Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (3/20)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (3/20) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (3/20)
• Olga, je vois qu’elle est prête met lui son collier.

Je tourne la tête. Olga se dirige vers le placard qu’elle a déjà ouvert et où elle a récupéré la cravache qu’elle repose.
Je la vois prendre des objets que je ne peux voir.
Elle revient me montrant sa chatte intégralement épilée, tenant dans ses mains le collier demandé par maître Hugo.
Il est bleu et a environ 2 cm de large, l’autre objet est une pince spéciale qui va lui permettre de sertir les deux parties avec un rivet.
J’ai un léger mouvement de recul vite réfréné lorsque mon amant me saisit le bras qu’il sert à m’en faire mal.

• Avance ton cou !

Je me mets à quatre pattes et exécutant sa demande étant entièrement asservie, j’avance ma tête afin de le recevoir, prestement elle me le place et engage le rivet dans son logement.
Le collier est très ajusté et la pince a du mal à passer et me blesse légèrement.
L’opération est rapide et me voilà affublée d’une lanière de cuir que je vais avoir du mal à enlever en entrant à la maison.

• Olga, viens sur le lit et bouffe lui la chatte.

Elle s’exécute et commence à me lécher la vulve.
Je n’ai jamais eu de rapports sexuels avec une femme, sauf avec Noémi, une jeune femme de trente-deux ans qui faisait partie de notre groupe du mardi, elle a mystérieusement disparu du jour au lendemain en envoyant une lettre à Alice.
Elle lui disait qu’elle retournait vers son ex à Bordeaux pour qu’il puisse voir grandir ses filles de quinze ans et 6 mois.
C’est ce bébé qui a été à l’origine de ce qui s’est passé entre nous, je suis allé le voir chez elle un après-midi, elle lui donnait la tétée, son sein était sorti et encore gonflé de lait.
Après lui avoir fait faire son rot et replacé dans son couffin elle est venue s’asseoir à mes côtés pour se nettoyer et refermer son corsage.
J’ai aperçu une goutte-de-lait à la base du sein qu’elle n’avait pas retiré, je lui ai saisi le coton pour les enlever, mais pour faire cela proprement j’ai été obligé de lui enserrer le sein avec ma main libre, j’ai dû appuyer un peu fort, car un jet de lait est sorti.

• Tu as beaucoup de lait, il sort tout seul !
• Oui, bébé ne manque de rien.

J’appuie une nouvelle fois et un deuxième jet sort.

• Veux-tu goûter ?

J’ai toujours voulu savoir quel goût avait ce lait lorsque j’ai eu mes enfants mais ma pudeur mon toujours fait reculer, j’avance ma bouche et j’appuie, un jet par en biais et viens s’écraser à côté de mon nez.
C’est naturellement que ma bouche a aspiré son sein, je me suis mise à la téter comme le nourrisson venait de le faire, elle devait trouver du plaisir à ce que je lui faisais, car j’ai senti sa main m’appuyer sur ma tête.
J’ai pris conscience que la situation était anormale, bien que j’apprécie et le goût et le faîte de téter, j’ai reculé.
Nous n’en avons jamais reparlé.
Cette femme que je ne connais pas et qui me broute le minet me donne du plaisir, elle doit avoir l’habitude de pratiquer l’amour entre femmes, car elle fait pivoter son corps et me présente sa vulve à hauteur de ma bouche.

• Suce là !

L’ordre de mon Maître est tombé comme un couperet.
Une fraction de seconde, j’ai envie de ne pas répondre espérant les sévices qui me plaisent de plus en plus, c’est la chatte de femme que je n’ai jamais sucée de ma vie qui l’emporte.
Je plonge mon nez dans sa fente afin d’écarter ses lèvres intimes, j’aime les sécrétions qu’elle distille sur ma langue.
De son côté, elle me fait jouir plus vite que je ne l’aurais voulu, montrant la servitude que ce couple produit sur mon corps.
Je m’accroche pour ne pas la louper, j’ai joui, je veux qu’elle jouisse aussi et fasse de moi une vraie lesbienne, j’arrive à mes fins lorsqu’elle m’envoie au fond de ma bouche des petits jets que je ne m’attendais pas à voir sortir d’une fente féminine.
Elle tombe sur le côté, je suis heureuse, le Maître va l’être aussi.
Lorsqu’il s’aperçoit que je reprends vie, il va vouloir se servir de moi quitte à me faire fouetter selon son bon plaisir.

• Fiche le camp, salope.

Au lieu de me récompenser, il me chasse ne me laissant même pas le temps de récupérer mon imper et mes talons haut que j’avais mis pour marquer la courbure de mes reins.
Au moment où je vais passer la porte, il m’appelle, je me retourne espérant qu’il veut de moi, Olga est entre ses jambes et lui suce la verge pendant qu’il plonge ses doigts dans sa fente.

• Deux choses, si tu essayes d’ôter ton collier, nous savons où se trouvent tes enfants et tu ne les reverras jamais.
Sète, ça te dit quelque chose ?
Demain après neuf heures tu relèveras la boîte aux lettres où tu trouveras des instructions, maintenant dégages, on t’a assez vu.

Je sors, dès que je passe la porte, des larmes coulent à flots sur mon visage.
J’ai du mal à rentrer chez moi, car mes pieds me font souffrir sur les cailloux qui jonchent mon parcours et surtout ma nudité qui me rabaisse au niveau qu’Hugo à souhaiter me mettre.
Le froid, la pluie et la menasse sur mes enfants me glacent le sang, j’ignore l’heure qu’il ait, il ne manquerait plus que Pierre soit rentré.
Il n’est pas là, je me douche et cherche une solution au collier, sa vue dans la glace de ma salle de bains au lieu de m’effrayer me donne des sensations qui descendent jusqu’à mon bas-ventre.
Si mon Maître m’a mis un collier me liant à lui, ce doit être dans notre intérêt, tant qu’il me le fait porter, c’est qu’il tient à moi et un jour prochain, il me prouvera que je ne me suis pas trompé.
Je viens de m’habiller lorsque Pierre arrive. Il ne met pas trois secondes à remarquer le collier bleu que je porte.

• Un nouveau bijou ma chérie ?
• C’est Alice qui m’en a fait cadeau, c’est la nouvelle tendance en ce moment. Te plaît-il ?
• C’est spécial, tu pourrais être prise pour une femme qui ait soumis à un seigneur et Maître, si ce Maître, c’est moi, pourquoi pas !

En me disant cela, il s’approche pour me prendre dans ses bras.
La voix de mon Maître résonne à mes oreilles.

« À part l’acte sexuel qu’une femme doit à son mari, tu ne te donneras pas à lui pour trouver du plaisir. »

Je le repousse prétextant mon indisposition mensuelle.
La nuit est interminable, je compte les minutes au début et plus l’heure fatidique qui va celer mon existence avance et plus j’en arrive à descendre aux secondes.
Pierre part comme tous les matins, je fais celle qui dort, mais je suis comme une pile électrique.
Neuf heures, j’ouvre la boîte, un paquet y est déjà, je le saisis et je cours pour l’ouvrir au sec à cause de la pluie, à l’intérieur deux CD et une lettre.
Sur les CD deux chiffres 1 et 2.
J’ouvre la lettre.

« Va à ton lecteur, je sais que tu en as un et démarres le CD numéro 1.

Je me dirige immédiatement devant notre télé, le CD démarre, les images qui défilent me glacent le sang, je me vois entrer dans la chambre, aller vers la table et me dévêtir.
L’une des caméras, car je me vois sous un autre angle sucer Hugo et Olga entrer et aller chercher la cravache pour l’abattre sur mes fesses.
Mes yeux sont exorbités lorsqu’un zoom est fait sur ma figure lorsque je suce Olga qui me projette ses sécrétions au visage.
Je revis les humiliations qu’il m’inflige en me renvoyant, les images sont une chose, mais le son qui accompagne les images est plus insupportable à entendre, je suis tombé très bas lorsque je l’implore qu’il me prenne.
J’ai mal quand je vois la moue dédaigneuse qu’il fait et que je n’ai pas vue sous l’angle où je me trouvais, les images s’arrêtent, je change le CD.
Hugo apparaît et me parle.

« Léa, tu as vu à quel niveau de déchéance, j’ai réussi à te réduire en une seule journée, deux solutions s’ouvrent à toi, où tu prends une pince, tu coupes le collier et tu viens le déposer dans ma boîte aux lettres.
Tu pourras retourner à ta petite vie fade fondée sur ta simple réunion avec tes copines le mardi après-midi, si tu choisis cette solution, tu n’entends jamais plus parler de nous.
J’espère que tu choisiras la deuxième, tu viens demain après midi chez moi après avoir été à l’adresse indiquée sur le papier rencontrer un médecin à 10 heures qui t’enlèvera ta toison au laser.
J’aime les chattes imberbes et par cet acte, tu me prouveras ton amour et ton asservissement, je te promets un après-midi de rêve pour tout ton être, tu jouiras comme jamais.
Ce soir, tu seras assez persuasive avec ton mari pour qu'il t’autorise à devenir ma secrétaire pour partir chaque semaine avec moi dans différents pays.
Fin de semaine, on te conduira dans un hôtel près de tes enfants où tu resteras le week-end avant de revenir vers moi, nous travaillerons ensemble jusqu’à ce que je décide de te t’enlever mon collier.
Afin d’avoir des atouts pour signer ce contrat de travail, qui se trouve dans ta boîte dès maintenant, je t’autorise à te servir de tous tes charmes pour convaincre ton mari, pour une nuit seulement, il pourra tout avoir de toi. »

Le CD est terminé, je regarde les 2 CD une fois, non 4 fois en buvant les mots de celui qui m’a fait chavirer...

Les avis des lecteurs

Est ce vraiment un mariage, l'histoire vous le dira, mes tous les goûts sont dans la nature, vous devrez savoir que 90 % de mes histoires se termine bien,est-ce que celle là est dans le lot...

Histoire Erotique
Je n'aime pas les histoires qui font exploser les mariages.

Merci cher lecteur, j'ai un email chr.r.r@sfr.fr contactez-moi

Histoire Erotique
J'aime bien cette histoire comme toutes les autres , j'attends la suite avec impatience



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