Titre de l'histoire érotique : TABLE DE SAPIN 5

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : TABLE DE SAPIN 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : TABLE DE SAPIN 5
Depuis quelque temps nous avions décidé avec Colette, pour pimenter notre relation d’aller faire nos cochonneries à l’extérieur. Dans les bois, tout proche de chez elle, pour être plus précis. Comme à chaque fois j’étais venu la chercher en voiture au pied de son portail. Deux kilomètres plus loin, je quittais la voie principale pour m’engager sur une départementale déserte. Des deux côtés de la route, les arbres défilaient. Colette à mes côtés, gardait le silence. Moi au volant, j’étais aux aguets pour repérer le chemin où je devais m'engager. Ceci fait, je m’orientais jusqu’au bouquet d’arbres. Là où nous avions pris possession les fois précédentes. L’endroit avait la particularité d’être désert. Mais avant d’y arriver, je me cramponnais au volant pour éviter les profondes ornières creusées par le passage des tracteurs.
Encore quelques mètres et je stoppais. Le chemin rétrécissant ne nous permettait pas de nous aventurer plus loin. Il nous fallait continuer à pied. Couverture sous le bras nous nous dirigions vers notre lit d’amour.
Sur place, je l’ai étendu sur le sol. Très excitait, sans perdre de temps je me suis déshabillé. Et ce fut nu que je m’allongeais sur la couverture.
À aucun moment, Colette ne m’avait quitté des yeux. Son regard noir s’étrécissait. Un sourire rusé découvrait sa denture irrégulière, alors qu‘elle se déchaussait. Elle sortait de son silence pour m’ordonner de me placer sur le dos. Restait debout, elle me tendit son pied pour que je le les lui lèche.
Comme toujours, et cela à n’importe quelle saison de l’année, il était gainé de nylon couleur pêche premier prix. À travers je pouvais apercevoir ses orteils, ainsi que ses talons calleux.
Une lueur excitée allumait ses petits yeux noirs. Je pris une grande inspiration. Il s’en dégageait une odeur de propre mélangée à celle du corporelle musquée. Machinalement, je me mis à lécher son gros orteil. Enchainant sur tout son pied. Peu à peu un goût acidulé s’en dégageait.
- J’adore ce que tu me fais… m’envoya-t-elle. En fermant ses yeux.
- Cochonne-je paris que tu aies en train d’humidifier ton fond de collant.
- En voilà des manières. Ce n'est comme cela qu’en cause à sa gentille belle-maman .
- Oui. C’est comme ça que je parle à une Vilaine qui ne pense pas et respire que cul…
- Tu l’auras cherché.
Reprenant son pied de mes mains, elle se précipita sur moi. Alors que j’étais toujours allongé sur le dos allongé sur le dos. Elle se servit de moi, comme elle l’aurait fait avec un paillasson. Me piétinant. Finissant sa riposte par une fessée. Sèches et dures, à l'aide de sa main. Il m’en fallait pas plus pour faire grimper un peu plus mon excitation.
- Tu m’as fait mal. Me plaignais-je.
- Tu ne l’as pas volé celle-là.
Puis elle prit appui sur la couverture, en y posant ses genoux. La gourmande, comme elle le faisait à chacune de nos rencontres, enroula ses doigts autour de ma queue dur. S’ensuivait une empoignade ferme, et pour finir me branla. D’un va-et-vient très virgulant. J’étais aux anges. D’instinct ma main lui caressait la raie de ses fesses. Après quelques va-et-vient, elle m‘échappa. Pour se placer de nouveau debout, face à moi. M’exposant son large fessier. Puis elle se pencha en avant. Jambes tendu et écartées. Retroussa sa jupe jusque sur sa taille. Le collant moulait son postérieur. plaquant sa forte toison.
Tout en gardant sa pose, elle me regarda par-dessous ses jambes.
- Alors tu attends quoi ?
Je ne pouvais que me lever pour me placer derrière elle. Pris le temps de caresser ses cuisses, grasses. Et cela pendant quelques minutes, dans un silence de cathédrale. De temps en temps je m’aventurais à masser la fente vulvaire à travers le nylon imbibée de mouille. Puis pris d’une pulsion ravageuse, je crochetais le nylon avant de le déchirer. Empressé, je cherchais sa vulve, pour y enfoncer sans précaution deux doigts dans le vagin qui céda
mollement sous l’effraction. L’orifice débordait d’une sève, épaisse. Colette gémissait. Son gros cul s’anima sous l’effet de la vigueur de mes doigts. Très vite une marrée poisseuse engluaient mes doigts. Je me mis à la masturbais alors qu’elle émettait des râles bruyants. Le corps tremblant. Je l’accompagnais jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Il était temps pour moi de jouir aussi. J’attendais d’elle, qu’elle prenne les choses en main. Et ce fut ce qu’elle fit. Guidant ma queue au centre de sa fourche. J’y trouvais mon compte. En m’enfonçant doucement en elle. Savourant mon bonheur. La sensation que plusieurs bouches me suçaient. Mille picotements délicieux parcouraient ma queue.
Pour une plus grande stabilité, elle posa ses mains sur ses genoux. Puis se balança d’avant en arrière. Mais très vite elle se lassa de cette position, loin d’être reposante pour son physique. Elle se redressa d'un bloc. D’un violent coup de cul, elle m’éjecta de son intimité. À en perdre l’équilibre. Je me retrouvais assis le cul sur la couverture. Il n’en fallait pas plus pour la faire rire.
Je l’ai saisi alors par les hanches, et l’attirer à moi. Elle profita d’être sur moi pour guider pour la seconde fois ma queue dans ses entrailles. Bien emmanché, j’infiltrais mes mains sous son pull. Me saisissais de ses seins. Un dans chaque main. Les malaxant. Ils étaient comme toujours doux et fermes. Mes coups de reins se faisaient désordonné, mais violents. Colette haleta. Un masque bestial effaçait toute trace de bonté sur son visage. Son souffle s’accéléra. Sa tête se balançait de droite à gauche.
À ce moment, je me suis aperçu qu’une fois encore nous n'étions pas tout seul. Une jeune fille pas très loin de nous tenant en laisse un chien noir. Elle nous fixait comme hypnotisait. Sans se cacher le moins du monde. Son autre main enfouit dans son jean. Il m’en fallait pas plus pour répandre ma semence dans la chatte de Colette. Giclant fortement.
La belle-mère chamboulée par le plaisir, ne s’était pas aperçue de rien. Elle n’avait pas vue la gamine. Comme elle n’avait pas remarqué ma demi-seconde d’absence que j’avais eu en découvrant la gamine si près de nous. Après m’avoir vider, j’hélais la voyeuse.
- Le spectacle t’a plu.
Elle ne répondait pas sur-le-champ. Ce contentant de nous regarder, avec audace. Je soutenais son regard. Puis d’un signe de tête elle me fit que oui. Elle n’avait vraiment pas froid aux yeux, la chipie. Je lui ai demandé si elle voulait participer. Là, elle répliqua :
- Non. Je ne compte pas bouger d‘ici. Je suis bien où je suis.
Les sourcils de Colette se haussaient d’étonnement. Ouvrait la bouche. La refermait sans rien dire.
- Tu peux toujours d’approcher. Tu verras mieux.
Elle n’a pas souhaité suivre mon conseil. Un sourire indéfinissable jouait sur ses lèvres.
- Non, je suis bien où je suis.
Pour son hardiesse, j’avais envie de donner à la jeune fille, un complément d’initiation. Tout en la regardant droit dans les yeux, j’ordonnais à Colette :
- Suce-moi.
Comme honoré de montrer son savoir-faire dans la matière, elle ne se fit pas prier pour se pencher vers mon bas-ventre. Prenant entre ses doigts ma queue à demi-dressée, souillé de nos jouissances. J’émis un râle de satisfaction, alors que ses lèvres effleuraient ma queue polluée de plaisir. Et criais quand sa bouche m’aspira.
De son poste de voyeuse, la jeune fille continuait à se faire du bien. Je distinguais nettement sa main s’activait dans son jean. Exerçant des mouvements rotatifs.
Mon regard vint se poser sur ma suceuse. Elle avait les joues gonflaient comme celles d’une gamine gavée de bonbons. Une impression indescriptible s’empara alors de moi. À m’en faire fermer les yeux de plaisir. Emporté par une pulsion venue de plus profond de moi-même. Je poussais un long râle de satisfaction. Frappé d’un orgasme foudroyant. Souffle court, haletant je déversais ma seconde semence, moins copieuse dans la bouche de Colette.
Quand j’ai ouvert les yeux la jeune fille, c'était fait la belle. J‘ai cru un moment que j‘avais rêvé. Mais Colette me réconforta sur le sujet, tout en se rajustant.
- Tu crois qu’elle va le raconter .
- À qui veux-tu qu'elle le dise. Tu la connais toi .
- Non… jamais vue dans le quartier. Fit Colette en pliant la couverture.
Que fut ma surprise, quelques jours plus tard, alors que je sortais de mon boulot je tombais nez à nez avec la branleuse des bois au chien noir. À son visage qui s’était éclairé, je compris tout de suite qu’elle m’avait reconnue.
- C’est vous ! S’exclamait-elle.
- Oui c’est moi. Comprenant où elle voulait en venir.
L’effrontée prit même la peine de s‘approcher de moi à me toucher, pour me murmurer :
- Alors… je ne vous pas revu dans les bois avec votre vieille. M’envoya-t-elle.
- Non. Nous ne sommes pas retourné.
- Oui. Je m’en suis aperçu.
- Alors pourquoi poser la question. Répondant au tac.
Je la contournais pour aller rejoindre ma voiture. Mais la gamine ne se démonta pas, et me colla à mes Basques.
- Ça vous déplaît .
Je me retournais d’un bloc. Elle s’arrêta devant moi. Affectant une mine presque miséreuse. Elle lança alors :
- Je ne vous ennuie pas j’espère.
Pris de cour, je ne sus pas quoi répondre. Ce qui ne fut pas son cas. Enchainant :
- Vous avez un charme très particulier. J’aime les hommes de dans votre genre.
Jusque-là, je n’avais pas montré de réaction. La surprise était grande de me faire aborder ainsi. Je me sentais totalement
désarçonné. Ce qui n’était pas souvent le cas chez moi. L’invite était directe. Et ne pouvait pas prêter à confusions. En outre j’appréciais cette jeune fille pour le moins originale.
- Vous pensez y retourner un jour. Sonda-t-elle.
- Pourquoi ça t’intéresse. Lui dis-je. Reprenant peu à peu du poil de la bête, alors que je glissais ma clef dans la serrure de la portière.
- Faut-voir. Répliqua l’effronté.
- Comment ça faut voir ? Fixant mes yeux dans les siens.
- Depuis votre petite partie de jambes en l’air…
Comme un groupe de personne que je connaissais arrivait à notre hauteur, je me suis permis de couper la conversation. Après les saluts, j‘ai suggéré à la jeune fille de prendre place à mes côté dans la voiture, pour faire un brin de causette. D’un air amusé elle ouvrit la portière et se laissa tomber sur le siège passager.
- Bon… tu disais quoi. Fis-je alors que je fermais la mienne.
- Que je n’ai cessé de regretter de ne pas m’être amusée avec vous. Pas un soir en me couchant. Je me suis même traiter de conne. Tu avais une occasion et tu la foirée. Je suis retournée sur le lieu et à chaque fois je fus déçus de ne pas vous y trouver. Alors j’ai capitulé. Mais voilà qu’aujourd’hui la chance me sourit. Je trouve ça très
marron. Pas toi.
- Oui… très. Bon ce n'est pas tout ça, mais il faut que j’y aille.
- Alors pour quand ?
- Pour quand quoi ?
- Eh bien vous moi est la vieille.
- Tu parles sérieusement.
- Et comment que je suis sérieuse. Je l’ai jamais été autant qu’à cette seconde. Si vous me le proposeriez je vous suivrais sur le champ… tiens !
- Ce ne serait que moi, pourquoi pas. Mais il faut que j’en parle à ma partenaire de cul.
- Alors je compte sur vous pour être dissuasif. Sachez tout de même que je suis une vraie cochonne, quand je le veux. Ceci dit, à très bientôt.
Elle pesa sur la poignée de la portière, ouvrant en grand sur cette dernière. Elle pivota sur le siège avant de s‘extraire. Mais avant de fermer la portière, elle se pencha pour me dire :
- Je peux vous posez une question ?
- Oui.
- J’aimerais seulement savoir pourquoi vous vous tapez une vieille… alors que…
- Je pourrais me taper de la viande fraîche. C’est ça.
Cela me fit sourire.
- C’est tout simple. Une femme mature, c’est doux. C’est attentionné. Ça fait des cadeaux. Et ça obéit. On peut tout obtenir d’une vieille. Et pas seulement du fric. De l’obéissance à tous les désirs secrets. C’est soumis, une vieille. Ça ne peut plus faire autre chose. Ça n’a plus que ça, la soumission pour espérer obtenir encore ce cadeau qui s'appelle plaisir. Et comme c’est le cas avec les moins belle, se mettant Martel en tête, que cette chance ne ce reproduira pas de si tôt elles se surpassent pour le plus grand plaisir de leurs partenaires. Ça te va comme réponse ?
- Oui.. Enfin. N’êtes-vous entièrement satisfaite sexuellement par votre femme ? Que vous manque-t-il.
- Nous sommes en parfait accord sur le plan sexuel. Là n’est pas le problème. Je recherche quelque chose de supplémentaire. Et mon épouse ne peut en faire partie. Étant la mère de mes enfants. Alors cela nécessite d’aller voir ailleurs.
Elle me souriait et fit claquer la portière. Je l’avais regardé s’éloigner. Pensif. Cette gosse avait vraiment du tempérament.
Le soir, j’avais eu du mal à dormir. Allongé sur le dos, les yeux ouverts dans le noir, je me souvenais de toutes les paroles de la jeunette. Je revoyais aussi et surtout son physique. Je regrettais un peu de ne pas lui avoir fait l’amour. Un mal pour un bien, cela me permis de réfléchir pour organiser un triolisme.
Mais avant de prendre la route me menant jusqu’à mon travail je fis un décrochement pour aller rendre une petite visite à Colette. Des idées plein la tête. Elle ma complice. Aussi branché cul que moi, c'est dire. Elle qui ne pouvait rien me refuser. Étant le seul à lui donner de violents orgasmes en lui mangeant la chatte.
Mais avant de passer à son domicile. Je me suis alors rendu à la boulangerie près de chez elle, pour acheter des croissants. Au moment de franchir son portail, je sentais une bosse naissante dans mon pantalon. J’étais tout de même un peu anxieux. À l’idée de ce que j’allais lui proposer. Elle m’avait entendu arriver et elle m’ouvrait la porte. Comme toujours sa tenue vestimentaire avait été le cadet de ses soucis.
- À quoi me vaut ta visite ?
Comme je ne répondais pas, elle crut devoir ajouter :
- Besoin de vider tes couilles peut-être ?
Après avoir verrouillé la porte pour plus de sécurité, elle se précipita jusqu’à la fameuse table de sapin. Avec des gestes fébriles, elle retroussa sa jupe écossaise.
- Je ne sais pas pourquoi mais je savais que tu allais passer aujourd’hui.
Et c’était pour cela, connaissant mes exigences, elle avait négligé de mettre une culotte sous son collant. Je me fis un plaisir de me fabriquer une fenêtre à travers les fines mailles. À l’endroit de son intimité. Comme pour laisser l’air frais dissiper la touffeur de sa toison dense et sombre.
À plat ventre sur le plateau de la table, elle se cambra. Dégageant le profond sillon de sa croupe. M’offrant une vision affolante de son intimité embroussaillée. Il m’en fallait pas plus pour que mon cœur tape dans ma poitrine. D’une voix faible, elle dit :
- Qu’est-ce que tu attends ? Tu sais que je ne tiens plus. Fais ce que tu veux de moi.
Avec une fébrilité concertante, je pus me débarrasser de tout ce qui me gênait. Faisant jaillir mon sexe rigide. Elle ne put retenir un gémissement rauque quand mes mains prirent contact avec ses hanches. Les empoignant. Mon regard se porta sur son anus mauve, légèrement boursouflé sur les bords.
- Pousse ! Je veux le voir ton trou du cul s’ouvrir. Je veux qui me parle.
Colette tout en poussant sur ses sphincters, ajouta :
- Tu veux qu’il te dise « viens me ramoner, je ne suis pas qu’un trou à merde.
L’anneau trié palpitait un instant. Puis se dilata, obscène. Au point de s’évaser. Une invite que je ne manquais d’honoré. Elle gémissait de nouveau en sentant l’extrémité de ma queue venir buter contre l’ouverture la plus secrète. Ma queue s’enfonça lentement dans son cul. Une odeur chaude montait jusqu’à mes narines. Sa rondelle grimpa sur ma bite. M’aspira, m’entraîna jusqu’au fond. Colette tremblait de tous ses membres. Je l’entendais haleté, alors qu’elle secouait sa tête.
C’était l’instant idéal pour négocier ma petite affaire. Alors dans un lent va-et-vient où ma queue explorait chaque interstice, je collais ma bouche à son oreille, et lui exposais mon dilemme. Très vite je fus réconforté par sa réponse.
- Un trio. Pourquoi pas. S’extasia-t-elle. Je l’ai trouvé mignonne cette gamine. Comment s’appelle-t-elle.
J’étais tout de même dans l’expectative. Je pensais tout connaître sur l’imagination débordante de ma belle-mère. Mais là, elle m’avait surpris. Elle me parut manier avec talent le sens de l’esquive et de l’embuscade.
- Je ne sais pas. Et d’ailleurs je m’en fous à vrai dire. Rétorquais-je.
Euphorique, je conférais à mon membre une envergure décuplée. Je ne m’étais jamais senti aussi gros. Aussi puissant. Pour le plus grand plaisir de Colette. Qui râlait. Balançant son fessier d’avant en arrière. Proche de l’évanouissement.
- Oui, vas-y ! Encule-moi… encore… putain que c’est bon… défonce-moi. Souffla-t-elle d’une voix presque méconnaissable.
Puis, comme soulé par l’obscénité de ses paroles, j’accélérais le rythme à en perdre le souffle. Il n’en fallait pas plus pour qu’elle soit
prise de quelques convulsions de bonheur. Ses plaintes se transformaient en cris de jouissance, déclenchant mon propre orgasme.
Mon corps s’arqua. Je m’entendis pousser un long gémissement rauque, alors que ma sève gicla dans l’anus avec une force et une impétuosité qui me parurent presque surnaturelles.
Une douche plus tard, je suis ressorti de chez elle heureux et soulagé d’avoir eu une réponse affirmative. J’avais décidé de mettre mon amante qui désormais était plutôt mon esclave de cul, à l’épreuve. Au volant de ma voiture, je souriais en pensant qu’elle était doucement mais sûrement devenu ma cochonne. Nous formions un couple sulfureux. Provocateur et surtout, IGNOBLE…
À suivre…

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