COLLECTION BLACK. La pente fatale. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. La pente fatale. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. La pente fatale. (1/1)
Quand j’ai été sexuellement formée May, Carine et Rose m’ont entraîné dans une soirée où j’ai terminé par perdre mon pucelage avec Laurent, le fils de la maison dans la chambre de ses parents.
La seule chose qui m’a marqué c’est la verge noire de ce garçon ses parents étant Martiniquais.
À cette époque ma connaissance du sexe était très limitée, quand il m’a pénétré me déflorant avant de remplir sa capote que j’avais imposée qu’il place sur sa verge, j’étais contente d’être devenue une femme.
C’est plus la grossesse que les maladies transmissibles dont j’ai eu peur, je le connaissais le fréquentant au lycée, je savais qu’il était puceau, en venant chez lui j’ignorais que ce serait par lui que je serais déflorée et à cet époque je n’avais pas demandé à maman de prendre la pilule.

Je revoyais ce jeune garçon les dimanches suivants à la messe et à partir de ce jour, j’ai vécu dans le péché me voyant mal dire à notre curé m'ayant baptisé que je m’étais fait sauter.
Dans les jours qui ont suivi je suis resté chaste regardant seulement sur ma tablette des petites vidéos porno où l’homme était noir et si possible avec des engins dépassant mon imagination.
J’ignorais qu’il y en avait d’aussi grosse et grande, à l’école dans nos cours d’éducations sexuelles sur les dessins elles faisaient vingt centimètres au maximum et était toujours blanche.

Pour mes dix-neuf ans les trois grâces comme je les appelais m’ont emmené dans un club échangiste d’une ville voisine.
Quatre filles, quelle aubaine pour la patronne à l’entrée de cette petite boîte dans une rue bien cachée qui possédait une piscine, un sauna, des salles permettant de s’isoler et d’autres à travers des vitres tintées où nous pouvions voir des couples s’exhiber.
J’ai repoussé toutes les sollicitations ainsi que les hommes blancs et leurs verges bien loin de mon fantasme.
Sur Internet il y avait aussi de grosses verges blanches et les rares fois où je regardais c’était dans la catégorie « grosse bite ».

Un jour où j’étais loin de penser à tout cela je l’ai rencontré, Youssef, camerounais naturalisé français à qui j’ai cédé rapidement car pour voir s’il était à la hauteur de mes envies, il fallait bien que je me couche.
Bien sûr, depuis mon dépucelage mes précautions étaient prises, mais j’utilisais toujours des capotes jusqu’au test prénuptial après mon mariage avec Laurent qui avait fini par faire sa demande.

Après trois ans de mariage les trois grâces ont voulu que nous reprenions nos soirées entre filles, je voulais bien et j’ai demandé à Laurent s’il acceptait.
J’ai eu son accord seulement si je restais sage, resto ou repas chez l’une d’entre nous.
Laurent est écrivain et a publié quelques romans nous permettant de vivre sans souci surtout avec mon salaire de vendeuse dans une boutique de chaussures.
Quand Rose a arrêté la voiture, j’ai reconnu le club qui m’avait déçu, le patron avait changé et c’était Gilles qui servait nu au bar, il était black, avait la carrure d’un judoka hors catégorie.

Dans la salle je voyais des ombres quand j’ai commencé à le sucer, l’engin qui a déposé sur ma langue était plus que conforme à toutes ceux que j’avais vues de ce calibre et j’ai failli lui sauter dessus pour qu’il me prenne.
Quant-il m’a placé en levrette me pénétrant, je suis devenue une chienne hurlante.
Oui, messieurs-dames que je vois nous mater derrière cette vitre, je suis sa chienne, car il me remplit au-delà de ce que j’espérais, il m’a apporté deux orgasmes monumentaux avant de remplir sa capote qui devait être de taille XXL, voire 3XL.
Je venais de basculer dans ma tête, car la plénitude que j’ai ressentie on fait que dans les jours suivants chaque fois que Laurent me faisait l’amour c’était bon, mais il me manquait cette impression de n’être qu’une entre la bite de Gilles et moi.
Le mois suivant c’était à mon tour de proposer notre soirée et les filles ont bien compris que depuis un mois je me masturbais en pensant à la grosse bite que j’avais trouvée.
Quand je suis entré nue étant passée par le vestiaire, il m’a reconnu et comme il avait apprécié le spectacle que nous avions donné à ses clients, c’est dans le sauna qu’il m’a prise entouré de personnes qui nous mataient, parmi elles les trois grâces.
Je pense que la jouissance que j’ai ressentie permettant à ceux qui sont proches du sauna d'entendre mes cris de jouissance comme s’ils m’égorgeaient.

Les copines étaient contentes que je sois heureuse chaque fois elles acceptaient que j’aille au club sans elles, me déposant devant et me reprenant après que je me sois éclatée, c’est moi qui rapidement en ai voulu encore plus.
Je me suis arrangé avec ma patronne prétextant des obligations pour débaucher à 15 heures les jeudis, car le club ouvrait à 16 heures ces jours-là.
Plusieurs clients venaient m’offrir un verre que je refusais, car dans ce club pour une jolie fille boire sans se faire baiser était mal venu.
A peine nue, Gilles m’emmenait dans différents endroits du club, j’ai fini par franchir une étape jouissant toujours aussi fort mais étant dans l’impossibilité de garder mon libre arbitre.

Chaque fois que je trompais Laurent surtout au début j’avais honte, mais les orgasmes apportés par mes amants qui me dévastaient ont fini par me donner une quiétude me permettant de laisser s'envoler mes préjugés.
Gilles était content, son chiffre d’affaires augmentait de nombreux voyeurs qui venaient, voir la petite blanche se faire emmancher par la grosse bite noire.
Une nouvelle fois il m’a entraîné dans la pièce vitrée et après avoir sucé ma chatte de sa grosse langue râpeuse il m’a fait mettre à quatre pattes, ma copieusement craché sa salive sur l’anus et sans me demander mon autorisation il m’a sodomisée.
J’ai eu l’impression qu’une barre de fer entrait au fond de mon corps, mais c’était Gilles qui me le faisait et Gilles était devenu l’homme qui avait tous les droits de martyriser mon corps.
Si cet homme avait voulu faire de moi sa pute, je l’aurais accepté, mais pendant toutes les semaines qui ont suivi entre les jeudis et les soirées où nous sortions entre filles, j’ai baisé plus souvent avec mon bel étalon qu’avec mon mari.

J’ai eu la chance que Laurent publie un Best-seller et fasse la tournée des libraires pour dédicacer son livre, il était parti du jeudi au dimanche me permettant d’assurer le spectacle du jeudi au dimanche après-midi.
Souvent je revenais quelques minutes avant lui le cul cassé et par chance il était toujours très fatigué suite aux kilomètres en voiture ce qui m’arrangeait bien.
En août, il a voulu que nous louions une villa sur la côte à La Canot, il avait commencé un nouveau bouquin, j’étais frustré de perdre mes exhibitions et le plaisir que je prenais avec Gilles pendant tout un mois.
C’était un moindre mal le club fermant pour travaux, Gilles avais gagner tellement d’argent grâce à nos exhibitions qu’il avait racheté la maison voisine qui possédait une grande cave souterraine et il a ouvert un passage entre les deux.

Il y avait deux semaines que nous étions arrivés quand mon téléphone à sonner alors que malgré la chaleur je faisais mon jogging pendant deux heures pour finir comme d’habitude dans la mer pour me rafraîchir, c’était Gilles m’annonçant une surprise.
Un Gilles en double exemplaire, il avait un jumeau aussi baraqué et un quart d’heure après à l’autre bout de la ville où il avait loué j’ai pu voir que Julien en avait une si grosse.
Coup de chance pour moi, j’étais en manque, je venais d’avoir mes règles, ce qui d’un autre côté m’arrangeait bien je supportais de moins en moins que mon mari me touche.
Les deux frères n'y sont pas allés par quatre chemins, j’étais incapable de savoir qui était Gilles et qui était Julien, la seule chose que j’ai retenu, c’est qu’à la réouverture j’aurais ces deux verges entièrement à ma disposition en même temps que les nouveautés que le club devait nous apporter.
Ce matin-là je suis rentré après m’être faîte ramené faisant croire que c’était le jogging qui m’avait épuisée alors que c'étaient les deux bites que j’arrivais difficilement à faire rentrer dans ma bouche qui en était la cause.
Je dois aussi dire qu’après m’avoir baisé à tour de rôle me faisant hurler de plaisir je me suis fait prendre en sandwich et j’ai réalisé pour ma première fois ma première double pénétration.
Au fil des jours, ils m’ont régulièrement pris en double vaginal pour finir la veille de notre retour en double anal, j’avais eu mal au cul la première fois que Gilles m’avait sodomisée, mais ces deux monstres dans mon anus m’ont déclenché une douleur comme toute autres pareils.
J’étais passé de l’état de chienne à celle de truie, car dès que l’un ou l’autre venait me chercher, je n’avais de cesse que la bite de mon chauffeur fasse son travail de bite me faisant atteindre des orgasmes tous plus phénoménaux les uns que les autres.

À la fin du séjour j’ai dit à Laurent que je repartais avec deux amis, la tête qu’il a fait quand il a vu les deux armoires à glaces qui m’avaient séduite, un moment j’ai eu peur à une confrontation musclée me voyant mal petite femme frêle m’interposant entre ces trois hommes.
Coup de change ou veulerie Laurent a baissé les yeux et j’ai pu prendre ma valise avant que la voiture ne reparte vers mon destin.

Arrivé devant le club Gill a ouvert la porte et je suis rentré, le décor avait changé et ils m’ont fait descendre vers la nouvelle cave, arrivé là Julien m’a passé un collier pour chiens en cuir des plus banals, il m’a fait entrer dans une pièce qui semblait avoir été préparée pour moi.
Ils m’ont déshabillé et mon attaché à un anneau près du lit qu’il avait placé à ma disposition, ils m’ont pris une nouvelle fois tous les deux, sentir ces deux verges me labourer et savoir que j’allais accepter de vivre entièrement soumise à leur bon vouloir, j’étais sereine quand la boule qu’ils avaient créée au fond de mes entrailles m’a dévasté.

Je suis resté là un certain temps jusqu’au moment où ils sont venus me chercher pour m’attacher à une croix placée dans la cave.
Ce jour-là le j’ai été flagellé pour la première fois avant qu’il me fasse monter à quatre pattes attachées par mon collier à une laisse et j’ai fait le spectacle avec l’un ou l’autre de mes Maîtres, les clients savaient qu’ils leur étaient impossibles de me toucher avec leurs mains, mais le pouvaient avec la cravache pendue à côté mes côtés.

Quand le spectacle se terminait, je redescendais dans ma cave, on m’attachait à ma petite chaîne me permettant de me déplacer sur quelques mètres et je servais de vides couilles à tous les clients qui souhaitaient se soulager sur la roulure volontairement devenue.
Ils me nourrissaient comme une gentille chienne et les clients adoraient me voir manger ma pâtée à quatre pattes.
J’ai dû apprendre à boire comme les toutous en lapent avec ma langue.

Le club était devenu un club sado-maso bien plus à la mode que les simples clubs échangistes et j’étais fière d’en être devenue la vedette grâce aux verges noires qui m’avait obnubilé, j’avais trouvé le but de ma vie du moins tant que mes deux bêtes humaines voudront de moi.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
cette histoire mériterai d'être plus détailler
dommage

merci quand même
cordialement

Histoire Erotique
très beau récit vite la suite

Voilà où peut mener une telle addiction… La plupart des femmes s'en plaindraient mais pas elle ! une sacrée salope !



Texte coquin : COLLECTION BLACK. La pente fatale. (1/1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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