Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. Les putes (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. Les putes (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. Les putes (1/1)
Expert-comptable il m’arrive d’aller manger avec des clients dans les meilleurs restaurants Parisiens.
C’est le cas aujourd’hui où je suis dans un grand restaurant près de l’Opéra.
La gérante nous fait monter sur une mezzanine ou des tables sont placées pour des dîners d'affaires comme le nôtre.
Une rambarde en verre teinté me permet de voir la salle que l’on surplombe sans que les personnes dans le bas ne nous voient.
Nous parlons avec mes clients d’un problème qui risquerait d’entraîner de graves problèmes pour leur société s’ils avaient un contrôle fiscal, quand je vois entrer derrière un homme aussi bien habillé que moi une femme qu’immédiatement je reconnais.
Ma belle-sœur Odile, sœur jumelle de Véronique, ma femme.
Quand j’ai épousé Véronique, sa sœur était son témoin et à part la couleur et la forme des robes il était impossible de différencier l’une ou l’autre.

Comme à son habitude Odile est vêtu de la meilleure des façon, Véronique aussi d’ailleurs bien qu’avec son métier de représentante en produit de beauté, elle a son propre budget, ce qui nous permet de vivre sans aucun problème matériel.
À ce sujet, Véronique souhaite que nous ayons des enfants sur le tard après avoir acheté notre chaumière en Normandie, pour y arriver tous les mois, nous plaçons chacun une grosse somme d’argent sur un compte d’épargne.
Moi toujours 1 000 €, elle cela varie suivant son chiffre d’affaires.
Au début, j’ai voulu m’occuper de ses comptes, mais elle est très indépendante et elle s’en occupe personnellement.

Je parle avec mes clients tout en ayant un œil sur ce qu’il se passe en contrebas à la table où se trouve ma belle-sœur.
Nous en sommes au désert quand le couple termine son café, tout au long du repas ils ont discuté, mais sans jamais avoir un geste tendre entre eux.
Je sais qu’Odile a une profession qui l’amène officiellement à beaucoup voyager et qu’elle gagne largement sa vie, c’est vrai que j’ignore ce qu’elle fait réellement.
C’est à ce moment que je vois l’homme sortir une enveloppe de sa poche intérieure de sa veste de complet, là posée sur la table et la pousser discrètement vers ma belle-sœur.
Elle la laisse poser, avec son autre main elle l’ouvre et je vois qu’avec dextérité elle compte ce qui devait être des billets.
Elle fait un geste de la tête et elle se lève suivie de l’homme qui passe à la caisse pour payer les repas.

• Excusez messieurs, continué à voir ce que vous pouvez faire pour régler votre problème, je dois donner un coup de fil urgent sur une autre affaire, je reviens dans quelques minutes.

Je descends l'escalier et je sors deux minutes après Odile et l’homme qui semble lui avoir donné des billets.
L’homme a pris le bras de ma belle-sœur comme je le fais régulièrement avec Véronique quand nous faisons les boutiques, mais là je les vois entrer dans un hôtel de luxe.
Serait-il possible que j’ai découvert le secret de ma belle-sœur, elle se prostituerait dans des hôtels de luxe, elle serait escorte et c’est avec son cul qu’elle gagnerait sa vie ?
Dubitatif je suis de retour à la table de mes clients, ils ont trouvé une solution à leur problème et je les quitte pensant repasser par mes bureaux.
Quand le taxi que j’ai appelé passe devant l’hôtel où Odile est entrée avec son client, je me la représente en bas résille avec porte jarretelle sans culotte empalée sur la bite de l’homme qui l’a payé pour la niquer.
Je bande et discrètement je mets la main dans ma poche pour me caresser la verge.
Avec Véronique je suis très libre sexuellement, elle a toujours été très libre avec son corps et je dois dire que même si j’étais loin d’être puceau, c’est elle qui m’a appris à baiser dans toutes les positions et si je veux être grivois dans tous les trous que son corps me propose.
Odile est-elle aussi libre que sa sœur et se fait-elle sodomiser comme Véronique m’a appris à la prendre dans nos premiers moments de sexe avant que je l’épouse.
A pensé à tout cela je finis par décharger dans le pantalon, je vois mon sperme mouiller ma braguette et il m’est impossible de me présenter devant ma secrétaire le devant du pantalon avec cette auréole.

• Vous pouvez changer de direction, conduisez-moi chez moi.

L’ordre que je donne au chauffeur de taxi me permet de monter à mon domicile, Véronique m’a dit qu’elle avait rendez-vous chez une amie dont j’ai oublié le nom ou elle va faire une présentation de ses produits.
Je vais dans notre chambre, je me déshabille, commence à passer de l’eau sur le tissu et je sors le fer à repasser pour le sécher, je fais très attention à ce qu'une tache de sperme soit remplacée par une brûlure.
Je prends une douche et comme mon rendez-vous de midi était le seul, je sors mon portable de mon attachée caisse et je m’occupe de travaux que je peux faire à domicile.
Je suis nu quand j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir.

• Tu es là mon chéri et tu es nu, c’est bien la première fois que j’ai ta bite à ma disposition quand je rentre d’une journée harassante mais pas assez pour te laisser en plan.

Elle s’approche, s’agenouille et sa bouche avale mon sexe qui se met à bander malgré le gros doute qui vient de monter en moi quand elle est entrée, le tailleur chic qu’elle porte est en tout point identique que celui qu’Odile portait quand elle mangeait et a reçu le fruit de son labeur de l’après-midi.

• Attends, je vais me mettre à l’aise, je reviens rapidement, je sens déjà ta bite en moi, une petite sodomie cela te dirait.

Sans attendre ma réponse elle se relève, prend un sac publicitaire qu’elle a posé à côté de son sac et passe dans la chambre, son sac à main se trouve au bout de la table, la queue encore tendue de la fellation qu’elle a commencée, je me lève, l’ouvre, mais par chance l’enveloppe brille par son absence.
Cela me rassure, ce doit être un fait du hasard que les deux sœurs portent les mêmes vêtements le même jour, mais je sais qu’elles aiment acheter leurs fringues ensemble.

• Je suis là mon cœur, que penses-tu des sous-vêtements que je viens de m’acheter en revenant chez nous en pensant à toi, je suis passé à la banque placer les ventes en liquide que j’ai réalisées avec Arlette, je vais pouvoir te faire un virement, car j’ai bien travaillé ce mois si.
Nous pourrons acheter notre manoir dans les mois prochains et nous ferons un enfant.

Le doute qui s’était envolé quand j’ai vu que l’argent était absent, mais revient quand elle me dit être passée à la banque.
Quand je la prends sur la table de la salle à manger ses magnifiques seins et son cul enveloppé dans des dessous du même genre que ceux qui m’ont fait fantasmer et qui m’ont fait décharger dans mon pantalon en pensant à Odile dans une tenue identique me permettent de la faire jouir.

La nuit je reste sans dormir me demandant si à mes côtés s’est ma femme ou une pute qui partage mon lit.
Je résiste presque une semaine, mais quand Véronique me dit qu’elle part la journée en province pour son travail, j’appelle mon bureau et je me fais porter malade, mais je quitte la maison à l’heure habituelle.
Nous habitons dans une rue à sens unique, ma voiture est garée vers le bas, je vois la voiture de ma belle-sœur passée devant moi, bizarre les deux sœurs sont ensemble.
Me serais-je trompé, est-ce ensemble qu’elles vont faire du shopping, mais quand je les suis et qu’elles s’engagent sur l’autoroute pour se diriger vers la vallée de Chevreuse, je vois mal où elles vont.
Je vois Odile mettre son clignotant pour tourner à gauche, je suis surpris et manque de leur rentrer dans les fesses, heureusement une trouée dans l’autre fil de voitures leur permet de dégager, je continue jusqu’au rond-point pour revenir jusqu’au croisement où un panneau indique « Auberge des Trois Cerfs »
Une grosse Audi me coupe la route, mais me permet de tourner sans que les jumelles me remarquent.
Nous traversons une forêt et nous débouchons dans une plaine ou sur la droite il y a cette auberge annoncée.
L’Audi tourne et vient se garer à la hauteur du cabriolet d’Odile, je continue ma route pour éviter de me faire surprendre, un chemin de terre me permet de me garer et descendant je suis derrière une haie me cachant des deux voitures où les deux putes et leur client en descendent.
Je dis bien les deux putes étant habillées de façon identique dans une tenue inconnue leur cachant à peine la chatte, l’homme est bien mis et c’est en les prenant chacune par le bas du dos qui les emmène vers le baisodrome.
C’est certain, ce vicelard se tapent les deux sœurs, j’évite de penser à ce qu’il leur fait, mais il a du tempérament pour s’enfiler deux gourmands du moins comme l’est ma femme jusqu’à ce jour avec moi.
Je reviens à Paris voyant mal monter dans les étages au-dessus du restaurant ou je vois l’homme beau gosse de surcroît ouvrir la fenêtre quand je repasse devant l’auberge.
J’ai failli freiner, mais il aurait vu la manœuvre et se serait posé des questions surtout, si lui aussi est marié.
De retour à Paris j’ouvre l’ordinateur de la maison pour voir si j’ai des informations sur les sites où Véronique se rend, chose bizarre les historiques sont effacés, elle semble se méfier qu’un jour je tombe sur ses activités parallèles à notre couple.
Je redescends et je me rends dans une boutique non loin de chez nous, j’y retrouve un copain de fac qui a commencé informatique comme moi avant que je bifurque vers l’expertise comptable peut enclin à travailler avec des 1 et des 0.

• Mon vieux copain, ton ordinateur est-il en panne ?
• Non, c’est pour tout autre chose que je viens te voir, à mon étude un de mes employés semble plus intéresser à jouer qu’à travailler, j’ai fait venir un huissier pour qu’il regarde et note l’historique, mais le gars est malin et il les efface avant de quitter son poste.
• Facile, regarde, tu démontes son ordinateur et regarde sur la carte ou tout est relié, tu poses ce petit objet que je te fais cadeau, en tapant ce petit programme tu verras ou le gars surf, attention cela peut être pris comme de l’espionnage envers ton employé.
• Merci mais au moins je saurai s’il me prend pour une truffe et je trouverais bien un motif pour le virer.

De retour je piège notre ordinateur, je fais un essai tout fonctionne.
Dès le lendemain alors que Véronique m’a appelé pour me dire qu’elle serait absente jusqu’à minuit une de ses amies souhaitant lui acheter une gamme de produits je récupère les données effacées.
Son compte en banque protégé par un mot de passe me fait voir qu’il y a un peu plus de deux ans qu’elle me trompe, un an après notre mariage.
Sur le compte alors qu’elle me fait croire qu’elle a du mal certains mois à me donner 1 000 € pour notre manoir, elle possède 58 000 € les relevés bancaires font apparaître à partir du mois de mai de cette année-là, régulièrement des sommes de 2 000 et même 3 000 € déposés en liquide.
À la date où j’ai cru surprendre Odile, sa sœur se prostituer en entrant dans un hôtel elle a versé 2 500 € si je compte l’argent des sous-vêtements ce jour-là, elle a dû se faire enculer.
Comment je le sais, elle est allée consulter un site où des escortes plus ou moins dévêtues se montrent en photo sans voire les têtes, il y a des jumelles que l’on peut avoir seule ou ensemble ?
L’une s’appelle Nadia et l’autre Ludivine, j’hésite, mais le lendemain je fais le numéro de Nadia en tirant à pile ou face.

• Nadia.
• Oui.
• Pouvons-nous nous voir, au bar à vins près de la tour Montparnasse demain après-midi à 14 heures.
• Sans problème, connaissez-vous nos tarifs, mais me voulez-vous seule ou avec ma sœur bien sûre les tarifs sont doublés, vous verrez, vous en aurez pour votre argent.
• Non, vous seule.
• La totale ce sera 3 000 sans durer de temps.
• Excusez-moi pour ce prix-là, vous acceptez la sodomie.
• Comme vous dites à ce prix-là, tout est possible entre nous, vous verrez, je vais bien m’occupé de vous.

Le lendemain je suis à l’heure, qui d’Odile ou de Véronique est perchée sur le tabouret, je l’ignore et l’ignorerai toujours.
Elle est surprise de me voir et comme de suite je l’appelle Odile lui expliquant qu’un copain m’avait donné le site où j’avais eu le numéro.

• Tu sais donc que Véronique te trompe en étant escorte.
• Si Nadia est Odile, il est facile de comprendre qu'elle est Ludivine ou es-tu bien Odile.
• Je vois que tu as compris le mystère que représentent des jumelles.
Tu vas divorcer.
• Non, si tu m’emmènes chez toi pour le reste de l’après-midi.

Elle se lève, nous prenons un taxi, certaines fois, je sais que c’est Véronique que j’ai au bout de ma queue, car Odile a un point de différence derrière son oreille gauche, un minuscule grain de beauté.

Nous venons d’acheter notre manoir en Normandie, j’adore quand les deux sœurs sont en mono près de la piscine, car je sais grain de beauté à l’appui que Véronique va me donner un héritier son ventre s’arrondissant.
Pendant les neuf mois, je continue à enculer Odile, mais chez elle Véronique devant rester au manoir, quand bébé sera là, je verrais si quelque temps plus tard, Véronique a repris le remplissage de son compte en banque et si elle va chez sa sœur pour rencontrer son mari.
Les deux sœurs sont des putes, mais j'aime les baiser, un jour peut-être j’appellerais Ludivine pour les faire venir dans un hôtel pour me les faire ensemble.

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