Léa 4

- Par l'auteur HDS DXD -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Léa 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Léa 4
Je me réveillai un matin avec le sentiment que j’allais vivre une bonne journée. C’était un peu étrange, mais ça arrivait parfois. Et effectivement, cette journée commença plutôt bien : on était en plein hiver, mais à cause d’une forte pluie verglaçante aucun transport ne circulait, si bien que je ne pouvais pas aller en cours et que j’allais devoir rester chez moi aujourd’hui. Une journée de vacance gratuite… ça commençait bien en effet. Un peu désœuvré, je me rendis sur facebook, et là, je reçus un message. Rien d’exceptionnel jusque là, sauf que ce message venait de Léa, une fille que je connaissais très bien.

« Salut ! Tu fais quoi de beau aujourd’hui ? Me disait-elle. »
« Rien de particulier. Je peux pas aller en cours, alors je vais rester chez moi toute la journée. »
« Tout seul ? Tes parents sont pas là ? »
Je saisis aussitôt ce que pouvait impliquer sa question, aussi je me hâtai de répondre :
« Non, ils bossent. Je serai tout seul toute la journée… »
« Je peux passer alors ? Mon père passe pas loin de chez toi, il pourra me déposer. »
« Ok ! »
Je souris, et me dis qu’en effet, cette journée promettait d’être très bonne. Léa était une fille on ne peut plus sexy, grande, blonde, de beaux yeux verts qui illuminaient un merveilleux visage, et un corps de déesse agrémenté d’une belle poitrine (90c) et de fesses sublimes. On avait déjà eu l’occasion de coucher plusieurs fois ensembles, si bien que je savais que passer une journée avec elle pouvait avoir quelque chose de torride et délicieux…
Elle toqua à la porte un peu plus tard, et j’allai lui ouvrir. Elle me sourit lorsqu’elle me vit, et entra. Elle portait manteau bonnet écharpe et gants, normal avec ce froid ! Heureusement, une fois à l’intérieur, elle se dévêtit. Elle portait encore un pull léger, et un jean, mais elle était quand même sexy, d’autant que ses grands yeux verts brillaient d’excitation. Au début, nous restâmes sages. Assis sur le canapé, on ne fit rien d’autre que discuter gentiment. Jusqu’à ce que Léa aborde les sujets « qui fâchent ».

« Tu sais que depuis la dernière fois qu’on s’est vus, j’ai pas baisé du tout ? »
Ah. Nous y voilà. D’un air innocent, je répondis :
« Ah bon ? On s’est vus il y a longtemps. »
« Oui c’était le début de l’été. Ca fait long... »
« T’as rencontré aucun mec depuis ? »
« Si, un, en vacance. On a baisé, mais il a joui tellement vite que je trouve que ça compte pas. »
« Ah oui, je vois… Pas trop en manque ? »
Elle se jeta sur moi, et m’embrassa sauvagement. Je m’y attendais, alors je lui rendis son baiser avec la vigueur qui convenait. On maintint le baiser à un rythme élevé, nous dévorant la bouche avec passion. Lorsque nous nous séparâmes, nous étions essoufflés et haletants.
« Si, me répondit Léa. Je suis grave en manque. »
« Je vois ça, répondis-je en souriant. »
« On va dans ta chambre, maintenant ! Dit-elle d’un ton autoritaire. »
Sans attendre que je réponde, elle se leva, me saisit par la ceinture du pantalon, et m’entraîna dans la chambre. Ravi de la situation, je me laissai entraîner. Dans l’escalier cependant, je saisis Léa par les hanches, et lui retirai son pull, révélant un débardeur vert clair. Je la collai contre moi, et lui embrassai la clavicule, tout en lui massant fougueusement la poitrine. Elle poussa un petit cri de plaisir, et colla ses fesses contre mon sexe déjà tendu sous mon caleçon. Elle les secoua doucement, me faisant bander encore plus fort, et je la poussai vers le palier, pour la retourner et plaquer le dos contre le mur. Elle poussa un halètement d’excitation, et m’attira contre elle, pour m’embrasser avec passion en retour. Puis, elle me poussa dans la chambre. Je la saisis par les hanches, et la plaquai sur le lit, m’allongeant contre elle. Nous nous embrassions avec ardeur, tout en nous frottant l’un contre l’autre, c’était boon ! Je me redressai, et retirai mon pull, et Léa voulut tout de suite m’enlever le t-shirt que je portais en dessous, mais je l’interrompis dans son geste : j’aimais faire durer les préliminaires…
Léa enroula ses bras autour de ma nuque, et me fit rouler repassant au dessus de moi. Elle m’embrassa à pleine bouche, avant de me plaquer contre le matelas. Puis, elle voulut retirer son débardeur, mais à nouveau, je l’en empêchai. Vraiment, j’adorais ces galipettes tout habillés qu’on faisait, et j’avais pas l’intention d’y mettre fin tout de suite. Nous passâmes un bon moment à nous rouler dessus l’un et l’autre, chacun prenant le dessus tour à tour. Nous fûmes bien vite hors d’haleine, et rouges d’excitation, jusqu’à ce qu’à un moment, Léa se retrouve au dessus de moi, et cette fois, m’empêche de reprendre le dessus. Elle saisit mon t-shirt avec un air un peu autoritaire, et me le retira. Elle me tint collé contre le matelas, et m’embrassa le corps, passant sur mes pectoraux et mes abdos. Puis elle se redressa et me lança.

« Je veux te faire jouir, comme la dernière fois. »
Je souris, et répondis :
« Avec joie, je t’en prie, lance toi ! »
« Oui, mais je veux être sûre que tu te laisseras faire… Alors j’ai apporté ceci... »
Elle fouilla dans son sac et en sortit une paire de menottes. Je songeai un temps à me débattre, et à refuser sa prise de contrôle, mais finalement, je décidai de me laisser faire : je n’allais sans doute pas le regretter. Léa m’attacha aux barreaux du lit, et s’installa sur moi. J’étais totalement en son pouvoir, et ça me plaisait beaucoup. Elle revint m’embrasser les muscles, les léchant avec avidité, avant de descendre encore, et de me retirer le pantalon. Elle saisit ensuite mon caleçon avec les dents, et le retira doucement, libérant ainsi ma verge tendue au maximum.

Elle passa doucement sa langue dessus, m’observant avec un air coquin. Je me mis aussitôt à frissonner de plaisir, et dus retenir mes gémissements. Léa continua à me lécher comme si mon sexe était une glace, s’attardant sur mon gland, à qui elle donna de grands coups. Je ne pus retenir un cri, qui la fit sourire de satisfaction. Elle me prit ensuite complètement en bouche, et se mit à faire des va-et-vient avec, me pompant le sexe de haut en bas, tout en me massant doucement les boules avec ses longs doigts. Elle descendait lentement le long de mon sexe, avant de brutalement accélérer pour remonter, et elle fit ça encore, encore, et encore. Puis, elle fit tourbillonner sa langue sur mon gland, m’obligeant à me cambrer tant le plaisir était grand, avant de donner de grands coups de langue juste sous le gland, sur le frein m’arrachant un cri. Elle interrompit alors sa fellation, et me fit un de ses grands sourires, un de ceux qui illuminait son visage entièrement. Elle prit ensuite ma bite en main, et se mit à me branler avec dextérité. Elle me tenait d’une main ferme, et me branlait de haut en bas assez rapidement, secouant ma bite qui était dure comme du bois. Puis, elle changea de technique, et remonta sa main, pour me branler de bas en haut, avec non moins de vigueur. Et enfin, elle recouvrit le haut de mon sexe avec sa main, et se mit à me le secouer, me chatouillant le frein du bout des doigts. Je poussai un vrai cri de plaisir, et Léa s’interrompit pour m’observer : j’étais tremblant de plaisir, et au bord de l’extase. Léa décida alors de passer à la vitesse supérieure. Elle me reprit en bouche, et cette fois, se mit à aller à fond, me suçant comme une dingue d’emblée, malmenant mon pauvre sexe avec sa bouche, l’inondant de salive, et me faisant gémir en continu. Elle continua ainsi à me sucer à fond, jouant de sa langue et de ses lèvres pour me faire fondre sur place. Il arriva ce qui devait arriver : j’explosai de plaisir dans sa bouche, dans un tremblent d’extase incontrôlé.

Léa avala avec un sourire coquin. Cela me donna envie de la baiser sur le champ, alors je fis mine de me redresser, mais les menottes me maintinrent en place. Léa pouffa doucement.

« C’est bon t’as fini ? Grognai-je. Tu peux me détacher que je puisse te baiser comme j’en crève d’envie ? »
« Oh non ! J’en ai pas encore fini avec toi ! Répliqua-t-elle. »
Elle retira son pantalon, puis son shorty, puis me saisit la queue, et s’empala dessus lentement avec un gémissement. Elle me regardait droit dans les yeux, guettant mes réactions, et se mit à faire de doux va-et-vient, me baisant doucement, se déhanchant en m’observant avec attention. Je ne tardai pas à frissonner doucement de plaisir, et à grimacer. J’aurais voulu me redresser d’un coup, renverser Léa, et la prendre sauvagement, mais je ne pouvais pas à cause des menottes. Léa sourit en me voyant m’agiter, et accéléra doucement le rythme, augmentant le plaisir, avant de soudainement ralentir de nouveau. Puis, elle recommença, accélérant le rythme, avant d’à nouveau ralentir. Elle s’amusait ainsi à me frustrer, souriant lorsque je me débattais inutilement, toujours maintenu par les menottes. Elle fit ensuite courir son doigt le long de mon torse, me griffant doucement pour me stimuler. Puis, elle se pencha sur moi, et fit mine de m’embrasser, s’arrêtant à quelques centimètres de mon visage. Le tout en continuant de me baiser doucement, histoire de bien me frustrer.

« C’est bizarre dit-elle en souriant, j’aurais pensé que tu chercherais à reprendre le dessus là. T’es peut être pas si viril que je pensais... »
A ces mots, je voulus me redresser tout de suite, histoire de lui faire tâter de ma virilité, mais une fois de plus, les menottes me tinrent cloués au matelas.

« Détache moi, grognai-je. Je vais te montrer si je suis pas viril... »
Léa tira un sourire légèrement moqueur, et met mit une petite claque pour me provoquer. Puis, elle reprit ses va-et-vient, mais cette fois-ci, en accélérant le rythme sans s’arrêter. Elle atteignit bien vite un rythme très élevé, me baisant avec passion, ses hanches s’activant, dessinant comme des cercles, secouant ma bite, et me faisant frémir de plaisir. Elle maintint ce rythme élevé un long moment, avant de s’interrompre une fois de plus. Mais ce ne fut que pour se déshabiller complètement, retirant son débardeur, puis son soutif, libérant sa belle poitrine. Elle se mit à aller d’avant en arrière, me culbutant de plus en plus fort, malmenant mon pauvre sexe délicieusement. Le plaisir montait et montait en moi, et je devais subir tout ça immobile à cause des menottes. J’avais beau me débattre comme un beau diable, ça ne faisait que rendre les choses pires encore, d’autant que Léa me recadrait avec de puissants coups de reins. Je finis par me faire une raison, et me laisser faire tandis que Léa accélérait une dernière fois le rythme, gémissant à pleine voix, jusqu’à nous faire exploser tous les deux dans un merveilleux orgasme.

On avait beau avoir joui, Léa en voulait encore. Elle se remit aussitôt à lécher mon sexe, jusqu’à ce qu’il redevint dur. Alors, elle me saisit à nouveau le sexe, et s’empala encore dessus. Elle se remit à me baiser férocement, me culbutant comme une folle, tout en me griffant et me souriant d’un air provocateur. Elle se pencha sur moi, et m’embrassa sauvagement, me mordant les lèvres au passage. Je réalisai alors soudain que j’étais libre : pendant qu’elle m’embrassait, Léa m’avait détaché. A présent, elle s’était redressée, et avait repris sa folle chevauchée, me baisant avec passion et ardeur. Elle me regardait droit dans les yeux, comme pour me défier du regard.

Sauf que cette fois-ci, j’étais libre. Plus de menottes pour m’entraver ! Je saisis Léa par les hanches, et d’un mouvement sec, je la renversais, l’étalant sur le matelas. Elle se débattit un peu, mais je lui tins les mains contre le matelas, et elle ne put rien faire. De plus, je sentis au fond que c’était ce qu’elle voulait me provoquer puis me rendre ma liberté pour subir les conséquences de sa provocation. Elle voulait se faire corriger, elle n’allait pas être déçue !

Je me mis à la baiser en missionnaire avec force, j’allais et venais en elle, en la tenant fermement plaquée contre le matelas, et en la regardant dans les yeux, me délectant de la voir gémir, culbutée par mes puissants assauts. Je me penchai sur elle, et l’embrassai avec passion, tout en lui tenant le menton, et en pressant mon corps contre le sien. Puis, je me redressai, et me remis à la limer avec vigueur, la tenant par les hanches, et la dominant de toute ma hauteur. Léa gémissait de plus en plus fort, à mesurer que mes coups de reins s’intensifiaient, elle me tenait par les bras, comme si elle avait peur de décoller sous mes assauts. Chacun de mes coups de reins cognaient le fond de son intimité, et le plaisir montait de manière brutale en moi. Je ne tardai pas à être en sueur et haletant, tant à cause de l’effort physique que du plaisir brut que je me procurais en baisant Léa. Celle-ci semblait également prendre son pied comme jamais. Elle gémissait, haletait, se tortillait, tout en enfonçant ses ongles dans mon bras sous l’effet du plaisir. J’avais ainsi l’impression d’avoir affaire à une bête sauvage, que je devais dompter d’urgence. Et quoi de mieux pour ça qu’une bonne levrette ?

Je la retournai, et la mis à quatre pattes. Je me mis derrière elle, et la pénétrai d’un coup sec. La tenant par les hanches fermement, je me mis à aller et venir d’avant en arrière limant son sexe avec délectation. J’accélérai progressivement le rythme et la puissance de coups de mes coups de reins, jusqu’à aller vite et fort, la ballottant si vigoureusement que je devais la maintenir fermement pour ne pas qu’elle s’éloigne de moi sous la puissance de mes assauts. Léa se tordait de plaisir, gémissait à pleine voix, et secouait son beau fessier pour me donner elle aussi des coups de reins. Le faisait-elle pour reprendre le contrôle ou simplement rendre les choses meilleures encore ? Je ne sus pas, mais en tout cas, j’allai si vite et si fort qu’elle ne put guère participer, et dut bien vite se contenter de subir en gémissant de plus en plus fort. Son corps se cambrait de plus en plus, et je la sentais se rapprocher de l’orgasme. Je me mis alors à accélérer le rythme une dernière fois, la pilonnant plus puissamment que jamais, jusqu’à ce que dans un grand cri, elle explose dans un incroyable orgasme en même temps que moi.

« C’était tellement bon ! Souffla Léa. »
« C’est parce que je suis un mec viril, dis-je avec sourire narquois. »
Elle pouffa, et m’embrassa l’épaule, avant de se pelotonner contre moi. Nous restâmes un moment étendus, heureux de cette superbe baise.

Au bout d’un moment cependant, je finis par avoir de nouveau envie. Nous nous embrassions doucement, mais de plus en plus intensément, Léa me tenant par la nuque et me caressant le torse, tandis que je luis caressais les fesses, si bien que j’eus bien vite la queue plus dure qu’un bout de bois. Il était temps de repasser aux choses sérieuses.

Je retournai Léa, la mettant allongée sur le côté, et la prit en cuillère. La tenant fermement dans mes bras, je me mis à aller et venir, lui donnant de souples coups de reins qui la firent gémir. Je massai ses seins en même temps, et lui embrassai la nuque, tout en me pressant contre elle avec délice, ma bite continuant de la labourer pendant ce temps. C’était absolument délicieux, mais je voulais passer à la vitesse supérieure. Je retournai Léa, la mettant sur le dos, et la pris en enclume. Je mis ses jambes sur mes épaules, et me mis à lui administrer de puissants coups de reins m’enfonçant en elle, et l’enfonçant dans le matelas, frissonnant de plaisir et la faisant gémir à pleine voix. Je lui massai les seins en même temps, et la regardais droit dans les yeux, heureux de la voir chavirer sous mes assauts. Léa se tortillait, son corps se cambrait et sa respiration s’accélérait grandement, elle semblait complètement sonnée par ce que je lui faisais. J’accélérais le rythme au fur et à mesure, dopé par ses cris et le plaisir qu’elle prenait visiblement. Lorsque je me mis à lui donner de puissants coups de reins circulaires, cognant le fond de son intimité à chaque coup, elle se raidit complètement, serra les dents et sembla un instant en proie à une terrible extase… avant d’exploser dans un orgasme qui la fit hurler et la fit s’agiter de soubresauts délicieux.

Je n’en n’avais pas fini avec elle cependant. Je la fis une fois de plus se mettre à quatre pattes, pour la prendre à nouveau en levrette. Elle poussa un grand gémissement lorsque je le pénétrai, qui se transforma en un grand cri, lorsque je me mis à aller et venir en elle sauvagement. Il faut dire que je ne ménageais pas ma peine, et m’acharnai à lui faire le plus de bien possible, dopé par la vision de son cul si magnifique et par les gémissements qu’elle poussait. Plus le plaisir et l’excitation augmentaient, plus je me déchaînai, culbutant littéralement Léa, lui claquant les fesses, et lui tirant les cheveux, pour qu’elle sente bien qu’elle était prise et pas à moitié. Cette fois-ci, elle ne cherchait même pas à participer, et je pensais alors qu’elle avait décidé de se laisser faire. Je me trompais. A un moment, elle se redressa, se mettant à genoux. Je n’y vis aucun inconvénient, au contraire. Je l’enlaçai par derrière, et me collant contre elle, je lui donnai de puissants coups de reins, tout en massant ses seins et lui embrassant la clavicule. Elle était à genoux sur mon lit, et je la prenais par derrière sauvagement. Je pensais être en contrôle total, mais Léa avait de la ressource.

Elle s’assit soudainement sur mes cuisses, s’empalant totalement sur mon sexe en poussant un petit cri de plaisir. Puis, elle poussa ainsi, jusqu’à m’obliger à m’asseoir sur mes talons, avec elle au-dessus. Léa était assise sur mes cuisses, et moi, j’étais assis sur mes talons, en équilibre assez précaire. Lorsqu’elle se mit à se déhancher de gauche à droite dans cette position, je compris que le vent avait tourné, et que c’était elle désormais qui était en situation de contrôle. Elle secouait son beau fessier, me baisant avec adresse et sauvagerie, secouant ma bite délicieusement. Moi, je ne pouvais que me tenir au matelas, sans trop pouvoir bouger sous peine de tomber. Je l’aurais bien renversée pour reprendre le dessus, mais ce qu’elle me faisait était si bon que j’aimais autant me laisser aller. Je pouvais l’admirer de dos en pleine action, voir ses hanches et ses fesses s’activer, et profiter du plaisir qu’elle m’infligeait, qui montait, montait, et montait encore me brouillant le vue et me faisant vibrer littéralement. Lorsqu’elle me donna un coup de reins plus fort que les autres qui m’arracha un cri, et me mit aux portes de l’orgasme, je me dis qu’il était temps de réagir.

Je la saisis par les hanches, et d’un coup, la renversai sur le côté. Déséquilibré, je tombai moi aussi, et me retrouvai allongé sur le côté derrière elle. Elle fut plus rapide que moi. Elle se redressa, et vint sur moi, avant de s’empaler sur mon sexe. Je voulus aussitôt la renverser, mais elle commença alors à bondir sur ma queue de haut en bas, m’enfonçant dans le matelas, faisant rebondir ses merveilleux seins, et surtout, me faisant tant de bien que je ne réussis pas à la renverser. D’autant qu’elle me saisit par le cou, et me plaqua contre le matelas avec fermeté. Elle servit ensuite un sourire coquin, qui illumina son visage, et me laissa deviner que j’allais vivre un grand moment. Et en effet, elle se mit à aller et venir d’avant en arrière, m’administrant de féroces coups de reins qui me culbutèrent contre le lit, me donnant le tournis, et me faisant crier de plaisir. Léa elle même gémissait de plaisir, et se déchaînait de plus en plus, me baisant si fort que des vagues de plaisir me submergeaient à chaque coup, et me griffant le torse pour me faire frémir de plaisir. Pour la stimuler, je lui claquai les fesses, ce à quoi elle répliqua par une gifle bien sentie. « Oh bordel, comment je te baise violemment ! C’est presque un viol là ! » s’exclama Léa en me donnant des coups de reins toujours plus puissants. Je voulus réagir, et la renverser, mais la belle blonde accéléra encore brutalement le rythme m’immobilisant temporairement, avant de me plaquer contre le matelas, et de me griffer violemment les pectoraux. Je poussai un cri de plaisir, et ne pus m’empêcher de hurler « oooh ! Vas y ! Baise moi ! » Léa eut un sourire ravi de m’entendre crier comme ça, et se mit à se déhancher de gauche à droite très rapidement, me tenant par le menton pour que je la regarde dans les yeux, tandis que ses hanches s’activaient encore et encore au-dessus de ma bite, m’emmenant au 7ème ciel. J’eus beau tenter de toutes mes forces, je ne pus tenir plus longtemps, et explosai dans un incroyable orgasme qui me donna la sensation de m’évanouir, tandis que Léa hurlait elle aussi en étant secouée par le plaisir de son propre orgasme.

Elle s’effondra à côté de moi, épuisée et haletante, sonnée autant que moi par ce qu’elle venait de faire. Lorsqu’elle fut remise de ses émotions, elle me souffla :
« C’était géant, je suis désolée de t’avoir baisé comme ça à la fin. »
Je souris faiblement, encore sonné.

« C’est pas grave du tout, et puis, ça me donnera envie de te rendre la monnaie de ta pièce la prochaine fois. »
Léa eut un sourire ravi à cette idée.

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Texte coquin : Léa 4
Histoire sexe : Une rose rouge
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