QUI L'EUT CRU X LENDEMAIN DE FETE ET LA FETE CONTINUE

- Par l'auteur HDS GALONA BIS -
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Auteur homme.
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Récit libertin : QUI L'EUT CRU X LENDEMAIN DE FETE ET LA FETE CONTINUE Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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QUI L'EUT CRU X LENDEMAIN DE FETE ET LA FETE CONTINUE
LENDEMAIN DE FETEVendredi 26 Décembre 2014 17 heures
- Vous pouvez entrer en cabine Madame DUVAL, j'arrive tout de suite, dit la jeune femme.

Françoise rouge comme une pivoine s'avance d'un pas hésitant.
Elle aurait préféré tomber sur une esthéticienne plus âgée, celle-ci a tout juste vingt ans, d'après son badge, elle s'appelle Jessica.
Rien ne lui sera décidément épargné aujourd'hui.
Jusqu'où va-t-elle suivre Stéphane dans cette surenchère, va-t-elle continuer à tout accepter ainsi ?

- Vous pouvez vous déshabiller et vous installer madame.

Françoise enlève ses bottines et ôte son pantalon noir.
Elle porte une culotte beige en coton toute simple, juste agrémentée d'un petit nœud noir sur le devant.

- Eh...je dois enlever aussi....
- Oui madame, pour l'intégral vous ne pouvez pas garder votre slip.

Françoise ne peut s'empêcher de penser qu'elle n'aurait jamais pu aller pour ça chez Nathalie, son esthéticienne habituelle.
Elle y va deux fois par an pour des soins de visage et l'été elle se fait toujours épiler une ou deux fois le maillot, elle fait juste enlever ce qui dépasse de la culotte.

Les enfants insistent parfois pour qu'elle se baigne avec eux à la piscine et elle ne peut toujours refuser.
Comme beaucoup de brunes, sa toison est plutôt fournie et a tendance à s'étaler à l'entrejambe et même à remonter un peu trop haut sur le bas ventre.
Une fois, que son épilation n'était pas faite, elle a surpris le regard d'Antoine, c'était un regard de mâle, elle s'en souvient encore, elle était très mal à l'aise et ...un peu troublée aussi, elle doit le reconnaître.
Depuis elle veille à être impeccable pour l'été.

- il y a un salon esthétique rue Victor Hugo, ils ne doivent pas avoir trop de monde aujourd'hui, je veux que tu te fasses faire le maillot intégral.

Ce sont les derniers mots de Stéphane prononcés en sortant du magasin de lingerie avant qu'il ne la plante sur place pour rejoindre sa voiture.

Et elle se retrouve maintenant installée sur cette table, pendant qu'une gamine s'occupe de sa toison intime.

Tout a commencé ce matin. Alors qu'elle prenait son petit déjeuner avec Alexandra en s'apprêtant à passer une journée tranquille à la maison, elle a reçu un texto de Stéphane, lui demandant de le retrouver dans une heure dans un parking souterrain du centre ville et de prétexter un appel de son travail.

Elle avait passé une bonne partie de la nuit à attendre sa visite qui n'est jamais venue malgré les deux invitations qu'elle avait fini par lui envoyer par texto, bravant tous les risques.
Après maintes hésitations, elle s'est résigné à se caresser la chatte pour apaiser l'incendie qui la consumait une nouvelle fois.
Alors, autant dire qu'elle n'a pas hésité une seconde malgré la culpabilité ressentie d'abandonner sa famille plusieurs heures pour rejoindre son amant.

Une heure plus tard, elle ne se faisait pas prier pour le sucer dans la C3 garée dans le sous sol de ce parking.
Malgré la hantise d'être découverte par un passant un peu trop curieux ou un agent de sécurité zélé, c'est presque avec gourmandise qu'elle l'a embouché en suivant bien ses instructions, titillant le gland ou faisant glisser le vit sur sa langue jusqu'à l'entrée de sa gorge.
Et c'est sans la moindre retenue qu'elle a avalé chaque giclée de foutre s'efforçant de ne rien laisser perdre avant de nettoyer méticuleusement de sa langue, la moindre parcelle de queue.

Et quelle ne fut pas sa joie, lorsqu'il lui annonça qu'ils passeraient le réveillon de la Saint Sylvestre ensemble avec quelques uns de ses amis.
Aussi, c'est le cœur léger qu'elle accepta de le suivre dans les boutiques pour acheter une tenue et d'autres vêtements plus à son goût, au risque de rencontrer une connaissance.
Ce soir, elle doit en être à mille cinq cents ou deux mille euros d'achats.
Si cette somme ne la dérange pas outre mesure, bien qu'elle ne soit pas habituée à dépenser inconsidérément, elle est surtout déstabilisée par sa journée.

« Tu es une femme très attirante Françoise, je veux que tu sois sexy, que tu fasses bander les hommes que tu rencontres, c'est très important pour moi »
Osera-t-elle porter pour le réveillon cette robe bordeaux assez courte avec des chaussures à talon ?
Elle appréhende, pourtant l’idée de le faire l’excite déjà !

Va-t-il lui demander de porter au travail les autres vêtements qu'il lui a fait acheter ?
Les deux jupes sont assez courtes, l’une est en cuir tout comme le pantalon moulant, que vont penser les collègues, devra-t-elle aussi porter les strings, elle n'en a jamais mis, et le porte-jarretelle, la seule fois qu'elle en a mis un, c'était le jour de son mariage !

Qu’attend-il d’elle exactement ?
Il commence à se montrer exigeant, elle a comme l’impression qu'il voudra qu'elle fasse toujours plus, qu'il voudra l'amener vers des chemins plus scabreux, le plus incroyable c'est que cela ne la choque même pas, tout au plus éprouve-t-elle un peu de crainte.
« Faire bander des hommes », ces paroles raisonnent en boucle dans sa tête depuis ce matin.
En son for intérieur, elle découvre qu’elle en a peut-être toujours eu envie, une envie inavouable depuis que jeune adolescente elle a perçu les regards des hommes pleins de convoitise sur son corps de jolie brune, une envie profondément enfouie au plus profond de sa conscience et que Stéphane a su libérer.


- Aah !

L'esthéticienne vient de tirer sur la première bande de cire.





LA FETE N'EST PAS FINIESamedi 27 décembre 2014 1 h

Alexandra termine la correction de la dernière copie, elle est agacée, le devoir de maths qu'elle a donné à ses élèves de terminale S la veille des vacances n'a pas été très bien réussi.
Le niveau général a tendance à baisser, elle trouve que l'éducation nationale est devenue trop laxiste, elle ne ménage pas sa peine car elle ne veut pas devenir une prof résignée comme il en existe tant mais elle aussi doit faire face parfois à des moments de découragement.

Elle aime travailler le soir lorsque le petit et Antoine sont couchés, elle est plus tranquille et peut être ainsi plus efficace mais ce soir il lui faut reconnaître qu'elle a un peu de mal à se concentrer.

Pensive, elle observe le grand séjour où elle est installée.
Elle a toujours aimé cette maison, elle s'y sent rassurée chaque fois qu'elle y séjourne, c'est la maison de son enfance.
Mais cette fois ci, avec la présence de cet homme, il en va un peu différemment.
Depuis hier, son image tourne en boucle dans ses pensées malgré tous ses efforts.

Elle a tout simplement envie de lui, elle ressent des papillons à travers tout le ventre, mais aussi un sentiment de malaise, car elle ne peut toujours pas s'empêcher de penser qu'il y a peut-être quelque chose entre cet homme et Françoise.
Elle aurait voulu passer du temps avec sa mère aujourd'hui, lui poser quelques questions, peut-être aurait-elle fini par apprendre quelque chose ou tout simplement aurait-elle été rassurée.
Mais Françoise a dû partir pour son bureau en début de matinée pour un problème urgent, décidément on ne respecte plus beaucoup la vie privée des employés de nos jours, pense-t-elle.

Elle a seulement téléphoné en fin de matinée, pour lui demander de bien vouloir préparer le repas, elle a parlé d'un problème informatique, elle en avait encore pour l'après midi.
Elle ne sait trop pourquoi mais elle a trouvé sa voix un peu bizarre.
Elle a l’impression qu’elle n’est pas comme d’habitude.
Puis cette nouvelle couleur, qu’est ce qui lui a pris, elle a toujours été brune, comme elle, cela ne lui ressemble pas du tout, et pourquoi changer maintenant ?
Est ce pour plaire à cet homme ?
Elle n'en démord plus, il se passe quelque chose.

En même temps, les images de son rêve de la veille ont encore assailli son esprit toute la journée, la laissant partagée entre un sentiment d'agacement, de culpabilité et toujours cette envie irrépressible pour cet homme.

Elle a bien entendu des sentiments très forts pour Antoine, c’est l’homme de sa vie, elle n’a aucun doute à ce sujet, un homme sérieux sur lequel elle sait pouvoir compter en toutes circonstances, toujours aux petits soins pour elle mais cela ne suffit pas à annihiler cette attirance qui bafoue la raison, les principes, les tabous.

Alexandra ne veut surtout pas céder à ses pulsions, c'est sûrement pour cette raison que ce matin après le départ de sa mère, elle est allée rejoindre Antoine au lit.
Le pauvre se demandait ce qui lui arrivait, car ce n'est pas tous les jours que son épouse vient lui caresser la queue au réveil.
Il a même eu droit à une fellation ce qu’à son grand regret, elle ne lui accorde que très rarement.
Alexandra a pu mesurer à ses gémissements combien son initiative était appréciée surtout lorsqu'elle lui a caressé les couilles en même temps.
C'était la première fois qu'elle s’autorisait cette caresse que lui réclamait souvent Bernard, c’est revenu tout naturellement.
Elle n’a pas osé aller plus loin et ils ont terminé bien gentiment dans la position du missionnaire alors qu’elle fermait les yeux en imaginant que Stéphane la baisait !
Elle entend encore les paroles prononcées par Antoine alors qu’il éjaculait dans sa chatte :- Ah ! je t’aime ma chérie, je t’aime tant ! !

Elle ne se sent pas fière, cela fait maintenant deux mois qu’elle a arrêté la pilule, ils veulent un deuxième enfant.
Elle fait un rapide calcul, elle est en pleine ovulation, son visage s’empourpre, ils ont peut-être conçu un enfant alors qu'elle pensait à un autre, elle se trouve lamentable.


Alexandra éprouve un sentiment de dégoût, elle se lève et se dirige vers la cuisine, sa bouche est sèche, il lui faut un verre d’eau.
Elle s’arrête un instant dans la pénombre devant la porte close de la chambre occupée par Stéphane, le fait de se dire qu’il est là, à seulement quelques mètres derrière cette porte, son ventre se noue encore, son sexe devient humide, comme par réflexe elle serre les cuisses.
Elle l’imagine couché, peut-être que lui aussi pense à elle, elle a bien vu certains de ses regards aujourd’hui encore, ou alors peut-être pense-t-il à sa mère ?
Un puissant sentiment de jalousie l’envahit.
Qui sait, peut-être qu’il la baise tous les soirs ? Après tout, ils sont seuls dans cette maison, ils peuvent faire tout ce qu’ils veulent.
Tout se bouscule dans sa tête, Est-ce qu’elle le suce ?
Les hommes aiment ça, pour sa part elle a sucé les quatre hommes avec lesquels elle a couché, Bernard, le petit ami qu’elle a connu à Paris avant son mari, le martiniquais et Antoine.

Alexandra se dirige vers la cuisine.

Stéphane ne dort pas, il sait qu’Alexandra corrige des copies en bas.
Il sait qu’elle ne l’apprécie pas mais en même temps il a comme l’impression qu’il ne lui est pas indifférent, il a toujours eu un sixième sens pour ces choses et il se trompe rarement.
Il devine un certain tempérament chez elle, et le mari, s’il est sympa, ne lui semble pas à la hauteur.
Elle lui plaît de plus en plus, mais la situation est assez complexe.
Le fait qu’elle soit la fille de Françoise ne le gêne pas, au contraire il trouve excitante l'idée de s’envoyer la mère et la fille, cela ne lui est jamais arrivé, mais le souci est qu’il ne peut se permettre le moindre impair, il perdrait alors tout ce qu’il a patiemment construit ces dernières semaines et qui lui offre des perspectives matérielles et sexuelles intéressantes.

En même temps, Françoise le surprend de jour en jour, elle répond à toutes ses attentes avec une facilité et une docilité qu'il n'avait pas osé espérer.
Il a comme l'impression qu'elle n'attendait que lui pour se libérer sexuellement et il est quasi certain qu'il peut aller très loin avec elle, comme cette journée peut lui laisser espérer.

Il ne se lasse pas de relire son dernier texto envoyé il y a à peine une heure :
« je suis épilée pour toi mon amour, j'ai mis les dessous sexy, viens-tu me retrouver cette nuit ? »
Stéphane se lève et quitte sa chambre.


- Vous ne trouvez pas le sommeil vous aussi ? Demande Stéphane à voix basse.
- Décidément, il devient difficile de ne pas vous rencontrer dans cette maison... et vous pourriez avoir la décence de ne pas vous promener en caleçon chez ma mère, vous n'êtes pas chez vous je vous rappelle !

Stéphane observe Alexandra debout dans la cuisine, elle porte le jean et le pull blanc torsadé qu'il lui a vu toute la journée, il la trouve magnifique ainsi.

- Vous ne m'appréciez pas beaucoup j'ai l'impression.
- Ce n'est pas qu'une impression...vous faites quoi avec ma mère au juste ?
- Vous n'avez qu'à lui poser la question.
- Elle n'a pas besoin d'un homme comme vous.
- Qu'en savez-vous Alexandra des besoins de votre mère, et les vôtres de besoins, quels sont-ils ?
- Salaud !

Stéphane in extremis, bloque la main d'Alexandra, juste avant que la magistrale claque qu'elle s'apprêtait à lui asséner ne l'atteigne.
Il ne calcule plus, son instinct de mâle prend le dessus, ses lèvres s'écrasent sur celles d'Alexandra qui tente de lui résister.

- Je sais que tu me veux petite salope, ce n'est pas la peine de te voiler la face, tu es exactement comme ta mère, tu as besoin qu'un vrai mec s'occupe de toi, caresses ma queue, je suis sûr que tu en meurs d'envie, dit-il en amenant sa main qui résiste sur son entrejambe.
- Espèce d'ordure.
- Vas y, cries, appelles ton mari si tu veux, dans trente secondes il est ici.
-Salaud chuchote-t-elle cessant toute résistance en abandonnant soudain sa main que Stéphane s'empresse d'enfiler dans son caleçon.
- Tu sens comme je suis déjà dur, je vais la mettre dans ta petite chatte de gentille maman et tu vas en redemander, crois-moi, je les connais les salopes de ton espèce.
-Je te déteste.
- C'est ça oui, en attendant branles moi, prépares ma queue ....voila oui !


Stéphane à son tour porte sa main à l'entrejambe d'Alexandra par dessus le jean.
- hum !
- Voyez vous ça, madame Pet Sec a le minou tout sensible.
- humm !
Il défait avec dextérité le bouton en métal argenté du jean et baisse le zip de la braguette, il aperçoit une culotte blanche, sa main s'insinue sous le sous vêtement, glisse sur la fine toison qu'il devine entretenue, ses doigts rencontrent le clitoris très gros qui darde à l'extérieur de son capuchon provoquant chez Alexandra comme des petites décharges électriques, deux doigts descendent entre les lèvres intimes desquelles s'écoule un flot de mouille.
- Humm !


- File dans mon plumard et surtout n'oublie pas de te mettre à poil, je te rejoins !




Alexandra se demande ce qu'elle fait dans ce lit, sa raison lui dit de quitter cette chambre, mais une autre partie d'elle lui commande d'attendre, en dépit des risques, de toutes les conséquences, de la perversité de cette situation.
Elle a bien entendu ses paroles, le doute n'est plus permis, il est l'amant de sa mère, elle est sous le choc, elle a l'impression que tout son monde s'écroule et pourtant elle est là, dans le lit de ce type, l'amant de sa mère et prête à s'offrir à lui comme une vulgaire pute, alors que toute sa famille dort à l'étage.
Et le comble, c'est qu'elle éprouve de l'excitation, elle a même rarement autant mouillé qu'en cet instant.

Personne ne lui a jamais parlé comme il a osé le faire, même pas Bernard son premier amant qui avait beaucoup d'ascendant sur elle, elle ne comprend même pas pourquoi elle ne s'est pas révoltée, au contraire elle lui a obéi sans réfléchir, cette facette de sa personnalité qu'elle découvre l'effraie et lui fait tellement honte.

Stéphane sûr de son affaire, vient de croquer tranquillement une pomme à la cuisine et rejoint la chambre.
Il s'approche du lit et tire le drap, il découvre Alexandra rougissante et totalement nue, qui le fusille du regard.
Ses seins sont petits comme il l'avait bien deviné, certainement un 85 A , elle a de petits tétons qui pointent fièrement, sa toison de brune entretenue forme un petit triangle régulier, il remarque une petite tâche de naissance marron foncé sur l'intérieur de la cuisse, un peu avant l'aine, presque la même que Françoise.

Il s'assoit au bord du lit, ses mains parcourent le corps frissonnant, le dos de sa main frôle à peine les poils pubiens, il perçoit malgré tout une certaine humidité, puis il remonte, fait rouler longuement chaque téton entre ses doigts, il perçoit les battements du cœur d'Alexandra qui accompagnent sa respiration forte.
Sa main redescend, il parcourt les cuisses fines et fermes, puis remonte, deux de ses doigts s'insinuent entre les lèvres humides qui font un bruit de succion.

- Humm !
- Regardes comme tu es excitée petite salope.
- Humm
Les doigts s'enfoncent sans difficulté dans la moule chaude et humide.
Il fait quelques allers-retours entrecoupés de caresses sur le clitoris, la mouille s'écoule abondamment de la fente.

- Humm ! Aah !
- Je croirais entendre ta mère, vous faites le même bruit quand ça vous fait du bien.
- Non !
- Chut, j'aurais du me douter que tu aimais la bite comme elle.
- Arrêtes ça salaud....Hummmm !
- C'est la première fois que tu trompes ton mari ?
- Qu'est ce que ça peut te faire !
- C'est la première fois ?
- HUMMM ...Ouiii !
- En tout cas, ça te fait sacrément mouiller de le faire cocu.
- Tu es ignoble.
- oui mais c'est ça qui te plaît ! Allez assez perdu de temps, à genoux et suces moi la bite à présent.
….................................................................................................................
Comme si elle était dans un état second, Alexandra se lève et s'agenouille docilement entre les jambes de Stéphane.
Elle tire sur l'élastique de son caleçon pour faire apparaître le vit en érection qu'elle prend dans sa main pour le branler doucement.
Stéphane se soulève pour ôter complètement son sous vêtement.
- allez je veux sentir le bout de ta langue sur mon gland....voilà ma belle et caresse-moi les boules en même temps.
Alexandra ne peut s'empêcher de ressentir une forte excitation à s'occuper ainsi de la queue de ce mec qu'elle a désiré dès le premier instant où elle l'a vu.
Sans plus réfléchir, elle se met à pomper la colonne de chair comme elle le faisait jadis avec la queue de Bernard ou de Denis, son amant noir qui l'a comblé sexuellement durant deux années.
- Humm j'adore, mais c'est ta chatte que je veux.
- aller, allonge-toi sur le lit, on va baiser maintenant.
- Attends ! Tu mets pas un préservatif ?
- Pas la peine, je baise avec une femme saine depuis mon dernier test, aller écartes les cuisses.
- Non, je ne prends pas la pilule.
- Ecoutes chérie, j'ai pas de temps à perdre, si tu veux pas, tu vas retrouver ton mari ! Dit-il en s'écartant.
- Non attend ! Tu me promets que tu feras attention.
- Mais oui t'inquiète !
Stéphane se positionne sur Alexandra et guide d'une main sa bite vers la moule de la jeune mère de famille.
Sans aucune difficulté la queue glisse jusqu'à la garde dans le fourreau parfaitement lubrifié, son corps se trouve comme emboîté dans celui de la jeune femme.
- AH ! Qu'est que tu es bonne ma puce !
- Humm oh oui !.....
Stéphane en appui sur ses bras, se met à pilonner Alexandra qui verrouille machinalement ses jambes dans son dos .
- Ah ! Ah ! Tu aimes ça hein te faire tringler.
- Oh oui, vas-y, t'arrêtes pas, prends-moi, défonce-moi.

Stéphane n'en peut plus, son vit n'en finit plus d'aller venir entre les chairs de la jeune femme qui s'agrippe à lui.
La coquine a déjà joui une première fois, il a du mettre sa main sur sa bouche pour que toute la maison ne soit pas alertée, et comme Françoise lui a fait une pipe ce matin, il est bien parti pour l'amener une deuxième fois au nirvana.

********************************************************************************Françoise s'observe debout devant la glace de l'armoire. Elle a baissé son string noir et ne parvient pas à détacher ses yeux de sa fente glabre.
La peau est encore un peu rouge malgré le baume apaisant de l'esthéticienne.
C'est la première fois qu'elle voit son sexe ainsi, elle touche ses lèvres, c'est doux, elle trouve la sensation fort agréable.
Elle qui a toujours été très pudique, se souvient du trouble qui fut le sien, passées les premières minutes de gêne, lorsqu'elle s'est aperçue qu'en fin de compte elle ressentait un certain plaisir en exposant son intimité à cette jeune esthéticienne et son visage s'empourpre, lorsqu'elle pense à l'instant où elle a eu envie que ses doigts viennent la fouiller.

Elle se dit qu'il faut qu'elle soit sérieusement perturbée en ce moment pour avoir ce genre de pensées.
Françoise n'a jamais été attirée par les femmes.
Pourtant elle s'est carrément sentie excitée lorsque la jeune fille l'a faite mettre sur le côté pour lui épiler la raie des fesses.
Un sentiment de honte l'envahit, elle réalise que ça lui plaisait qu'elle voit son trou du cul!

Elle remonte le sous-vêtement minimaliste, ce n'est pas très confortable, elle a du mal à s'habituer.
Elle entend encore les paroles chuchotées par Stéphane dans le magasin de lingerie alors qu'elle essayait cet article.

- J'aimerais t'enculer ma chérie.

Elle n'a pas su quoi lui répondre.

Même si elle est un peu gênée, elle apprécie les caresses qu’il lui fait de temps en temps à l’anus, elle s’est même une ou deux fois laissée un peu doigter, il a enfoncé à peine une phalange.
Pour autant, est-elle capable de recevoir son vit ?

Elle éprouve énormément de plaisir lorsqu'il la pénètre, elle aime avoir son sexe en elle, en y réfléchissant elle réalise que l'idée d'avoir sa queue dans le cul ne la rebute pas tant que ça, mais il est assez bien monté et la douleur l'effraie.

Personne ne l’a jamais touché à cet endroit.

Ses yeux se portent sur la photo de Jean-Pierre qu'elle a remis sur la commode à l'occasion de la venue d'Alexandra.

- Toi aussi tu avais peut-être envie de m'enculer ? ….Pourquoi tu aurais été différent après tout ? Pourquoi tu ne m’as pas demandé ?


Elle examine maintenant les dim-up noirs transparents qu'elle a choisis.
Elle en mettait parfois autrefois pour les grandes occasions avant qu'elle ne forcisse des cuisses aux alentours de la cinquantaine.
Elle retrouve ce petit bourrelet disgracieux au-dessus de la jarretière qui avait fini par la dissuader.
Mais peu importe aujourd'hui, puisque Stéphane lui demande de porter des bas.

Il est bientôt deux heures du matin, il ne viendra sûrement pas cette nuit.
Elle sait que c'est mieux ainsi sinon Alexandra et Antoine vont forcément finir par s'apercevoir de quelque chose, pourtant elle lui a quand même envoyé un texto vers 23 heures l'invitant à la rejoindre tellement elle avait envie de se faire prendre.
Alexandra travaille toujours en bas, elle ne l'a pas entendu remonter, elle devait avoir beaucoup à faire, elle devrait être plus raisonnable, elle travaille trop !
Elle a plus que jamais hâte d'être à dimanche pour se retrouver seule avec Stéphane lorsqu'ils seront enfin partis !
Ils doivent passer les fêtes du nouvel an chez les parents d’Antoine.
Elle n'est pas très fière d'avoir ces pensées là, mais c'est plus fort que tout.
Stéphane l'obsède nuit et jour, elle ne parvient plus à se concentrer, tout la ramène vers lui, comme s'il était le seul qui comptait désormais.
Elle regarde une nouvelle fois sa montre, l'aiguille a à peine bougé depuis tout à l'heure, non, il ne viendra plus.
Elle n'a peut-être jamais autant eu envie d'être pénétrée qu'en cet instant.
- OH Stéphane pourquoi n'est tu pas venu, j'ai tellement envie ta queue chéri !
Ses yeux se portent sur sa magnifique coiffeuse style louis XVI que Jean-Pierre lui avait offerte pour ses cinquante ans.
**********************************************************************- han !
- Humm oui encore .!

Dans la chambre d'amis, Stéphane fait jouir Alexandra pour la deuxième fois, il a l'impression que les parois vaginales de la jeune femme se contractent sur son membre, la sensation est exquise, il ne va pas tenir plus longtemps.
- Ah je vais venir!
- oui moi aussi, ahhhh !!
- Aaaaaah ! ! ! !
- Oh mon Dieu, tu as joui en moi !


- hummmm !
Allongée jambes écartées sur son lit, Françoise DUVAL, toute honte bue, se fait jouir avec le manche de sa brosse à cheveux qui va et vient entre ses lèvres intimes.

A suivre

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