COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (2/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (2/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (2/14)
Sortant du super marché situé près de chez moi, je vois une jeune femme black qui se lave dans sa voiture avec une simple bouteille d’eau, je lui propose de venir se doucher chez moi ou je suis seule mes enfants étant en voyage et mon mari aux États-Unis.
L’orage, et surtout un éclair fusionné avec le tonnerre et un halo verts me montre que la foudre a dû tomber très près de chez moi, me précipite dans les bras d’Angélique qui me reçoit et qui me redonne le goût aux plaisirs lesbiens que j’ai pratiqué avant mon mariage avec Emmanuelle, ma copine de fac que j’ai connue à Dijon.

Le tourbillon de plaisir où je suis propulsée après la peur que je ressens a raison de moi, je suis la femelle qui accepte tout ce qu’Angélique veut me faire ou que je lui fais.
Je perds ma lucidité et je me laisse aller à lui sucer la vulve avec ma langue et à la laper plus qu’à la lécher.

• Aller, Juliette, bouffe-moi la chatte, vient boire à ma source.

Nul besoin de me le demander, je retrouve le rythme qui permettait à ma maîtresse de mes années de fac de s’envoler toujours plus haut.
Fini les queues des hommes, on peut tous les castrer, la pointe de la langue de ma belle copine me fait le même effet que les pénis de ces machos qui sont là pour leur plaisir et bien loin du notre parfois.
5 fois, dix fois 100 fois je la fais jouir.
5 fois, dix fois 100 fois 1000 fois elle me fait jouir.
Nous avons commencé sur le sofa et comme notre terrain de jeu devenait trop réduit dans mon grand lit conjugal où sans le moindre remords, je trompe mon mari avec Angélique.
C’est au matin quand je me réveille au lieu d’avoir du remords, je regrette amèrement d’avoir quitté mon amie à Dijon pour la bite de Claude même si en le rejetant je rejette mes enfants.

Mon roudoudou noir que j’ai devant mes yeux mérite que je me lève un peu carboniser pour aller faire un nouveau café chaud, le café prévu hier soir en plein cœur de l’orage étant resté intact sur la table du salon.

• Aller la flemmarde à table, je meurs de faim.
• C’est peut dire méfie toi de la cannibale noire elle pourrait te croquer.

L’imitation qu’elle fait de la femme noire prête à me bouffer me fait pouffer et c’est comme cela que le plateau tombe sur le lit le café manquant de l’ébouillanter et de l’envoyer à l’hôpital.

• Viens ici sale fille, tu mérites une bonne fessée.
Monte sur mon lit, présentes moi tes fesses et lèche les draps pour que rien ne soit perdu.

Je m’exécute trouvant un peu bizarre qu’en peu de temps elle accapare le lit comme s’il était le sien.
Joignant geste et parole, je ramasse la plus belle fessée de ma vie mais je dois le dire je mouille.

C’est en sortant sur la terrasse après avoir ouvert les volets roulants de la baie vitrée que devant la piscine que je constate les dégâts.
L’éclair avec le tonnerre immédiat qui m’a précipité dans les bras d’Angélique à carrément foudroyer le peuplier qui jouxte la maison.
Coup de chance, il a cassé à moins de deux mètres du sol et c’est couché sur la pelouse manquant de fracasser la piscine de quelques mètres.
Vu le jour et l’heure, je passe deux coups de téléphone, le premier au garagiste ou j’ai été une fois pour un pneu crevé à Pontault-Combault afin qu’il vienne chercher les clefs de la voiture sur le parking du super marché pour qu’il la répare, suivi d’un deuxième au paysagiste qui entretient notre maison pour qu’il vienne s’occuper de l’arbre.
C’est le moment que choisit Angélique pour me rejoindre, notre piscine l’enchante.

• J’ai retrouvé l’adresse et le nom du garagiste qui m’a dépanné après une crevaison, il s’appelle Fred, je lui ai téléphoné, il viendra à 11 heures chercher tes clefs.
On a deux heures pour nettoyer la piscine avant qu’il arrive.
Quant à l’arbre, c’est jeudi qu’il sera coupé à 14 heures par notre paysagiste.
Avant, viens voir la chambre où je te propose de t’installer.

Nous montons dans les combles où nous avons aménagé une pièce en chambre d’amis.
Je décide d’appeler Claude pour lui soumettre l’idée de garder Angélique à notre service en la logeant tant qu’elle restera dans sa galère.
C’est une volée de jurons que je reçois ayant oublié le décalage horaire et qu’il est quatre heures du matin au State, il finit par se calmer et me donne son accord et je fais voir sa chambre à mon amie.
Elle se jette sur le lit, rebondit deux trois fois laissant s’ouvrir son peignoir me montrant la beauté de son anatomie.
Hier dans notre passion, le sexe pur et dur nous animait et là nous aurions pu passer un moment de tendresse si le travail à la piscine m’en laissait le temps.

• Angélique, je t’attends à la piscine pour la nettoyer en descendant je vais changer les draps de ma chambre et les mettre à laver.

Je mets, mon maillot de bain deux pièces avant d’aller travailler une heure et demie, moment où je peux me baigner avant de m’allonger sur mon transat ayant remis les coussins et profité du soleil.
C’est le moment qu’Angélique choisit pour faire son retour.

• Laisse-moi ta place.

Pourquoi me demande-t-elle de lui laisser la place alors que le transat voisin est inoccupé et qu’il a ses coussins ?
Mais j’adore retrouver les intonations qu’avait Emmanuelle avec moi quand elle me donnait des ordres qui ponctuaient notre relation.
J’étais, il faut bien le dire une femme plus soumise à ma maîtresse qu’elle a moi.
Angélique me montre le même esprit d’indépendance alors je suis contente de répondre à la soumission qu’elle semble vouloir m’imposer.
Une fois qu’elle est allongée je m’agenouille à son côté et quand elle me saisit par la tête, elle n’a aucun mal à ce que ma bouche rejoigne sa fente.
Dans la lumière du Soleil, je suis admirative d’avoir réussi à séduire une si belle femme.
Je suis à ses pieds comme un gentil toutou peut l’être aux pieds de sa maîtresse.
Sans compter qu’après le coup de fil à Claude de savoir qu’elle va rester tout le temps qu’elle le désire m’enchante.
Il est onze heures quand la sonnette du portail ce fait entendre.
Elle se lève et se dirige vers le côté opposé de la maison où il se trouve.

• Allonge-toi, je reviens.

La fatigue de tout le travail fait seule se fait ressentir aussi, je suis contente de m’allonger.
Je pensais qu’elle allait lui donner ses clefs et revenir, mais c’est avec le garagiste que je la voie arriver.

• Elle est là, posez-lui la question.
• Oui, Madame, c’est Fred, je me souviens de vous quand vous êtes venu réparer votre roue, je voulais savoir à quel nom je devais mettre la facture.
• À mon nom bien sûr je vous l’ai donné au téléphone.
• Oui, pour l’adresse, d’ici j’ignorais si c’était la même pour la facturation.

C’est homme massif que je vois difficilement à cause du soleil m’impressionne, je me souviens que le jour où il m’a dépanné pour mon pneu, j’avais mouillé en regardant ses muscles bandés quand il a forcé sur sa clef à étoile.

• Elle est jolie ma copine, Monsieur, je vois qu’elle vous fait bander.

Le ciel me tombe sur la tête quand sa bouche sorte ces mots et surtout comme je suis placé, je vois sous son jean qu’il est déjà tendu au maximum.

• Attendez, vous allez mieux la voir.

Tout en joignant geste et parole, elle prend la ficelle de droite de mon slip qu’elle défait immédiatement suivi de la deuxième qui dégage complètement mon sexe.
La couleur blonde de mon abricot plait au garagiste car le geste qu’il fait pour me toucher la chatte m’électrise.
C’est incroyable, je suis en train de passer de la femme mariée fidèle et sans envie d’adultère en une chienne lubrique qui écarte ses cuisses pour que les doigts calleux et couverts de cambouis de ce garagiste viennent pénétrer ma chatte.
Quand l’un de ses doigts passe près de mon clitoris, une petite peau calleuse le touche déclenchant immédiatement un frisson que je peux difficilement cacher.

• Elle est chaude votre copine, sortez-moi la queue que je la prenne comme elle le mérite.
• Juliette met toi en levrette, il ira plus loin en toi.

Une fois de plus elle ordonne, j’exécute.
Pire qu’au temps d’Emmanuelle car avec elle s’était juste entre nous.
Avec Angélique elle est en train de faire pénétrer dans notre sphère sexuelle un inconnu, qui plus est un homme.
Le plus dur dans ce qu’elle me demande, c’est que pour prendre cette position, il faut que je me retourne et que les doigts que j’imagine tapisser l’intérieur de mon sexe de graisse permettant à sa queue de glisser en moi me quittent.
Quand ma copine sort son vit de sa cage sa grosseur un tiers plus gros que celle de Claude unique homme ayant pénétré mon intimité, pressé de la recevoir, je tourne rapidement sur moi-même.

• Allez, enfile là, fais d’elle ta pute.
• Dit-moi Juliette es-tu sa pute, ma pute ?
• Oui, je l’attends.

Comment puis-je me reconnaître, j’ai voulu aider cette jeune femme et je me retrouve sous sa coupe même si c’est très bon dès qu’il me pénètre ma vulve se trouve écarté comme jamais je ne pensais qu’elle ne le soit ?
Les cris d’orfraies qui sortent de ma bouche leurs montres rapidement l’efficacité de ce sexe qui sort et qui entre en moi.
Claude doit avoisiner les 10 à 12 centimètres alors que Fred comme il est tendu doit être à 19 ou 20, on a beau dire qu’il vaut mieux une petite vigoureuse qu’une grande fainéante, la grande vigoureuse est meilleure, car j’ai le temps de la sentir sortir puis de la sentir entrer ce qui est la source de mon plaisir toujours plus intense.
Ce qui fait aussi sa force en comparaison avec celle que je pratique depuis 18 ans, c’est sa résistance avec mon mari ce sont des 7 à 8 minutes avant explosion, là depuis plus de trente minutes, j’en ramasse un maximum sans qu’elle explose en moi.
Il doit sentir qu’il va décharger car il me libère la chatte et passe devant moi pour me remplir la bouche.
De nouveau, la comparaison avec Claude est à l’avantage du garagiste, car plus j’en avale et plus j’ai à en avaler.
Quand la dernière giclée gicle, elle entre au fond de ma gorge ce qui me fait tousser et m’étouffer.

• Madame, je m’excuse de vous faire tousser, prenez votre temps, je sais que je suis bien monté et que ma bite déverse toujours une grande quantité de sperme pour ma partenaire, me permettez-vous de venir vous revoir quand je ramènerai la voiture de mademoiselle, j’aurais toujours plaisir de venir vous en mettre un petit coup si cela vous fait plaisir.
• Ici vous pouvez constater que c’est moi qui décide, quand je suis arrivé, j’ai tout de suite senti que la femme que vous avez devant vous était prête à toutes les soumissions pour que je reste près d’elle.
Elle aime être dans cette position indécente et je vous promets que si vous savez me faire une bonne remise sur les frais de réparation de ma voiture, elle sera à votre disposition pour une autre partie de trou du cul qu’elle affectionne.
Juliette dit toi-même au monsieur que tu te donneras à lui quand il reviendra.
• Oui, Monsieur, revenez me mettre vos doigts calleux dans ma chatte, j’ai adoré et j’aimerais que l’on recommence…

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