Femme BCBG, escorte, non, pute… (117)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (117) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (117)
Encore une nouveauté dans ma vie, pour 5 000 € la nuit un chauffeur me conduit dans la résidence d’une femme que je reconnais dès mon arrivée et qui s’avère lorsqu’elle ôte sa tenue de bourgeoise être entièrement tatouée du cou à la pointe de ses orteils les dessins représentant des personnages sataniques.
Cette grosse somme m’est donnée simplement pour l’accompagner dans un bar plein de gouines du quartier latin où elle se fait lever par Vampira une fille gothique.
Démoniaque la copine de Vampira me fait du rentre-dedans et j’accepte de la suivre chez elle à deux pâtés d’immeubles de là.
Je découvre que la jeune femme est tatoueuse à son domicile et elle me convint de m’en faire un.
Elle me propose un modèle démoniaque sur ma chatte mais j’arrive à ce que ce soit une jolie libellule de couleurs sur l’épaule qu’elle commence à me tatouer.

• Je vais te mettre de la crème adoucissante.
• Ça fait mal.
• Ce sont de minuscules aiguilles qui vont te percer la peau, mais c’est supportable et quand tu en seras comme moi au 72ème, tu seras accro à cette petite douleur.
• 72, si c’est comme ceux de ma cliente tu es une œuvre d’art.
• Tu parles toujours de clients ou de clientes il faut que tu m’expliques, attends, je vais me mettre à l’aise, je déteste tatouer habiller c’est pour cela que je travaille chez moi.

Pour une œuvre d’art s’en est une, c’est même magnifique aussi beau que ce que j’ai vu chez Démone, qui malgré que je l’aie reconnu gardera ce nom pour m’éviter de faire un impair devant des tiers justifiant ainsi le prix qu’elle me paye, quand elle m’a montré les siens mais toujours des motifs ou personnages sataniques.

• Tu es prête j’attaque.

Il y a presque une heure que je subis l’agression des aiguilles m’accrochant au dossier pour éviter la douleur mais tout de même supportable quand la sonnette de l’entrée se fait entendre.
Démoniaque se lève et se déplace, magnifique dans sa nudité.
J’entends qu’elle ouvre la porte.

• Bonsoir Abbadon vient, je vais te présenter une amie que j’ai rencontrée au bar, nous sommes dans la salle.

Je la vois arriver toujours nue, le garçon dans la trentaine est beau mec sauf le visage recouvert de tatouages avec la coiffure le faisant ressembler à un des Vikings que j’ai vues au cinéma l’autre fois.
Le titre c’était « Thor le Viking. »
• Bonsoir, Démoniaque, tu tatoues une blanche, et tu dis que tu l’as levée au bar des filles.
• Demande-lui, elle me dit qu’elle était avec une cliente, va comprendre, à moins qu’elle accepte de t’en dire plus.

Je suis coincée, soit je parle au risque de lui faire connaître l’identité de Démone même si c’est bien sûr un pseudo.

• Je vais tout vous expliquer, mon amie m’a téléphoné car elle avait le bourdon après son divorce et comme elle fréquentait votre milieu avant son mariage elle a souhaité que je l’accompagne ayant peur de retourner seule dans le milieu de sa jeunesse.
• C’est vrai, tatouée même ses jambes, alors que toi tu avais des collants.
Ce n’est pas le tout, j’étais tellement concentré sur mon travail que j’ai oublié de t’offrir à boire, sert nous de la bave de crapauds irlandais.

Abbadon nous sert des whiskys, dois-je les accepter et casser mon serment à Valérie que toute fille de l’organisation doit respecter, bien sûr ma cliente m’a libéré de mon travail quand elle est partie avec l’autre fille.

• Vous m’excusez aucun alcool, si vous avez un jus de crapaud aux fruits.
• Elle est drôle ta copine, blanche et sèche.

Sur le coup je me pose des questions, que veut-il dire par blanche et sèche.
Blanche je déduis que c’est sans tatouage mais sèche à part l’alcool je ne vois rien.

• Ces biens de papoter Abbadon, tu nous amuses mais j’ai un boulot à finir et après je tiens à caresser la belle fille que je tripote, depuis tout à l’heure ma chatte dégouline d’envie.

Démoniaque avant de reprendre son travail sur ma petite personne bois son verre d’un trait, alors que je bois une gorgée de jus d’orange.

• Fait voir à Libellule le travail que j’ai fait sur toi, je dois reconnaître que tu es mon plus beau spécimen.

Elle m’appelle Libellule au lieu de Christine, pourquoi pas, j’ai bien une amie près d’Aix-en-Provence qui se fait appeler ainsi car elle aime leur beauté et leur grâce, il va falloir que je l’appelle, j’ai su qu’elle aussi à divorcer après la tromperie de son mari.
Aie, le tatouage reprend et je suis surprise entièrement dans mes pensées, je verrais pour téléphoner prochainement.
Abbadon se déshabille et chose formidable à la hauteur où je suis assise, mes yeux sont au niveau de sa verge entièrement tatouée, un serpent s’entoure autour.
Il est proche de moi aussi je tends ma main le saisit et je commence à le masturber le surprenant, mais il se laisse faire.
J’aimerais voir la taille de ce reptile une fois le sexe de son propriétaire en érection.

• Tu es coquine toi, Démoniaque, je crois qu’elle a envie de tâter de ma vipère, as-tu bientôt terminé ?
• Je finis la couleur de cette aile et elle est à nous.
• Ma queue au fond d’une blanche, il y a des lustres.

Il cause trop, je veux voir quelle taille à sa vipère au risque de me faire mordre quand elle va venir dans ma chatte, en attendant je le prends dans ma bouche et je commence à le pomper.

• Arrête Libellule, après tes amants vont dire que ta tatoueuse est une incapable car l’encre aura débordé.
C’est çà, Abbadon, pilonne-lui la bouche sans qu’elle bouge.
Je finis.

En prononçant ces mots, sa main passe devant moi et ses doigts viennent caresser ma chatte, je mouille.
Je fais sortir la queue pour tourner la tête et avant qu’elle se lève nos bouches se trouvent, elle sent la menthe, je m’aperçois rapidement que sous sa langue elle a un chum gum mentholé.
Nos langues tournent dans nos bouches, je sens le morceau de bonbon venir dans la mienne sans que je ressente le moindre dégoût.
À tout autre moment si une amie avait sorti de sa bouche un gum pour me le donner je l’aurais traité de dégueulasse mais là dans l’action lui rendre est un exercice qui semble nous plaire car nous recommençons l’opération plusieurs fois au bon vouloir du chum gum.
Quand nous éclatons de rire au grand dam d’Abbadon qui attend sa queue en main le pourquoi de ce rire, il comprend quand je le sors de ma bouche avec mes doigts l’allongeant jusqu’à ce qu’il soit comme un fil.

• Tiens cela est à toi ma belle.

Elle ouvre la bouche et récupère son bien mais rapidement elle le ressort pour le mettre dans une boîte de déchets où se trouvent déjà des cotons et compresses dont elle s’est servie pour son travail sur mon corps.
Que vont dire mes amies quand elles verront que je me suis fait tatouer, il est vrai qu’aucune d’elles n’en a un ?

• Vous avez fini les nanas, et si vous vous occupiez un peu plus de moi.

Si la science du tatouage m’est inconnue celle des bites à honoré surtout celle-là si exceptionnelle je sais faire depuis que j’ai réussi à faire sauter les barrières de ma condition de femme mariée en exclusivité avec Pierre, mon épaule me fait un peu souffrir mais c’est supportable.
Je m’agenouille suivi par Démoniaque et dans les quelques secondes qui suivent le serpent à énormément pris de la consistance.

• Tu as vu, je l’ai tatoué en pleine érection, j’ai mis trois semaines car chaque fois que les aiguilles le pénétraient j’arrivais à tatouer moins de 5 millimètres car il débandait.
• Tu abuses, parfois tu m’as fait éjaculer, tu râlais car tu en recevais sur les seins
Elle a peut-être mi du temps mais le travail est remarquable, jusque sur son gland le reptile sort sa langue fourchue.
Je vois mal me faire faire un tatouage dans mon vagin, la douleur doit être la même car les chairs sont tendres, je comprends qu’il ait débandé rapidement.
Je mouille tellement que j’ai peur de tacher la moquette alors je lui prends la main et je m’allonge dessus l’attirant à moi.
Il suit mon mouvement et s’agenouille, il attrape un coussin sur le canapé à portée de sa main que je glisse sous mes fesses et je prends l’autre que je place sous ma tête, ma chatte est un peu surélevée et je vois très nettement le serpent s’approcher de mon intimité.
La sensation est étrange, jamais une bite ne m’a fait un tel effet pourtant elle est similaire aux autres nombreuses que j’ai vus défiler depuis que je fais la pute, mais ce tatouage me donne une impression de malaise surtout lorsque je lève les yeux et que je vois la crète sur la tête d’Abbadon.
Comme la plupart des hommes dans cette position il prend sa queue en main et la bête entre centimètres par centimètres en moi coulissant sans aucun problème dans l’état d’excitation où je suis.
Entré dans mon sexe, je devrais simplement sentir une verge au fond de mon vagin mais je fantasme tellement que mon plaisir est décuplé.

• Vas-y bel animal, pilonne-moi, que tes crocs entrent en moi déversant ton venin qui m’apportera la belle mort à laquelle toute femme aspire, des fois nous sommes comme des chiennes mais là je suis fourreau pour ton beau serpent.
• Tu vois Démoniaque, j’ai peut-être souffert pour avoir mon serpent mais aujourd’hui je suis récompensé, je sens que cette jolie blanche apprécie ton travail.

Certainement pour participer à la fête, elle vient sur moi, je la vois écarter ses grandes lèvres l’intérieur tatoué de noir qu’elle pose sur ma bouche ouverte pour la recevoir.
Ma langue la pénètre comme le serpent me prend de son côté, il nous faut quelles minutes pour partir tous les trois, deux orgasmes féminins doublés d’une éjaculation des crocs du serpent nous font hurler de plaisir simultanément…

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