Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. Vengeance. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. Vengeance. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. Vengeance. (1/1)
La vengeance est un plat qui se mange froid.
Il y a presque vingt ans, j’ai épousé Lucrezia jeune fille de dix-sept ans, car je l’avais mise enceinte.
J’ai fait des études de droit et je travaille dans un grand cabinet d’Avocats de la place de Paris.
À la mort de mes parents dans un accident de voiture, ils m’ont laissé un joli pécule que j’ai investi dans un logement dans le marais.
Par les cours du soir, Lucrezia a obtenu son diplôme d’enseignante et travaille dans un lycée au centre de la capitale.
Elle est professeur d’italien, diplôme facilement obtenu, car ses parents sont venus en France après-guerre, étant immigrés de ce pays voisin afin de fuir la misère.
Attention avant d’habiter dans les beaux quartiers parisiens, nous étions tous les deux originaires de la banlieue Est parisienne du côté de Sevran.
Nous habitions dans la même barre H.L.M. où j’ai toujours quelques copains bien qu'ils soient restés dans leur petit trafic.

Après mon fils, c’est ma fille qui deux ans plus tard m’a apporté le choix du roi.
Mon fils vient d’épouser une copine de lycée qui se trouve être la fille d’un responsable haut placé dans une société pétrolière et ma fille m’a fait casser mon compte épargne pour acheter une boutique avec appartement dans les beaux quartiers près de l’étoile pour vivre avec son amante.
Je dois avouer que j’ai été surpris de découvrir que ma fille est une brouteuse de chatte, un matin je les ai surprises avec sa copine nue dans la salle de bains alors qu’elles avaient oublié de fermer la porte à clef.
Elles étaient dans les bras l’une l’autre se gobant le museau ma fille ayant glissé trois doigts dans le vagin de son amie.

Je suis très peu formaliste, mais je préfère avoir compris que ma fille est lesbienne plutôt que de savoir que mon fils est intéressé par les garçons.
Cela peut être difficile à comprendre, mais des années d’éducation catho restent encrées en vous.
J’ai omis de me présenter, mes parents m'ont appelé Patrick prénom hérité de mon grand-père qui était irlandais.
Origine irlandaise, marié à une italienne habitant en France et vous avez un couple de Français fiers d’être dans l’Europe.
Parlons de moi, j’ai un grave défaut, je suis un doux rêveur, on viendrait vous tirer une balle avec un revolver à bout portant devant moi et vous tuer, si un policier me convoque pour m’interroger, je serais capable de lui demander ce qui s'est passé.
C’est un peu à cause de ce problème de comportement que j’ai épousé Lucrezia.
Avant la mort de mes parents, un soir, je rentrais d’un bar irlandais ou j’avais pris l’habitude d’aller boire une pinte de bière, l’été étant particulièrement chaud lorsqu’elle m’a abordé pour me demander un service.

• Bonjours Patrick, je te vois au lycée et je sais que tu es un très bon élève, je dois rendre un devoir de math et j’avoue ne rien comprendre pourrais-tu m’expliquer et surtout m’aider ?
• Je veux bien, mais c’est impossible chez moi, nous sommes cinq à la maison et je fais mes devoirs dans la salle pendant que mon père regarde la télé.
Ce soir il y a match du Paris Saint-Germain, ses hurlements chaque fois qu’une action de Paris sera chaude nous empêcheront de travailler sereinement.
• Viens chez moi, je suis seul mes parents sont parti en week-end chez ma grand-mère à Rogny les Sept écluses.

C’est dans un dessein bien précis que j’entrais deux portes plus loin pour me retrouver dans sa chambre de jeune fille.
Le devoir était enfantin pour moi et rapidement je lui donnais les codes pour mémoriser et être sûr de réussir immanquablement lors de son examen.
Loin de moi l'idée de ce qui va se produire, malgré les appels du pied de Lucrezia, quand nous étions devant son bureau côte à côte, je voyais dans son décolleté.
J’étais si concentré sur les explications à lui donner que les signes qu’elle me donnait quand elle écrivait restaient lettre morte.
À un moment semblant s’appliquer à écrire de sa main gauche la langue légèrement sortie, elle a laissé glisser sa main droite sur son genou pour qu’elle soit immanquablement au contact de sa petite chatte.
J’avais de vagues notions de ce que garçons et filles devaient faire pour avoir des enfants, mais comme je l’ai dit étant dans mes rêves je suis resté sage.

• Bonjour Patrick, je suis déçu, j’espérais que tu serais venu me revoir, veux-tu que je te donne mon numéro de portable ou mieux toi le tien je viens d’avoir un nouveau devoir que j’ai des difficultés à comprendre.

Deux jours après elle m’appelle et me donne rendez-vous à 18 heures une nouvelle fois ses parents étant partis pour Rogny, j’ai eu du mal à retrouver son immeuble et son appartement, car la première fois je l’avais suivi sans faire attention.
J’ai fait son numéro, mais personne ne m’a répondu, j’ai fait trois blocs et la chance a été avec moi, car ses parents avaient mis son nom Lucrezia sous leur nom de famille.
Dès Lucrezia dans le quartier j’avais peu de chance qu’il y en ait deux et je sonnais à sa porte quelques secondes plus tard, j’entends du bruit, mais je m’apprête à repartir.

• Excusez-moi, j’étais sous ma douche, j’avais oublié que je t’avais dit de venir.

C’est en peignoir une serviette en turban sur sa tête qu’elle me reçoit.
Une nouvelle fois je suis con et j’ignore son appel du pied quand elle est assise et que sous couvert d’être concentré un pan de son peignoir glisse me montrant son genou au début, sa cuisse un peu plus tard s’arrêtant à la limite de son intimité.
Je suis reparti sans même essayer de lui mettre ma main sur sa cuisse, au bas de son immeuble, je rencontre Alain, un vieux copain.

• Patrick, as-tu déménagé, je croyais que tu habitais plus loin ?
• Non, j’étais chez Lucrezia, tu sais la fille des Italiens pour l’aider à faire un devoir où elle avait des difficultés.
• Tu la tringles, salaud je la connais, elle est bandante.
• Non, c’est juste pour les devoirs.
• Raconte-moi comment les choses se passent.

Je lui explique tout et surtout la deuxième où elle était en peignoir ayant oublié ma visite.

• Pauvre nase, elle bave de se faire prendre par ton sexe, elle est peut-être vierge et c’est sur toi qu’elle compte pour lui enlever son hymen, si c’était moi il y a longtemps que je l’aurais couché sur son lit de jeune vierge, je parie que tout est rose dans sa chambre.
• Y es-tu déjà allé ?
• T’es vraiment un puceau mon pote, presque toutes les jeunes filles ont une chambre rose, car elle attend le prince charmant.
• Je vais essayer de trouver un motif pour y retourner et j’essayerais de lui faire l’amour.
• Je suis arrivé, bonne chance, as-tu des capotes.
• Pour quoi faire ?
• Il faut tout t’apprendre, tu baises une vierge la bite à nu, en ce qui concerne les maladies transmissibles rien à craindre, elle est vierge, de plus je croise ta dulcinée de temps en temps et elle est toujours seule.
Avoir un rejeton t’obligeant à l’épouser, c’est autre chose, il te faut des capotes, attends, je reviens.

Il monte chez lui et quelques minutes après il revient une boîte à la main.

• Les voilà, il y en a douze, tu peux y aller franco, tu as de la réserve, à moins que ce soit une salope chaude du cul, si tu as honte d’aller à la pharmacie en acheter, viens me voir, j’ai toujours des boîtes d’avance.
Baise bien mec.

Je laisse passer deux jours et je sonne chez elle, c’est son père qui m’ouvre.

• Je parie que vous vendez des encyclopédies, non merci.
• Je viens voir Lucrezia.
• Elle est chez sa grand-mère pour les vacances, elle revient la semaine prochaine, vous vouliez la voir pourquoi.
• Je suis simplement un copain.
• T’as intérêt à la respecter, tu sais mon père était italien, sicilien de plus.

Le lendemain mon portable sonne.

• C’est Lucrezia, ma mère vient d’appeler, elle m’a dit que tu étais passé et que mon père t’a fait son numéro de la famille italienne, vient mardi à 15 heures je serais rentré, ils m’auront remplacé auprès de ma grand-mère qui est malade.

Le mardi j’arrive cinq capotes dans ma poche, comme Alain l’avait prévu Lucrezia se donne à moi, mais quelques semaines après elle m’annoncent qu’elle est enceinte alors que nous avons baisé couvert.
Je vais voir son père comme l’on dit la queue basse, mais je sauve ma peau grâce à sa mère qui m’accueille comme son fils.
Quelques jours après Alain sonne chez moi.

• J’ai appris que tu te mariais, je t’ai bien baisé.
• Pourquoi ?
• Te reste-t-il des capotes ?
• Oui, neuf.
• Donne-m'en une !

J’en sors une de mon portefeuille.

• Regarde, je t’ai piégé pour me fendre la gueule, j’ai fait des trous à travers les pochettes dans une capote sur deux avec la pointe de mon compas, fait faire des calculs à ta future pour qu’elle calcule les probabilités que vous aviez d’avoir un enfant !

Il part fier de lui.
Comme je l’ai dit, j’ai assumé pour mon bonheur, car nous avons deux enfants même si ma fille a une copine, comme je l’explique au début de mon histoire.
Deux ans plus tard le salopard qui a cru me piéger, se marie, lui aussi, il me demande si je peux trouver une place à sa femme dans l’étude où je suis entrée, j’arrive à la faire embaucher et Aline devient ma secrétaire.
Mal lui en prend, j’en fais ma maîtresse et je me sers des neuf capotes qu’il m’a données et qui me restait, il est père de trois enfants, car les neuf ont été loin d’être suffisante, chaque boîte que je faisais acheter à Aline je me servais d’aiguilles qu’elle avait sur son bureau avec des trombones.

Mal lui en prend, j’en fais ma maîtresse et je me sers des neuf capotes qu’il m’a données et qui me restait, il est père de trois enfants, car les neuf ont été loin d’être suffisante, chaque boîte que je faisais acheter à Aline je me servais d’aiguilles qu’elle avait sur son bureau avec des trombones.

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