Titre de l'histoire érotique : Scénario d'abus en réunion

- Par l'auteur HDS Quintessence2017 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Scénario d'abus en réunion Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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Titre de l'histoire érotique : Scénario d'abus en réunion
Depuis quelques mois, je fréquente Arthur, un garçon que j'ai rencontré en boite. En dépit de sa carrure très frêle et de son air androgyne, il est totalement actif et assez dominateur. Il m'arrive assez souvent de m'improviser esclave à sa merci, poussant parfois même le vice jusqu'à subir des châtiments corporels lorsqu'il le souhaite. Je fais mine d'être réticent, mais la vérité est tout autre : ça m'excite à mort.
Je lui ai donc récemment fait part de mon fantasme du moment : me faire prendre de force par plusieurs mecs en même temps.
On en a beaucoup parlé, et on s'est mis d'accord sur un petit scénario : Arthur connait pas mal de mecs dans les milieux gay libertins, il m'a donc assuré qu'il pouvait trouver au moins deux ou trois mecs qui seraient bien motivés pour un coup un peu original. Le plan était simple, je devais lui remettre un jeu de clés de mon appartement, et attendre. Lui, débarquerait avec ses sbires pour me faire ma fête et m'obliger à tous les soulager. Pour que la surprise soit totale, il s'était bien gardé de me dire quand cela aurait lieu. Dernière précision : jusqu'à la date fatidique, je devrai me laver le fondement chaque matin et chaque soir, afin de ne pas souiller mes agresseurs.
Deux jours plus tard, Arthur m'a passé un coup de fil pour me confirmer qu'il avait trouvé trois complices, et que j'allais sûrement prendre cher au vu des personnages. Je n'en pouvais plus, je trépignais, je voulais avancer le temps... mais jusqu'à quand ? J'ignorais même jusqu'au jour où cela allait arriver !
Au bout d'une semaine de sommeil léger d'impatience, je commençais à croire qu'Arthur s'était dégonflé, c'était bien mal le connaître.

Mardi dernier, après un repas solitaire, quelques verres d'un très bon Chardonnay et mon lavement du soir, je décide de me coucher tôt. Mon sommeil est bien agité et hanté de rêveries toutes plus obscènes les unes que les autres.
Tout à coup, je sens une main se plaquer sur ma bouche.
J'ouvre les yeux, paniqué, à demi endormi. La brume qui domine mon esprit à ce moment me laisse perplexe un instant, incapable de réaliser ce qu'il m'arrive. Cependant que plusieurs paires de main me saisissent les bras, les jambes et m'immobilisent.
À peine ai-je le temps de reprendre à demi mes esprits, que je suis plaqué sur le ventre, les poignets immobilisés dans le dos, et qu'on me bande les yeux.
Je sens une vive contrainte sur mes poignets et je comprends que mes bourreaux sont en train de les lier pour me rendre parfaitement captif.
J’essaie de me débattre, puis cède.
Je suis à la merci de mes agresseurs, aveugle et attaché.
Ça braille tout autour de moi et je peine à distinguer les voix les unes des autres. Je parviens cependant à reconnaître très nettement la voix d'Arthur, qui leur intime des ordres secs.
" - Allez-y messieurs, faites-vous plaisir c'est offert !"
Les autres voix s'entremêlent dans un brouhaha délirant de lubricité et d'impatience.
" - Laisse-moi tâter la marchandise ! Je veux lui palper le cul !
- Chacun son tour les gars, il y en aura pour tout le monde !"
Tout autour de moi, des mains s'agitent sur mon corps. Elle me palpent, me pincent, me claquent.
" - Pas mal du tout Arthur ! C'est un joli spécimen que tu nous a dégotté, son cul est bien ferme. J'ai hâte de le défoncer !"
Mon corps est en ébullition. Oui, je bouillonne de plaisir, de frayeur, d'impuissance. Je peine à me contrôler, mais je décide tout de même de jouer le jeu. J'implore d'un air innocent :
" - Non ! Pitié ! Laissez-moi ! Qu'est-ce que vous attendez de moi ? Je vous en supplie, je ferai ce que vous voudrez, mais ne me tuez pas !"
L'un d'eux éclate de rire.
" - Ce qu'on veut hein ? Tiens, commence donc par la fermer !"
Sa voix se mêle à un bruit de ceinture que l'on défait, et il ne tarde pas à forcer l'entrée de ma bouche avec ce qui me semble être un pénis de bonne taille, déjà bien gonflé.
" - Mfphhm..."
Nouveaux éclats de rire, généraux cette fois.
" - Bien joué ! Au moins il nous fera plus chier avec ses supplications de jeune vierge effarouchée.
- Ouais, pas la peine d'essayer de nous berner, on sait que tu aimes la bite, petite salope."
Je sens deux énormes mains qui me saisissent les fesses, et les écartent brutalement.
" - Mais regardez moi ce petit trou ! On sent qu'il en a vu passer des bites !"
Bruit de crachat, sensation humide sur mon anus. Le bourreau qui a choisi de s'occuper de mon cul lâche une de mes fesses, et m'introduit sans préambule un gros doigt qui m'arrache un cri de surprise, étouffé par la bite qui me comble la cavité buccale.
Il commence à me travailler le trou, faisant de grands va-et-viens qui ne manquent pas de me faire frissonner de plaisir.
Les deux autres ne sont pas en reste, je sens qu'ils me tripotent à tout va. Ils me pincent, et me fessent sans arrêt. Mon fessier et mon dos ne tardent pas à me brûler sous le claquement de leurs mains indélicates.
Entre deux fessées et autres maltraitances, ils m'insultent, et je les entends se déshabiller.
On me redresse légèrement en me tirant par la nuque et par les liens qui attachent mes poignets. Puis je sens que les mains qui s'affairent sur mon corps se dirigent vers mes tétons, d'abord pour les caresser. Finalement ces mains deviennent de plus en plus violentes, elles me pincent les tétons, les tournent, m'arrachant de petits gémissements déformés par les aller-retours de la bite qui me pilonne la gorge.
Mon corps tout entier est en extase. Je sens qu'un deuxième doigt force l'entrée de mon anus, et rejoint son comparse dans une course effrénée à la dilatation. L'impatience de ces derniers me laisse présager que leur propriétaire en a marre de cette tâche, il veut me forcer l'anus, mais pas avec ses doigts.
L'ambiance est joviale chez mes tortionnaires. Ils plaisantent, ils rigolent, ils me crachent dessus aussi.
 
Soudain, les doigts se retirent de mon cul, et la bite se retire de ma bouche. J'entends des bruits de pas.
" - Je passe en premier ! Je suis déjà bien lubrifié de sa salive !"
Quelqu'un râle.
" - Ouais, bon d'accord, mais t'éternise pas !"
Ni une ni deux, je sens une forme ovoïde, que j'identifie comme un gland bien gonflé, contre mon rectum. Pas un instant pour divaguer, le gland force mon anus, et entame une lente progression dans mon fondement.
Pendant ce temps, une autre bite a pris la place dans ma bouche. Celle-ci est plus grosse, elle me paraît énorme.
J'entends des bruits de masturbation près de mon visage. Les deux autres qui ne sont pas en train de me pénétrer se masturbent en même temps qu'ils s'efforcent de me malmener de leur main libre.
Je commence à m'éveiller, à me lâcher. Je veux leur donner du plaisir, alors je me cambre au maximum, afin de bien leur offrir mes belles fesses bien rebondies. Cela semble marcher car celui qui m'encule me saisit le fessier et commence à le fesser frénétiquement.
J'étouffe des cris de toutes sortes que ce dernier tente de m'arracher, d'une part en me pilonnant le derrière, d'autre part en me fessant de manière brutale. Je met désormais du cœur à l'ouvrage, on ne me force plus la bouche, mais je suce avec bonheur, serrant bien mes lèvres dégoulinantes de salive autour du phallus, jouant de ma langue sur le gland lorsqu'il se retire, refrénant les réflexes de régurgitation qui tentent d'expulser cette énorme bite hors de ma gorge.
Je jubile, je suis tout à fait dans mon élément. Pénétré de toutes parts, le corps forcé, envahi par des braquemarts rageurs qui ne veulent que me remplir, saisis d'une frénésie punitive qui n'a plus rien d'humain. D'ailleurs mes assaillants n'ont rien d'humain, ce ne sont que des mains, et des bites, et des voix, qui s'affairent à me diminuer, à m'humilier, à m'abuser.
Les deux autres ne cessent de me tripoter, mais ils se lassent visiblement, car l'un d'eux s'écrie :
" - Eh les gars partagez un peu ! J'en ai marre de me branler !
- Ouais bon, ça va, ok."
Les deux bites qui me remplissaient se retirent simultanément. Me laissant seul, vide, désemparé. Mon corps tout entier ne brûle que du désir d'être à nouveau rempli.
" - Allez viens par là ma petite salope !"
braille une voix dans mon dos. Une voix qui ne tarde pas, à son tour, à enfoncer sa grosse bite dans mon cul dégoulinant de plaisir.
Une autre voix au dessus de moi, que j'identifie comme celle d'Arthur, me demande :
" - Alors, c'est comme tu l'espérais ? T'es une sacré petite pute quand même."
Il ne me laisse pas le temps de répondre : debout devant moi, il présente son chibre à l'entrée de ma bouche. L'ordre est tacite, je le comprends sans difficulté, et j'enfourne ledit chibre dans ma bouche dans un élan de fièvre lubrique.
" - C'est bien, tu comprends vite. Je sens qu'on va passer une très bonne nuit."
À nouveau rempli, je sens mon corps parcouru de frissons délectables. Ma peau suinte le plaisir sexuel par le moindre de mes pores. Les deux autres agresseurs qui ont déjà eu leur tour sont en train de se branler à côté de mon visage.
La voix qui est derrière moi et me prend le cul passe des bras indiscrets autour de mon corps, et me maltraite les tétons, plaquant son torse contre mon dos. Je couine à chaque fois qu'il les tord. Puis il descend ses mains jusqu'à ma bite, gonflée à bloc, et éclate de rire.
" - Eh les mecs ! Regardez-moi ça ! Il bande comme un taureau tant ça lui plaît de se faire prendre de force !"
Et la voix d'Arthur d'ajouter :
" - Je vous avais prévenus les gars, ce soir tout est permis ! Je pense qu'on peut lui débander les yeux maintenant."
Un instant après, le bandeau qui m'aveuglait tombe. La lumière m'éblouit tout d'abord.
Puis, peu à peu, je distingue quelque chose. Au fur et à mesure que ma vue s'habitue, je vois le pubis d'Arthur se dessiner très nettement devant moi. Je lève les yeux pour voir ce dernier, fier, ses longs cheveux blonds peroxydés attachés en queue de cheval, me dominant de sa position debout lorsque moi, à genoux devant lui, j'avale goulûment son vit dégoulinant de salive, ma salive.
De part et d'autre de mon visage, je vois deux hommes qui se masturbent allègrement en rigolant. Ils sont tous deux très bien bâtis. L'un est brun, cheveux courts, presque ras sur les côtés, coiffés en arrière, il arbore une barbe très bien taillée bien qu'assez épaisse qui me laisse supputer qu'il a probablement des origines ritales. L'autre, un asiatique bodybuildé, cheveux courts également, me regarde en rigolant. Sa peau dorée luit légèrement à la lumière par l'effet de sa moiteur.
Je ne peux distinguer le quatrième individu qui se situe derrière moi, tout ce que je sais, c'est qu'il est blanc, et qu'il a décidé de m'arracher les boutons, et de me déchirer le fondement.
La soirée va bon train pour mes violeurs, qui se relaient tour à tour dans mon cul et dans ma bouche. Au bout d'une heure de sévices sexuels, ils ont tous joui en moi, que ce soit dans mon cul, ou dans ma bouche. Je suis désormais rempli dans tous  les sens du terme, le cul dégoulinant de sperme encore tiède.
Je tiens le coup, je reste à genoux, jambes écartées, le dos bien droit et les mains dans le dos, en position de soumission.
Ils se sont tous vidés, mais ils n'en ont visiblement pas fini avec moi.

Arthur tourne autour de moi, tantôt me fessant, tantôt me forçant à lever la tête d'une pression sous le menton, plongeant mes yeux dans les siens. Il me jauge.
Finalement, il se penche, et me détache les mains.
" - Fais-donc voir à ces messieurs comme tu es habile de tes mains. Sois donc un bon hôte, tu veux ?"
L'un des hommes l'interrompt
" - Je veux encore l'enculer, moi !"
Et il s'allonge devant moi, la bite bien bandée, me faisant signe qu'il s'agit de mon nouveau siège pour les instants qui suivront.

J'acquiesce de la tête, j'obéis et file m'asseoir sur la bite qui se dresse tout près. Les nombreux abus de la soirée mon bien ouvert et je m'empale sans aucune difficulté.

" - Comme dans du beurre !"
raille l'intéressé.

Se présentent alors à moi trois bites. Ni une, ni deux, j'en empoigne une dans chaque main et gobe la dernière d'une traite.
Je fais mon possible pour contenter mes quatre étalons en rythme. Je suis épuisé et à bout, le corps perlant de sueur sous les efforts sans fins que je fournis depuis le début de ma captivité. Cependant je parviens à augmenter le rythme crescendo, trouvant un second souffle stimulé par la tempête qui se déchaîne dans mon corps. Branlant, suçant, m'empalant dans un déluge de jouissance, de souillure, sous un flot constant à la fois d'insultes, et de compliments sur mes aptitudes à être une bonne salope.
Je m'abandonne totalement, plus rien ne compte que le plaisir sexuel. Le mien, certes, mais également et surtout celui de mes tortionnaires. Arthur a raison, il faut que je leur montre que je suis un bon hôte, sinon il ne voudront jamais revenir !
Soudain, en un instant, sans même prévenir, mes quatre violeurs se déchargent simultanément. Je prends pour mon grade, et il y en a de partout. Ça coule dans ma gorge, ça remplit mon cul, et les deux autres m'aspergent sans complexe la poitrine C'est un maelström de râles éjaculatoires peu élégants, certes, mais qui témoignent que j'ai bien rempli ma tâche.
Puis la tension redescend. Je continue mon labeur, mais cette fois decrescendo, jusqu'à finalement me stopper complètement. Je m'écroule vidé, et à la fois rempli. Je n'ai plus aucune force dans mon corps, et je vois mes bourreaux d'un soir se regarder, se féliciter, se moquer de moi. Ils me gratifient de quelques crachats accompagnés de félicitations, puis se rhabillent et s'en vont comme ils sont venus. Seul Arthur reste, il se penche à côté de moi et me dit :
" - C'était parfait. Je pense que je vais garder les clés de chez toi. Qui sait, peut-être que tu auras d'autres visites impromptues."
Je le regarde, esquissant un sourire de satisfaction, mais je n'ai pas la force de répondre. Il me dépose un baiser sur la bouche, puis s'en va, me laissant seul, nu, souillé de sperme dans ma propre demeure.

Les avis des lecteurs

Eh beh quelle santé, ça devait etre bien kiffant



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