Ma tante

- Par l'auteur HDS Pstiro -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Ma tante Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2004 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma tante
Cette histoire vraie, relate ce que je pense être un fantasme de femme, fantasme ou perversion partagé comme vous allez le voir. 30 ans plus tard, retrouver les sensations perçues à cette époque est devenu un fantasme pour moi


L'une de mes tantes est l'instigatrice de mon éducation sexuelle tardive je dois l’avoué.


Cela fut plutôt une éducation à la perversion sexuelle. , mais je ne regrette rien.

Elle avait la quarantaine, j’en avais 20, sans être belle, elle avait un charme certain rehaussé par des formes avantageuses et une poitrine, opulente, qui ne pouvait qu’impressionner et faire fantasmer le jeune homme que j'étais.

J'avais l'habitude de me rendre chez elle le mercredi après midi.

Elle habitait un appartement en combles et souvent je m'essayer sur le bord de la table en bois car ceci me permettait tout en m’appuyant sur le bas de la fenêtre, d'observé la rue et la circulation du carrefour situé en contre-bas.

Tel était ma position ce jour là.

Sur cette même table, ma tante effectuée ce jour là aussi, le repassage de son linge sur une couverture recouvert d'un grand drap blanc immaculé, il flotté dans l'air cette odeur bien connue du mélange de la vapeur et du linge fraîchement repassé.

J'étais là, assis depuis un quart d'heure observant et bavardant, lorsque après avoir fini de nettoyer un pantalon à l'aide d'une brosse, ma tante s'inquiéta de l'état de celui que je portais sur moi, m'indiquant par la même occasion que si je voulais plaire aux filles il était nécessaire que je sois un peu plus soigné au niveau de mon habillement.

La brosse à la main elle entrepris de frotter le bas de mon pantalon sur mes jambes pendantes le long de la table. Ensuite, contournant la table, elle appuya sur mes épaules pour me faire basculer en arrière, je me retrouvais ainsi allongé. Elle me fit déplacer sur le bord pour pouvoir continué son brossage, j'étais complètement allongé sur la couverture de repassage. Là elle continua son nettoyage, la brosse et sa main se déplaçant sur mes cuisses d'abord, l'entrejambe ensuite et enfin sur la braguette de mon pantalon. Cela me provoqua une érection violente qu'elle ne manqua pas de constaté par un \"hé ben!\" de surprise, qui en fait ne devait pas en être une, car elle avait tout fait pour.

Malgré cela ou plutôt à cause de cela, elle continua ses caresses sentant ma raideur sous les tissus De sa main gauche, elle saisit la ceinture du pantalon et tira en arrière pour tendre le tissu, tandis que sa main droite avait saisi le fer à repasser et, tout en me demandant de ne pas bouger, elle le fit glisser rapidement sur la braguette. La chaleur et le frottement du fer, suivi par la caresse de la main de ma chère tante, firent qu'une tache importante apparut sur le pantalon. Je venais de me rependre à l'intérieur de mon slip.

\"Gros cochon\" me dit-elle \"il va falloir nettoyer tout ça\". Elle fit glisser la fermeture éclair, écarta l'élastique de mon slip et elle en sortie le fautif.

Saisissant le linge qui parfois lui servait de patte mouille, elle nettoya mon sexe des secrétions qui le souillé. Posant ensuite ce linge sur la couverture elle le repassa tout en gardant ma virilité dans sa main gauche. Puis reprenant la patte mouille, elle l'enveloppa autour de ma verge. La chaleur et le va et vient exercer par la main qui emprisonné le tout me firent éjaculer une nouvelle fois dans le linge.


\"Revient mercredi prochain avec un pantalon à nettoyer et je verrais ce que je peux faire\" me dit-elle avant de reprendre son repassage comme si rien ne s'était passer.


C’était la première fois qu’une femme me faisait jouir.


Je revenais régulièrement et elle procédée au nettoyage de mon pantalon. Les séances de repassage durée chaque fois un peu plus longtemps mais elle prenait suffisamment de précaution pour que je me laisse faire en toute confiance bien que parfois la chaleur soit à la limite du supportable.

Ces séances me provoquées des éjaculations violentes et des plaisirs intenses.


C'est ce qui s'est passé par la suite qui me permet de dire que ma tante avait un fantasme de repassage. Elle prenait plaisir à me mettre en forme et à repasser la grosseur qu'elle voyer apparaître sous le tissu de ma braguette. Elle aimait par-dessus tout me sentir jouir pendant qu'elle me repassait.


Cela dura plusieurs mois, Un jour ou je venais prendre le plaisir que me distribué généreusement ma tante, une autre personne était là.


Après un moment de discussion, ma tante me demanda si j'étais près à m'asseoir sur la table. Devant ma gêne visible par rapport à la présence de cette personne que je ne connaissais pas, elle se mit à rire.


« C'est ma meilleure amie, elle est propriétaire d'un pressing et la semaine prochaine nous irons la voir dans son magasin. Elle s'appelle jeannette.


un nom prédestiné


Ce jour là, la séance de repassage me mis sur les genoux, elles repassaient chacune à leur tour jusqu a ce que je me repende. La première éjaculation fut rapide.

Deux femmes affairées sur mon pantalon et sur la proéminence qu’elles distinguaient à travers les tissus de la braguette l'une brossant et l'autre repassant, arrivèrent vite à me vider de ma substance une nouvelle fois.


Ce jour là j'appris qu'il était possible de jouir sans qu'il y ait d'éjaculation car par deux fois encore leur repassage et leur masturbation me firent atteindre le plaisir intense de la jouissance. L'amie de ma tante était une experte dans l'art du repassage


Mais je n'avais encore rien vu.


Bien que je me sois rendu chez ma tante la semaine suivante et les deux autres semaines encore, rien ne se passa. Et ce n'est que trois semaine plus tard quelle me dit que mercredi prochain nous irions voir son amie

Comme convenu, nous nous rendîmes dans le magasin voir Jeannette


Il était 18h00 et elle nous fis visiter l'atelier du pressing.


Deux tables de repassage chauffantes, aspirantes, vaporisantes.

A coté une forme sur laquelle était disposé un manteau, le mannequin, air et vapeur permettais de remettre à neuf le tissu de la pièce.


Enfin deux machines qu'elle nous présenta comme étant des presses à repasser.

L'une manuelle avec une grosse pédale qui permettait de descendre le plateau, la pression de repassage étant fournie par le poids de l'opératrice

L'autre presque identique mais dont le plateau supérieur était commandé pneumatiquement. Le plateau supérieur tombe en pression emprisonnant la pièce à repasser entre deux plateaux diffusant de la vapeur sous pression.

Toutes ces machines fonctionnent avec une pression de vapeur de 6 Bars (6kgs), la vapeur ainsi projetée traverse les tissus instantanément.

Trois personnes utilisées ces machines au moment ou nous visitions l'atelier.


A la fin de la visite Jeannette s'approcha de moi et me dit que le magasin fermait à 19heures et qu' à partir de la, elle et ma tante allaient s'occupé de ma remise en forme \"J'espère que tu as eu le temps de faire des réserves car tu vas en avoir besoin\".


Le plaisir que je retirais des séances de repassage avec ma tante était intense et depuis un mois rien ne s’était passer, bien qu'impressionné par les machines de repassage et leur fonctionnement, je n'envisageais pas de reculer.


A 19heure les 3 employés du Pressing sortir de l'atelier et s'éloignèrent du magasin après nous avoir salué


Ma tante ferma la porte du magasin et me mena dans l'atelier ou jeannette nous attendait. Debout devant une des tables de repassage, elle et ma tante commencèrent à brosser mon pantalon l'une devant et l'autre derrière. La mise en forme fut rapide et mon érection très voyante. Saisissant un des fers à repasser, jeannette tenta de l'aplatir et je fus surpris car bien qu'utilise longuement; le fer n'était pas brûlant. Je sus plus tard que des semelles en téflon étaient utilisées pour ne pas brûler les tissus et que c'est la vapeur sous pression qui défroisse. J'eus un aperçu de cette vapeur lorsque jeannette soulevant le fer de mon pantalon appuya sur le bouton déclenchant l’électrovanne. Un jet de vapeur se projeta sur les tissus et bien qu’envoyé d'une distance d'environ 5 centimètres je sentis la chaleur pénétrée rapidement l'étoffe. J'eus alors une certaine appréhension de ce qui se passerait si par mégarde elle envoyait la vapeur au moment ou elle avait le fer posé sur la protubérance provoqué par mon anatomie tendu comme la corde d'un arc. Elle du s’en rendre compte car elle me dit, n’ai pas peur nous feront extrêmement attention et n’utiliseront pas la vapeur directement sur toi. J’étais un peu rassuré.

Mes repasseuses me firent allonger sur une table les jambes écartées pendantes de chaque coté, ma tante qui avait saisi l'autre fer s'occupé de mon entre jambe située juste sur le bout de la table, jeannette elle s'occupait de ma ceinture, repassant précautionneusement ma verge qu'elle sentait sous les tissus du pantalon. la chaleur et les masturbations des fers promenés sur les tissus recouvrant mes testicules et ma verge m'amenèrent à une jouissance d'autant plus intense que le repassage continuer pendant que je me vidais.


Je vais te mettre sur la jeannette me dit ma tante, j’avoue ne pas avoir saisie sur le coup, mais outre le nom de sa copine, une jeannette est aussi une forme qui sert à repasser les manches. J’eu cette précision lorsque, après m’avoir fait monter sur un petit escabeau de 4 marches, mon anatomie se retrouva à la hauteur de cette forme ou ma tante l’installa avec doigté pour ensuite la recouvrir avec deux épaisseur d’un pull en laine qu’elle se mis aussitôt à repasser.


La chaleur, le vas et vient et le poids du fer me remis rapidement en forme.


Jeannette était en train de faire fonctionner la presse pneumatique. Elle m’expliqua qu’après avoir arrêter la chaudière de cette presse, il était nécessaire de la vider de la vapeur restante.


Lorsque cela fut fait, ma tante me dégagea du pull de laine et je dus me mettre à genoux sur la table de presse. légèrement penché en arrière, Jeannette posa ma verge sur le plateau tandis que mes testicules appuyées sur le bout de celui-ci. La chaleur résiduelle du plateau était encore importante mais supportable. Ma tante qui était passer derrière moi, me poussait pour que l’ensemble reste bien en place sur le plateau. Jeannette me précisa qu’elle n’avait pas arrête le compresseur pour pouvoir avoir la possibilité de fermer le plateau en pression. Je sentais la chaleur de celui sur lequel j’était posé lorsque d’un coup le plateau supérieur s’abatis sur moi. Jeannette me demanda si la chaleur était supportable, ce que je lui confirmé. A la suite de ce oui, j’eu l’impression que ma verge allait éclaté car elle avait déclenché la pression qui permettait de serrer les plateaux entre eux. Ce pressage eu pour effet l’augmentation de la chaleur ce qui m’obligea à demander quelle arrête. Le plateau supérieur se desserra pour presser de nouveau. Je ne sait pas quelle manœuvre effectuer Jeannette mais ces pressions successives sur mon sexe, la chaleur des plateaux firent qu’un jet de sperme tenta de s’écouler de ma verge lors d’un pressage.


Une trentaine d’années après, avec une vie sexuelle normale, je n’ai pas souvenir avoir ressentie une plus grande jouissance que lors de ces séances parfaitement maîtrisé par Jeannette.


ceci n'est qu'une partie de ce qui c'est reellement passer et jamais il ni eu d'accident car elles maitrissaient parfaitement leurs pulsions et le materiel


Retrouver ses sensations est devenu mon fantasme.

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