2003 - Mylène

- Par l'auteur HDS BaronVelour -
Auteur homme.
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Récit libertin : 2003 - Mylène Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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2003 - Mylène
J’ai 30 ans.
Je reçois un texto :« Coucou cousin, je dois voir un médecin à côté de chez toi, je peux dormir chez toi jeudi ? Bisous »C’est ma jeune cousine Mylène. Elle a 18 ans depuis 2 mois. Jeune fille gentille, certains diraient très gentille pour ne pas dire naïve, assez marrante et fraîche.
J’ai toujours eu une bonne relation avec elle. Evidemment je la connais depuis qu’elle est gamine et je suis comme un grand frère pour elle ou au moins un vrai cousin. Quand elle était ado, elle essayait de me séduire, avec ma complicité bien sûr, c’était amusant. Hélas depuis 2 ans, elle a de gros problème sanguin d’où les visites régulières chez des spécialistes en tout genre.
Je ne l’ai jamais envisagé autrement qu’un être asexué. Pourtant C’est vrai qu’elle est devenue une femme, une vraie femme avec les attributs qui vont avec . Assez large de hanche, poitrine généreuse et petit sourire mutin, jolis yeux bleus.
Quand elle débarque ce jeudi soir, elle est comme à son habitude un peu timide mais je la fais rigoler et elle se détend. Je lui propose de l’emmener dîner ; j’ai l’impression que c’est le plus beau jour de sa vie. A la fin du repas, elle se baisse pour ramasser son sac et je remarque le bout de tissus qui dépasse de son taille basse. A ma grande surprise elle porte un tanga ambiance imprimé camouflage dans des teintes rougeâtres. Ca m’amuse et je me dis qu’après tout elle a 18 ans, rien de plus normal. Oui sauf que cette vision m’émoustille aussi.

En rentrant on boit un thé et je n’arrête pas de penser à ses dessous.
Je vis dans un 2 pièces avec une salle de bain attenante à la chambre. Quand elle s’y enferme pour se préparer, je ne peux m’empêcher de regarder par la grande serrure. Le cœur battant, je la matte.
Elle a quelques kilos en trop mais ses formes sont très belles, ses seins encore plus beaux que je ne l’imaginais bien qu’un peu tombants. Elle se passe de la crème un peu partout et je n’en rate pas une miette. Elle se retourne légèrement et j’aperçois sa toison abondante mais bien entretenue, coupée ras. Ses fesses ont l’air ferme, bien bombées. J’en ai assez vu, je me mets au lit très énervé en me disant que je me suis déjà fait un bon plaisir. Je bande allégrement, je me serais bien masturbé mais ça n’est pas vraiment le moment.
Elle sort enfin de la salle de bain, tshirt et shorty en coton moulant, rien d’ostentatoire mais le tissu lui colle à la peau mettant ses formes en relief, sa vulve plus particulièrement que j’imagine charnue et charmante. Le souvenir récent de son corps nu la rend désirable comme jamais auparavant.
On chahute un peu, on rigole, je sens qu’elle est toute heureuse et excitée d’être dans ce grand lit avec son cousin. Je vois bien qu’elle n’a pas envie de dormi, comme si on faisait une soirée pyjamas. Oui mais moi je bosse demain. J’éteins la veilleuse et on se fait un bisou.
J’ai beaucoup de mal à trouver le sommeil, normal, ce que j’ai vu, me rend nerveux. Je finis par m’endormir péniblement.

Au milieu de la nuit, je suis réveillé par quelque chose. Je suis entre deux eaux, rêve ou réalité. Je ne me rends pas compte tout de suite. Je crois que Mylène est en train de me tripoter. Bien sûr elle fait ça en toute discrétion (enfin pas tant que ça !) de peur de me réveiller mais avec tout de même pas mal de culot. D’une main elle soulève la couette et de l’autre elle effleure mon sexe. Je dois avouer que la situation est très excitante car en général, c’est plutôt moi qui m’adonne à ce genre de jeu avec des fortunes diverses.
Je gigote un peu comme un spasme et instantanément sa main se retire. Je m’amuse.
Je la laisse revenir mais cette fois ci, il y a une différence de taille ; j’ai une belle érection dans mon caleçon en coton et je me fais maintenant palper puis très lentement branlé par-dessus le tissu. J’adore ça. Naïvement ou pas, elle pense que je dors encore si bien que lorsque je m’apprête à lui rendre la pareille, marche arrière toute ; elle fait la morte.
Je commence à passe la main sur son shorty, légères caresses. Si elle ne comprend pas avec ça, c’est qu’elle est vraiment stupide. Ces jambes sont serrées comme une protection contre mon assaut mais au fur à mesure je sens son corps se relâcher. Après quelques instants, le tissu devient plus chaud, plus moite. Comme elle ne réagit pas vraiment, je prends sa main et la pose sur mon sexe.
Nous nous trouvons tous les deux sur le dos à nous prodiguer des caresses qui vont au-delà de l’affection. C’est très bon et la situation m’excite de plus en plus.
Je passe la main sous son tshirt pour palper enfin ses seins. Ils sont plus fermes qu’ils n’y paraissent. Je les presse, les caresse et m’amuse avec leurs pointes que je frôle pour les faire réagir. Frissons, chair de poule. Son corps se tend tandis que le bout de ma langue les titille ou les aspire.
Je vois à peine son visage dans la pénombre mais je constate que ses yeux sont fermés et qu’elle semble apprécier mes attentions. Elle est abandonnée et me laisse faire. Elle est devenue ma « chose ».
J’aimerais beaucoup baiser sa jolie bouche ; je me dis que c’est peut-être un peu extrême.
Quoiqu’il en soit, je comprends très vite qu’il ne s’agit pas d’une première expérience pour elle.
La main désormais profondément enfoncée dans son shorty, je caresse sa toison et sa fente. Elle mouille abondement. Comme je l’avais pressenti, son sexe est charnu et ses petites lèvres proéminentes. Elle commence à respirer très fort et se fait plus énergique sur les va et vient qu’elle me prodigue. J’enfonce un doigt puis deux dans son minou qui me semble être un gouffre, j’ai la sensation que son sexe se dilate encore. Je porte mes doigts à la bouche et me délecte de son jus. Il est odorant, très odorant même ; elle en doit pas être super clean mais peu importe j’adore cette odeur de femme. Je décide de lui faire goûter à son tour. Les doigts dans sa bouche sont léchés et nettoyés. Belle coquine finalement. Je n’en peux plus il faut que je la prenne.

Je la fais pivoter en chien de fusil et entreprends de baisser son bas découvrant ainsi sous ma main ses bonnes fesses bien rebondies. Je les caresse, les écarte et glisse à nouveau mes doigts dans son con devenu plus qu’hospitalier.
Je frotte ma queue tendue le long de sa fente, m’amusant à de buter sur son clito ; vraiment je me régale. Enfin je la pénètre profondément, le plus profondément possible et j’agrippe un de ses seins. Je me la joue tendre avant de la pilonner comme il se doit. Agrippé à sa hanche, je frappe puissamment son cul à chaque va et vient, relevant d’une main sa fesse pour me planter plus loin encore en elle. J’aimerais qu’elle vienne avant que je l’inonde.
Un de mes doigts caresse sa rondelle mais l’effet est immédiat : fesses serrées, la guillotine.
Après quelques instants, je jouis sur son cul et dans les draps.
Je reste là à côté d’elle, lui caressant le ventre, aucun mot n’est échangé. Je sens qu’elle veut se faire câliner, oups.
Après que le feu se soit éteint, des idées plus terre à terre vous viennent en tête.
Je viens de sauter ma petite cousine, certes consentante mais ça n’est peut-être pas sans conséquence. Je ne pense jamais à tout ça quand une femme s’occupe de moi ; carpe diem.
Le lendemain matin est des plus étranges. Nous aurions pu recommencer malgré la lumière aveuglante qui inonde la chambre mais j’opte pour le naturel comme si il ne s’était rien passé, comme si nous en avions rêvé. Je vois bien que Mylène est perturbée. Elle imaginait peut-être que je deviendrais son « petit copain » bien que je ne sois pas célibataire et même si je l’étais ; me le fera-t-elle payer ?
En guise d’au revoir quand elle quitte l’appart, je lui claque la bise sur le pallier ce qui est en dit long sur mon état d’esprit. Elle reste un peu interdite puis s’éloigne.
Je n’ai eu aucune nouvelle par la suite et nous avons repris le cours normal de nos existences. Il est vrai que les repas de famille ou autres cousinades n’avaient pas la même saveur pour moi. Au début stressé, avec le temps je garde le souvenir de son corps et je me dis que j’y goûterais bien à nouveau presque 15 ans plus tard.

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