COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (5/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (5/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (5/14)
Je suis en ce moment dans le couloir où je suis allé il y a peu avec un homme rejoindre un couple qui faisait l’amour et avec lequel j’ai eu des moments sexuels très agréables.
J’entre à quatre pattes dans une salle ronde avec au centre une sorte d’estrade tournante où tout autour des canapés sont installés et ou des couples, femmes et hommes semblent m’attendre.
Nous attendre car Achille après m’avoir accroché une laisse à mon collier s’est mis nu gardant un string lui enserrant la verge et la mettant en valeur.
La boule que forment sa verge et ses couilles me fait voir l’ampleur de ce que je pense découvrir.
J’en salive d’avance, j’avais bien compris par les quelques allusions d’Angélique que je recevrais de quoi me satisfaire côté sexe, mais là elle me gâte, je suis sûr que son cousin va m’éclater.
Avant de monter sur l’estrade, j’ai le temps de la voir aux prises avec deux hommes la caressant.
J’en retire une certaine jalousie malgré la séance pratiquée dans l’alcôve et celle que je me prépare à faire avec le patron du club.

Notre numéro dur environ un quart d’heure.
Il me lèche pour commencer en venant derrière moi allant même jusqu’à pointer sa langue dans mon anus, il me donne sa bite à sucer, qui comme je le présentais, est bien supérieure en longueur à celle du garagiste mais un même diamètre aussi imposant au point que je dois donner de la souplesse à mes mâchoires pour la faire entrer.
Pour commencer, il me prend pour cette première séance qui va se répéter toutes les heures par la chatte me procurant un orgasme démesuré certainement amplifié par le fait que des dizaines d’yeux me regardent.
Je comprends à ce moment pourquoi Claude a envie de me voir me faire baiser.
Quand il décharge, je lui enlève sa capote et je lui nettoie la verge, son sperme resté dessus à un léger goût de vanille.
Quand je baisse les yeux et que je regarde son sexe, j’ai conscience d’avoir pour la première fois été pénétré par une belle verge noire.
La noirceur de sa peau conjuguée à ma blondeur a dû faire un effet bœuf sur ceux qui nous regardaient.

• Retourne au bar, souvent après ces séances les clients et clientes se bouscule pour payer à boire à ma barmaid, du moins c’est ce qui se passe avec la belle Emmanuella qui assure les mardis, jeudis et vendredis.

Emmanuella, ce genre de prénom me poursuit, peu de différences avec Emmanuelle dont j’ai du mal à oublier le prénom surtout que j’ai prénommé ma fille comme elle.
J’ai du vague à l’âme quand un couple dont le monsieur bande encore sous la serviette qui entoure sa taille vient m’offrir une bouteille, je les avais repérés lors d’une rotation du podium, mais c’était plutôt sa femme recevant le sexe d’un beau ténébreux que j’avais vu.
Aussi, blonde que moi, un visage d’ange et une taille de guêpe.
C’est avec eux que je découvre un autre coin du club, le Jacuzzi qui ressemble plus à une piscine d’intérieure.
Je me prélasse peu de temps le devoir m’appelant quand Valérie me prend la bouche.
Valérie est tout du moins le prénom qu’elle me donne ainsi que Christian son mari.
Elle s’assoit sur un des rebords et me présente son sexe entièrement épilé, je trouve cela disgracieux surtout pour une blonde qui comme moi devait avoir une touffe peu fournie.
Je m’agenouille devant elle sentant l’eau bouillonnante me caresser le clitoris et me procurer l’apaisement que la grosseur de la bite d’Achille a allumé en moi.
C’est la première fois depuis longtemps, en même temps que ma bouche vient au contact de la chatte de Valérie, je place deux de mes doigts dans mon vagin et je me surprends à me masturber.
J’ai bien conscience que je deviens folle du cul mais pourquoi refuser le plaisir qui monte en moi autant que celui de celle qui s’abandonne sous ma bouche.

• J’adore que tu baises ma femme, vient maintenant, suce-moi que je vide mes couilles bien sollicitées depuis que nous sommes arrivées et où elle m’a fait plaisir en baisant avec mes partenaires.

C’est comme cela que je comprends comment fonctionne le candaulisme, elle se fait baiser, il la regarde se faire solliciter par d’autres partenaires et c’est dans sa tête que les choses fonctionnent.
Aimerais-je voir Claude se faire baiser ? Pire, je vois deux hommes ensemble l’un enculant l’autre et si c’était mon homme qui s’en prenne une dans sa lune.
Après m’avoir essuyé conjointement, ils décident d’aller boire une autre bouteille.
Il m’est impossible de refuser ce qui retarde la séance avec Achille, mais j’apprends que les personnes dans la salle au podium savent très bien s’occuper même à me remplacer pour tourner aux yeux des autres.
Je suis à l’heure à celle de 18 et 19 je loupe 20 heures et comme je fini à 23 heures, mon étalon me monte quatre fois devant des couples qui apprécient notre prestation surtout que dans la soirée la salle s'est remplie, j’ignorais qu’il y avait autant de salops et salope à Paris.
Dès la deuxième fois, il veut comme le fond les hommes me sodomiser, j’arrive à lui faire comprendre qu’il prenne son mal en patience lui promettant que mon anus serait à lui le samedi après-midi et qu’il aurait tout le temps d’en profiter car le club ferme à 1 heure.

J’ai vu défiler un grand nombre de coupes mais surtout de bouteilles qu’avec beaucoup de maestrias, j’arrive simplement à tremper les lèvres ce qui fait que, quand Angélique se décide à me rejoindre, mon sexe est repu mais je vais pouvoir prendre le volant sans risque si je dois souffler dans un ballon.

• Achille, je t’avais dit qu’elle est à la hauteur, je pense que tu peux lui signer son contrat de barmaid pour être en règle avec l’administration, je te promets que samedi, elle sera là à l’heure.
Tu confirmes Juliette.
• Au oui, j’ai passé un très bon après-midi même si je suis crevé.
Au cet impossible, Claude rentre samedi.
• Aucun problème, je le recevrais et on t’attendra.
• Alors, signe ici, j’ai déjà vu les termes du contrat avec ma cousine aussi bien pour tes heures de présence, tes prestations sur l’estrade, la durée d’un an renouvelable et pour la gratte sur les bouteilles vendues, elle m’a déjà donné son RIB et comme cela, elle recevra ton chèque tous les mois sur son compte.

Je signe persuadé que je viens de signer d’un côté beaucoup de plaisir mais aussi beaucoup de contrainte morale vis-à-vis de Claude qui, quand il est parti gagner notre pitance, avait une épouse dévouée et qui va retrouver une vraie pute dans sa maison.

De retour à la maison je vais prendre ma douche, mais quand je veux aller dans mon lit Angélique me renvoie à l’étage trouvant mon lit conjugal plus grand et plus à la hauteur de sa classe.

• Viens me laver avant de monter, je suis fatigué,

Que devrais-je dire moi qui me suis donnée toute l’après-midi et soirée ? Oui mais je m’exécute bien volontiers, car malgré ma fatigue, je me sens la plus belle salope du monde.
Je sais qu’en remettant ma vie entre les mains d’Angélique, je serais satisfaite tout le temps que durera notre aventure que j’espère éternelle.
Quand elle est dans la baignoire, je prends le gant de toilette et mes yeux remplis d’envie quand je le passe entre ses cuisses aussi noires que le sexe d’Achille dont j’avais la vue à même distance tout à l’heure.
J’ai un moment de lucidité malgré ma fatigue et quand elle est propre, je me souviens de ce qu’elle m’a fait quand j’avais les jambes relevées.
J’introduis trois doigts puis quatre et pour finir le cinquième dans son intimité, elle s’abaisse sur ses cuisses pour faciliter ma pénétration et ma main en entier entrent dans son corps.

• Un bon point pour toi.

Elle a du mal à finir sa phrase gagnée par la jouissance que je lui procure.

• J’adore être fistée !

Mon éducation sexuelle progresse, en apprenant qu’enfoncé l’intégralité de ma main dans le vagin d’Angélique s’appelle se faire fister !
Voulant voir s’il est possible de se fister soi-même, je profite de ma position mes cuisses écartées comme une grenouille pour introduire ma propre main dans mon sexe certain que dans les jours prochains elle me le refera.
Ou notre dépravation va s’arrêter et que me reste-t-il à découvrir dont j’ignore à ce jour le début du commencement.
Ce qu’il y a de sûr, c’est qu’avant de monter me coucher, nous avons un ultime orgasme simultané pour cette journée impensable pour moi avant de récupérer cette salope sur le parking.
Essuyé je l’accompagne jusqu’à mon lit où je la couche et je la borde.
Un ultime baisé et je rejoins l’étage supérieur.
Je me couche et je constate que nous avons laissé les menottes fixées sur les barreaux de la tête de lit, je me saisis de la gauche et je m’attache moi-même.
Il est dommage que l’autre soit trop loin, car j’aurais fait de même avec elle.
En faisant ce geste, j’ai la certitude que demain matin, il faudra qu’elle monte jusqu’à mon lit pour me détacher et aller manger un morceau, car je jeûne depuis longtemps et mon estomac crie famine.

Quelle heure est-il quand je me réveille, je dois l’appeler plusieurs fois pour qu’elle daigne me rejoindre.

• Qui t’as attaché, je croyais que tu boudais.
• Non, j’ai voulu te montrer que je t’aimais, mais je vois que tu te fiches bien de moi.
• Tu te trompes, attends que je te détache avant d’allée sur la terrasse pour déguster le bon repas que je nous ai préparé.

Quand je suis sur la terrasse, je la vois arrivée avec un seul plateau car sur la table dressée tout est prévu pour une personne seule.

• Tu dois continuer à manger léger, car tu as déjà perdu un quart de la moitié d’un centimètre de tour de hanches.
Aller je vais te montrer que je suis une bonne maîtresse va dans le frigo chercher la suite, il y a deux assiettes.

Je vais les chercher dans l’une deux belles tranches de foie gras, dans l’autre, cinq radis se battant en duelle pour savoir lequel finira le dernier dans mon estomac.
Elle m’autorise à accompagner ce festin d’un verre d’eau avec un croûton de pain.
Pendant qu’elle se goinfre de foie gras confortablement installé dans la seule chaise je mange mes succulents radis, debout aucune chaise n’étant prévue pour moi.

• Prépare-moi mes tartines.

J’étale le pâté sur ses deux tranches de toasts d’un bon centimètre qu’elle a dû trouver dans mon frigo et que je m’étais acheté le jour où je l’ai rencontré pour le déguster au retour de Claude.

• C’est bien assez mangé, fais la vaisselle, rangent la pièce et la terrasse et va te rattacher, le paysagiste va arriver et je vais le recevoir.

En me disant ces mots, elle retourne sur le transat s’allonge dans mon petit Bikini rose alors que je suis nue.
Elle prend un gros bouquin, je vais dans la cuisine faire ce qu’elle m’a demandé et je remplis un verre de jus de fruits que je lui apporte.
Ma curiosité est récompensée, je vois qu’elle lit le tome 1 de 50 nuances de Grey que j’ai commencé le jour où Claude est parti et qu’elle a trouvé dans mon salon.
J’en suis au début et je me demande ce qu’elle va trouver d’intéressant de ce que fait subir Christian Grey à Anastasia surtout sur le côté sado et masochiste où il tente d’entraîner l’héroïne.
Avec l’esprit malade de mon amante nul doute qu’elle tirera de sa lecture les scènes pouvant nous apporter le maximum de plaisir.
Quand je monte, je récupère la clef des menottes qu’elle a posée sur la table, je replace l’une des menottes plus près de sa collègue et ainsi après avoir immobilisé une de mes mains, je n’ai aucun mal à fermer la deuxième.
Je me sens prisonnière d’Angélique pour mon bien-être ayant bien compris que je suis sur cette terre pour la satisfaire comme la bonne soumise que je dois m’efforcer d’être…

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