Les amis de mes parents - partie 1-

- Par l'auteur HDS Maxlife -
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Récit libertin : Les amis de mes parents - partie 1- Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les amis de mes parents - partie 1-
C’était il y a quelques années en été, je devais avoir 17ans. J’allais souvent passer des journées chez ma meilleure amie Adeline.
Elle était belle, et vraiment bien proportionnée, environ 1,70m pour 50kg, ses seins faisaient du 95B, sa chatte était épilée…un régal. Elle vivait avec sa mère Jocelyne, une belle femme mure, avec un gros cul et des gros sein (90D), elle était bronzée, et terriblement excitante.Son père Jean, était lui aussi un beau gosse dans le genre.
Ce week end là, je restais chez mon amie car mes parents étaient partis se faire un petit week end en amoureux.
Tout commença le samedi soir après dîner, alors que je sortais de la salle de bain, je vis par l’entrebâillement de la porte de la chambre que Jocelyne sa mère, était à demie nue sur son lit en train de feuilleter une revue pour adulte, il faut dire qu’elle est très peu pudique. J’ai eu le temps d’apercevoir sa culotte et ses gros nichons bien huilés, avant qu’Adeline m’appelle.
En allant vers notre chambre avec Adeline, je pensais à ce que je venais de voir. Cette femme sujette de nombreux de mes fantasmes semblait adorer le sexe ! Quelle découverte.

Une fois dans ma chambre, Adeline vint se glisser dans mon lit en me disant qu’elle ne voulait pas dormir seule, il faut dire que parfois nous nous amusions à nous toucher dans le lit. Ce fut réellement une bonne éducation sexuelle, de pouvoir découvrir le corps de la femme en toute liberté. Nous n’étions jamais allé au bout d’un rapport. Cela se limitait à des branlettes des pipes et des cuni. Cependant j’avais hâte de découvrir la sensation d’être dans le vagin d’une femme.
Adeline a donc commencée à me sucer, sa bouche était chaude, elle tournait sa langue autour de mon gland de manière magistrale, elle savait faire pour exciter un homme. Elle était sous les draps entre mes jambes, je ne voyais que la forme de sa tête dans le drap, elle allait et venait a un rythme soutenu qui me faisait sortir des petits grognements de plaisirs.
Ce soir là j’étais tellement excité par ce que sa mère m’avait inconsciemment montré que j’avais envie de limer Adeline. Je n’avais pas de capote, alors la découverte du vagin féminin serait pour un autre soir. Alors qu’Adeline continuait à me pomper je m’aperçu soudain que la porte de la chambre était à demie ouverte et que Jocelyne venait de me voir prendre mon pied.
Voyant mon embarra, celle-ci me fit un sourire puis alla se coucher. Adeline n’avait rien vu, trop occupée à me donner du plaisir sous le drap.
Ce bref passage de sa mère a eu pour effet de me faire gicler immédiatement dans la bouche d’Adeline, non mécontente de récupérer ma semence pour l’avaler.
Nous nous couchâmes tranquillement après un dernier baisé.
Une heure plus tard, je fus réveillé par des cris et des coups dans le mur. Cela ne faisait aucun doute, la chambre de ses parents étant voisine à la notre, s’étaient ses parents qui s’envoyaient en l’air. Ma queue se raidis directement et je fus attiré par ses bruits enivrants. Je me disais que Jocelyne avait décidé de me donner la réplique après m’avoir surpris avec sa fille…quelle cochonne !
Je regarda Adeline qui dormait paisiblement, puis je pris mon courage à deux mains et me leva discrètement pour épier le couple.
Super, leur porte était encore entrouverte, ce qui me donnait une vue splendide sur le lit conjugal.
J’avais une vue parfaite sur les fesses de Jocelyne qui se trouvait à cheval sur Jean. Son sexe était énorme, je dirais 23 cm avec un diamètre impressionnant. Il pilonnait sa femme brutalement, et celle-ci s’empalait de plus belle. Entre deux pénétrations, celle-ci se couchait pour le piper a fond. Elle semblait être une experte du sexe. Jocelyne était maintenant à quatre pattes sur le lit, Jean préparant son gland pour la baiser en levrette. Il l’enfila d’un coup sec, ce qui eu pour effet de faire gémir Jocelyne, il lima aussi vite qu’il le pu.
Je ne pu m’empêcher de m’astiquer en voyant cela. Après de longues minutes, Jocelyne se laissa pousser un long râle de plaisir puis tomba net sur le lit.
Elle dit a Jean : « reste encore en moi, je te veux jusqu'à ta dernière goutte ».
Je compris alors que Jean lui avait tout déchargé dans le vagin. Je n’en revenais pas d’avoir vu ce spectacle en live.
Soudain je vis Jocelyne se lever en se dirigeant du coté la porte, je quittai vite les lieux pour partir vers mon lit. Elle sortit, alla à la salle de bain se doucher.

Le lendemain, après m’être à peu près remis de mes émotions, j’étais encore excité à la pensée d’avoir vu cette femme à poil sur la queue de son mari.
Je me levais et allais vers la cuisine pour prendre mon petit déjeuner, Adeline dormait encore et je comptais bien la réveiller en lui chatouillant le clito après mon petit déj.

C’est alors que j’entra dans la cuisine et vis Jocelyne vêtue d’un paréo turquoise noué autour de sa poitrine. Je m’aperçu vite qu’elle était nue dessous. J’ai très vite bandé, alors je me suis assis à table pour éviter qu’elle ne voit ma queue. J’étais gêné mais je voulais aussi enclencher le pas pour voir si j’avais possibilité de parfaire mes connaissances sexuelles avec cette femme.
Elle s’asseya en face de moi.

J’attendais un peu, nous parlions du beau temps.
M : moiJ : Jocelyne
M : bonjour tu vas bien ?
J : Bonjour mon petit chou, bien dormi ?
M : Oui merci.
Je fis un sourire très évocateur pour lui montrer que j’avais tout vu hier. J’étais très tendu, mais il fallait que je me lance, ça passe ou ça casse.

M : Jean n’est pas là aujourd’hui ?
J : Non il est parti la journée à la chasse, mais moi c’est pas vraiment mon truc. Et Adeline dort encore ?
M : Oui elle est très fatiguée en ce moment.

Elle me fit un large sourire, J : je suis désolé hier soir je vous ai vu je ne voulais pas, c’était pas correct.
M : pourtant tu semblais aimer le spectacle !

Je fit tomber mon croissant par terre, en me penchant sous la table je vit sa fente poilue, elle ne croisait pas les jambes. Troublé je me redressai.

M : Moi aussi je vous ai vu hier soir, et j’ai adoré.
Je suis devenu rouge en pensant me faire gifler.

J : Je vois, tu me fais penser à moi quand j’avais ton age, j’adorais épier les ébats sexuels de mes parents, pour voir comment cela se faisait.

Que m’a-t-elle dit là, c’est une vrai chaude, je dois aller au bout c’est sur.
M : Ah oui ! (D’un air étonné). En fait cela me rassurerait de le faire avec une femme qui à l’expérience, je me sentirai moins tendu. (En parlant de tendu, ma bite ne désenflait pas).

J’avais décidé de lui jouer le couplé du jeune homme timide pour la faire craquer.

J : Je peux peut être t’aider ?
M : je voudrais bien mais je n’ai pas de préservatif.
J : J’ai 52 ans tu sais, plus besoin de ça à mon age.

Un long silence s’installa, ne sachant pas quoi dire mais pensant bien à comment j’allais baiser la mère de ma meilleure amie.
Jocelyne se leva et me tourna le dos pour déposer nos bols dans le lave vaisselle. J’en profitais pour me lever et me placer derrière elle à quelques centimètres de son cul.
Allez je me lance me disais je dans ma tête.
Je lui passai une main le long de ses fesses en la plaquant contre le lave vaisselle.

M : J’ai très envie de toi maintenant !
Ma queue toute dure appuyait sur son cul et cherchait un passage pour l’enfiler rapidement.

J : Doucement Maxime, viens plutôt sur le canapé on sera mieux.
Je la suivi donc, ma queue me dictant la route à suivre.
Elle enleva son paréo et se trouvait totalement nue devant moi, elle me tenait toujours la main et me la posa sur ses seins.
Ils étaient vraiment gros, je les malaxais avec délicatesse, les embrassais.
Je descendis alors jusqu'à sa fente, recouverte d’une légère toison brune qui n’était pas sans charme je dois dire.
Je laissais glisser ma langue le long de sa fente (je l’avais déjà fait des dizaines de fois avec sa fille), et vu qu’elle était déjà bien humide.

M : tu es bien mouillée, je veux te prendre maintenant !
J : attends, prépare moi la chatte, tu sais il faut me faire monter le plaisir. Glisse moi tes doigts !
M : Vu la taille de la queue de ton mari, la mienne passera sans souci ma poule (ma queue est de taille normale 15 cm), viens t’asseoir sur mon gland maintenant.

Elle se leva et s’exécuta, elle pris ma bite pour la diriger vers son sexe maintenant trempé, son entre jambe brille de mouille.
Elle s’empala lentement et se laissa glisser cm par cm sur mon mandrin.
Maintenant elle commence à osciller doucement, hummm c’est vraiment bon lui dis-je. Sa chatte était vraiment large, elle devait souvent se faire défoncer car ma queue glissait toute seule à l’intérieur de sa vulve.

J : Alors jeune homme, tu vois ce qu’on sait faire nous les femmes !

Elle ondule du bassin c’est trop bon, ma queue est prisonnière de cette chatte brûlante. Elle me faisait grogner de plaisir, alors qu’elle gémissait à peine, elle se contrôlait (l’expérience sans doute).

M : Pas de doute, tu es une pro du sexe ! Je vais te montrer ce que les jeunes hommes savent faire.

A ces mots je la descendis de ma queue, l’allongea sur le canapé, lui remonta les genoux sur mes épaules et lui dis :« Tu préfère une relation virile à ce que j’ai vu hier »Et là je l’empalais d’un coup sec, ma queue n’eu aucun mal à trouver le trou, celui-ci était béant.
J’accélérai le mouvement, sortais mon dard, le renfilais brutalement…là elle gémissait, mes couilles venaient frapper son cul, c’était incroyablement bon.
Seulement, comme tout novice, mon excitation me fis rapidement monter ma sève, je ne voulais pas que cela s’arrête, mais mon corps décida pour moi et je lui cracha tout dans la cramouille. Elle se figea et sorti un hummm de plaisir, la sensation du sperme qui gicle sur ces parois vaginales sans doute.
Je sorti ma queue et lui dis un grand merci pour son cours d’éducation sexuelle, elle me répliqua qu’elle était disposée à faire des séances de rattrapages mais que j’avais bien réussi le test d’entrée.
En cadeau, elle me donna une capote pour que je puisse aller réveiller sa fille.

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