voyage en chine 1/3

- Par l'auteur HDS Mic79 -
Récit érotique écrit par Mic79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : voyage en chine 1/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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voyage en chine 1/3
Voyage en chine
Nous en rêvions depuis longtemps et enfin nous y sommes. Et si les visites s’enchainent et nous éblouissent (rien de plus beau que la muraille) c’est avec le guide que la surprise est arrivée.
Nous sommes un groupe de 10 personnes et je suis largement la plus jeune ; malgré mes 56 ans, mes formes attirent encore les hommes comme les femmes ; 1.65m, 58 kg, 95b de poitrine qui n’a pas besoin de soutien, ce qui fait que je ne porte que rarement un soutien-gorge, à moins qu’il soit très sexy ; si pour les visites, je suis en pantalon et chaudement vêtue (il fait souvent une température négative et même parfois la neige) le soir pour le repas, mon homme aime que je m’habille plus sexy et moi aussi , j’adore.
Pour cette soirée, nous sommes dans un hôtel assez classe et j’en profite pour mettre ma petite jupe portefeuille, un caraco blanc, avec en dessous un soutien sein, laissant les pointes très visibles sous le fin tissu. Mon arrivée ne passe pas inaperçue, tant pour le groupe que pour les chinois qui nous entourent ; il faut dire qu’ici les tenues sexy ne font pas recettes. Et les regards de notre guide qui mange avec nous (soirée canard laqué oblige) sont souvent posés sur ma poitrine ; cela m’amuse et je joue avec mes jambes, laissant parfois ma robe s’entrouvrir ; lorsque nous passons à table, il s’assoie à côté de moi, alors que mon homme se place de l’autre côté, et se penchant, il me glisse à l’oreille « ton voisin est très attiré, tu peux le chauffer » Il ne faut pas longtemps pour que nos genoux se touchent et il y réagit rapidement ; d’autant plus que le repas se trouve sur une table tournant, je me penche vers lui, sous prétexte de me servir et ma poitrine se frotte sur lui, faisant pointer un peu plus mes tétons. Même si j’ai envie de le provoquer un peu plus, je dois faire attention aux autres. Finalement le repas se termine et sous prétexte de ramasser sa serviette, sa main se pose sur ma cuisse, déclenchant un frisson de plaisir ; je pense qu’il a autant envie que moi ; une douce chaleur envahie mon ventre et me penchant vers jean, je lui avoue mon envie, ce qu’il avait déjà compris. Le groupe se disperse et nous nous rendons dans le salon ; le guide rode, mais n’ose pas venir, sans doute en raison de la présence de mon mari ; celui-ci me laisse alors et monte dans notre chambre. Assis en face de moi, son regard s’éclaire.
Assise dans un confortable fauteuil, je n’hésite pas à croiser et décroiser mes jambes et rapidement le portefeuille s’ouvre découvrant une partie de mes cuisses ; difficile d’en faire plus sans risque ; je repère alors un petit salon, beaucoup plus discret, et sous prétexte de me déchiffrer les boisons, je l’appelle ; quand il arrive, j’ai les jambes écartées et d’où il est , il peut sans aucun doute voir la ficelle de mon string et sans doute plus car je le sens rentré entre mes petites lèvres. S’asseyant face à moi, le regard fixé sur mon entrejambe, il ne sait plus quoi faire ; je le tente, mais aussi je suis une cliente ; et il faut que je lui prenne la main pour la poser sur ma cuisse ; il comprend enfin, et se posant à côté de moi, enfin il prend l’initiative.
Sa main glisse doucement sur ma cuisse et remonte vers mon entrejambe ; quand il atteint ma chatte, il peut constater mon envie car ma cyprine s’écoule entre mes lèvres et quand son doigt s’engage dans mon conduit, je ne peux retenir un petit cri. Apeuré, il se retire ; si moi, j’aime m’exhiber, il n’en ai pas de même pour lui, et la peur de se faire prendre, lui fait reprendre ses distances ; c’est à nouveau à moi d’assurer et prenant mon téléphone, devant lui j’appelle mon homme « je monterais un peu plus tard, je suis avec « jin » (équivalence sonore de son nom), et le prenant par la main « allons dans ta chambre » ; arrivés dans l’ascenseur, j’en profite pour l’embrasser fougueusement, baiser auquel il répond en me fourrageant avec sa langue ; ses mains prennent possession de mes seins et écartant les pans du caraco, il me tète la pointe d’un sein ; quand l’ascenseur s’arrête, j’ai la poitrine à l’air et c’est ainsi que je parcours le couloir ; être exhibée ainsi m’excite mais personne dans le couloir ; dommage. La porte de sa chambre à peine refermée, je me retrouve nue ; il a fait tomber ma jupe, arraché mon string ; seul mon soutien sein reste. Me poussant sur le lit, il me fouille la chatte ; je l’ai provoqué et je sens maintenant que c’est lui qui va me dominer ; deux , puis trois doigts me dilatent ; j’aime être fister et je me cambre pour mieux m’offrir à ses doigts ; l’effet est immédiat et il essaie maintenant de faire rentrer la totalité de sa main ; pleine de ma semence, ma chatte se dilate et brusquement sa main est tout en moi ; je ne peux retenir un cri de surprise ; ayant sans doute eu peur de me faire mal, il essaie de se retirer ; lui prenant le poignet , je l’encourage à continuer et quand il commence à me fourailler avec vigueur, ma première jouissance arrive l’inondant de mon jus, tellement puissant et important qu’il franchit les bords de mon vagin et qu’il s’écoule sur mes cuisses ; il ne s’arrête pas pour autant, et continue à me lister pour mon plus grand bonheur, Ses doigts titillant mon point sensible déclenchent une nouvelle jouissance d’autant plus que son autre main me triture la pointe des seins, ce que j’aime au plus haut point. Quand il se retire un gros floc accompagne sa sortie, la main pleine de cyprine. Anéantie par ses deux jouissances si rapprochées, il me laisse alanguie sur lit et rapidement, il se mets nu ; je découvre alors un sexe de belle taille, non par la longueur mais par l’épaisseur ; bandé, le gland décalotté, j’ai envie de le sucer, mais il ne l’entends pas ainsi ; me relevant les jambes, il positionne sa queue à l’entrée de mes lèvres et d’une seule poussée, il me prends complétement ; surprise et pourtant bien dilatée par le fist, je ne peux retenir un oh car son gland est venue du premier coup me frappe le fond de ma matrice et sans attendre , il commence à me pilonner, puissamment ; à chaque poussée ses couilles viennent percuter mon fessier ; agrippé à mes seins qu’il malmene, il me défonce se retirant parfois pour mieux me pourfendre aussitôt ; à chaque fois c’est le même ressenti ; ma jouissance déferle , et sa queue qui me laboure pendant un long moment, m’amène à un plaisir que je n’avais encore jamais ressenti ; offerte à sa queue, je m’offre sans retenue, l’encourageant à me posséder, sollicitant cette jouissance continue et profonde ; je me sens à lui, il me possède , je lui appartiens et il le sais ; son regard conquérant me transperce et quand sa queue est parcourue de tressautement , prélude de son éjaculation, je l’enserre entre mes jambes « vas-y remplie moi, donne-moi ton sperme, je suis à toi »Sa semence, chaude me remplit ; ses jets sont nombreux, puissants, déclenchant à nouveau une onde de plaisir ; toute à lui, j’écarte les cuisses pour que son jus me pénètre jusqu’au fond de ma matrice ;me retournant, il me place sur le bord du lit ; il n’a pas débandé et s’accrochant à mes hanches, son vit me possède à nouveau ; s’engouffrant dans ma chatte béante ; sa queue baigne dans son sperme et ma cyprine : à nouveau il me perfore, me claquant parfois les fesses ; il a compris que ce soir , je lui appartiens et il en profite ; il sait qu’il peut me prendre comme il le veut ; soudain se retirant, il vient frotter son gland sur ma rosette ; je comprends qu’il veut me sodomiser, mais si cela ne me gêne pas, ce soir, il ne m’a pas préparé et quand il essaie de me pénétrer, je rue, refusant sa possession ; m’agrippant les cheveux pour me faire cambrer, une grande claque, puissante , cuisante s’abat sur mon fessier ; surpris je relâche ma résistance et il en profite ; d’une puissance poussée, son gland me déchire l’anneau ; une violente douleur me transperce le corps, mais il n’en tient pas compte, bien au contraire, malgré mes cris, il s’enfonce profondément et il est soudain au fond de moi ; la douleur est forte . j’essaie de me libérer de son emprise, mais après un court arrêt, il commence à me pilonner ; son chibre se retire puis vient me défoncer à grand rythme , la queue graissée par les sécrétions qui sortent de mon col t qu’il éparpille sur sa tige ; possédée, sodomisée malgré mon refus, sa queue me défonce ; la douleur diminue, sa queue me prends de plus en plus vite ; c’est la première fois que je suis prise ainsi, malgré mon refus et pourtant je sens mon plaisir venir ; une vague monte dans mon ventre due à la fois à la sodomie mais aussi sans doute au fait que je suis totalement à sa merci, totalement offerte à son plaisir ; ce n’est plus le mien qui compte , mais le sien ; je veux qu’il profite de moi comme le veux et pour marquer ma soumission, j’écarte mes lobes pour lui offrir la vue de mon cul dilaté. Il a compris et ses propos, que je ne comprends pas, prouve son excitation ; pour moi plus de douleur, plus de refus, mais une totale soumission ; je l’encourage, m’offrant à lui sans retenue, jouissant plusieurs fois sous cette bite qui me sodomise, qui a pris possession de mon corps. Soudain avec ses mots en français écorché, il me dit « tu es à moi, belle cochonne, je te veux, tu restes avec moi, je vais te remplir » et s’arque boutant sur mes hanches, il jute pour la deuxième fois en moi.
Se retirant de mon cul, il me tend le téléphone « appelle ton mec et dis-lui que tu restes avec moi, que tu m’appartiens pendant tout le voyage » je lui obéis et quand jean décroche je lui annonce que je reste avec Jin pour la nuit et peut être plus.
Le reste de la nuit, il m’a pris plusieurs fois, toujours aussi performant ; ma chatte et mon cul ont été à chaque fois remplis et quand, tôt le matin, je suis remonté retrouver jean, c’est une femelle pleine de sperme qu’il a retrouvé ; il m’a encore fallu ouvrir les cuisses pour qu’il puisse y boire mon plaisir et celui de mon amant puis il m’a possédé doucement, avant que je m’endorme, épuisée, mais combléele lendemain, revenue de mon profond plaisir, plus lucide aussi sans doute, j’ai annoncé à jin que je ne le retrouverais pas le soir ; mais le séjour n’était terminé et cela m’a réservé d’autres aventures.

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