Femme BCBG, escorte, non, pute… (131)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (131) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Femme BCBG, escorte, non, pute… (131)
Je suis en ce moment en train de me moquer de la figure de Livia qui a quitté ses habits de lesbiennes pour trouver ceux d’une jeune femme aimante, oui mais d’un homme elle qui les rejetait tous jusqu’à ce jour.
J’ai rencontré le curé de Villerville village sur la côte normande où Livia à une maison qui lui vient de ses parents.
J’ai eu la surprise d’apprendre que Valérie m’avait caché que Livia est la fille adoptive de Fred et Fred nos amis qui font partie de l’organisation et qui doivent m’aider dans ma nouvelle idée que je compte développer avec l’aide d’Ophélie l’amie de Katia que j’ai ramenée à Paris de mes vacances pour qu’elle continue ses cours pour être informaticienne.

• Asseyez-vous, on va vous expliquer.
J’ai rencontré Lionel hier au soir dans le café de votre village et nous discutions quand le patron a fermé et que nous sommes partis vers ta maison.
J’ai proposé à Lionel de venir boire un verre.
• Et tu as fait l’amour avec, j’ai du mal à prononcer le nom, monsieur le curé sur mon canapé.
• Lionel bouche-toi les oreilles, je vais dire une chose qu’aucune de tes paroissiennes ne t’a dit, quand tu as refusé de venir boire un verre pour éviter d’être tenté j’ai trouvé des films X, l’un d'eux parlait d’une femme qui était lesbienne et qui faisait l’amour pour la première fois avec un homme.
As-tu bien ce film ?
• Oui.
• L’acteur qui joue le rôle de l’amant est Tof mon amant avec qui, bouche-toi bien les oreilles Lionel ?
• Aucun problème, je prie dans ma tête et je suis sourd à tes propos, tu disais Tof ton amant avec qui, j’attends la suite.
• J’ai horreur de parler de moi, je me suis masturbée et j’ai taché ton canapé Livia.

La patronne vient prendre la commande.

• Mais dit moi Christine s'est bien mes affaires que tu as sur le dos.
• Oui, Lionel m’avait donné rendez-vous à 10 heures à l’église, j’ai même communié.
• Elle est folle, j’ai amené une folle dans notre village Corentin, monsieur le curé vous dite bien que vous n’avez rien à vous reprocher.
• J’ai fait mon travail, elle est venue à l’église et j’ai donné la bonne parole à mes paroissiens et à Christine sur « le bien et le mal » qui l’a religieusement écouté, elle a été méritante alors je l’ai invitée à déjeuner, mais dis-moi, parle-moi de Corentin, on voudrait savoir ce qui nous vos ces revirements.

Livia devient toute rouge, elle est troublante assise en face de son amoureux qui lui tient la main par le dessus de la table.

• Il faut remonter à plus de 15 ans, Corentin était mon copain d’enfance, au fil du temps deux évènements ont eu de l’importance pour moi ou pour lui, ces loin d’être poli mais je commence par moi, j’ai eu du poil, monsieur le curé recommencé à prier.

Lionel se prend les mains comme s’il priait.

• J’ai eu des poils blonds à ma chatte et mes seins s'est développé, du côté de Corentin un soir au bal m’a fait danser des slows, j’ai senti, monsieur le curé, je vous en supplie, prier.
• Je suis à donf, je prie pour le repos de vos âmes.
• J’ai senti qu’il bandait, ce soir-là nous étions venus en voiture avec un copain et tout s’est arrêté là, c’est dans cette période que j’ai été reçu chez les pompiers, je suis revenu un week-end et Corentin m’a appris à faire de la moto.
• J’avais acheté une moto pour mes 18 ans et ce weekend-là elle est arrivée avec une 500, le soir nous avons roulé sur la plage et pour la première fois j’ai vu Livia nue, nous avions enlevé nos combinaisons et je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser.
• C’est exact c’est ce soir-là que l’idée m’est venue de rouler nue, j’avais senti de l’excitation sur la route avec des sensations étranges au travers de ma combinaison.
• Elle a joui car quand nous avons retrouvé nos combinaisons je l’ai de nouveau couché sur le sable, nous nous sommes embrassés et j’ai amené ma, Livia à raison, monsieur le curé.
• Je prie Corentin, j’ai attaqué la relecture des évangiles dans ma tête.
Tu as amené ta bite à la hauteur de la fente de Livia et au moment de la pénétrer tu as éjaculé.
• Y étiez-vous monsieur le curé ?
• Non, mais j’ai peut-être vécu la même scène, dans nos années de jeunesse, nous avions peu l’occasion de rencontrer une jeune femme qui accepte d’avoir des rapports sexuels hors mariage, neuf fois sur dix, nous en sommes tous arrivé à ce qui t’es arrivé Corentin.
• Est-ce pour cela que vous êtes devenue prêtre ?
• Puisque vous en êtes aux confidences sur votre jeunesse, je vais vous dire quelque chose que seul Valérie votre amie sait mais je vous demande de tout garder pour vous.
À la suite de cette première fois il y en a eu une deuxième et Brigitte ma petite amie est tombée enceinte, j’allais l’épouser quand mes futurs beaux-parents sont venus à la maison, je vivais dans le nord dans ce temps-là.
Brigitte en se rendant à une visite en vue de la naissance a été renversée par une voiture, elle a été dans le coma jusqu’à la naissance, c’était une jolie petite blonde comme sa maman qui est morte à sa venue au monde, j’étais trop jeune et sans expérience, mes parents et ceux de Brigitte avaient des situations leur empêchant d’élever ma fille.
Ils ont décidé pour moi et elle de la proposer à l’adoption ce qui a été fait et je suis rentré dans les ordres refusant d’aimer une autre femme et trouvant l’amour de celui que je sers.
• Monsieur le curé, je pourrais être votre fille !
• Livia évite de dire des bêtises, je sais que depuis ta naissance tu rêves de connaître ton papa et ta maman mais tu sais bien qu’en France, les enfants adoptés sont dans l’impossibilité de remonter et de savoir leur origine.

C’est à ce moment que je fais le lien dans ma tête, la blondeur de Livia sa maman étant blonde, Fred et Fred qui l’ont adopté, Valérie qui sait des choses et qui a pris sous son aile la petite sans l’amener à travailler pour l’organisation.
La chose la plus troublante à la fin de son récit c’est Lionel, aux propos que vient de tenir Livia sur sa susceptible paternité avec elle, a joint ses mains très discrètement, a fermé ses yeux et semble prier.
Prie-t-il au souvenir de sa dulcinée, pour le bonheur de sa fille si Livia est issue des rapports qu’il a eus avec cette jeune femme avant son accident, il est sûr que dès mon retour chez Valérie il va falloir qu’elle s’explique.
Un point semble manquer à mon puzzle, comment Lionel aurait eu la chance extraordinaire d’avoir été nommé curé de cette paroisse, la coïncidence est trop grosse et je dois me tromper.
Je me sens obligé de reprendre le dialogue interrompu par la question posée par Livia.

• Corentin, as-tu éjaculé sur la chatte de Livia ?
• J’ai eu honte et je me suis sauvé, j’étais jeune et ma réaction a entraîné une succession de catastrophes pour moi et de décisions que Livia assume depuis qu’elles ont eu lieu.
• Christine, tu connais la grande partie de ce qui m’est arrivé après ma rencontre de vacances avec Camille quand je suis venue les passer dans la maison d’été de mes parents.
• Quand j’ai appris que Livia était en ménage avec sa copine, j’ai eu honte de ce qui s’était passé sur la plage et comme mon activité moto prenait de la place j’ai accepté de signer pour un team américain comme mécanicien.
Elle ignorait jusqu’à hier au soir que j’avais accepté de m’occuper de sa nouvelle machine, je l’ai amené chez elle sachant qu’elle venait ce week-end, ce que j’ignorais c’est qu'elle viendrait avec vous Christine et c’est pour cela que le premier soir sur la route du bord de mer je vous ai doublé sans me dévoiler.
• Je l’ai reconnu sur la plage, quand il est passé s’étant dénudé et j’ai pris le risque de faire un soleil pour lui faire croire à un accident et voir sa réaction, tu as failli mettre tout parterre Christine quand tu es venue vers moi, je suis sûr que tu m’aurais embrassé pour me prouver tes sentiments, je devrais dire ton grand cœur.
C’est quand tu as voulu enlever mon casque que la situation m’est devenue favorable, j’ai aimé mes moments de passion avec Camille et toutes les femmes que j’ai connus depuis sa trahison mais j’ai compris que mon cœur battait toujours pour le couillon qui est à notre table.
• Livia, non close, tu dois dire ce que nous avons commencé, je crois que je vais avoir des heures de développement avec toi sur ta moto d'ici au Touquet, sans parler les mises au point qui vont être nombreuses.
• C’est bien gentil les enfants, mais je suis debout depuis bien des heures et j’ai encore beaucoup de travail pour gérer ma paroisse. J’ai un mariage dans une semaine et je dois trouver ce que je dois dire à la jeune mariée, je la connais bien je lui faisais le catéchisme et je sais qu’il y a bien longtemps qu’elle a évité ce qui t’es arrivée Livia.

Il se lève me regarde intensément comme la veille il me baise la main mais en appuyant ses lèvres dessus contrairement à hier.

• Lionel attend une seconde.

J’ouvre mon sac à main, je prends un bristol vierge sur lequel je note mon numéro de portable personnel. Quand il le prend en main je m’aperçois que je me suis trompé et que sur le deuxième côté qui devrait être blanc il y a un nom écrit en gros, « Magali » avec bien sur le numéro de téléphone à appeler, il la glisse dans l’intérieur de sa veste sans le voir.
Cout de chance, mes tarifs sont donnés sur le coup de téléphone et pas sur ma carte.
Je vois qu’il va pour payer.

• Madame l’addition c’est pour moi.

Il me fait signe merci, je rigole intérieurement, il vient d’accepter l’argent d’une pute et il le sait.

• Qu’en penses-tu, Christine il est coule notre curé.

J’ai envie de lui dire « et beau gosse » mais je lui ai fait prendre trop de risques jusqu’à ce moment pour relancer la discussion.

• Christine, cela te poserait des problèmes si Livia et toi repartiez pour Paris vers minuit.
• Non, demain c’est Lundi et l’institut est fermé je pourrais récupérer avant mon avion pour Moscou.

Je paye moitié-moitié avec Livia qui compte participer, nous repartons dans les rues du village jusqu’au bas d'un vieil immeuble.

• Christine, je vais avoir tout le temps de m’occuper de Livia jusqu’à ce que je vous raccompagne à l’autoroute, vient prendre un verre chez moi, tu verras c’est tout petit, mes parents sont partis habiter en Provence mon père étant responsable d’une grande surface près d’Honfleur qu’il gérait, il est allé là-bas pour en gérer des deux fois plus grandes.

Contrairement à mon copain curé je monte chez lui ou devrais-je dire chez eux.
Il a un studio et ce qui me saute aux yeux qu’à l’inverse de Livia qui avait des photos de Camille sur ses murs ce sont des photos de Livia qui parsème les quatre coins de la pièce.
Des photos quand elle était jeune et qu’elle recevait des prix à la fin de l’année scolaire, des photos de mon amie en maillot de bain sur la plage un jour d’été.
Il semble qu’elle soit assise les bras derrière son corps et c’est un agrandissement que j’ai devant mes yeux, je suis sûr que Corentin s’est branlé devant la nudité de mon amie car sûre un coin il y a une tache qui peut avoir été faîte lors d’une éjaculation plus forte que les autres.
Je bois un café et je retourne chez Livia attendre l’heure de notre départ pour Paris.
Une sieste et la nuit tombe quand une envie irrésistible me pousse nue vers le garage, je descends la rampe menant à la plage faisant attention à éviter l’enlisement et arriver sur le sable mouillé je mets les gaz…

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