En cette journée toride

- Par l'auteur HDS Toucan9 -
Récit érotique écrit par Toucan9 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : En cette journée toride Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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En cette journée toride
Cette histoire, je l’ai réellement vécue je veux vous la relater de la façon la plus véridique :

Cette journée du 14 Juillet, il faisait au moins 30°. Ma femme : Sylvie, 27 ans, brune, un corps de sportive et très prude (trop à mon avis !) et moi avions invité pour l’apéritif un voisin que je n’aime pas beaucoup mais que j’avais un peu « chauffé » sur ma femme (par plaisir purement vicieux d’espérer la voir objet de cet « homme » !) Qui était seul ce Dimanche. C’est un homme de 58 ans, bedonnant, à moitié chauve, de grosses lèvres sous sa petite moustache, l’air particulièrement vicieux, les yeux toujours à l’affût d’un coin de chair de femme et autoritaire.
Mais bon, il nous avait déjà rendu service en nous fournissant de la viande à prix exceptionnel étant livreur bientôt à la retraite dans une société de distribution alimentaire.
Je fantasmais secrètement depuis longtemps de voir Sylvie ma femme s’exhiber un peu (et peut être plus ?) devant lui car je savais qu’il fantasmait sur elle, nous en avions déjà parlé ensemble.
J’avais convaincue Sylvie, de ne mettre que sa petite robe courte d’été, très légère avec un grand décolleté et d’une transparence qui laissait apercevoir ses dessous! J’avais eu du mal car elle avait remarqué les coups d’oeils appuyés de Monsieur F (appelons le comme cela) sur son corps. Elle le trouvait vraiment très repoussant.
Elle avait quand même accepté sur mon insistance mais à contre cœur !
Depuis le matin je la trouvais un peu énervée. De cette invitation peut être ?
F arriva enfin. Il la prit dans ses bras et lui fit la bise et je vis qu’il l’embrassait tout près des lèvres. Cela m’excita un peu! Les banalités d’usage furent échangées et tous les trois réunis devant la table en verre transparent du jardin, nous discutions de choses et d’autres. Je remarquais que F louchait souvent sur les cuisses nues et surtout sur la poitrine de Sylvie mais il n’y avait pas grand-chose à voir, elle avait mis un soutien gorge très sage alors que je lui avais proposé d’en mettre un transparent, ce quel m’avait refusé tout net !
Elle avait remarqué ses coups d’oeil et semblait un peu troublée, je lui trouvais ses yeux un peu brillants ?...
Avec ma femme nous allâmes dans la cuisine pour chercher les amuses gueule je la trouvais légèrement fébrile (excitée ?). Alors j’en profitai pour lui dire :
-Dis donc tu as vu comment il louche sur toi? Ca ne t’excite pas ?
-Bof, dit t’elle tu sais il n’a pas grand-chose à voir !
Je sautais sur l’occasion, saisissant l’opportunité !
-Tiens alors fais moi plaisir retire ton soutien gorge ! Montres lui tes seins !
Elle fit la grimace prête à refuser mais je lui dis :
-Excite le un peu, nous ne sommes que tous les trois, essayes !
Alors aussi surprenant que cela elle me dit en soupirant:
-D’accord mais juste ça ! Tu sais c’est pour toi.
Ravi de cette aubaine, je lui dis : D’accord, tu te montre bien en te penchant vers lui hein ? Je veux que tu l’excites pour de bon !
Elle partie dans la salle de bain et moi je revins sur la terrasse avec l’autre.
Un instant plus tard, Sylvie nous rejoint mine de rien. Je me demandais si elle avait bien fait ce que je lui avais demandé mais à travers la robe légère j’aperçus, ainsi que F d’ailleurs les petites taches sombres des auréoles de ses seins clairs, quand elle se rassit auprès de nous. Je plaisantais avec notre invité en parlant de la chaleur qu’il faisait, que l’on avait envie de ne mettre que peu de vêtements et que l’on pouvait profiter de ça pour en voir plus des corps de jolies femmes !

Sylvie sourit et dit :
- Vous êtes vicelard vous les hommes !
- Et alors, dit F, c’est sympa de découvrir des choses que vous cachez trop d’habitude Mesdames !
- C’est vrai, dis je, je préfères te voir comme ça, presque nue plutôt qu’avec un col roulé !
- Moi aussi ! Dit t’il en souriant d’un air gourmant et vicieux, fixant la poitrine libre sous le léger tissus!
A ce moment Sylvie gonfla ses poumons faisant pointer ses seins fièrement vers lui avec un sourire coquin, comme pour le provoquer.
Déjà excité en voyant cela, je dis à Sylvie (pour tester sa bonne volonté) :
-Tiens montre un peu tes plantations à M. F, il te donnera sûrement des conseils !
-Pourquoi pas, venez voir… lui dit t’elle avec un sourire engageant.
- Bien sur avec plaisir dit t’il.
Ils se levèrent et je constatais que Sylvie se penchait bien face à lui pour montrer ses fleurs et avec le décolleté ouvert, il devait avoir une superbe vue directe sur les seins nus de ma femme. J’étais heureux de la voir enfin obéir pour mon plaisir.
Elle restait penchée face à lui en le fixant dans les yeux avec un sourire coquin !
Je me levais enfin et m’approchant d’eux je jetais un coup d’oeil à ma femme, je vis ses seins ronds et fermes, les bouts tendus comme des pointes et … Surprise, je vis qu’elle avait aussi retiré sa petite culotte! La robe ample ouverte laissant apercevoir l’ombre noire de son bas ventre.
C’était la première fois qu’elle faisait cela ! Elle était prête ! Je bandais de plaisir de voir ma femme exaucer mes désirs cachés depuis tellement longtemps !
F était écarlate, en nage les yeux fixés sur le corps dévoilé de Sylvie un vague sourire au lèvres et le souffle court.
Cette présentation dura un petit moment, Sylvie s’étant laissée, pour la 1ère fois, admirer par des yeux vicieux, semblant y prendre plaisir.

Nous sommes revenus à la table pour boire nos alcools. Je constatais que Sylvie avait aussi les joues rouges et respirait rapidement. Elle but très vite son apéritif. Je lui en resservi un autre bien tassé, sentant que le moment était propice pour qu’elle réalise mon fantasme Elle avait laissé sa robe remonter en s’asseyant et nous voyions ses cuisses bronzées sous la table.
J’en voulais encore plus et d’un regard appuyé vers elle (que F remarqua) je l’encourageais ; me comprenant, elle croisa les jambes en les écartant un peu, faisant volontairement remonter sa robe, laissant apercevoir les poils noirs de sa chatte à F assis face à elle. J’étais aux anges.
La table en verre transparent lui permettait de deviner le haut des cuisses de ma femme. Il était vraiment troublé par ce spectacle offert
Enfin elle leva pour chercher quelque chose dans la maison. J’en profitais pour dire à notre invité :
-Vous avez de la chance de voir autant de choses ! Peut être un peu plus vous intéresserait ?
- Oh oui, mais ça ne vous dérange pas ?
-Non, au contraire lui dis je. J’avais tellement envie de la voir faire cela pour vous. Je vais voir jusqu’où elle veut bien aller !
Je rejoignis Sylvie dans la cuisine et la prit dans mes bras. L’embrassant sur sa bouche chaude, je glissais une main sous sa robe légère et je sentis sa chatte humide. Je lui fis part de mon excitation à la voir faire tout cela et je profitai de son trouble :
-Dis donc tu as vraiment l’air d’aimer te montrer au vieux F mais ce n’est pas assez, si tu lui faisait une petite gâterie ce serait mieux !!
-Oh non il est répugnant, c’est pour toi que je fais cela mais…
- Allez, fais un effort, lui dis je d’un ton ferme, tu es bien partie et il a peut être une belle bite que tu sucera jusqu’au bout. Allez fais moi plaisir suce le !!! Tu dois m’obéir !
- Bon OK tu l’auras voulu me dit t’elle !
-N’oublie pas : jusqu’au bout et tu lui obéi, tu fais tout ce qu’il veut! Je me mets dans le grenier et je te laisse faire.
Elle ne dit rien et partie rejoindre le vieux, me jetant un regard trouble en passant devant moi.

Sous un prétexte quelconque je les quittais et me rendis dans le grenier. J’écoutais leur conversation.
Sylvie avait dû recommencer ses exhibitions (il m’a dit après qu’elle avait largement écarté les cuisses cette fois, de façon provocante lui exhibant sa chatte noire en souriant. Il avait compris à ce moment qu’il avait une chance inespérée !)
Il lui demanda si elle était heureuse d’être dehors seule avec lui et avec si peu de vêtements.
Elle lui répondit :
-C’est lui qui le veut !!! Mais ça vous plait au moins ?
- Bien sur une si jolie femme avec un corps superbe qui donne envie d’en faire plus !
- J’ai envie de vous embrasser pour toutes les réductions que vous nous avez eu !
Et elle l’embrassa sur la bouche.
Il lui saisit un sein qu’il sentit se dresser entre ses doigts. Elle ne bougeât pas, la bouche collée sur la sienne, semblant prendre plaisir aux attouchements du vieux porc.
Enfin elle dit :
-Viens là haut, j’ai quelque chose pour toi.
Ils montèrent dans la chambre à coté de moi.
J’avais laissé la porte de séparation entrouverte et je les vis face à face.
Aussitôt dans la chambre, il l’attira sur lui et reprit le baiser, la langue introduite profondément dans la bouche de ma femme.
Elle s’écartât légèrement de lui et dit :
-Je dois te sucer.
Elle se mit à genoux devant lui et ouvrit son pantalon, qui tomba à ses pieds. Le gros ventre blanc du vieux sortit, il descendit son slip et une petite bite toute molle se présenta devant le visage de ma femme.
Elle n’osait la prendre (je sus plus tard qu’elle sentait très fort l’urine)
Il saisie sa queue et la promena sur la figure de Sylvie.
-Allez, prend la ma petite nettoie là !
Elle la prit entre deux doigts, approcha sa bouche quand même et passa la langue dessus. L’agitant un peu elle dit d’une petite voix :
-Elle est molle! Je ne t’ai pas excité ?
-Tu sait à mon age c’est plus dur pour bander longtemps il va falloir que tu suces !
Et d’abord lève toi ! Je constatais un changement important dans son attitude, un ton très ferme, ayant senti qu’elle se laissait dominer.
Elle obéit et se releva. Il saisit sa robe qu’il lui ôta, la mettant nue devant lui.
Le corps mince de ma femme apparut, ses seins blancs et la toison noire de sa chatte tranchant sur la peau bronzée. Le maillot de bain deux pièces avait délimité et protégé ses parties intimes, elle n’avait jamais voulu se mettre nue au soleil dans le jardin ni ailleurs.
C’était la première fois qu’elle était nue face à un autre homme que moi.
Je sentis F excité. Il dit (la voix forte) :
-Depuis le temps que je te connais et que je voulais te voir toute nue !!! Enfin je te tiens !
Il lui saisit les seins et les tripota fébrilement, brutalement, pinçant très fort les tétons lui arrachant un cri de douleur.
Il prit un sein dans sa bouche et le téta lentement je vis le visage de Sylvie s’illuminer de plaisir. Elle lui pressa la tête contre sa poitrine. Il s’écarta un instant après. Il palpa tout son corps, descendit une main jusqu'à sa chatte ou il introduisit violemment un gros doigt après qu’elle eut largement écarté les cuisses ce qui me surpris de la voir répondre autant aux désirs de F.
-Tu mouilles bien !
- Oui, vas y ! dit t’elle
Sentant son envie il en introduisit un deuxième sans ménagement, il les fit aller et venir violemment elle tremblait de plaisir et de souffrance. Il les enfonça avec force et elle jouit intensément quelques instants plus tard en se collant à lui.
- C’est bon ! Souffla t’elle
Retirant brutalement ses doigts il reprit la bouche de ma femme, qui s’ouvrit et y plongea sa langue. Elle lui prit la tête entre ses mains et l’embrassa avec force, la bouche grande ouverte pour un baiser violent, passionné, pour le remercier du plaisir qu’il lui avait donné!
S’écartant en la repoussant il lui dit :
-Reste la bouche ouverte.
Ce qu’elle fit. Et alors il crachat dans cette bouche grande ouverte ! Elle ne bougeait pas, la gardant ouverte souillée du crachat du vieux.
J’étais abasourdi de voir ce qu’il faisait à Sylvie prêt à intervenir si cela dégénérait mais excité en même temps de voir le degré de vice de cet homme et ce qu’elle était capable d’accepter ! Je bandais de plus en plus !
-Allez avale, dit t’il.
Elle s’exécuta. Avec plaisir (me dit t’elle plus tard) elle avala, soumise devant moi à l’autorité de son amant.
-Ma queue maintenant !
Il avait pris un peu de vigueur, alors Sylvie s’agenouillât et reprenant le sexe de F, le gland encore recouvert de sa peau. Elle le prit en bouche, aspirant cette petite queue, je voyais les joues de Sylvie se creuser tellement elle la suçait fort ! Elle allait et venait sur le gland, en levant des yeux pleins de désir vers la face réjouie du vieux. J’admirais voir ma femme toute nue à genoux devant un homme vieux et laid encore à moitié habillé qui s’excitai de cette situation digne d’un film porno.
Quelques secondes après il dit :
-Mets ton doigt dans mon cul !
Il écarta les jambes et elle introduisit son doigt dans le fondement du vieux.
-Vas y, branle moi le cul ! dit t’il.
Elle s’exécuta lui rentrant profondément dans l’anus. La bouche toujours occupée par la tige du vieux.
Il l’encourageait :
-Plus vite enfonce le bien et suce, ma salope suce le vieux connard que je suis pour toi !
Elle redoubla d’efforts buccaux et enfin la bite atteint une taille normale. Elle allait et venait sur le gland ses joues toujours creusées par la succion. Il lui recula la tête en la tirant brutalement par les cheveux et lui dit :
-Retire ton doigt et suce le !
Elle obéit encore et sorti son doigt maculé. Il lui prit la main et la forçat à l’introduire dans sa bouche. Elle eut une grimace de dégoût et un haut le cœur. Elle parvint à déglutir quand même !
F rigola :
-C’est bon ?
Prenant sa queue entre ses doigts il commença à se branler devant la bouche de ma femme qui se rouvrit. Elle tendit la langue agaçant le méat ou une goutte de sperme perla quelle recueillie avec plaisir pour supprimer le goût acre des souillures avalées.
Il se branlait de plus en plus vite le gland a moitié dans la bouche ouverte langue tendue de Sylvie.
-Regarde moi, Salope !
Elle leva les yeux vers les siens, le regardant franchement, complètement soumise au plaisir du vieux.
Il accéléra son mouvement, la tête penchée vers ma femme et il lui dit, dans un râle:
-Oui…Prend tout !
Et il déchargea en jets spasmodiques sur la langue tendue, tendant son ventre et sa bite vers elle, un large sourire de satisfaction sur son visage. Elle en avait plein la bouche. Elle en eue aussi sur le nez et la joue. Un peu de sperme atterri sur le sein droit de Sylvie. Une fois tout déversé (il en avait une bonne dose !) elle gardait toujours la bouche ouverte, apparemment ne sachant que faire, le sperme visqueux du vieux la dégoûtait certainement mais elle était maintenant complètement soumise, prête à tout ce qu’il lui imposerait.
-Garde mon jus, régale toi salope! Allez, salope avale tout !
Et je vis aux mouvements de sa gorge qu’elle avalait le foutre de F.
-Montre moi si tu m’as bien avalé, cochonne !
Rouvrant la bouche devant l’autre elle lui montra qu’elle avait fait ce qu’il voulait.
Il récupéra le sperme sur le nez de Sylvie avec ses doigts et les lui fis les sucer. Il en profitât pour les lui enfoncer dans sa bouche, ce quelle laissa faire!
J’étais aux anges, elle n’avait avalé mon sperme qu’une seule fois depuis que nous étions mariée!
A ma grande surprise elle reprit la queue du vieux, toute molle, avec sa bouche et téta le morceau de chair en le branlant lentement comme si elle voulait le vider de toute sa semence.
Il lui tira la tête, la saisissant par les cheveux,
-Ca suffit, y en a plus pour aujourd’hui, t’as l’air de l’aimer ma bitte ! C’est bien, tu es la première qui accepte de faire ce que j’ai envie. Tu aimes le foutre ! J’espère que tu suceras d’autres bittes aussi bien la prochaine fois ?
Elle quitta comme à regret la petite queue du vieux. Elle ramassa le sperme tombé sur son sein avec les doigts et les portant à sa bouche elle les lécha !
Il remonta slip et pantalon, ma femme toujours nue a genoux devant lui.
Je compris que ma petite femme si prude jusqu’à aujourd’hui avait glissé dans le plaisir par la soumission à F (qu’elle m’avait souvent dit détester) étonné de voir jusqu’ou elle pouvait s’avilir mais en même temps heureux de la voir sortir de son attitude si prude qu’elle avait habituellement à la maison.
Je jouis enfin, projetant mon sperme sur la moquette, n’ayant pu profiter moi aussi de sa bouche.
Il la fit relever en la re-tirant par les cheveux, il reprit ses seins à pleine main et en les triturant, les pinçant très fort pour lui faire vraiment mal, elle grimaça de douleur mais elle lui sourit aussitôt après.
Lui donnant une claque violente sur la fesse en pinçant toujours un téton il lui dit ;
-T’es ma salope maintenant je reviendrai et je t’amènerai des copains a soulager si tu es gentille et si ton mari est d’accord.
Elle lui dit d’une petite voix :
-Il faut lui demander !
Je sorti de ma cachette faisant sursauter le vieux. Il la lâchât. J’avais un grand sourire.
Je me tournais vers Sylvie, toute nue entre nous.
-Moi je veux bien, et toi es tu prête ?
Elle ne répondit pas, baissant la tête.
-D’accord elle fera ce que vous voulez.
-Super dit t’il. J’ai des copains qui aimeront ta bouche ! Tu avales bien ! Penche toi, lui dit t’il !
Elle se pencha en avant, lui présentant sa croupe. Il lui écarta les fesses et introduit un doigt dans son anus et lui frotta le clitoris de l’autre main ! Devant moi ! J’étais surpris de son audace et encore plus de la soumission de Sylvie !
-Vous avez une femme splendide et bien élevée ! Me dit t’il.
Elle poussa un gémissement et je vis son visage s’illuminer d’un grand sourire. Elle aimait ces doigts qui la fouillaient !
-Elle mouille encore ! Elle aime ça dis donc ! J’espère qu’elle sera comme ça avec les copains !
Et sans attendre il nous quitta.
Je pris Sylvie toujours nue, abasourdie dans mes bras pour la féliciter de son comportement. Je lui fis boire un alcool fort avant de l’embrasser. Pour la première fois elle resta nue une grande partie de l’après-midi au soleil, quitte à être vue des voisins, mais insouciante et joyeuse. Elle ne me dit rien et c’est bien plus tard qu’elle m’a livré ses sentiments à ce moment là, et j’en appris plus après qu’il l’ai effectivement livrée à des copains et même à un voisin détesté pour le même exercice dès le lendemain !

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