Femme BCBG, escorte, non, pute… (122)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (122) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Femme BCBG, escorte, non, pute… (122)
Une escorte mâle baise une escorte femelle sans savoir que la femelle est une pute, situation ubuesque mais que je vis après avoir accepté d’aller dans l’hôtel d’où je suis sortie après avoir servi de poupée gonflable à un client qui a manqué de respect à la femme que je suis même si j’accepte de monter avec des clients.
Pour calmer ma colère je vais dans la salle des pas perdus de la gare de Lyon ou je rencontre ce beau black venu me proposer ses services, il vient de me faire jouir une première fois justifiant les 500 € qu’il m’a demandés.

• Allé réveille-toi, je suis sûre que tu en veux encore, suce-moi.

Sa verge dépourvue de capote qu’il a dû enlever est encore droite, je me suis absentée quelques minutes et il est bien raide.

• Tu sais sucer et boire le sperme, l’as-tu déjà fait ?
Pompes-tu ton mari.

Pour éviter de lui répondre, trouvant drôle qu’il pense que je suis une femme mariée, je le prends dans ma bouche et j’aspire tout en le masturbant dans un mouvement rotatif de mes mains.

• Arrête, tu es démoniaque, je vais éjaculer, dommage que je n’aie qu’une seule capote car je te reprendrais bien une nouvelle fois.
• Attends.

J’ouvre mon sac et j’en sors deux des 10 que j’ai en permanence à l’intérieur sans compter la boîte de 100 toute neuve que j’ai dans ma valise fournie par l’organisation.

• Tu es surprenante, je te drague dans la gare car je cherche une femme qui accepte de me payer pour la baiser et nous arrivons dans une chambre où il semble qu’il se soit déjà passé quelque chose.
Tu te fais baiser normalement au début puis tu acceptes de te faire sodomiser me montrant que ton cul est loin d’être vierge de toute verge et là je te signale qu’il m’est impossible de te baiser car je manque de capote tu m’en sors deux de ton sac.
Qui es-tu vraiment ?
• Tu parles trop, maintenant tu as ce qu’il te faut, je t’ai payée pour me baiser alors baise-moi.

Il se redresse, écarte mes cuisses et en quelques minutes d’une lèche méticuleuse de mon sexe je recommence à mouiller, mon black commence à trouver les choses louches mais j’ai réussi à le recentrer au centre de mon intimité et il est vrai que je suis contente quand il enfile une capote propre et qu’il me possède de nouveau dans une classique position du missionnaire.
Pour bien le bloquer une fois que je sens qu’il a bien atteint le fond de ma grotte je lui enserre les hanches de mes jambes.
Je le regarde intensément, je sens mon regard se troubler car une nouvelle fois il me fait partir vers les sommets de mon plaisir.
Dommage que j’ignore son nom car je le hurlerais.

• Oui, baise-moi fort, pilonne-moi comme tu le fais, tu es en train de gagner ton petit déjeuner.

C’est la seule chose à quoi je pense quand mon corps éclate dans un orgasme des meilleurs que j’ai eu dans ma vie depuis que je suis devenue une femme libérée.

• N’éjacule pas, je suis ta truie, je suis une pute, donne-moi ton foutre à boire !

En lui donnant cet ordre je relâche la pression de mes jambes et il se relève sur un bras, pour retirer la capote.
Il vient jusqu’à moi et je sens le poids de son corps et surtout ses fesses qui s’asseyent sur mes seins.
Il me suffit de redresser la tête et il me donne sa bite à sucer, je l’attrape avec mes deux mains et je le pompe comme une folle, une nouvelle fois je suis en eau mais qu’importe car je sens le bâton que je tiens en bouche en même temps que lui aussi hurle son plaisir se déverser en de longs jets dans ma bouche et rejoindre mon estomac.
Dommage la source finie par se tarir alors je le nettoie consciencieusement avant qu’il se laisse aller sur le côté.

Je reprends conscience alors que le jour entre par la fenêtre.

• Allo la réception deux petits déjeuners complets au 229, merci.

Une soubrette apporte un plateau avec tout ce qu’il faut pour que mon étalon reprenne des forces bien qu’il soit hors de question de recommencer à baiser car à 9 heures je dois rejoindre l’institut.
Je suis enchantée de ma nuit qui valais bien les 500 € que j’ai investis dans la bite de ce garçon qui lui aussi ouvre un œil quand la soubrette après avoir frappé passe son badge pour pouvoir rentrer.
Je vois très nettement son regard venir se poser sur nos nudités et il m’est impossible de savoir si c’est lui ou moi qui dois la faire mouiller.
Je suis tentée de la faire venir au milieu de nous mais il serait irraisonnable de faire entrer dans l’association une nouvelle fille, car quand je regarde avec Valérie son site, le nombre de filles et voir quelques mecs qui sont nos escortes est assez nombreux.

• Allez, viens déjeuner tu l’as bien mérité, tu es un bon coup.
Comment te prénommes-tu ?
• Aliou et j’ai 22 ans.
• Es-tu Français ?
• Non, je suis de Dakar au Sénégal.
• Es-tu immigrée ?
• Oui mais j’ai un permis de séjour, j’en ai demandé un permanent mais sans travail et sans logement c’est impossible à obtenir.
• Que sais-tu faire ?
• Tous et rien à la fois, j’accepterais toute proposition.
• Entretenir des maisons cela te dit.
• Oui, mais qui peut avoir besoin de moi.
• Moi, je viens d’acheter une maison à Chennevières et j’aurais des rénovations et de l’entretien à faire, tu auras une chambre pour toi.
• Tu es ma sauveuse, mais comment se fait-il que tu attendais un train hier au soir, tu m’as dit l’avoir loupé.
• Mystère, mais tu dois savoir que si tu te prostitues, d’autres le fond aussi.
• Tu es une pute.
• Disons une escorte girl, hier je sortais de cette chambre louée par un client qui m’a prise pour un vulgaire morceau de barbaque, j’aime l’atmosphère des gares alors pour me détendre j’y ai fait un tour avant de rentrer et tu es venue me proposer tes services.
• Je vais te rendre tes 500 € !
• Non garde-les, regarde, il me reste 1 500 des 2 000 € que mon client m’a donnée pour me baiser.
• Tu t’es fait 2 000 € pour une soirée, moi cela fait 15 jours que je vis avec les 400 que j’ai touchés d’une vieille que j’ai baisée dans sa voiture, elle avait accompagné une amie au train et sa voiture était au parking souterrain.
Sans ton argent j’étais sans un sou sans pouvoir acheter des protections, j’aurais été dans l'obligation d'accepter les propositions de vieux pédérastes qui tournent dans la gare avec tous les risques que cela comporte.
• As-tu des affaires à récupérer quelque part ?
• Non jeans, mes baskets et mon tee-shirt je suis entièrement là.

Le petit déjeuner terminé nous quittons la chambre et je retrouve ma mini dans le parking souterrain où je me suis garée.

• C’est à l’étage inférieur que j’ai baisé mémé, ou m’emmènes-tu ?
• Dans un endroit où tu vas pouvoir t’épanouir et où ma marraine va certainement pouvoir t’aider.

C’est en sa compagnie que j’arrive à l’institut, les trois copines sont là, Marie-Ange est avec une cliente dans la salle près de l’entrée.

• Je vous présente Aliou il est Sénégalais et va travailler pour nous.

C’est en cœur que les filles répondent.

• Bien venue Aliou.
• Valérie est-elle dans son bureau ?
• Oui avec Alain, Odile et Vladimir.
• Garder Aliou au chaud, je vais les voir.

Mes amis sont là et parlent des transformations en cours et les rendez-vous pour les clientes car les travaux bloquent certaines salles de travail.
Nous établissons un plan, Valérie pouvant aider mon nouveau protégé, en attendant que nous partions à Moscou, je veux éviter de mettre le loup dans la bergerie aussi les trois filles vont le prendre chez elle jusqu’au départ protégeant la vertu de mes deux petites.
Nul doute qu’elles sauront être hospitalières avec lui.
Pour ma part je serais au taf ce soir j’ai un nouveau client à rejoindre dans une auberge de la vallée de Chevreuse qui m’a réservée pour la nuit moyennant une somme bien supérieure au 2 000 de la nuit dernière avec mes frais de déplacement.

Je suis à l’heure et quand je retrouve l’homme au bar je comprends que le bouche à oreilles à fonctionner car il s’agit de l’homme connu dont Annabelle m’avait donné le nom.

• Vous prenez un verre mademoiselle, un ami m’a donné le numéro de votre organisation car vous avez une très bonne réputation.
• Merci je vais essayer de vous satisfaire, j’aimerais que nous rejoignions la chambre j’ai fait la route et j’aimerais que nous prenions un bain ensemble.
• Joué dans la baignoire, cela peut être sympa, je vois que j’ai bien fait de faire appel à vous.

Nous mettons cette idée à exécution et j’attends qu’il me déshabille pendant que je fais de même avec lui, nous rejoignons la salle d’eau avant de m’agenouiller encore une fois devant une belle queue que je suce avidement.
Je finis par le lâcher afin que nous mettions en pratique nos jeux aquatiques.
Dans la baignoire il me caresse les seins avant de nous asseoir, il passe sa main entre mes cuisses et je lui caresse la bite.

• Retournez-vous et appuyez-vous sur le rebord, je vais vous prendre en levrette.
• Tout doux l’ami, ou voyez-vous une capote ici, pas de capote pas de baise.
• Je double votre prime car j’ai trop envie de vous, vous me faîte un sacré effet il y a longtemps qu’un cul ne m’a fait l’effet du tien.

Je me relève sors du bain, je prends une serviette pour m’essuyer et je récupère mes affaires.

• Ou vas-tu, pourquoi parts-tu ?
• Que vous me tutoyiez passe encore mais que vous mettiez mon intégrité physique en danger jamais.
• C’est bon, j’ai compris, madame est susceptible, mais il est vrai que je bande comme dans ma plus belle jeunesse, je suis sérieux, restez.

Il sort de la baignoire et dégoulinant de flotte va jusqu’à sa veste, ouvre son portefeuille et sors une liasse de 200 € qu’il me met dans la main.

• Reste…

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