Julie - Une nouvelle vie: l'appartement (Partie 6)

- Par l'auteur HDS Silveradd -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Julie - Une nouvelle vie: l'appartement (Partie 6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Julie - Une nouvelle vie: l'appartement (Partie 6)
Ça y est, Julie est enfin en route pour visiter cet appartement, mais quel chemin ! Cela fait maintenant bien trois heures qu’elle se fait défoncer tous les orifices. Elle a avalé une quantité industrielle de sperme. Elle a même embrassé une autre fille. C’est sûr que la petite fille sage, bien élevée et bonne élève est restée bien loin derrière, elle est devenue une bonne chienne qui aime se faire monter par des queues de tous gabarits et de tous âges. Elle est presque déçue de ne pas avoir pu satisfaire Marco mais la visite ne fait que commencer et Julie a bien l’intention de goûter la queue de son nouveau patron.
Julie et Marco gravissent les marches des escaliers qui les mènent vers l’appartement qu’elle est venue visiter. La petite asiatique essaye par tous les moyens d’aguicher son patron, elle aimerait bien vérifier si les blacks sont aussi bien montés que le dit la légende urbaine. Certes les bites comme celle de Jeannot étaient impressionnantes et c’était de loin la plus grosse qu’elle ait jamais vue, avec un bon 23 à 25 cm. Et bien qu’elle ait eu du mal à avaler ce gros chibre de facile 5cm de large, elle pense pouvoir prendre encore plus gros. Elle tortille donc bien du cul afin que chaque marche fasse remonter un peu plus sa micro jupe sur le haut de son cul. Peut-être que de cette manière elle pourra faire bander le vieil antillais qui la suit.
-Mais dis-moi petite coquine, qu’est-ce que tu as fait de ton petit string ?
Ça marche on dirait, il lui mate bien le cul. Julie jubile intérieurement.
-C’est peut-être un de vos clients qui me l’a pris. Je ne l’ai pas retrouvé en me rhabillant après que Jeannot m’ait défoncé le cul.
Peut-être que des paroles un peu crues joueront en sa faveur.
-Hahahahaha, oui c’est bien possible. C’est pas que ça me déplaise non plus, tu as un superbe cul, et ta petite chatte ne laisse pas les hommes indifférents.
C’est bien ça ! Est-ce qu’il mord à l’hameçon ? Julie se retourne prestement, fait volte-face et se retrouve nez à nez avec son patron. Elle prend appui de ses avant-bras sur son énorme poitrail, y plaque ses grosses mamelles prêtes à sortir de son petit top, et la jupe découvrant la moitié de son beau derrière, lui susurre à l’oreille :
-Et vous ça vous laisse indifférent ?
Joignant l’acte à la parole, elle descend la main sur son entre-jambe, ne peine pas beaucoup à trouver un beau morceau de chair qu’elle tente de jauger au travers du pantalon. Elle n’a pas le temps d’en prendre la mesure, il la soulève de ses grosses mains pour l’écarter de lui.
-Comme je te l’ai dit, j’aime autant ne pas mêler le cul et les affaires, mais en effet tu ne me laisses pas indifférent, et vu ce que tu as déjà encaissé en bas je ne doute pas que tu dois être bien bonne à baiser. Mais on arrive sur le palier de madame Arbogast, et j’aimerais autant qu’elle ne te voit pas te jeter sur moi comme tu viens de le faire. Ça ferait désordre.
Il lui décroche un petit clin d’œil pour ponctuer son propos. Et d’un petit hochement de la tête lui fait signe de regarder derrière elle.
-Bonjour Monsieur Marco ! Bonjour jeune fille !
Julie se retourne en direction de la voix qui venait de prononcer ces mots dans son dos. Rouge comme une pivoine, elle réajuste le micro bout de tissu blanc qui lui fait office de jupe, cache comme elle le peut les dernières traces de sperme sur ses joues, et tendant la main à madame Arbogast :
-Bonjour Madame, je m’appelle Julie. Je viens visiter l’appartement de monsieur Marco.
-Je vois, j’espère que vous ne ferez pas trop la fête là-haut. Mon petit Juju a le sommeil léger.
-Non ne vous inquiétez pas, elle ne risque pas de vous déranger la nuit, elle va remplacer Bérangère au service du soir.
Madame Arbogast, la main sous le menton, inspecte la jeune fille très court vêtue, des pieds à la tête. Puis le regard dur fixé sur le visage de Julie, elle lui lance :
-Tiens donc ! Je comprends mieux. Et est-ce que vous savez vous occupez des enfants ? J’aimerais savoir si je pourrai compter sur vous pour garder mon petit le cas échéant.
-Ben, heu, j’ai fait pas mal de babysitting ces deux dernières années pour payer mes études. Je ne sais pas si ça compte.
-Oui, oui pas mal. Passez me voir à l’occasion, lorsque vous aurez emménagé, nous en rediscuterons.
Sur ces paroles, la sexagénaire prend congé et referme sa porte. Marco explique alors à Julie, qu’il loge les Arbogast mère et fils depuis quelques années sur ce palier. L’appartement de Julie est au deuxième étage, c’est un ancien F5 qu’il a réaménagé en deux studios. Quant à lui il loge juste au-dessus, au troisième étage. Ils reprennent ainsi leur progression et arrivent au deuxième étage. Le palier donne sur un cadre sans porte prolongé d’un long couloir desservant les toilettes et la salle de bain communes sur la gauche et une troisième porte sur la droite. Il est terminé d’une grande salle de repos avec table, chaises, coin cuisine, canapé d’angle et un grand écran plat.
-Voici donc les trois pièces communes que tu partageras avec Alain, ton colocataire. Il est parti pour les congés, mais tu verras, même s’il est un peu bourru, il est plutôt cool. Vous devriez bien vous entendre. Tu pourras te servir de la buanderie de la cave pour tes lessives.
Marco lui désigne d’un geste la porte au fond du salon.
-Là, c’est la chambre d’Alain. Quant à celle-ci, c’est ta chambre.
Ils repartent dans le couloir et lui ouvre la dernière porte juste en face des toilettes. Ils entrent tous deux dans une belle pièce d’une vingtaine de mètres carrés, très bien éclairée par trois grandes fenêtres sans rideaux.
-Bon comme tu peux voir, il y a le lit, un bureau et sa chaise et ce placard pour y mettre tes affaires. C’est la plus pratique des chambres puisque tu es juste en face des toilettes et de la salle de bain. Sinon, je suis pas trop chiant avec les locataires, je demande juste que la chambre soit laissée en l’état sans décorations. J’ai pas envie de m’emmerder à refaire les peintures après chaque locataire. Tu peux mettre des tapis si tu le souhaites.
-Et les fenêtres ? On peut y mettre des rideaux ?
-Non, je ne préfère pas.
Il marque une pause, réfléchit un temps, puis ajoute :
-Bon, peut-être, on verra un peu plus tard comment ça se passe !
-Merci ! J’adore ce studio. Je le prends !
Un grand sourire sur le visage, Julie enserre le géant antillais, plaquant ses gros seins contre sa bedaine, son petit ventre nu contre son entrejambe. « Hum », elle le sent ce gros braquemart qui pulse contre sa peau au travers du tissu, elle le veut. Elle tente une nouvelle approche pour qu’il cède enfin à son charme.
-Est-ce que vous êtes toujours d’accord pour que je prenne une douche vite fait avant de partir ?
-Oui, bien sûr, viens, je te montre la salle de bain.
Ils ressortent de la chambre pour prendre la direction de la salle de bain. Julie se débarrasse des deux petits bouts de tissu blanc qui font office de vêtement, saute dans la douche, et ne laissant pas le temps au géant de partir, elle le regarde d’un air gourmand et lui dit :
-Mon patron, je comprends qu’il ne puisse pas, mais est-ce que mon propriétaire pourrait me frotter le dos pour enlever toutes ces traces de foutre ?
-Hahahahahahaha, tu perds pas le nord toi ma petite. Tu lâches pas l’affaire ! Très bien, je veux bien te frotter le dos.
-Merci monsieur Marco ! Mais vous venez avec moi sous la douche, sinon c’est pas drôle. Lui rétorque-t ’elle de sa moue bougonne et infantile.
Se dirigeant vers la douche, il retire son marcel, ses chaussures, ses chaussettes. Ça y est, elle y est presque. Le regard gourmand, la coquine se mordille le bout de l’index, vient, elle aussi à la rencontre de ce géant de chair. Elle se déplace langoureusement vers lui, les yeux rivés dans les siens. Arrivée vers son propriétaire, elle se colle à lui, les pointes de ses seins en contact direct avec la peau d’ébène poilue, et trempée de sueur. Elle parcourt le torse velu d’un doigt, joue avec le contour de ses pectoraux. De sa main libre, elle dégrafe le premier bouton de son pantalon, puis le regard toujours rivé dans le sien, s’agenouille devant son entrejambe. Elle finit de dégrafer les derniers boutons, puis descend lentement le pantalon qu’elle vient de libérer. Elle aperçoit les poils pubiens de son nouvel amant, signe qu’il ne porte pas de sous-vêtements. Elle continue de descendre lentement ce pantalon et aperçoit maintenant la base de son sexe. Elle n’en revient pas de la taille de ce morceau de chair, il doit bien faire 5 à 6 cm de large. Julie n’a plus qu’une envie, sortir cet énorme chibre pour se le farcir, mais elle souhaite aussi l’attiser un maximum pour qu’il la prenne avec fougue, elle veut qu’il la défonce, il faut donc qu’elle l’excite un maximum.
Ayant déjà découvert une bonne dizaine de centimètre de cette belle queue, elle stoppe net et, fermant les yeux, l’embrasse de ses lèvres charnues. Ça y est, il se met à pulser au contact de sa belle bouche. Elle le léchouille, de bas en haut, de haut en bas, puis reprend le déshabillage de cette bite. « Merde ça n’en finit pas ! Dans quoi tu t’es engagée ma fille ? » Continuant d’embrasser le chibre du gros black tout en le découvrant, elle estime en être déjà à une vingtaine de centimètres, et elle n’a toujours pas atteint le gland. Il est définitivement d’un autre calibre que tout ce qu’elle a connu. C’en est trop, elle lâche le pantalon pour le découvrir sur toute sa longueur, il faut qu’elle sache !
-Oh merde, s’écrit-elle, les mains sur la bouche, sous le choc, et hypnotisée par le balancement de cette queue monstrueusement grosse.
-Eh oui ma belle, maintenant que tu m’as bien chauffé, il va falloir assumer jusqu’au bout !
Toujours à genou devant ce monstre, Julie soupèse la bite à moitié bandée d’au moins 25cm de long. Elle referme les yeux, la soutien d’une main sous le frein, commence à embrasser langoureusement le bout du gland décalotté, caresse doucement le dessous de la queue, descend la main jusqu’aux bourses poilues, tout aussi démesurées. De sa langue elle lèche le dessous du gland, le titille, l’humidifie, tente une première fois de l’aspirer entre ses belles lèvres. Le ressort, retente une deuxième fois, elle arrive à peine à faire entrer le gland dans sa bouche. Elle détend au maximum sa mâchoire, il n’y a pas de raison qu’elle n’arrive pas à lui faire une bonne fellation bien baveuse. Ça y est, le gros gland entre et ressort, elle peut continuer. Entourant le vît de chair de ses deux mains, elle se met à le branler tout en le pompant le plus profondément possible.
-Oh oui ! T’es vachement douée, espèce de petite chienne. Tiens prends ça !
Il lui attrape la tête entre ses deux grosses mains, et commence à lui limer la bouche.
-HUGH ! HUGH ! HUGH !
Les bruits étouffés du gland venant frapper la luette de la belle se mélangent aux râles de l’antillais qui prend beaucoup de plaisir à marteler cette magnifique bouche. Julie, elle, met du cœur à l’ouvrage et aspire bien ce gros tuyau. Elle tend une main pour lui masser les grosses boules et lui titiller le périnée du bout des doigts.
-Oh oui, qu’est-ce que c’est bon. Prends ça p’tite salope. Oh Oh Oh !
Il accélère encore le mouvement de va et vient.
-HAN ! HAN ! HAN ! HAN !
-HUMPH ! Elle sent le gland qui se met à gonfler, est-ce qu’il va cracher la purée au fond de sa gorge ?
Marco se retire soudain, un gros filet de bave relie sa bite à la bouche de Julie, qui, haletante, tente de reprendre sa respiration. Il la soulève sous les bras, approche le visage de Julie du sien, et lui roule une grosse pelle bien baveuse. Est-ce qu’il va la sauter comme ça à la verticale ? Non, il la retourne, la tête en bas, cale les cuisses de la gamine au-dessus de ses épaules, et commence à lui lécher la chatte déjà bien humide d’excitation. Il lui titille l’anus d’un doigt, le pénètre, et lui insert un autre doigt dans la chatte.
-Ah ouiiiii ! Bouffe moi la chatte ! Défonce moi l’cul ! Je suis ta chienne ! Aaaaaah !
Julie, dans son extase, tend une main vers la grosse queue qui pendouille sous elle. Ramène le gros gland violacé vers sa bouche et reprend la fellation de ce vieux porc. Elle utilise la pesanteur pour empaler sa bouche le plus profond possible sur ce pieu de chair. Marco continue de lui bouffer le vagin, mordille son clito, lui défonce la chatte et l’anus de ses deux gros doigts. Il donne maintenant de gros coups de rein pour baiser la bouche de la petite Julie, qui l’aspire avec passion. Il est de nouveau au bord de l’explosion, elle sent le gros gland se gonfler au fond de sa gorge. Il résiste pour ne pas encore se vider. Il a envie de la posséder, de lui défoncer sa petite chatte, de l’enculer comme une chienne. Il retire à contrecœur sa bite de cette bonne bouche bien chaude, interrompt la masturbation de cette petite chaudasse et la redépose sur ses pieds toute pantelante. Il l’embrasse de nouveau à pleine bouche et lui plaque le dos contre le mur froid de la douche. Passant ses mains entre les cuisses de la belle, il la soulève par les genoux et lui écarte les jambes pour bien lui ouvrir la fente. Julie passe les bras entre ses jambes et attrape le gros membre bien dur pour le diriger à l’entrée de sa chatte.
Ça y est, elle va enfin se faire prendre comme une chienne par cet énorme monstre. Marco sent son gros gland entrer en contact avec la petite chatte bien humide de sa trainée. Il la relâche un peu pour qu’elle puisse s’empaler en douceur sur sa queue. Les muqueuses de la petite chatte s’écartent et enveloppent lentement le gros chibre. Julie, le dos plaqué au mur, se masse les seins d’une main, et de l’autre se masturbe le clito pour mouiller un maximum et bien jouir de cette pénétration extrême.
-Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
Elle bascule la tête en arrière, et hurle de plaisir lorsque le gland pénètre son petit minou. Elle accélère la masturbation de son clito, pince un téton et le tortille. Elle est complètement perdue dans sa jouissance. Le plus dur est passé, Marco, dont le gros gland est maintenant bien enfoncé dans cette petite chatte toute serrée, laisse la petite s’empaler lentement sur son pieu jusqu’à arriver en butée, le gland appuyant sur l’utérus. Au jugé, il l’a pénétrée d’une vingtaine de centimètres. Confiant de pouvoir bien limer la petite asiatique, il se met à la besogner à grands coups de reins. Chaque coup de queue secoue les seins de la petite vers le haut. Il adore voir ces deux grosses loches secouées dans tous les sens au rythme de ses pénétrations brutales.
-Han ! Han ! Han ! Tu l’aimes ma grosse queue de black, espèce de petite trainée ?
-Oui ! Oui ! Oui ! Plus fort ! Fais-moi jouir ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ouiiiiiiiiiiiiii !
La petite mouille comme une dingue, mais son vagin est très étroit et le plaisir monte de nouveau et l’amène près de l’explosion. Frustré de ne pas pouvoir la pénétrer entièrement, et avant de se vider dans la chatte de la petite, il se retire dans un gros bruit d’aspiration. Il repose Julie sur le sol, la retourne face contre la paroi de la douche, lui cambre bien les reins de ses grosses paluches pour exposer son petit trou. Marco lâche un énorme glaviot entre les deux lobes fessiers, et présente son index à l’entrée de l’anus. Il force un peu sur la petite pastille qui s’ouvre pour le laisser entrer. Il l’astique un petit peu, et y introduit un deuxième, puis un troisième doigt. Après quelques instants passés à lui élargir l’anus, il retire sa main, attrape son gros chibre et présente le bout de son gland contre l’anus, avant que le sphincter ne se referme. Il crache sur sa queue, se l’astique un peu pour ajouter un peu de lubrification à la mouille dont elle est encore couverte. Julie, en appui sur la paroi de verre, écarte un peu plus les jambes, et au moment où elle sent la pression du sexe géant sur sa pastille pousse un peu, comme si elle voulait chier, pour ouvrir un peu plus son trou du cul.
-Oooooooooooooooooooh oui ! Han !
Ça y est, le gland est à peine entré que Julie jouit déjà. Qu’est-ce qu’elle aime se faire démonter le cul ! L’anus de la belle semble avoir un peu plus de souplesse que son vagin. Marco continue à pousser, toujours un peu plus profond, et sa bite s’enfonce déjà d’une dizaine de centimètres. Il se retire doucement, mais pas entièrement, et pousse de nouveau pour s’enfoncer encore plus. Il lui faut tout de même quatre essais, mais il y est, il est ancré au fond de Julie jusqu’à la garde, ses grosses couilles gonflées contre les lèvres encore ouvertes et dégoulinantes de mouille. Il sent les parois anales de Julie lui enserrer le gourdin. Il commence à bouger, se retire jusqu’à la base du gland, puis d’un puissant coup de rein lui remplit complétement le cul.
-Ouf, oui c’est bon ! Martèle-moi bien le cul avec ta grosse queue !
Il n’en faut pas plus à l’énorme étalon pour assener des coups de bite d’une grande amplitude à la petite chienne. Elle hurle de bonheur à chaque coup de queue. Ses grosses mamelles pendantes dans le vide sont secouées dans tous les sens. Les reins cassés en deux sous le poids de l’énorme antillais, elle encaisse les coups comme une pro. Au bord de l’explosion à nouveau, Marco accélère encore le rythme de ses pénétrations brutales, il démonte littéralement la petite de son gros mandrin. Il lui écarte un peu plus les fesses, la force à se cambrer encore plus, comme pour la pénétrer encore plus profondément. Ses baloches claquent contre le vagin de Julie qui hurle à chaque nouveau coup de queue.
-T’es vraiment une bonne chienne ! Tiens prend encore ça !
Il l’encule comme un forcené quelques minutes de plus puis, de nouveau au bord de l’explosion, se retire du trou béant, libérant Julie de son étreinte. Cette dernière, haletante, s’écroule à genou le visage juste au niveau de la grosse bite luisante aux relents de vanille et de crachat. Fermant les yeux, elle attrape le gros manche et en tète le bout du gland. Elle le masturbe de sa main droite pendant que la gauche joue avec les grosses couilles pendantes. Elle sent de nouveau le morceau de chair gonflé entre ses lèvres, le vît durcir entre ses doigts. Cette fois c’est la bonne, Marco se lâche enfin, il éjacule les trois flots de sperme qu’il a bien eu du mal à retenir tellement la petite asiatique est bonne. Les joues de Julie gonflent sous la pression des cinq premières giclées de foutre qui explose au fond de sa gorge. Elle a bien du mal à contenir tout ce sperme qui se déverse dans sa bouche. Lui astiquant toujours le manche, elle ouvre les lèvres, et tire bien la langue pour recueillir les trois giclées suivantes. La bouche déjà bien pleine, le sperme commence à déborder et à couler le long de ses joues. Marco attrape sa queue, se branle et crache encore trois bonnes doses de sperme sur le visage de la belle avant de se reculer, la queue déjà en train de dégonfler. Il admire Julie, à genou sur le sol, la tête relevée, fermant la bouche pour avaler la dose de foutre dont il vient de l’abreuver. Sa nouvelle locataire redresse alors la tête, lui lance un regard gourmand, et avec un petit sourire coquin dont elle a le secret, elle lèche le sperme qui dégouline encore de la commissure de sa bouche pulpeuse. Puis, se mordillant la lèvre inférieure, elle se caresse les seins y étalant le sperme encore chaud dégoulinant de son visage enfantin. Elle descend lentement sa main droite le long de son ventre, jusqu’à son vagin encore ouvert et luisant de mouille, puis se masturbe le clito, avant de s’enficher deux doigts au fond de la chatte.
-Hum, merci monsieur Marco. Lui lance-t ’elle langoureusement tout en se doigtant la chatte.
Elle le fixe du regard, puis les yeux de nouveau fermés, se fait jouir une dernière fois en se farfouillant le minou. Marco, la queue pendant dans le vide entre ses jambes, se dirige à nouveau vers la belle, l’aide à se relever, et lui claque un petit bisou sur la joue avant de lui glisser à l’oreille :
-Tu peux être fière petite, il n’y a pas beaucoup de meufs qui peuvent se vanter de m’avoir autant fait jouir.
Elle lui retourne son bisou, lui tourne le dos, non sans lui lancer un dernier regard de défi par-dessus son épaule, ouvre le jet de la douche et commence à se mouiller le corps et les cheveux pour en faire disparaître les dernières traces de foutre. Il lui tend alors du gel douche et une serviette, se rhabille et l’invite à le rejoindre au bar pour signer les papiers lorsqu’elle aura fini.

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