inconsciemment j’ai cherché à m’isoler. Personne à ma gauche, et comme on était un nombre impair, personne en face de moi. La place d la couillonne d’habitude, mais ce soir, c’était parfait.

C’est Floriane qui s’est installée à côté de moi.

Très vite, à l’autre bout de la table, un des garçon a attiré l’attention e la troupe en racontant ses vacances mouvementées en Espagne. Les filles rigolaient, les garçons se vannaient.
Floriane a entamé la conversation avec moi. Elle a effectivement 38 ans (j’ai mis une fois de plus dans le mille !!), divorcée, cadre dans une entreprise de transport (c’est dur pour une femme de diriger des hommes blablabla … !!), aime les voyages et la photographie (original !!), surtout photographier la nature (ben voyons !). Sinon, elle aimerait faire un autre genre de photos, mais n’en a jamais eu l’occasion (ah bon ? Quel genre ?). En fait, elle aimerait passer aux photographie avec un modèle (des photos de mode ?). Non non, un modèle féminin, enfin des photos un peu sexy quoi …. Légèrement érotiques, une fille un peu dans ton genre !!

C’est pas vrai !! Floriane, me fait du rentre dedans. Bon, mon homosexualité n’est un secret pour personne dans la bande de copain.. Ou bien peut être que Floriane pense être à la chasse à l ‘hétéro !!

- Ce genre de photos, ça ne me gêne pas, j’en fais souvent avec ma copine, en petite tenue, voir nue, mais ça relève de la sphère privée.
- C’est pas grave, tant pis. Si tu connais une fille qui souhaite poser pour moi …- Pas de soucis …
La conversation se dirige vers d’autres sujets (son dernier voyage, le dernier film qu’elle a vu …), quand on nous apporte les entrées. J’ai pris des écrevisses dans une feuille de brick avec une sauce légèrement citronnée, pas mauvais. Floriane, des huitres.
Autour de la table, tout le monde écoute les aventures ibériques, Floriane et moi, légèrement à l’écart sommes en dehors de la conversation.
Je surprend le regard en coin de Floriane fixé sur moi. Je tourne légèrement la tête et la voit prendre une coquille d’huitre, y déposer un peu de citron, l’approcher de sa bouche, mais au lieu de la gober, elle sort légèrement sa langue titille l’huitre avant de l’avaler. Son regard n’a pas arrêté de me fixer.
L’huitre avalée, elle passe sa langue sur le bord de ses lèvres.

Mais elle me drague !!! Cette fois, pas d’ambigüité !! Elle me fait du rentre dedans. La dragueuse, draguée. Elle veut gober mon huitre ?

A peine le temps de mesurer les tenants et les aboutissants de cette affaire, que je sens, sous la table, son escarpin se placer sur ma cheville, puis de remonter le long de mon mollet. .
La table est agrémentée d’une longue nappe blanche, c’est donc discret. Autant les convives autour de la table, que les autres clients ou que la serveuse, ne peuvent pas trop se rendre compte de se qui se passe en dessous, d’autant plus que nous avons toutes les deux un mur dans le dos.

Je décide de la laisser venir, voir où tout cela nous même. D’un air distant, je termine mon assiette.

Elle a arrêté le mouvement sur mon mollet, mais sa cuisse est venue se coller et se frotter contre la mienne.
Du bout des doigts, elle me masse légèrement le genou. Ses doigts remonte un peu plus haut.

- C’est des bas ? Me demande-telle discrètement
- Oui
Sa main s’est plaquée sur l’intérieur de ma cuisse et remonte sous ma jupe, cherchant la limite entre voile et chair. En y arrivant, son massage reprend, avant qu’elle n’essaye d’aller encore plus loin sous ma jupe. Mais le tissu tendu par mes cuisses écartées, l’empêche de monter plus haut, enfin discrètement.

Je décide de passer à la vitesse supérieure.

Je me lève :
- je reviens, attends moi
Je me dirige vers les toilettes, m’enferme dans la cabine, baisse ma culotte. Oh la la, je suis, toute mouillée.
Je roule la culotte en boule dans ma main et retourne m’assoir à ma place
Sous la table, je pose ma culotte sur les genoux de Floriane :
- Tiens, cadeau, c’est pour toi, je l’ai enlevée
Elle s’en saisit, la malaxe un peu et la place dans son sac à main. Pendant un temps, j’ai cru qu’elle allait la porter à son nez pour la renifler, mais non !

Sa main reprend sa place sur ma cuisse, j’ai les cuisses écartée au maximum, et discrètement en me rasseyant, j’ai remonté ma jupe autant que je pouvais sans me faire repérer. Cette fois, elle peut remonter jusqu’en haut, trouve mon minou. Ses doigts frottent les lèvres toutes humides, cherchent le clitoris, le trouve, le presse. Moi, je me concentre sur les fleurs au milieu de la table. Tout en me masturbant, elle me tient la conversation, me parle de ses projets professionnels. Je n’écoute rien bien sur, je ne pense qu’à l’orgasme qui arrive, comment faire pour ne pas geindre ou même crier.
Un de ses doigts, puis sont en moi maintenant. Et là, ça part. je prends sur moi et d’un effort surhumain, j’arrive à intérioriser la jouissance.

Je me relâche, elle le sens, ses doigt s’arrêtent et masse légèrement mon pubis épilé. Je me détend complètement. Elle retire la main, porte ses doigts à son nez, cette fois pour els renifler.

- Je ne vais pas me laver les mains, je vais garder cette odeur pour moi toute la soirée.

Je lui tend un papier où j’ai inscrit mon numéro de portable :
- Pour les photos de moi nue, je suis d’accord, appelle moi
- Pas de soucis, et puis pour patienter, j’ai ta petite culotte, je crois que je vais m’amuser un peu avec ce soir en rentrant chez moi. Je ne peux malheureusement t’inviter à passer chez moi, l’appart est en travaux, je suis hébergée chez ma sœur. Mais très bientôt, je te contacte.

- Je serais bien passée sous la table, pour m’occuper de toi, mais là, je pense que ça va pas être discret pour le coup. Tant pis, je vais te laisser sur ta faim, mais je te fais confiance pour tes petits jeux avec ma culotte pour te rattraper.

Nous pouffons.

Dommage, ma fatigue et mon mal de crâne ont disparus, j’aurais bien passé la nuit avec elle. Mais bon, à priori, c’est juste partie remise.

Mon premier orgasme entre le hors d’œuvre et le plat …
A suivre ?

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Texte coquin : Floriane, sous une nappe de restaurant
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