Titre de l'histoire érotique : Perversions

- Par l'auteur HDS Grandpecheur -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Perversions Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Perversions
Avertissement
Attention, lu au 1er degré cette nouvelle peut froisser, choquer, voir plus. Loin de moi l'idée de critiquer, porter un jugement ou aitre sur le type de personnages que je vais évoquer ci-après, je les respecte comme tout être humain. Quelque part j'ai voulu montrer qu'en fait ils étaient absolument comme nous, avec les mêmes envies, les même rêves peut être.
Quant à moi, je ne me prend absolument pas pour un auteur, un écrivain ou autre… Non je suis monsieur tout le monde qui veut juste partager ses fantasmes sans aucune prétention.
Ah au fait… si vous n'aimez pas, cette lecture n'est absolument pas obligatoire, liberté vous est offerte de la cesser à tout instant. Et si ça vous a amusé(e), voir excité(e) peut être, le but est atteint.

Handicaps et sexe

Quand je me suis fais engagé comme aide soignant dans cet hospice, j'ai cru que je ne m'y habituerai jamais. Toute la misère du monde était condensée ici. Oh pas forcément la misère pécuniaire, certains patients étaient même très aisés, mais la détresse d'être « différent des autres » comme on dit aujourd'hui ; pas différent parce ne que né avec un bras en moins ou des muscles des jambes qui ne répondent pas, mais « différent » avec un grand D, à faire peur au commun des mortels. Et pourtant derrières ces.. morceaux de chairs hétéroclites mais vivantes se cachent des êtres humains, hommes et femmes avec des envies comme vous et moi…

Louise
Elle était déjà dans mon service lors de mon arrivée. Une jeune femme d'une trentaine d'années qui se prénommait Louise. Un visage de poupée, une abondante chevelure dorée et des yeux d'un bleu électrique. Lorsqu'elle souriait, le monde suspendait sa respiration, lorsque sa bouche s'ouvrait on avait envie d'y plonger tout entier. En plus, un esprit de grande vivacité et de la culture. Tout pour être heureuse, enfin…. si elle avait eu des bras, et des jambes… Louise était femme tronc !
Le torse calé dans un coussin elle m'attendait pour les soins du matin le sourire aux lèvres.
— ha c'est vous le nouveau ? enfin un homme potable, c'est rare ici
— merci répondais-je subjugué par ses yeux.
J'étais scotché et plutôt embarrassé. J'avais déjà fait la toilette de femmes hospitalisées, mais généralement elles m'aidaient en se soulevant, en dégageant une manche…. Louise était immobile, elle attendait que je fasse tout, et pour cause. Je déboutonnais son chemisier et une opulente poitrine aux tétons agressifs sembla vouloir jaillir du soutien-gorge. Plutôt que de retirer de suite ce dernier je défis sa ceinture pour retirer une sorte de short aux entre-jambes cousues. Pour cela je du la prendre dans mes bras, la soulever et faire glisser la pièce de tissu. Elle m'apparue dans une ravissante culotte rouge vif, tout comme le soutien-gorge. Interdit je restais sans voix quand Louise me dit :
— allez retirez vite cette culotte, ma foufoune a besoin de prendre l'air depuis qu'elle est enfermée !
C'était pour dire quelque chose d'ailleurs, car comme aucune cuisse ne sortait des trous latéraux l'air pouvait circuler ! Et du fait la culotte était facile à retirer…
Et là… quel spectacle ! une chatte de toute beauté ! des grandes lèvres qui montaient la garde de chaque côté d'un fossé que l'on devinait soyeux… De mon air le plus professionnel possible j'écartais ces lèvres pour nettoyer son minou et ses petites lèvres s'offrirent à ma vue… quel bonheur ! et là-haut ce petit bouton de chair rose qui palpitait, qui tentait de sortir de son écrin soyeux ! Je nettoyais tout, glissa même un doigt à l'entrée pour m'assurer de l'hygiène des lieux et constatais avec beaucoup de surprise que la belle n'était plus vierge. Pourtant visiblement son handicap était de naissance, personne ne lui avait jamais écarté les cuisses ou tenu les jambes en l'air pour la pénétrer, elle avait donc eu des rapports dans l'état où je la trouvais aujourd'hui. Alors que je nettoyais méticuleusement son abricot à présent très juteux, je sentis sa respiration s'accélérer. Une femme « complète » m'eut certainement tenu fermement la main en place, mais Louise ne pu que parler :
— oui continue, plus vite, sur le bouton frotte bien, c'est bon, continue ! mets un doigt dedans, vas y branle moi !
Sans mot dire je m'exécutai. Soudain ma main fut inondée, et, comme je me penchais pour admirer ce spectacle, lorsque je retirais le doigt qui fouillait son vagin, un puissant jet salé inonda mon visage. M'essuyant du revers de la main, je léchais ensuite cette dernière.
— Merci ! mille fois merci ! d'habitude on « me met à tremper dans une bassine » pour laver ma chatte et mon cul, mais de loin je préfère cette méthode. Tu sais tous les hommes et les femmes qui ont une petite « envie » se caressent en solo pour se calmer, moi je ne peux pas et difficile de dire à un soignant de me branler, là comme tu me touchais ça m'a été plus facile. Mais tu sais j'aime faire l'amour comme tout le monde, pas seulement me faire caresser. Si tu n'es pas trop choqué par mon état tu peux, si tu veux, revenir ce soir au moment de me mettre au lit, arrange toi pour que je sois ta dernière patiente on aura plus de temps.
Elle m'envoya du bout des lèvres un baiser mutin et sensuel et me congédia.
Je passais la journée avec ceux qui allaient devenir dans les semaines à venir mes patients, mes amis peut être, même si en principe on se doit de garder une certaine distance avec eux. Mais la plupart de ces gens ne recevaient jamais de visite et les soignants étaient leur famille, alors comment ne pas s'attacher ? Après un dîner rapide je commençais la tournée des chambres pour aider la mise au lit de certains. Il y avait ceux qui se cachaient dans un placard pour retarder le coucher, encore que s'ils avaient la possibilité de se coucher seuls ils pouvaient rester debout du moment qu'ils ne se promenaient pas dans les couloirs, il y avait ceux qui pour rester moins seuls entreprenaient de raconter la journée exaltante qu'ils avaient passé, il y avait Éloïse, petite vieille dont je vous reparlerai qui tout à fait par hasard se trouvait toujours à poil quand un soignant entrait chez elle, Samy qui avait en permanence une bosse sur le devant de son pantalon et tous les autres. Je terminais la tournée des chambres par Louise, comme je lui avais promis.
Quand je frappais à sa porte une voix enjouée me répondit : « entrez mon mari n'est pas là ! »
Louise était « assise » dans un fauteuil, calée avec des cousins tout autour.
— excuse moi de ne pas me lever mais j'ai trop marché aujourd'hui
J'ai beau aimer l'humour, celui là me déstabilise un peu je l'avoue. Tirant une chaise je m'assois à côté de Louise. Et là Louise me raconte sa vie, ou plus tôt sa vie imaginaire telle qu'elle l'aurai vécue si elle avait été… normale, ou complète je ne sais comment dire. Très rapidement je suis subjugué par son érudition, c'est vrai qu'à part lire avec un dispositif vocal pour tourner les pages et écouter de la musique, son activité ne pouvait être que cérébrale. Mais sa culture est incroyable, son vocabulaire aussi, surtout qu'au bout d'un moment elle se mis à me sortir de longues phrases en anglais, espagnol, italien, allemand, hébreux, arabe, japonais et bien d'autres dont les sonorités m'étaient inconnues. Seule l'anglais éveillait en moi quelques notions de ce qu'elle disait, bien que fuck et dick soit rarement enseignés dans le secondaire, mais la tonalité quelle prenait dans les autres langues et sa façon de me regarder me laissait supposer qu'elle continuait sur le même sujet.
— J'emploi ces langues, me dit elle, pour ne pas trop t'effaroucher le premier jour en te racontant mes fantasmes, mais je ne suis pas certaine que tu ais compris le moindre mot. Je vais te faire une explication de texte sommaire… Par exemple je t'ai dis en arabe combien j'aimerais que tu enfouisses ton visage dans ma chatte, que ta langue me déverrouille le vagin et que tu boives jusqu'à la dernière goutte de cyprine. En japonais je t'ai demandé de m'embrasser profondément, que ta langue pénètre ma bouche, l'explore dans les moindre recoins, qu'elle se noue à la mienne et que tu me craches dans la bouche pour que je me délecte de ta salive. En allemand j'ai demandé à ce que tu lèches mon trou du cul, que tu écartes mes fesses et profites du moment où je vais « pousser » pour enfoncer ta langue dans mes entrailles. Mais là c'est bien en français que je te demande de fourrer ta bite dans ma chatte de pute pour me défoncer comme un malade.
En homme bien élevé, et en mec dont la bite tendue est sur le point d'exploser, je me fais un devoir d'exécuter les demandes de ma patiente. Après avoir longuement admiré les lèvres superbement ourlées de sa chatte, je les saisis du bout des lèvres, en lèche les abords, remonte la cicatrice sur toute sa longueur pour suçoter son petit bouton offert dans un écrin luisant. Après moult passages et repassages en variant les approches, le ventre de Louise se lève et s'abaisse avec force, des gémissements éclosent sur ses lèvres et une saveur tiède et piquante s'étale sur mon visage. Loin de m'en éloigner je plonge au plus profond de sa blessure pour me repaitre de la moindre goutte de son jus salé.
Éperdu de reconnaissance je l'embrasse avec passion, léchant son visage, mordillant sa langue, l'aspirant, mangeant se lèvres et buvant sa salive chaude avec avidité. Souriante, les yeux mouillés, elle me fixe et garde la bouche ouverte, suppliante. Alors me positionnant au dessus d'elle je laisse couler un long filet de salive dans sa bouche. Ses yeux me disent « plus » et faisant remonter en moi un long crachat je lui offre celui-ci comme un présent qu'elle déglutit aussitôt.
La retournant et calant un oreiller sous son ventre, j'écarte ses somptueuses fesses et met à nu son petit trou. Louise ne l'appelle pas ainsi, elle se complet à lui donner des noms sordides, le trou du cul étant le plus élégant. « J'ai envie que tu écartes mon trou à merde, que tu vérifies qu'il est propre et sinon que tu le laves avec ta langue, je suis une salope, quand je chie je ne peux m'essuyer alors ma merde s'étale sur mon cul et sèche sur mes poils ».
Délires que tout cela puisque Louise est propre et lavée par les aides soignants après toute déjection. Mais cette vulgarité l'excite alors je joue le jeu. Je lui vrille le majeur dans son trou du cul, le ramone bien pour l'exister et lui donne son doigt à sucer en insistant sur le fait que cette grosse pute bouffe sa propre merdre. En fait lorsque j'y passe passionnément la langue je n'y détecte qu'un gout poivré sans aucun corps solide. Elle gémit sous ma langue qui la perfore et je deviens dur comme une barre de fer. Alors m'allongeant sur le dos je saisi Louise, la place au-dessus de moi et la laisse s'empaler la chatte brulante sur mon sexe dressé. La tenant aux hanches je me branle avec son corps avec vigueur, puis la posant à plat ventre sur un tabouret, la tête pendant dans le vide, je la pénètre brutalement en faisant claquer mon ventre contre ses fesses. La manipulant à mon rythme, mes doigts s'enfoncent dans sa chair tandis que je la pilonne jusqu'à ce que je me sente jaillir en elle.
Éloïse

Une autre de mes patiente s'appelle Éloïse, elle doit avoir fêté ses 80 ans voici bientôt une décennie. Aujourd'hui le corps desséché, les seins ballotant et flétris, les fesses flasques, son corps ne fait guère penser au sexe. Mais dans son visage ratatiné ses yeux brillent d'un air pervers et son sourire vicieux et en coin laisse imaginer à chaque instant qu'Éloïse a une pensée perverse. Et lorsqu'elle s'adresse à vous, l'imaginaire laisse place à une vérité crue.
Éloïse aime raconter ses chaudes aventures de jeunesse, depuis qu'à 12 ans elle a offert sa fleur à son cousin âgé de 13 ans, jusqu'à son entrée en maison de repos. À l'entendre, entre ces 2 extrêmes elle a tout fait, tout essayé, à 2, 3, 4, 6 et beaucoup plus. Elle a aimé les femmes, les hommes, le 3ème sexe et même les animaux, chiens et poneys inclus. Depuis qu'elle est à l'hospice elle passe le plus clair de son temps à tenter d'allumer les autres patients comme les aides soignants. Elle s'arrange toujours à laisser entrouvert son décolleté pour que quelqu'un tente d'apercevoir au bout de sa chair flasque et pendante, ses gros tétons cernés d'un aréole bistre. Ou, apparemment endormie sur un fauteuil, la robe de chambre s'est largement ouverte jusqu'en haut des cuisses, cuisses largement ouverte sur sa vieille fente fanée mais toujours active et gourmande d'après elle.
Les personnes âgées ont souvent des petits bobos, des douleurs, et c'est notre devoir de nous en préoccuper. Éloïse, n'a jamais mal au dos, aux pieds, aux mains…. Mais elle a une grosseur lui semble t'il anormale au sein. « Mais si, je vous assure, tâtez… à pleine main… vous ne sentez rien de bizarre ? » Elle a aussi une hémorroïde qu'il faut enduire de pommade… « vous ne la voyez pas elle est profonde ! il faut enfoncer votre doigt plus loin ! ». Et son minou est sujet à de nombreuses démangeaisons qu'il convient de calmer de passant le doigt dessus ou dedans, voir d'apaiser en faisant couler un peu de salive dessus.
Mais Éloïse ne se la joue pas « perso ». Si d'aventure une jeune infirmière se touche le sein par maladresse ou inadvertance, Éloïse s'inquiète aussitôt. « Qu'avez-vous ? une douleur ? Faites voir ça peut être dangereux de ne pas surveiller ! Si si j'insiste, montrez moi ! Et de sortir le jeune sein, le caresser, le malaxer et par gentillesse d'y apposer de petits bisous qui soignent… Et que dire si transpirant dans une culotte serrée la jeune fille a le malheur d'écarter subrepticement sa culotte ou si l'infirmier de service se remonte machinalement les coucougnettes d'un geste nonchalant. Éloïse est prête à vous aider, à vous examiner, à tâter pour s'assurer que tout va bien et aussi à vous complimenter, s'extasier et vous cajoler.
Mais lorsque Éloïse vous sent amusé(e) par ses attouchements ou son exhibition, ses yeux se mettent à briller et entre les lèvres de la vieille femme jaillissent les mots les plus orduriers et les propositions les plus indécentes qui soient. Le conventionnel « petit grattement entre les cuisses » devient « j'ai la chagnasse en furie elle a besoin d'un bon broutage ». Le problème hémorroïdaire devient : « écarte mon trou du cul de salope et ramone-le avec ta grosse bite tendue ».
Aussi le premier soir où, couchée, Éloïse nue dans son lit à cause de la chaleur, se plaignit de « petits gratouillis là.. non plus bas… au milieu » je ne me sentis pas le courage de refuser l'inspection. Penché sur son entrecuisses j'écartais complaisamment les lèvres de son vieux chat fané et m'aperçu que contrairement aux idées reçues la ménopause n'asséchait pas forcement les muqueuses. En fait, sous mes doigts ses lèvres laissaient sourdre un jus clair et abondant qui coulait jusqu'à son trou du cul béant.
—- Heu.. envie de faire pipi Éloïse ?
— tu crois que c'est du pipi qui coule mon beau ? renifle et tu sauras
— heu non je vous crois
— s'il te plait, pour faire plaisir à une vieille femme….
Par compassion je me penche sur le minou fané en gardant une distance prudente. Mais Éloïse avec une force insoupçonnée, me saisit par les cheveux et me plaque le visage contre sa chatte trempée.
— alors mon chéri ça sent le pipi ? Tu vas pas me dire que tu ne reconnais pas le parfum d'une femme en chaleur ? Putain je sens ton nez coincé entre mes lèvres et j'imagine que c'est une petite bite qui me force l'entrée.
Avec difficulté je me redresse et m'essuie.
— d'accord Éloïse je reconnais c'est pas du pipi !
— l'odeur est celle d'une vieille cochonne ou d'une moule fraiche ?
— heu d'une moule assurément !
— non c'est l'odeur de moule d'une vieille salope qui a envie de se faire tripoter la foune ! Elle est à toi mon chéri !
— mais Élo je ne peux pas ce ne serait pas professionnel !
— salopard ! quand tu baises Louise c'est professionnel ? et contrairement à moi elle peut pas te serrer dans ses bras ni verrouiller des jambes dans ton dos quand tu la baises !
— mais c'est pas pareil…..
— ah bon ? parce qu'elle est jeune et moi vieille ?
— c'est pas ce que j'ai dis…
— alors je te propose un deal….. Tu as 5 minutes pleines pour jouer avec ma chatte, l'examiner, la caresser, l'écarter, la doigter. Si au bout de 5 minutes tu ne bandes pas, je n'insisterai pas. Mais si tu bandes…. Tu fais de moi ce que tu veux, tu entends bien ? ce que tu veux ! je serais ta pute, ta salope, ta chienne et tout mon corps sera tien. Capito ?
— entendu Éloïse, 5 minutes…
Obéissant à la parole donnée, je m'installe confortablement au pied du lit, Éloïse les jambes pendantes à l'extérieur. Je dois reconnaitre que si je ne connaissais pas sa propriétaire, cette chatte ne me ferait en rien penser à celle d'une femme âgée. Les grandes lèvres symétriques sont souples, charnues et élastiques sous la pression du doigt. Les petites lèvres humides palpitent de santé et appellent la caresse. Quant au petit bouton qui brille là-haut, à peine dissimulé par son capuchon il n'a rien à envier à celui de filles bien plus jeunes que j'ai fréquentées. Je l'effleure du bout de l'index, il semble jaillir de sa cachette humide. Mon autre index vient à l'aide du premier pour découvrir son clitoris qui pointe de plus en plus en se glissant hors des chairs tendres que l'âge n'a nullement fanées. Glissant plus bas, mon doigt s'enfonce dans des plis très humides à l'odeur enivrante. Sans aucunement forcer il glisse dans les chairs souples qui s'écartent sur son passage. D'un coup il plonge, s'enfouit, s'enfonce, disparait dans les tissus trempés d'une chatte magnifique. A peine celui-ci avalé, un jus chaud et abondant jaillit de la chatte et me trempe les doigts.
— tes 5 minutes sont écoulées.. je vois une bosse…. tu as carte blanche !
J'ai les doigts trempés… quoi de plus normal que de profiter de l'instant pour forcer l'entrée de cette chatte qui a dû se faire écarteler par des centaines de bites. Crachant sur cette chatte, mêlant ma salive à son jus qui coule jusqu'à son anus, j'ai 4 doigts enfouis et je pousse toujours. Ma main bloque à la première phalange du pouce. Mais le jus qui coule de son con sert de lubrifiant et Éloïse m'encourage de la voix :
— vas y qu'est ce que tu attends pour envahir ma chatte de pute avec ta main ? Suis donc le chemin prit par des centaines de bites de toutes tailles qui y ont déversées leur foutre chaud et gluant.
Alors d'une seule poussée j'appuie et ma main est avalée par cette chagnasse de vieille femme. Libre à l'intérieur j'écarte les doigts et entreprend la visite de la grotte magique. Là cette grosseur en haut c'est le point G que je prend plaisir à faire rouler entre 2 doigts, plus loin encore cet entonnoir c'est l'entrée de l'utérus que je n'ose pénétrer. Mes doigts folâtrent dans tous les sens, je touche les parois, me glisse dans les recoins, mais Éloïse s'agite, se tend, et dans un grand cri expulse ma main avec un jet bouillant de cyprine. Le lit est trempé et les jets fusent à près d'un mètre… et devinez qui va devoir nettoyer ?
Elle retombe comme une masse mais n'en a pas fini avec moi.
— tu n'a pas jouis toi mon salaud, laisse moi arranger ça.
Alors la vieille peau ouvre la bouche et retire son dentier, enfin SES dentiers ! Comme des griffes ses doigts saisissent mes fesses pour me coller à elle et sa bouche se rive à ma bite.
Pour être franc le spectacle n'est pas des plus érotiques, je préfère fermer les yeux. Et ma bite est littéralement aspirée. Ses gencives m'enserrent la bite, l'effet est… étrange, plus ferme que coulissant entre des lèvres et cent fois plus doux que si elle avait des dents. En même temps sa main gauche me palpe les couilles et les malaxe. Sa droite me caresse les fesses, les griffe doucement, s'insinue dans ma raie, et finalement un doigt vient me flatter le petit trou. Lâchant un instant ma bite, sa bouche se rive sur mon cul, sa langue de vieille salope me lèche l'anus sans même s'assurer de sa propreté. Puis replongeant ma bite tendue dans sa bouche, un doigt remplace sa langue et se rive dans mon trou du cul. La salope sait ce qu'elle fait ! Tout en pompant ma queue elle m'astique la prostate et je sens la jouissance monter en moi. Je la préviens, elle n'en a cure, ou plutôt son autre main lâche mes couilles et serre mes fesses contre elle, fuite interdite ! Et je jouis… je jouis… je jouis à n'en plus finir, lui remplissant la bouche de mon sperme gluant. Et elle avale la cochonne ! N'en perds pas une goutte !
— J'ai soif ! encore ! crache moi dans la bouche !
— que je te……… ?
— oui envoie des crachats dans ma bouche de pute !
Étonné, quoique… je lui fais couler un gros molard dans sa bouche édentée, molard qu'elle avale goulument. Je suis très excité, mais comme à chaque fois que j'ai jouis vient une envie d'uriner. Je lui dis…
— j'ai envie de tous tes fluides mon salaud, ton sperme, ta salive, ta pisse….
Et elle m'accroche aux hanches pour me retenir et reprend mon sexe en bouche. A ce contact je sens que je rebande… trop peut être pour une miction. Je prend donc un peu de distance, me concentre, et un premier jet fuse de mon sexe semi-bandé. La pisse lui balafre le visage, avec passion elle tente de le capturer de sa bouche ouverte. Sa bouche pleine de pipi elle avale. A présent elle me tient aux fesses et enfourne ma bite qui pisse directement dans sa gorge, elle s'en étouffe, crache, manque s'étrangler. La conscience professionnelle prend le dessus, je dois me résoudre à faire cesser mon petit jeu, à l'emmener se doucher, elle en profitera pour se frotter à moi, et enfin la coucher…. J'aurais dû la rencontrer il y a 40 ans… quelle salope ça devait être !
Samy
Parmi mes patients il y a aussi des hommes bien sûr, et l'un deux, un simple d'esprit d'une trentaine d'années, m'étonna dès le 1er jour. Samy doit bander 20 heures par jour, il est nymphomane, pervers, exhibitionniste et homosexuel. Il déambule dans les couloirs en pyjama, le devant du pantalon toujours tendu et, non content de ne pas le dissimuler, il se met bien en face des hommes pour qu'ils le remarquent et s'ils font semblant de ne rien voir je suis persuadé qu'il ouvre exprès un bouton pour qu'au moindre mouvement sa bite tendue jaillisse. Plusieurs infirmières le reluquent discrètement, mais bien qu'il ne cherche pas à leur dissimuler ses attributs, il n'a cure de leurs regards intéressés, ce qu'il cherche à capter ce sont les regards des hommes.
Un jour alors que je venais le réveiller il se plaignit à moi de son problème : il bandait sans discontinuer depuis la veille au matin. Je lui conseillais de se masturber, mais il m'affirma que bien que bandant il n'était pas forcément excité et qu'il n'avait aucun plaisir aux jeux solitaires. Seule une intervention extérieure pouvait le délivrer. Je lui proposais de le branler pour le soulager, mais il m'expliqua que pour être excité il avait besoin que son « manipulateur » soit nu aussi car il adorait regarder une bite. Je lui assurais que moi, nullement excité, je ne banderai surement pas, mais il n'en avait cure, il voulait regarder ma bite tandis que je le caresserai. Je me dévêtis donc complètement et ses yeux brillèrent en se posant sur ma verge molle. Je pris alors en main sa bite qui sans être énorme était de taille tout à fait acceptable et me pris au jeu de l'examiner. Je retroussais son prépuce pour découvrir un gland gonflé, caressais une tige dure comme le fer et pris en main de grosses couilles très douces, très agréables à peloter. Au fur et à mesure de mes manipulations le souffle de Samy s'accélérait et tout en maniant, avec plaisir je le reconnais, sa bite tendue, je pensais sa délivrance proche. Il gesticulait pas mal et son visage se rapprochait de moi. Soudain je sentis ma bite enveloppée dans une douce tiédeur humide, sa bouche s'était refermée sur mon gland. Surpris je ne dis rien et fut encore plus étonné de sentir ma bite gonfler dans sa bouche. Il me suçait divinement et c'est presque naturellement que je pris à mon tour sa queue dans ma bouche. D'abord étonné je finis par y prendre goût et fis rouler ma langue sur son gland alors que mon propre sexe était aspirée profondément par un Samy avide. Je sentais monter en moi un flot indomptable et fis signe à mon partenaire qu'il était temps de me relâcher, ce qui l'incita à me prendre aux fesses pour me garder en place et s'enfoncer mon gland jusqu'à la gorge. Une boule de feu monta de mon ventre, ma bite se tendit encore plus et….. ma propre bouche fut inondée d'une semence abondante qui vint par jets contre mon palais. Excité par ma propre décharge je ne le repoussais point et au contraire l'aspira avec une certaine sauvagerie tout en me déversant dans sa bouche.
Je recrachais le tout dans le lavabo tandis que Samy avalait toute ma semence avec délectation. Certes je ne lâcherai pas les femmes pour un homme, mais je dois dire que l'expérience fut… intéressante !
Sophie
Sophie était une jeune femme de 40 ans dont le handicap était que ses bras ne pouvais plus se plier en dessous de l'horizontal. Certes elle pouvait mener une vie normale pour plusieurs choses courantes comme se faire à manger, écrire, se laver les cheveux et le corps… jusqu'à la taille. A la limite elle arrivait à se laver les pieds grâce à sa souplesse qui lui permettait de lever la jambe très haut. Mais pour les reste… impossible pour elle d'atteindre ses jambes, son bassin et même son ventre. Elle vivait cependant seule chez elle, mais avait besoin au quotidien que quelqu'un vienne l'aider à s'habiller, à se laver certaines parties et aussi… s'essuyer les fesses, voir le sexe après avoir uriné. Son assistante préposée à ces tâches tomba malade, sa remplaçante était en RTT et le directeur de l'institut me dépêcha chez Sophie pour prendre soin d'elle.
Je sonnais chez elle un matin sans trop savoir à quoi m'attendre. Vint m'ouvrir une jolie blonde encore ensommeillée, les cheveux en bataille, la chemise de nuit baillante sur des seins magnifiques que je distinguais par transparence.
— excusez-moi j'ai regardée la télé très tard hier soir et ne me suis pas réveillé comme d'habitude, entrez.
Nullement étonnée de l'absence de sa soignante habituelle, elle avait dû être prévenue hier soir, elle ne semblait pas le moins du monde gênée que ce soit un homme qui doivent procéder aux soins intimes. Tout naturellement elle se dirigea vers les wc et, laissant la porte ouverte, commença à se contracter pour faire ses besoins du matin. Bien qu'habitué à pire à l'hospice j'était un peu gêné de voir cette belle femme faire naturellement ses besoins devant moins et d'entendre les « plouf plouf » prouvant le bon fonctionnement de son transit intestinal. Puis se penchant en avant j'aperçu un jet dru sortir sous son buisson doré.
En se levant elle inspecta la lunette, sembla satisfaite du résultat et me tournant le dos en se penchant en avant elle me dit :
— à vous de jouer.
Je pris du papier hygiénique et essuya consciencieusement son anus, puis en saisissant d'autres je la contournais pour assécher son minou. Et je faillis rester bouche bée devant la taille de sa fente. L'ouverture de son sexe devait approcher les vingt centimètres de haut, était encadrée de deux très belles grandes lèvres gonflées et surmontées d'un buisson de poils dorés. Elle précisa :
— si l'absence de Karine se prolonge je vous demanderais de bien vouloir aussi m'épiler, j'ai horreur d'avoir des poils à la chatte. Vous comprenez quand je suis seule et fais pipi les gouttes s'accrochent aux poils. Maintenant je vous remercie d'avoir essuyé ma chatte mais… c'était inutile puisque vous allez me laver sous la douche.
Comme d'habitude dans ce cas je commence à enlever mon pantalon et ma chemise pour enfiler une blouse de protection dans la pièce voisine. Sophie me lance :
— vous savez Karine se prenait pas la tête elle se foutait à poil comme çà pas de soucis si elle était éclaboussée
Je lui répond :
— oui mais… c'est une femme…
— la belle affaire ! je sais ce qu'est un homme
— heu même pas de caleçon ?
— soyez pas ridicule !
Bon ce n'était pas la première fois que je me retrouvais sous la douche avec une femme (avec Lucette on avait l'habitude de…. heu excusez-moi je m'égare) mais la première fois dans le cadre de mon métier. C'est donc à poil que je rejoignis Sophie sous la douche après qu'elle se soit elle-même lavé les cheveux et la poitrine. Je commençais par lui savonner le dos et en descendant, les fesses -ravissantes je dois reconnaitre- et bon autant l'avouer, je le fis avec un plaisir que j'avais un peu de mal à dissimuler. Puis j'attaquai le côté face en astiquant sa chatte avec un peu de brusquerie pour cacher mon trouble.
— mais doucement, vous avez pas besoin de frotter si fort ! Et puis écartez mon minou et faites mousser, aucun replis ne doit être oublié.
Je m'acquis consciencieusement de ma tâche mais me fis encore réprimander :
— et dedans ? vous savez que c'est un nid à microbes ? Faut tout vous dire !
Et de glisser mes doigts dans sa chatte, d'écarter les grandes lèvres, les petites et d'y glisser sournoisement un doigt, puis deux… remplis de savon pour hygiène intime bien sûr. Mais alors que d'ordinaire quand je doigte une femme mes doigts doivent jouer un moment avant qu'un troisième ne s'invite, là je sentis de suite que j'aurais pu avoir 10 doigts sur la même main, tous seraient entrés. Inquiet de la réaction de Sophie je jetais un œil sur son visage. Bouche ouverte, les yeux révulsés, elle haletait et commençait à avancer le bassin alors que de mon côté mon sexe commençait très sérieusement à se redresser. M'interrogeant sur l'opportunité de la laver comme le voulait mon métier ou de lui donner un plaisir qu'elle semblait commencer à prendre je me figeais un court instant.
— quand je suis excitée il m'est impossible de me satisfaire moi-même comme tout être humain, c'est frustrant, alors je vous en prie, faites moi jouir ! Entrez votre main !
C'est donc cette fois sans appréhension que je poussais plus en avant ma main qui fut brutalement absorbée comme par un aspirateur. En temps normal quand je fais un fist, il faut un temps de répit pour que les muqueuses se dilatent et s'ouvrent complètement, parfois avec l'aide d'un gel. Cette fois nul besoin de gel ni d'attente, ma main trouva de suite sa place dans sa chatte brûlante. Je ne m'y sentis nullement à l'étroit, ma main pu vagabonder à son aise, tâter, caresser, remplir… Je commençais un mouvement de va et vient en alternant poing fermé et main ouverte. Sophie ne haletait plus, elle hululait. Je craignis que les voisins ne viennent frapper pour savoir ce qui se passait ! Alors tout en lui enfournant une main au plus profond de la chatte, je lui mis 4 doigts dans la bouche. Elle les mordit, les lécha, les suça. Puis soudain son corps se tendit comme un arc, ma main fut expulsée par la pression d'un flot impétueux qui jaillit du plus profond de son intimité, des jets brulants d'un liquide clair qui semblait ne jamais vouloir se tarir. Puis elle se laissa glisser accroupie sur le fond de la douche et m'entoura de ses bras en me serrant contre son corps nu. Et contre sa joue elle senti mon sexe dressé à en être douloureux. Elle s'en saisit aussitôt d'une main nerveuse et le plongea dans sa bouche avide. Elle m'aspira avec avidité tout en me malaxant les bourses, puis se relevant me tourna le dos en s'appuyant au mur et me dit simplement :
— baise moi !
Compte tenu que sa chatte était immense et de plus trempée je m'attendais à y flotter et avoir du mal à trouver assez de contact pour jouir. Je fus très surpris de sentir ses muqueuses se refermer souplement sur ma bite et lui prodiguer un doux massage qui, dans l'état d'excitation extrême dans lequel je me trouvais, porta vite ses fruits. Et c'est en la pilonnant contre le mur que je déchargeais dans sa chatte en hurlant mon plaisir.
Sac d'os
Parmi ceux qui me peinaient le plus à l'hôpital il y avait Céline appelé gentiment sac d'os par ses camarades. Céline était anorexique au degré le plus élevé. On pouvait presque suivre des yeux un petit pois lorsqu'elle en avalait un, les jours de bombance. Elle flottait dans tous les vêtements qu'elle mettait, et des vêtements elle en avait beaucoup car Céline était très coquette et féminine. Oh bien sûr les hommes qui se retournaient sur elle ne s'immergeaient pas dans un décolleté plongeant, pas plus qu'ils ne mataient un cul callipyge, non, mais Céline avait un sourire angélique et une bonne humeur qui détonnait fortement avec sa maladie.
En outre Céline avait de l'humour, était conscience de son état et s'amusait de l'air que prenaient les gens en la regardant. Compassion, tristesse, peur, répulsion, tout y passait, mais moi je la regardais autrement, je la regardais… comme une femme ! Car oui Céline était femme et sensuelle même, et je crois qu'elle a très vite lu dans mon regard une concupiscence qui n'était absolument pas malsaine, elle me plaisait en tant que personne, tout simplement.
C'est elle qui fit un jour le premier pas alors que je lui souriais en la croisant :
— whaou ! t'as un sourire craquant toi ! me lança t'elle
— et bien qu'attends-tu ? craque alors…
— et si je te prenais au mot ?
J'allais bêtement l'inviter à dîner mais me retint à temps, conscient que l'inviter à manger était LA gaffe à ne pas faire.
— Je t'aurais bien invitée au cinéma mais franchement vu le programme…. Par contre chez moi il y a un écran de télé géant et plus de 200 dvd, tu en trouveras surement qui te séduiront.
— je suis déjà séduite… susurra t'elle d'un air mutin
— alors à ce soir après mon service
— ça marche pour moi !
Je dînais rapidement avant son arrivée pour ne pas le faire devant elle et alla revêtir ma plus belle chemise blanche et un pantalon noir ajusté. Je disposais quelques bougies par-ci par-là quand la sonnette retentit
En ouvrant la porte j'eus un choc, Céline avait revêtue une robe rouge diaphane qui lui collait à la peau. C'est-à-dire taille 28 ou 30 derrière laquelle tous ses os étaient visibles ainsi que deux tétons énormes qui pointaient sur une poitrine plate bonnet A négatif. Et son sourire… était radieux ! je ne pus m'empêcher de lui dire que je la trouvais belle et elle lue la sincérité dans mes yeux car les siens se voilèrent un instant sous le compliment.
Je l'invitais à s'assoir sur le canapé et commençais à vanter les mérites des films que j'étalais devant elle quand je m'aperçus qu'elle ne regardait rien de ce que je lui montrais, elle me fixait dans les yeux simplement.
Prenant un air peiné elle me dit :
— dis-moi c'est vraiment pour regarder un film que tu m'as invitée ? tu n'avais aucune autre idée en tête ?
Je ne pus répondre, seulement me pencher vers elle et joindre mes lèvres aux siennes. Aussitôt contre ma bouche je sentis ses dents… à travers sa mâchoire encore close. Je reculais de peur de l'effaroucher mais passant une main décharnée derrière ma tête elle me colla à elle et plongea sa langue dans ma bouche. Mes mains se posèrent sur ses épaules grosses comme des clémentines tandis que je me collais à elle. C'est elle qui retira ma chemise, qui mordit mes tétons sans retenue avant que je fasse glisser ses bretelles sur ses épaules. Sa robe s'affaissa à ses pieds, elle m'apparue simplement vêtue d'une petite culotte blanche en soie. Mes mains partirent à sa découverte mais elle me dit :
— ne triche pas avec moi, je sais que je suis différente de toutes celles que tu as connues, alors ne fais pas semblant qu'il n'en est rien, je veux que tu me regardes PARTOUT et en détail et après seulement tu me feras l'amour si tu en as encore envie.
Différente certes ! c'est le moins qu'on puisse dire. Habitué à pétrir à pleines mains des seins fermes, des fesses voluptueuses et des cuisses bien en chair, partout où mes mains se posaient à présent je devinais l'os à fleur sous la peau. Une peau très douce cependant qui donnait envie de la couvrir de baisers, de la goûter, et je ne m'en privais pas ! Et… je bandais avant même qu'elle ne me touche. Car Céline me touchait ! Avec douceur, avec tendresse avec ferveur et avec curiosité. Elle me touchait de ses doigts osseux et de sa langue si douce. Parcourait mes fesses, mon sexe, mes couilles et m'envoyait des décharges électriques.
Et de mon côté après avoir couvert de baisers ses pommettes saillantes, lécher les salières profondes de ses épaules, pianoté entre ses côtes et saisis ses omoplates à pleines mains, je rivais mes lèvres sur ses gros tétons saillants et fermes. Seuls reliefs de son corps je les dégustais avec passion, les suçais, les mordillais, les léchais… et elle gémissait, soupirait de plaisir… Sans cesser de les déguster mes mains descendirent sur son ventre, le contournaient pour se poser là où auraient dues se trouver ses fesses. Sous sa peau tendue presque pas de chair, je suis néanmoins intrigué, elle le sent, se retourne, se penche en avant m'offrant son fessier. Étonnant ! J'écartais néanmoins le peu de chair pour mettre en évidence le sillon où se cache son puits. Un anus mauve entouré de poils follets…
— je n'arrive pas à m'épiler seule derrière.. fais-le… avec tes dents !
— avec mes dents ?
— s'il te plait
Plongeant mon visage dans sa raie, ma langue part en quête d'un poil, le trouve et le conduit entre mes dents que je serre avant de reculer d'un coup sec
— c'est bon, continue…
C'était une première pour moi mais j'avoue être excité par la situation d'autant plus qu'à chaque poil ôté Céline gémit un peu plus fort. Quelques minutes s'écoulent et un jus clair coule sur mon menton, son con commençe à prendre du plaisir. Alors plongeant la langue je lui léchais le trou du cul avec vigueur. Poussant sur ses muqueuses sa fleur s'ouvrit en grand, avalant ma langue ravie de son goût poivré et d'être quasi aspirée dans son anus. Descendant plus bas ma bouche se posa sur sa chatte trempée et, en y rivant la langue, je sentis sur mes joues le contact de son pelvis osseux. M'écartant légèrement j'admirais son con, fort beau d'ailleurs. Presque pas de grandes lèvres mais de ravissantes petites lèvres bistres au-dessus desquelles saillait un clitoris hors normes ! Long, luisant, décalotté comme le gland d'une bite. Je le suçais avec ardeur et le sentis… bander ! Cela m'excitait fort et je le suçais comme j'aurais sucé un homme. Céline commença à se tortiller sous ma langue et me demanda de la prendre.
J'ouvris alors l'étui d'un préservatif, mais d'un regard mouillé elle me dit :
— non, s'il te plait, fais-moi confiance il n'y a pas de risques
Un instant d'hésitation puis mon gland caressa son minou maintenant trempé. Me couchant sur elle ma langue trouva le chemin de sa bouche, mes doigts celui de ses tétons, et mon sexe glissa naturellement dans son con brulant. Je la sentis haletante et commençais un long va et vient, mon bassin se heurtant à chaque aller contre sa ceinture pelvienne saillante sous la peau. J'avais l'impression de baiser une momie, mais une momie douée d'énergie. L'énergie de venir à ma rencontre comme pour m'enfoncer encore plus loin en elle, l'énergie de sucer ma langue presque avec violence et d'enfoncer ses doigts maigres dans le gras de mes fesses.
L'intérieur de sa chatte, contrairement à tout son corps, était une gaine de velours qui massait voluptueusement ma bite. Finalement je me sentis sur le point d'exposer, je commençais à me retirer avant de jouir mais me sentant prêt elle noua ses jambes autour de mon dos et me serra avec une force incroyable pour me garder en elle. Alors hurlant de plaisir je me déversais en elle à longues giclées tandis qu'elle me mordit la lèvre jusqu'au sang.
Quand j'eus récupéré, elle lécha ma bouche pour boire mon sang comme la merveilleuse vampire qu'elle était. Mes mains parcoururent ses cuisses, moins grosses que mes bras, se genoux saillant, ses jambes aux mollets inexistants pour finir par porter à ma bouche ses pieds osseux que je suçais avec vénération. De petits pieds taille 35 et fins comme tout que je pus mettre en bouche jusqu'à mi-plante. Le traitement lui plut et soudain je reçu un jet puissant de cyprine en plein visage, propulsé à un mètre de son con qui palpitait par spasmes. Inondé elle me lécha consciencieusement et nous refîmes l'amour toute la nuit, la prenant dans tous les sens et finissant par une sodomie d'anthologie qui la laissa pantelante.

Dominique
Dominique est une superbe femme de 25 ans aux yeux verts et à la chevelure flamboyante. Dominique a un soucis majeur, dès qu'elle a dormit ou après avoir changé de sujet ou de centre d'intérêt elle n'a plus aucune mémoire des instants passés. Elle plaisante avec vous, vous appelle par votre petit nom et vous rencontre 5 fois dans la journée en redisant « bonjour monsieur ». Par contre si elle est passionnée par son activité et qu'elle la poursuit dans la journée, sa mémoire reste intacte, jusqu'à ce qu'un coup de sonnette ou le téléphone coupe le lien avec la réalité.
Rejetée par sa famille elle ne peut vivre seule car elle risque l'accident domestique permanent et si elle ne note pas son adresse sur son Smartphone elle ne sait pas où elle habite. Ici, au centre, elle est sécurisée, seul soucis vous êtes « un nouveau » pour elle tous les jours. Nous avons sympathisé dès le premier jour, elle m'a parlé de son enfance, de ses désirs aussi (qui m'ont fait vibrer). Aussi le lendemain je voulais en savoir plus sur ces fameux désirs secrets mais je fus accueillis froidement :
— mais quelle indiscrétion ! qui êtes-vous ? d'où se connait-on ?
Évidemment ça refroidit, mais j'ai eu tort de me vexer puisque le lendemain elle ne se souvenait même plus m'avoir déjà rencontré et encore moins parlé. Donc retour à la case départ. Alors clairement si je voulais en savoir plus sur elle, voir aller plus loin… il allait me falloir tout gérer dans la foulée : rencontre, nouvelle prise de connaissance, sujets évoqués, tentation et peut être passer aux actes. Autant vous dire que malgré des encouragements ponctuels j'ai dû ramer des mois ! Mais j'ai eu recours à un stratagème, je lui ai donné une photo de moi en lui demandant de noter au dos ce qu'elle pensait de notre rencontre. Puis je rangeais moi-même la photo dans son sac. Et plusieurs jours de suite je l'incitais à rajouter des commentaires au dos de la photo.
Un jour, alors qu'elle levait à peine les yeux sur « l'inconnu qu'elle voyait pour la trentième fois » j'extrayais la photo de son sac et lui montrais qu'elle avait porté des annotations au dos. Au fur et à mesure qu'elle lisait, ses yeux faisaient le va et vient entre moi et sa lecture et son visage commença à s'empourprer. « Suivez-moi » me dit elle brutalement. Elle m'emmena dans sa chambre et visiblement cherchait ses mots avant de se lancer abruptement.
— ce que je viens de lire en lisant ce bout de papier est confirmé par ce que je ressent à l'instant présent enfermé avec vous, le soucis c'est que je n'ai que mon ressentit et ne sais rien de ce que vous pensez-vous.
— mais Dominique, je ne sais pas ce que vous avez écrit, donc j'en suis au même point !
— vous êtes marié ? une petite amie ?
— heu… non et rien de sérieux
À ces mots Dominique me gratifia d'un grand sourire et sans plus de façon me passa ses bras autour du coup. J'étais un peu étonné de cette rapidité d'action mais je me dis que compte tenu des circonstances il convenait de réaliser en moins de 24 heures ce que d'autres mettaient parfois un mois à accomplir, faute de quoi le prochain sommeil allait tout effacer.
Visiblement Dominique gérait complètement cette approche réduite de l'espace temps puisque c'est sans façon que fermant à demi les yeux, ses lèvres se posèrent sur les miennes.
Dire que je reçu un choc serait un euphémisme, en fait je fus frappé par la foudre quand sa langue força l'ouverture de mes lèvres pour venir découvrir la mienne. Un baiser chaud, langoureux, où nos langues se rencontrent un instant avant de s'emmêler, se nouer, se visiter. Ses lèvres prirent possession des miennes, les aspirèrent, les dégustèrent, et bientôt nos salives chaudes n'en formèrent plus qu'une qui passait inlassablement d'une bouche à l'autre. Tandis que ses bras s'étaient refermés possessivement autour de mon cou, mes mains enserraient sa taille, ferme et en parfaite harmonie de volume avec ses autres dimensions. Ses seins lourds écrasés contre ma propre poitrine, ses hanches généreuses qui s'élargissaient juste sous mes mains me donnaient le frisson. Quelle femme admirablement proportionnée ! Envouté par ses baisers envahissant je n'osais franchir une autre étape de peur de rompre le charme.
C'est elle qui glissant les doigts sur moi déboutonna avec lenteur ma chemise, glissa le long de mon torse pour caresser ma poitrine, lécher mes tétons. Mes mains glissèrent dans son dos et à travers son chemisier je dégrafais son soutient gorge. D'un geste presque brusque elle fit tomber d'un mouvement sec les vêtements encombrants et donna la liberté à deux seins magnifiques. Je n'ai pas pour habitude de chercher à deviner le tour de poitrine de mes conquêtes, d'autant plus que pour moi la taille compte bien moins que la fermeté ou la texture, mais là je me dis que de toutes façons je n'avais de toute ma vie découvert des seins aussi beaux à tous points de vue. Volumineux mais fiers, dressés avec arrogance, de larges mamelons bistres servant de décor à de sublimes tétons gros comme des petites cerises. Je m'en emparais avec délice et constatais très vite leur fermeté et la délicatesse de leur texture, véritable peau de pêche sous mes lèvres fiévreuses. Avec douceur mais fermeté je pétris ces deux globes superbes et élastiques et finis le visage enfouis entre eux. En me relevant, ses seins s'écrasèrent contre mon torse tandis qu'à nouveau sa bouche s'empara de la mienne. Puis elle glissa à son tour, picorant mon torse, puis mon ventre de petits baisers tandis que ses mains s'activaient sur ma ceinture. S'y accrochant à deux mains elle finit par le faire glisser le long de mes hanches, frottant au passage son doux visage sur mon caleçon, je l'avoue un peu humidifié. Elle délassa mes chaussures avant de retirer mon pantalon, puis mes chaussettes en caressant voluptueusement mon pied nu, et glissa en remontant le long de ma jambe. Puis elle faufila une main dans l'entrejambe du caleçon, caressant mes couilles d'un mouvement enveloppant, tandis que son autre main glissait derrière jusqu'à m'empaumer une fesse.
Nue de la taille jusqu'au visage, elle m'arracha le caleçon presque avec brusquerie et ses yeux brillèrent de désir en voyant surgir mon sexe tendu devant son visage adorable. Dans ce contexte, la plupart des femmes se le glisse entre les lèvres… Dominique le prit d'une main douce comme s'il s'agissait d'un objet fragile, le contempla, le caressa d'un doigt léger, fit glisser le gland sur sa joue tout en me fixant les yeux humides. Après maints effleurements plus doux que la caresse d'une plume, elle posa ses lèvres dessus. Sa langue tenta de se glisser dans le méat, déclenchant un frisson dans toute ma personne. Puis avec dévotion ses lèvres se refermèrent sur mon gland congestionné. Puis, doucement, elle glissa sur ma verge en la faisant pénétrer au plus profond de sa bouche tout en enveloppant mes testicules dans ses mains chaudes. Jamais une femme ne m'avait sucé avec autant de douceur et de ferveur mêlée. Mais le plaisir de vaut que lorsqu'il est partagé et Dominique était toujours en short. Tandis que je tentais de lui retirer, elle, debout, se colla dos à moi langoureusement. Son short glissa jusqu'à ses chevilles et elle l'envoya balader d'un coup de pied. A présent mes mains caressaient ses fesses, si belles, si pleines, si voluptueuses. Je m'accroupis derrière elle, saisissant sa culotte entre mes dents pour la faire glisser jusqu'à mi-cuisses. Puis je lui caressais le ventre d'une main aventureuse et la fis descendre doucement vers son entre jambes. Et là ma main fébrile rencontra un sceptre dressé et dominant !
Stupeur ! Alors Dominique était un homme ? enfin pour les 50% du bas… non même pas compte tenu de ses jambes si douces, ses chevilles si fines, ses petits pieds adorables… En fait non Dominique était bien une femme, mais avec un sexe d'homme. De sa voix veloutée elle me dit :
— agenouille toi
J'obéis et saisis sa queue, si belle si ferme…
— plus bas…
Comprenant qu'elle voulait que je prenne ses testicules, je descendis davantage et là… nouvelle surprise ! Juste sous ses couilles une jolie fente… une chatte soigneusement épilée aux lèvres entrouvertes qui laissait suinter un jus clair indiquant son émois alors même que plus haut, de son méat, suintait une perle de pré-cum. Dominique indiquait son plaisir tant par sa bite fièrement dressée que par son minou divinement ourlé.
Ravi autant que gêné je me relevais et plantant mes yeux dans les siens je lui demandais :
— Qui es-tu ?
Avec un sourire radieux elle répondit tout simplement :
— Dominique
Au fond oui peut importe qu'elle soit homme, femme, troisième genre voire quatrième, elle était Dominique et m'avait séduit. Elle pris ma main et m'entraina dans son sillage. Ses fesses voluptueuses ondulaient devant moi tandis qu'incapable de la moindre initiative je la suivais dans sa chambre.
Ayant déjà pratiqué quelques jeux coquins avec des hommes, je ne fus pas gêné un instant pour me saisir de sa verge et l'admirer. Oui l'admirer car si d'ordinaire le sexe d'un homme n'est pour moi qu'un jeux supplémentaire pour corser des mélanges à plusieurs, celui de Dominique était… d'une beauté saisissante. D'un diamètre appréciable sans être excessif, d'une longueur propre à ravir n'importe quelle femme sans lui faire craindre d'aller trop loin, un gland qui brillait en s'épanouissant en haut de ce sceptre dressé vers les cieux, il avait… une bite magnifique ! Je ne pus m'empêcher de la prendre en main et de l'admirer sous tous les angles. La prenant en bouche je la fis glisser en douceur entre mes lèvres, mes mains se dirigeant naturellement sous ses testicules pour les envelopper et les caresser tendrement. Mais d'ordinaire si ce jeu finit par laisser glisser un doigt jusqu'au périnée, ici le doigt glisse sur une zone humide, se faufile entre des lèvres vaginales finement ourlées et plonge au plus profond d'un minou de rêve. Ma bouche glissa naturellement de son pénis dressé vers ses couilles si douces pour finir dans la moiteur sublime de sa chatte.
Excité comme pas possible par tant de beauté, tant de possibilités aussi, je glissais en remontant sur son corps, visage louvoyant sur son ventre, puis étourdis entre ses seins, avant que ma bouche ne rencontre la sienne à l'instant même où mon sexe tendu comme un arc la pénétrait sans difficulté. Couché sur elle, langues emmêlées, mon pénis se lovait avec ravissement dans son petit chat d'amour alors que ses testicules roulaient sur mon pelvis. Alors que sa langue s'enroulait sur la mienne, je sentis, tant à son mouvement de bassin, qu'à son souffle qui s'accélérait, que sa jouissance était proche. J'accélérais les aller et venues en elle et senti que j'approchais moi aussi de la conclusion. Me redressant en appuie sur les bras tendus je l'admirais et sentis soudain la chaleur monter en moi alors même que Dominique se mit à crier. Je sentis un jus abondant glisser de son fourreau où œuvrait ma verge alors même que celle-ci saisit de spasmes se rependait en elle et que le sexe masculin de Dominique envoyait jusqu'à son visage de longues trainées d'un sperme épais.
Je m'affaissais sur elle, épuisé, comblé, trempé et mes lèvres retrouvèrent le chemin des siennes pour l'embrasser avec entre nous un goût de sperme, le sien, qui avait giclé jusque là.
Dix minutes plus tard nous glissâmes ensemble vers la douche caressant une dernière fois nos corps épuisés.
Le lendemain, la croisant au centre, je m'approchais d'elle avec un grand sourire et lui dis :
— bonjour Dominique ! comment vas-tu ?
— pardon, on se connait ? Je ne me souviens pas.

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