Vélo camping

- Par l'auteur HDS Jack Shepherd -
Auteur homme.
  • • 1 récit publié.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.0
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Récit libertin : Vélo camping Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

Couleur du fond :
Vélo camping
Je mettais disputé avec ma copine du moment à savoir si elle venait ou non avec moi en voyage de vélo camping. Finalement je suis parti seul et je n'ai pas regretté.
Je suis jeune, et pas tellement musclé mais élancé et avec de bonnes jambes. Un corp de cycliste. Cela faisait déjà trois jours que je roulais et j'avais épuisée mes réserves d'eau et de nourriture du à un départ désorganisé. Sur une longue route en campagne, dépassé depuis un bout la dernière ville, ne sachant pas à combien de temps était la prochaine. Je me suis arrêté par forfait sur le bord de cette route, très peu fréquenté, pour me reposer. La fatigue m'embrouillais la tête et je ne pensais plus clairement. Bref, je me sentais désespérée.
Je vis au loin une vieille camionette s'approcher et puis ralentir. Il y avait deux vieux hommes qui semblait être des cultivateur du coin. Ils s'arrêtent sur l'accotement et descendire de leurs camionette. Ils étaient sal et bâtis comme des boeufs, une tête au moins de plus que moi. Leurs bras avait la grosseur de mes jambes et leurs paux avait lair d'être usé par le soleil du à de longue journée de travail. Le conducteur me regarda des pieds à la tête. Ils ne devait pas avoir l'habitude de voir des cyclistes. J'étais vêtu d'un dossard moulant et de petites short, aussi moulante, qui laissait toujours voir la bosse entre mes jambes. Je suis devenu rouge je me sentais nu devant ses deux fermiers. Ils dit.
- ta l'air crevé pti gars. Tu ferais mieux de venir passer la nuit sur ma propriété y'a rien à des kilomètres.
Sur le coup j'ai eu peur, les deux semblait si autoritaire du regard, mais j'avais faim et soif, surtout, j'étais désemparée de fatigue.
-si ça vous dérange pas, oui j'aimerais bien pouvoir piquer ma tente quelque part et y'a rien iciLes deux avait l'air satisfait de ma réponse, le passager dit.
-on va pouvoir t'organisé quelque chose.
Et ils me fis un clin d'œil avec un léger sourire. Ils prirent mon vélo et mes bagages et les mirent dans la boîte de la camionnette sans que je dise un mot. Le conducteur s'assi au volant et le passager ouvri la porte passager et me fis signe d'entrée avec un sourire qui me troubla. J'us un recul à savoir dans quoi je m'ambarquais, mais l'épuisement eu encore raison de moi et je me glissa dans cette petite camionnette qui n'était pas vraiment fais pour trois passager.
Aussitôt assi sur la banquette je compris que je devais me mettre au milieu de c'est deux énormes individu que je ne connaissais pas du tout. Lorsque le passager embarqua je fus coincé entre eux avec à peine d'espace pour bouger les bras. Je fus obligé d'enjamber le bras de vitesse et d'avoir les jambes écartées, collée sur les leurs. Le conducteur enclenchis la première vitesse et me frôla l'entre jambe.
-en passant pti gars, moi c'est Luc et lui c'est MarcDit le conducteur me frôlent l'entre jambe à chaque vitesse qu'il prenait. Marc me fit un signe de salut avec la tête et me sourit étrangement encore.
- moi c'est Jack. Merci beaucoup de m'éberger c'est gentil.
Marc - ça fait plaisir pti, dit tu ne porte pas grand chose, tu doit pas être gêné toi!
Luc - ouai avec ça on voit tous ton équipement!
Les deux s'esclafirent de rire gras, moi j'étais extrêmement mal à l'aise.
- ça va mieux pour faire du vélo. Que j'ai dit. Les deux portèrent des regards sur moi et je me senti encore nu et de plus, prisonnier entre ces deux colosses.
- c'est à croire qu'il aime qu'on le regarde ce pti là Je ne savais pas quoi dire, je me sentais si vulnérable, surtout pris entre eux avec le bras de vitesse entre les jambes. Luc passa à la quatrième vitesse, se qui renlentis la vitesse de la camionnette. Il ne semblait pas pressé d'arriver. Mais se qui retenais complètement mon attention c'est qu'il gardait sa main sur le bras de vitesse. Sa main touchait légèrement mon membre et la vibration du bras de vitesse me vibrait la queue. Je n'osais pas rien dire, j'avais peur de créer un problème. Je bouillais de malaise et la vibration commençai à me stimuler, soudain Marc dit en rient.
- sa va pti gars? Ta le sang qui te monte au visage!
- regarde ça Marc! Y'a pas juste au visage que son sang monte!
Évidemment ils avaient remarqué que je bandais au cause de mes petite short de vélo. J'étais bouche-bée. Je ne savais pas où me mettre.
Luc lâcha le bras de vitesse et mis ça main sur mon membre en érection! Il me massait doucement sans me demander mon avis.
- c'est bien dur là dessous! Touche ça Marc.
Luc lâcha mon sexe et aussitôt Marc le saisie et le frota. Ils ne me fessaient pas mal ni un ni l'autre et devenait plus insistant. Je devais m'avouer impuissant, mais aussi que j'éprouvais beaucoup de plaisir à cette situation ou j'étais forcé de me soumettre. Luc dit- ta plus besoin de tes petites short pti gars enleve lès.
Encore une fois de façon si autoritaire que s'en trop y penser je me tordais pour retirer mes short que Marc s'empara sans me le demander. Ensuite Luc me dit de plier les genoux et de mettre mes pieds sur la banquette entre leurs jambes. J'avais l'impression d'avancer dans le noir les yeux bandés. Je m'éxecutais sans rien dire tétanisé et exité. Une fois les jambes écartées, genoux pilés et les pieds entre leurs jambes. J'avais la queue, les couilles et le cul parfaitement exposé. Et la, ils n'étaient plus doux avec moi, ils me masturbaient violement, me petrissaient les couilles et me frottaient l'anus énergétiquement. J'étais submergé de sensations, comme témoin de se qu'ils afligeaient à mes partis intime. Comme si mon corp leurs appartenaient, ils s'échangeait mon sexe et mes couilles et ils devenaient de plus en plus insistant sur mon anus. Leurs grosses mains me parcourrait les partis, me salissant tout l'entre jambe avec leurs saleté accumulé de leur journée de travail.
- t'aime ça pti gars te faire branlé!
- oui c'est sur sa queue est dure comme de la roche. On va jouer avec toi autant qu'on veut!
Me faire parler comme ça me fessaient peur et m'exitait à la fois. Je réalisa que j'étais devenu leurs catin, leurs jouet. Au loins on voyait un gros camion de transport qui roulait en sens inverse. Ju un mouvement de repli, mais les deux me tenait les jambes. Luc dit- bouge pas le pti- oui après tout t'aime ça montrer ta queue!
Luc ralenti la camionnette et Marc sortie sa main et fie des salut au chauffeur du camion qui ralentit lui aussi. Luc saisie ma queue et la bougeait de droite à gauche, comme on salut quelqu'un. Vus que le camionneur est plus haut, ils à une vue imprenable sur mon exhibition. Quand le chauffeur me vis il avait la bouche et le yeux grand ouvert! Moi je n'étais plus qu'un témoin, car je les laissaient utiliser mon corp comme ils le souhaitaient. Luc tourna dans le prochain rang. Ils continuait de me salir en jouent avec moi comme ils voulaient. Soudainement, Marc introduit violement sont majeurs dans mon cul et le remuait frénétiquement. Jamais je n'avais introduit quelques chose dans mon cul à là d'un seul coup je me retrouvais avec un doigt presque aussi gros que mon pénis qui remuait et me fessaient découvrir de nouvelles sensations. Je n'en pouvais plus. J'étais sur le point de jouir quand Luc tourna dans la cour d'une petite maison. Marc descendis toute en me tirant par l'anus avec son doigts toujours bien enfoncé en moi. Une fois sorti ils me retira mon jerser d'une main le jeta dans la camionnette. Marc dit- à tous à l'heure Et Luc partie avec la camionnette, où se trouvait toutes mes bagages et vêtements. Je me retrouvais dans la cours d'une maison que je ne connaissais pas, complètement nu et avec un inconnu qui avaient sont majeurs enfoncé profondément dans mon anus. Je ne comprenais ma trop comment je m'étais retrouvé dans une telle situation. Marc se mis à marcher, et naturellement, je suivais. Il alla sur le côté de la maison, retira son doigt et me pointa un tuyau d'arrosage.
- lave toi pti gars, je vais aller prendre une douche et faire à manger.
Et il rentra dans la maison. Je me mis à me rincer tous le corp en me disant que de toute façon je ne pouvais pas m'enfuir bien loin, sans vélo, sans bagage et surtout sans vêtement. Un flash me vient à l'esprit à savoir se que le reste de la journée me réservait.

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Texte coquin : Vélo camping
Histoire sexe : Une rose rouge
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