Vive l'amitié franco-allemande ( suite )
Récit érotique écrit par Humoureux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vive l'amitié franco-allemande ( suite )
Martina continua de jouer avec mon sperme qu'elle se refusait d'avaler, qu'elle faisait dégouliner dans ma bouche
avant de venir l'aspirer à nouveau avec un plaisir que j'ignorais. Quand elle s'aperçut que mon sexe était à nouveau
en érection, elle déposa mon sperme dans sa main droite et elle se mit à me masturber avec une grande maestria.
J'en profitais pour lui caresser la chatte toute humidifiée de nos deux jouissances. Son clitoris, rouge vif, telle une
petite bite, était encore tout excité. Je le pris entre le pouce et l'index, le caressais, le titillais, le pressais, mais, à
l'évidence, il était endolori. Je m'aventurais alors dans son sexe. Il était tellement ouvert que je pus rapidement y
introduire la main entière et la pénétrer jusqu'au plus profond d'elle--même. Entre-temps, Martina, de sa main
gauche, commençait à s'intéresser à mon anus. Elle avait eu la délicatesse de l'humidifier avec sa salive. Très vite,
son index me pénétra , dégageant une impression bien agréable. " Tourne-toi, mon petit Français" m'ordonna-t-elle.
Je me couchais donc sur le ventre. Martina s' éclipsa quelques minutes , revint, me fit mettre sur les genoux et
entreprit de me pénétrer l'anus avec un jeu de boules de geisha. Jamais jusqu'alors , je n'avais connu le plaisir d'une
telle pénétration.... Martina fit balancer un autre jeu de boules devant mes yeux. Je compris sans difficulté ce qu'il me
restait à faire. Je fis donc mettre Martina à quatre pattes et entreprit de lui lécher furieusement sa petite rose. Mon
hôtesse ne s'attendait certes pas à un tel préliminaire,. Mais ses gémissements guturaux me confirmaient qu'elle y
prenait beaucoup de plaisir. Sa petite rose maintenant largement ouverte, j'y introduisis les boules de geisha sans
aucune difficulté et de ma main libre, j'entrepris de pénétrer sa chatte et d'aller titiller les boules de geisha au travers
de la fine paroi. Martina se mit à vibrer, à trépigner, au comble de l'excitation . Elle s'arracha à moi, se retourna en
position de 69 et entreprit de me sortir les boules de geisha de mon anus avec sa bouche. J'en fis , bien entendu de
même, boule après boule, lentement. Notre coordination était parfaite. Toutes les boules sorties, j'entrepris de les
réintroduire dans cul offert de Martina. Celle - ci fit de même avec les miennes et elle s'éclipsa à nouveau, profitant de
l'excitation que les boules lui procuraient pendant qu'elle marchait. Martina revint très vite avec une nouvelle
bouteille de champagne frappé. Cette fois, elle m'invita à l'ouvrir, ce que je fis sans difficulté. Le champagne gicla et
j'en profitais pour en arroser les magnifiques seins de Martina, un peu oubliés ces dernières minutes. Puis j'en
remplis les deux coupes. Nous trinquâmes à l'amitié franco-allemande ,puis je rendis hommage aux superbes seins
de Martina en les léchant tout en faisant couler un peu plus de champagne. Les deux tétons étaient à nouveau dans
une superbe érection. Aussi je commençais à les lécher, à les aspirer, à les mordiller. Ce qui déclencha un grand cri
de Martina. J'insistais donc, mordillais de plus en plus fort son téton droit cependant je pinçais et étirais son téton
gauche . Martina était de plus en plus excitée. Elle trépignait, criait . Dans son excitation , elle entreprit de me sortir
brutalement les boules de geisha. J'en fis de même avec les siennes, après l'avoir fait mettre à nouveau à quatre
pattes et, au comble de l'excitation, je lui pénétrais son anus grand ouvert avec mon sexe en feu, tout en lui pinçant ,
lui griffant, les deux seins . Martina , soudain, se mit à jouir violemment. Je sentais sa jouissance brutale, saccadée,
sur mon sexe toujours en érection dans son anus . A mon tour, je me mis à gicler dans son anus, ce qui déclencha
une nouvelle jouissance de Martina. Jamais, au grand jamais, je n'avais connu une telle succession de jouissances.
Martina s'affala, mon sexe toujours dans sa petite rose, nous nous mîmes sur le côté, et bûmes goulument à même la
bouteille de champagne à moitié vide ....
avant de venir l'aspirer à nouveau avec un plaisir que j'ignorais. Quand elle s'aperçut que mon sexe était à nouveau
en érection, elle déposa mon sperme dans sa main droite et elle se mit à me masturber avec une grande maestria.
J'en profitais pour lui caresser la chatte toute humidifiée de nos deux jouissances. Son clitoris, rouge vif, telle une
petite bite, était encore tout excité. Je le pris entre le pouce et l'index, le caressais, le titillais, le pressais, mais, à
l'évidence, il était endolori. Je m'aventurais alors dans son sexe. Il était tellement ouvert que je pus rapidement y
introduire la main entière et la pénétrer jusqu'au plus profond d'elle--même. Entre-temps, Martina, de sa main
gauche, commençait à s'intéresser à mon anus. Elle avait eu la délicatesse de l'humidifier avec sa salive. Très vite,
son index me pénétra , dégageant une impression bien agréable. " Tourne-toi, mon petit Français" m'ordonna-t-elle.
Je me couchais donc sur le ventre. Martina s' éclipsa quelques minutes , revint, me fit mettre sur les genoux et
entreprit de me pénétrer l'anus avec un jeu de boules de geisha. Jamais jusqu'alors , je n'avais connu le plaisir d'une
telle pénétration.... Martina fit balancer un autre jeu de boules devant mes yeux. Je compris sans difficulté ce qu'il me
restait à faire. Je fis donc mettre Martina à quatre pattes et entreprit de lui lécher furieusement sa petite rose. Mon
hôtesse ne s'attendait certes pas à un tel préliminaire,. Mais ses gémissements guturaux me confirmaient qu'elle y
prenait beaucoup de plaisir. Sa petite rose maintenant largement ouverte, j'y introduisis les boules de geisha sans
aucune difficulté et de ma main libre, j'entrepris de pénétrer sa chatte et d'aller titiller les boules de geisha au travers
de la fine paroi. Martina se mit à vibrer, à trépigner, au comble de l'excitation . Elle s'arracha à moi, se retourna en
position de 69 et entreprit de me sortir les boules de geisha de mon anus avec sa bouche. J'en fis , bien entendu de
même, boule après boule, lentement. Notre coordination était parfaite. Toutes les boules sorties, j'entrepris de les
réintroduire dans cul offert de Martina. Celle - ci fit de même avec les miennes et elle s'éclipsa à nouveau, profitant de
l'excitation que les boules lui procuraient pendant qu'elle marchait. Martina revint très vite avec une nouvelle
bouteille de champagne frappé. Cette fois, elle m'invita à l'ouvrir, ce que je fis sans difficulté. Le champagne gicla et
j'en profitais pour en arroser les magnifiques seins de Martina, un peu oubliés ces dernières minutes. Puis j'en
remplis les deux coupes. Nous trinquâmes à l'amitié franco-allemande ,puis je rendis hommage aux superbes seins
de Martina en les léchant tout en faisant couler un peu plus de champagne. Les deux tétons étaient à nouveau dans
une superbe érection. Aussi je commençais à les lécher, à les aspirer, à les mordiller. Ce qui déclencha un grand cri
de Martina. J'insistais donc, mordillais de plus en plus fort son téton droit cependant je pinçais et étirais son téton
gauche . Martina était de plus en plus excitée. Elle trépignait, criait . Dans son excitation , elle entreprit de me sortir
brutalement les boules de geisha. J'en fis de même avec les siennes, après l'avoir fait mettre à nouveau à quatre
pattes et, au comble de l'excitation, je lui pénétrais son anus grand ouvert avec mon sexe en feu, tout en lui pinçant ,
lui griffant, les deux seins . Martina , soudain, se mit à jouir violemment. Je sentais sa jouissance brutale, saccadée,
sur mon sexe toujours en érection dans son anus . A mon tour, je me mis à gicler dans son anus, ce qui déclencha
une nouvelle jouissance de Martina. Jamais, au grand jamais, je n'avais connu une telle succession de jouissances.
Martina s'affala, mon sexe toujours dans sa petite rose, nous nous mîmes sur le côté, et bûmes goulument à même la
bouteille de champagne à moitié vide ....
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