La photo

- Par l'auteur HDS Aglaé -
Récit érotique écrit par Aglaé [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 8 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 10.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.1
  • • L'ensemble des récits érotiques de Aglaé ont reçu un total de 47 517 visites.
Récit libertin : La photo Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 13 769 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(10.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
La photo
Je m'appelle Aglaé, j'ai 18 ans et je dois avouer, plutôt mignon avec mes cheveux bruns. Je suis mince mais mon corps assez bien dessiné. Je fais un peu sport, je cours de temps en temps. Bref, j'ai terminé mes études secondaires et j'ai décidé de partir un an au Canada, à Vancouver.
Le voyage à très bien commencé puisque juste après que mes parents soient partis et que je passe les douanes, je croise déjà un bel homme d'une trentaine d'année qui me regarde de haut en bas en mordillant la branche de ses lunettes de soleil. Je fais la queue pour m'acheter une bouteille d'eau et ne peux m’empêcher de le dévisager à mon tour. Je paye ma bouteille et jette un œil pour voir si ce bel homme me regarde toujours mais je ne retrouve pas cet arabe un peu serré dans son jean. Je suis un peu déçu mais bon, je dois aller attendre mon vol. Je passe d'abord aux toilettes et, coup du hasard, mon beau rebeu se tient debout devant un urinoir. Je m'approche et me place à ses cotés en profitant de l'occasion pour balader mes yeux sur son membre. Je crois qu'il m'a grillé, il range son gros calibre et ferme sa braguette. Mon visage traduit toute la frustration que je ressens en cet instant. Je me tourne (je n'avais nul besoin de vider ma vessie) et je le vois qui rentre dans une des cabines en m'invitant à le suivre d'un geste de la main. Je ne peux m’empêcher de sourire de toutes mes dents mais je me ressaisis très vite et m'invite dans sa cabine. Je rentre et le voit debout en train de déboutonner sa chemise, le pantalon déjà aux chevilles. Je fais un pas vers lui et ferme la porte, indiquant que les toilettes sont occupées, il m'attrape la taille et me colle à lui en m'attrapant la bouche avec la sienne. Sa langue commence à explorer ma bouche pendant que mes mains se baladent sur son torse et dans son dos. Je découvre un tapis de poils couvrant l'espace entre ses tétons puis mes mains passe sur son dos lisse et chaud. J'aime jouer avec sa langue mais j'ai encore plus envie de glisser la mienne sur son chibre. Je descends donc en embrassant son torse velu et musclé. Chaque abdo passe sous ma langue jusqu’à ce que j'arrive à la terre promise. J'entoure son beau gland gonflé de mes lèvres et le glisse doucement dans bouche. Il passe ses mains dans mes cheveux pour me retenir alors qu'il commence ses mouvements de hanches pour bien me baiser la bouche. Il commence à gémir et entre de plus en plus profondément dans ma gorge pendant que moi je commence à m'étouffer, je n'ai pas encore l'habitude des gorges profondes. Après quelques minutes de plaisirs buccaux,il me relève par les épaules :- « j'ai un vol à prendre donc pas trop de temps pour les préliminaires ! Lève toi que je profite de toi au max. »Sa voix est grave et chaude. Je m’exécute, me mets de dos et baisse mon pantalon en prenant soin de bien montrer mon anus. Il sourit et glisse direct son majeur mouillé dans mon intimité. Il plonge un deuxième doigts puis un troisième et arrive même à mettre les 5 doigts de sa main droite. Il me travaille le sphincter pour bien m'ouvrir afin que son engin passe plus facilement. Il retire sa main, enfile une capote qu'il gardait en poche au cas où et entre doucement son gland. Il crache dans sa main pour bien lubrifier son manche puis reviens vers mon anus. Il rentre à nouveau mais cette fois il s'y glisse entièrement. Il attrape mes hanches et me défonce le cul dans les toilettes de l'aéroport. Je suis en extase, je sens son membre énorme me déchirer les entrailles mais cette douleur est aussi la source de mon plaisir. Les mouvements de ses reins sont amples et secs, enfonçant presque l’entièreté de son sexe d'un coup, arrivant au plus profond de mon cul. Il commence à accélérer et à gémir du plus en plus fort. Tout d'un coup sa bite s'enfonce le plus loin possible en moi, accompagné d'un râle puissant de mon partenaire. Il rempli son préservatif de son sperme et moi je me masturbe jusqu'à vider mes couilles au sol. En me vidant de mon jus, mon cul se resserre sur le sexe de mon arabe, provocant en lui une onde de plaisir le faisant gémir a nouveau. Nos respirations sont profondes, il sort son membre, laissant mon anus béant, bien ouvert. Je me redresse et l'embrasse à nouveau. Il retire sa capote et on se rhabille. Il m'embrasse une dernière fois puis on sort sous les yeux surpris d'un homme qui avait plus l'air de se frotter le manche que d'uriner. Je pars pour l'enregistrement des passagers avec une certaine nostalgie en repensant à ce chibre énorme accroché à ce magnifique corps poilu. Par chance, je le recroisai plus tard puisqu'il prit le même avion que moi. Il en profita pour renouveler l'exploit dans les toilettes de l'avion. C'était ma première fois en plein vol et si ça pouvait le détendre du voyage, c'est du gagnant – gagnant.
Enfin, nous voila arrive à Vancouver et nos chemins se séparent, je ne lui ai même pas demandé son nom, trop occupé à le sucer ou à gémir de plaisir. Je me rends dans mon école où l'on m'accueille à bras ouverts, j'ai toujours le cul en feu suite à mes ébats fougueux mais je fais bonne figure devant tout ces gens souriants. Ils me montrent les locaux puis me conduisent jusqu'aux logements que l'établissement propose aux étudiants étrangers. C'est un prof qui m’amène jusqu'à ma chambre. Il me laisse et je pénètre dans mon nouveau chez moi. A l’intérieur, il y a un autre étudiant. Je me présente et il fait de même.
Il est espagnol, il s'appelle Pedro, a 20 ans et est assez beau garçon. Son accent est assez craquant et je fonds à chaque fois qu'il ouvre la bouche. Dans la chambre, il y a deux bureaux cote-à-cote et un lit deux personnes. Il y a un petit blanc puis il me dit :« Je préfère te prévenir au cas où tu voudrais fuir, je suis gay ! »Je le regarde un peu sonné par sa déclaration et lui répond direct que ça ne me dérange pas (repensant à mon voyage assez mouvementé)et qu'il faudra plus que ça pour me faire partir ! On rigole, on parle un peu, puis, sonne l'heure de ma première heure de cours (surtout une heure de présentation, je suis arrivé dans les derniers). La journée se passe bien et le moment que je redoutais arriva, le couchage. J'allais dormir à coté d'un espagnol chaud comme la braise, hyper sexy et gay !
Mais bon j'étais mort de fatigue. La nuit passa vite. Le soleil se lève et j'ai la surprise de me réveiller dans les bras musclés de mon nouveau coloc, coincé contre son torse chaud et douillet. J'ai commencé à bander comme un dingue en espérant qu'il se réveille en ayant envie de baiser. Mais à la place il s'excusa pour avoir envahit mon espace personnel.
Mais une bonne surprise survint le lendemain. Pendant un cours d'anglais, je sentis mon gsm vibrer. J'attendis la fin de la leçon avant de sortir mon gsm et de lire un sexto plus que chaud ! Il disait : « Je te prends quand tu veux, où tu veux et dans n'importe quelle position. Ma queue ne veut que toi pour se vider, je t'attends et réponds moi ! » Je remarquais que cette invitation à la baise était accompagné d'une magnifique photo. Celle d'un homme presque entièrement nu avec juste un short cachant sa queue, ne laissant dépasser qu'un mince filet de poils. En observant la photo, je reconnu direct ma chambre et compris que s'était mon coloc qui s'exhibait sur cette photo . Même si il était gay, je pensais qu'il ne voulait pas me l’envoyer à moi. J'ai donc décidé de ne pas lui en parler.
Il s'écoule un mois sans qu'il ne se passe rien, il ne me parla même pas de sa photo. Mais on commençait à prendre nos aises dans la chambre et à nous balader à moitié nu, avec juste un slip ou un boxer et même s'il ne se passe rien, je sens son regard me parcourir le corps dès que je passe près de lui. D'habitude je cache mes érections mais là j'en avait marre et je laissais donc mon membre se gonfler jusqu'à atteindre les 19 cm habituel à travers mon boxer, laissant dépasser une petite partie de mon gland. Je le vis se mordre les lèvres en posant ses yeux sur mon paquet plus d'une fois.
La tension grimpait dans cette chambre puis un jour, en ouvrant la porte de la salle de bain, je découvre le corps entier de mon colocataire, de A à Z. J'ai pu voir le moindre centimètre de sa peau en directe et j'en ai profité ! Je fini par baisser les yeux et tombe sur l'un des plus gros sexe que j'ai jamais vu (plus gros que celui de mon amant de l'aéroport), avec un mince filet de poils à la base puis qui trace une ligne jusqu'à son nombril et reprenant son chemin sur ses pecs ! Fidèle à la photo que je reçu un mois plus tôt.
Il me regarde un peu étonné mais fini par me sourire en voyant que mes yeux ne quittent plus sa queue, ce qui la fait gonfler et en à peine 2 secondes j'ai pu m'imaginer m'empaler sur une bite d'au moins 23 centimètres de long et de 6 centimètres de large. J'en peux plus d'attendre qu'il vienne vers moi. Je décide donc de prendre les choses en mains.
Je m'avance vers lui, passe mon bras autour de sa taille, colle son bassin au mien et lui enfonce ma langue dans sa gorge. Il avait les yeux écarquillés tellement sa surprise était grande mais il se détendit, passa ses bras à mes épaules et me rendit mon baiser.
Après 5 minutes d'embrassade, il me demande si je suis prêt à prendre 23 cm de pur plaisir. Je lui tourne le dos et part dans la chambre en sortant mes fesses de mon caleçon . Il me suit puis me pousse sur le lit, prenant mon silence pour un oui. Il me met sur le dos et se colle doucement sur moi en prenant soin d'embrasser tout mon corps, passant bien me sucer les tétons avant d'en revenir à ma bouche. Il me déshabille et nous nous replaçons comme précédemment en nous embrassant. Il commence à se frotter contre moi.
Il me fait passer au dessus de lui et je descends pour commencer à sucer sa bite. Il bouge son bassin, enfonçant son chibre un peu plus profondément dans ma bouche. Je lui caresse le torse et il se pince le téton pour s'exciter encore plus. Il ouvre le tiroir de sa table de nuit et me passe un préservatif. Je l'ouvre avec les dents et le déroule sur sa queue. Je me redresse et m'empale sur cette immense queue. Je crie de douleur mais mon Pedro se dresse et me prend la bouche afin d'étouffer mes cris. Nous restons là à nous embrasser sans bouger, laissant mon cul s'habituer à ses 6 centimètres de large.
Il se recouche et je commence mes petits mouvements de bassin. Il est aux anges et même si je souffre, je commence à apprécier cette énorme queue. Je me penche pour l'embrasser puis je me retire et me met sur le ventre, les fesses en l'air, lui montrant mon cul totalement ouvert. Il se dresse derrière moi et m’enfonce sa bite d'un coup sec. Il se colle à moi et commence ses bonds, on ressemblait à deux lapins. Nos corps suent, se frottent et chauffent de plus en plus. L'excitation était telle que j'ai éjaculé à pleine puissance sur les draps.
Juste après, il se retire, sort sa bite de son préservatif, m'attrape le visage en m'ouvrant la bouche et largue 5 longs jets puissants de foutre dans ma gueule et dans ma bouche. Je savoure son jus puis il m'embrasse, récupérant au passage un peu de son sperme. On se couche sur le dos et on s'embrasse durant de longues minutes en nous caressant et nous masturbant encore et encore. Après environ une heure de caresses, j'aborde l'histoire de la photo que j'ai reçu un mois auparavant. Il me répond qu'il ne s'était pas trompé de destinataire, je devais bien recevoir cette photo. Mais comme je n'en ai jamais parlé, il pensait que je n'avais pas envie de lui, d'où la surprise sur son visage quand je lui ai pris la bouche.
Depuis ce jour on s'envoie en l'air presque tout les soirs, à chaque fois qu'il me prend c'est comme s'il le faisait pour la première fois.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : La photo
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Aglaé

California Dream Suite 4 - Récit érotique publié le 28-03-2019
California Dream Suite 3 - Récit érotique publié le 26-02-2019
Le billard - Récit érotique publié le 17-02-2019
California Dream Suite 2 - Récit érotique publié le 13-02-2019
California Dream Suite 1 - Récit érotique publié le 10-02-2019
California Dream - Récit érotique publié le 07-02-2019
Titre de l'histoire érotique : De la Polla - Récit érotique publié le 08-08-2017
La photo - Récit érotique publié le 24-04-2017