Titre de l'histoire érotique : Première fois au Portugal

- Par l'auteur HDS Lolo-Bi -
Récit érotique écrit par Lolo-Bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Première fois au Portugal Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Première fois au Portugal
Je m'appelle Pascal, j'ai 45 ans. J'ai été marié pendant 22 ans, et j'ai eu deux enfants qui sont grands maintenant. Depuis 2 ans, je suis divorcé et je suis principalement célibataire, n'ayant quasiment que des aventures sans lendemain ou en intermittence, avec des femmes qui ne recherchent pas non plus une relation stable. Depuis mon divorce, j'ai décidé de profiter de ma liberté, notamment en pratiquant le nudisme sur des plages. J'en ai déjà ainsi parcouru plusieurs en Europe et même en Asie l'année dernière, et je dois dire que me faire bronzer, me balader et me baigner nu me procurent un plaisir et un bien être dont je ne peux plus me passer.
Évidemment, j'ai appréhendé les premières fois, ma principale peur, outre le fait de me dénuder en public, était une érection intempestive, mais j'ai très vite été rassuré, car cela n'arrive que très rarement. Je dis rarement, car cela m'est quand même arrivé plusieurs fois, notamment quand sur un coin de plage isolé certains couples probablement un peu exhibitionnistes se livrent à des jeux sexuels plus ou moins discrets.

En ce beau mois de juin, j'avais décidé de m'offrir un week-end prolongé à Lisbonne, où la côte atlantique est réputée pour ses plages naturistes, et j'avais réservé une chambre dans une belle maison d'hôtes à quelques centaines de mètres de la plage. En rentrant le vendredi soir avant d'aller me balader en ville, je passais par la salle de bain, partagée avec une autre chambre, encore inoccupée quand j'étais arrivé la veille et lorsque j'étais parti en fin de matinée. Seulement là, j'avais visiblement un nouveau voisin, qui avait dû oublier de verrouiller ma porte donnant sur notre salle de bain commune ! Un beau voisin de type antillais, la quarantaine bien portée, que je trouvais, depuis sa douche, en pleine séance de masturbation devant la glace… Je ne pouvais que remarquer son corps grand, musclé, intégralement épilé, ainsi que son bel engin assez impressionnant, sur lequel il s'agitait, et qui se mit à cracher un jus abondant pile poil quand je faisais mon entrée ! Je pense que nous avons été aussi stupéfaits et gênés l'un que l'autre. Nous sommes restés ainsi quelques secondes à nous regarder, nus tous les deux mais lui dans une situation embarrassante. Sa première réaction a été de s'excuser :

- Oh, je suis désolé, je ne sais pas quoi dire, c'est vraiment embarrassant. Non, euh, sorry, I apologize for this, euh, I should have closed the door, euh…
- Je suis français aussi. Non, c'est moi qui suis désolé, ne vous inquiétez pas, ça arrive à tout le monde. Je ne suis pas pressé, je repasserai dans 1/2 heure.

Et je retournais vite dans ma chambre. Quoique bien amusé par cette situation, je me disais que je n'aurais pas voulu être à sa place, et quand un moment plus tard j'entrais dans la salle de bain, je prenais bien soin de vérifier que sa porte était verrouillée avant de passer sous la douche, et je l'avoue, me masturber à mon tour en imaginant ce que je ferais si la porte venant à s'ouvrir…

Je passais ma soirée au restaurant et dans un bar très sympa, dans lequel j'essayais de lier connaissance avec une anglaise, mais sans arriver à conclure au lit. Le lendemain matin, je partais pour la plage en fin de matinée. Il n'y avait encore que très peu de monde. Je me déshabillais très vite, et je marchais tranquillement quelques centaines de mètres afin de passer la partie familiale de la plage naturiste. Il faut dire en effet que sur ces plages naturistes, en fonction de l'endroit où l'on est sur la plage, l'environnement peut changer assez vite. Ainsi, on passe en général d'un endroit familial, à des lieux plus éloignés où le libertinage peut se pratiquer, à enfin à des coins de plages plutôt réservés aux gays. Je n'aime pas trop me faire bronzer sur les plages familiales, aussi je préfère les endroits plus éloignés et libres, où j'ai d'ailleurs pu parfois faire des rencontres qui se sont finies par des nuits torrides, même si ce n'est pas ce que je recherche spécialement en m'installant ici. Il faut être honnête, un petit bonus de temps en temps, cela ne se refuse pas !

Sur la plage, je commençais par lire un bon bouquin, et puis je me reposais de ma nuit trop courte de la veille. Au bout d'1h ou 1h1/2, du monde avait fini par arriver. Je constatais alors qu'il n'y avait que des hommes : j'avais dû pousser un peu trop loin, et je me retrouvais donc du côté gay. Cela ne me gênait pas, la plage étant très grande, et je décidais de rester là encore un moment. Mon attention fut assez vite attirée par un couple de gars d'une vingtaine d'année qui jouaient à se mouiller en entrant dans l'eau. Ils étaient tous les deux très beaux, grands, musclés juste ce qu'il faut et bien bronzés, et cela mettait de bonne humeur de voir le plaisir qu'ils avaient à s'amuser. Après quelques minutes, ils arrêtèrent de jouer et de s'asperger, et commencèrent à se rapprocher pour s'embrasser et s'enlacer. On pouvait également voir leurs mains qui se prodiguaient des caresses, et qui tout en restant raisonnables, commençaient à arriver sur leurs fesses et leurs sexes. D'ailleurs, on pouvait aisément deviner qu'ils bandaient fort tous les deux. Ils sont remontés vers leurs serviettes au bout d'un moment, la queue bien raide se balançant entre leurs jambes, et je n'ai pas pu m'empêcher de continuer à les observer, je dois bien dire déjà un peu excité. Ils étaient à une dizaine de mètres au-dessus de moi, et je les ai bien vu s'installer sur le côté et tête bêche : je n'avais aucun doute quant au 69 qu'ils étaient en train de se faire. J'ai eu encore plus de certitude quand ils ont changé de position et que l'un des gars est passé par dessus l'autre et que je pouvais voir distinctement leurs bouches glisser le long du manche de leur partenaire. Ils se sont occupés comme ça un bon quart d'heure, et puis, quand l'un des deux a commencé à s'occuper de l'anus de son copain avec sa langue, ils sont assez rapidement partis dans les dunes, jugeant probablement qu'ils iraient trop loin s'ils commençaient à s'enculer sur la plage devant tout le monde. J'étais fasciné par ces deux Apollons gay, et aussi un peu confusément très excité je dois dire. J'avais déjà commencé à me caresser mollement pendant qu'ils se caressaient de leur côté dans l'eau, pour bander bien dur quand ils se suçaient. Quand ils se sont éloignés ma bite était déjà bien humide, et il ne m'était plus possible de faire demi-tour, aussi je continuais jusqu'au soulagement final, tout en essayant de rester discret, je n'avais jamais fait ça avec d'autres personnes dans les environs auparavant, et même s'il m'avait semblé voir d'autres voyeurs dans la même situation que moi.

Quelle ne fût pas ma surprise pourtant de voir débouler derrière moi mon voisin de chambre d'hôtes, le bel antillais que j'avais vu se branler dans notre salle de bain commune ! Sans me demander mon avis et sans complexe aucun, il se mit à genoux devant moi pour commencer à ma parler :
- Il me semblait bien t'avoir reconnu. Je crois que l'on est quitte maintenant, parce que je t'ai bien vu te branler en regardant les deux gars qui sont partis dans les dunes. Il faut dire qu'ils n'ont pas froid aux yeux et sont un peu exhibitionnistes quand même. D'ailleurs, j'ai dû faire comme toi moi aussi.

Et il me montre alors le plus naturellement du monde les grandes giclées de sperme qui maculent son torse lisse et musclé et le bout de sa bite tout gluant qui laisse des traces sur ses cuisses toutes lisses elles aussi. Il ajoute :
- Toi aussi tu as du foutre sur toi, tu veux pas venir avec moi dans les vagues pour enlever tout ça ?

Je suis tiraillé entre ma peur de sa différence et le fait de me lier avec un pédé, et une certaine attirance pour sa beauté, la sympathie qu'il dégage. Après tout, je pourrais aussi avoir un copain gay sans être gay moi-même. Je décide donc de ne pas me laisser impressionner, et je réponds par l'affirmative. On se dirige vers l'eau en discutant. Il me demande :
- Je ne t'avais encore jamais vu ni à la maison d'hôtes, et ni sur plage, c'est la première fois que tu viens ici chercher du soleil et de la compagnie ?
- En fait, je recherche avant tout le soleil et la possibilité de faire du naturisme, et la compagnie c'est du bonus. Pour lever toute ambiguïté, je ne suis pas gay, je me suis trouvé sur cette partie de la plage un peu par hasard, je pensais être sur un endroit mixte.
- Mouais, pourtant je t'ai bien vu mater les deux gars, et tu as même commencer à te toucher quand ils n'en étaient qu'à s'embrasser…
- Euh, oui, je ne vais pas le nier, mais j'ai d'abord été attiré par leurs cris et leurs jeux, et après j'ai eu du mal à me détourner d'eux, je les ai trouvé très beaux. Ensuite, c'est vrai qu'ils m'ont excité, j'en ai été d'ailleurs un peu gêné. C'est la première fois que je voyais deux hommes se caresser et se sucer pour de vrai, et ça m'a surpris. Et puis une fois que je me suis mis à bander, il fallait que ça sorte…

J'essayais de détourner la conversation :
- Ouah, elle est quand même encore bien fraîche cette eau, j'ai du mal à rentrer.

Il me répond avec un grand sourire :
- Il y a deux façons de rentrer : tout en douceur, ou d'un coup. Quand on n'est pas habitué, la douceur c'est mieux, mais ensuite on peut aussi apprécier aussi d'y aller plus brutalement.

Et il plonge alors dans une vague qui arrive. J'ai toujours de l'eau à mi-cuisses, et voyant que je ne le suis pas immédiatement, il revient et me dit :
- Aller, décides toi, elle est rafraîchissante juste ce qu'il faut, ça te fera du bien et je te rappelle que ça te nettoiera aussi !
- C'est pas faux, mais c'est froid…

Il se redresse alors et se rapproche de moi en courant dans l'eau. Je mets quelques secondes de trop à réagir pour courir en sens inverse, et il peut alors me plaquer comme au rugby, pour me faire tomber dans l'eau. Nos corps nus sont entremêlés dans l'eau, et sa tête se trouve au niveau de mon pubis. Il me jette un petit coup d’œil amusé, et on se redresse.
- Désolé, c'était trop tentant, et je suis très joueur, tu ne m'en veux pas ?
- Non, il fallait bien que j'y aille de toute façon.

On reste un peu dans les vagues, et on se présente enfin. Il s'appelle Serge, il a 5 ans de moins que moi, et il assume parfaitement le fait qu'il soit à Lisbonne pour draguer. On reste une bonne demi-heure à jouer dans les vagues qui sont pourtant très fraîches, et plusieurs fois, nos corps se touchent, et je peux sentir sa bite qui me frôle, ou sa main qui frôle la mienne. A un certain moment, je suis gêné par quelque chose dans mon œil droit, et il se propose donc d'y regarder de plus près. Il se rapproche pour se coller à moi et nos bassins, et donc nos bites, se touchent pendant les deux minutes que durent son examen et le petit coup de doigt qu'il donne pour m'enlever un morceau d'algue qui était coincé sous ma paupière. Je ressens bien très explicitement toute l’ambiguïté de la situation, et le terrain glissant sur lequel je pourrais me trouver, mais il est décidément très sympathique, on rigole bien, et je décide donc de rester sur ma première décision : je ne dois pas confondre nudité et sexe, et je peux bien avoir un copain gay sans que cela ne remette en cause ma virilité ou mon orientation sexuelle.

On passe ainsi un très bon après-midi, à lire chacun de notre côté, à se baigner, à se frôler à nouveau, et à discuter de tout et de rien. En fin d'après-midi, on rentre à la maison d'hôtes et on décide de se préparer pour aller en ville. Serge me dit qu'il connaît un bar très sympa, dans lequel se retrouve aussi bien des hétéros que des gays, et que l'on pourra donc tous les deux avoir l'occasion d'y faire des rencontres. En attendant, on passe à la salle de bain, et on doit tous les deux se raser. Afin d'accélérer le mouvement, il me propose de procéder en parallèle : le premier peut se raser pendant que le second prend sa douche, et vice-versa. Pendant que je me rase, je peux le voir dans mon miroir se savonner, et je me dis que si quelqu'un d'extérieur nous voyait à poil tous les deux dans la salle de bain, il pourrait nous prendre sans problème pour un couple de pédés… En pensant à ça, et à nos corps chauds qui étaient l'un contre l'autre pendant quelques minutes durant l'après-midi, je ressens un tout début d'érection. J'essaye de ne pas y penser, et je préfère ne pas regarder mon sexe, qui j'en suis sûr n'est plus tout à fait au repos. Quand nous nous croisons pour échanger nos places, je le vois qui mate ma bite, et en arrivant sous la douche, je ne peux que constater que mon début d'érection ne fait pas de doute. Pourtant, Serge ne dit rien, et nous finissons par prendre un taxi pour aller au centre ville.

Le bar est effectivement sympa, tant par la fréquentation que le choix d'alcools de la région, ou de whisky écossais qui a toujours ma préférence. On boit d'abord un verre tous les deux, puis on se sépare pour chercher un bon plan pour la nuit. Pourtant, 3h plus tard, on se retrouve tous les deux seuls à une table, devant une assiette de charcuterie locale et un énième verre. Nous avons tous les deux échoué à concrétiser, ce sont des choses qui arrivent, et nous échangeons sur nos déboires de la soirée :
- J'ai une néerlandaise qui m'a filé entre les doigts, et une suédoise avec qui je croyais conclure qui est finalement partie avec la nénette qui était seule à la table à côté. Vu le sourire amusé qu'elles m'ont fait toutes les deux en partant, je pense que je suis tombé sur un couple de lesbiennes qui avait décidé de faire chier un hétéro !
- J'ai pas fait mieux de mon côté. J'ai tout misé sur un beau brun aux yeux verts qui avait bien dix ans de moins que moi, mais au final j'ai compris qu'il n'était là que pour trouver un mec pour un plan à quatre, et vu la tête de ses copains, j'ai décidé qu'il allait mieux arrêter tout ça.
- Tout n'est peut-être pas perdu, regarde le mec efféminé là-bas, je te parie que c'est un petit pédé qui cherche un gars comme toi pour lui défoncer le cul.
- Là je crois que tu te trompes, je suis sûr qu'il n'est pas gay celui là.
- Tu te fiches de moi, tu as vu ses fringues et la façon qu'il a de parler au barman.
- Il ne faut pas se fier aux apparences. Moi je te dis qu'il n'est pas gay, je m'y connais quand-même mieux que toi !
- Je suis pourtant prêt à parier qu'il l'est !
- OK pari tenu, attendons un moment pour juger.

Nous attendons donc en continuant à deviser, et au bout d'1/4 d'heure à peine, une magnifique brune pulpeuse arrive au bar, et l'embrasse longuement. Pour couronner le tout, il lui palpe les fesses d'une façon qui ne laisse aucun doute quant à leur intimité.

- Bon, je suis vert, j'en ai assez vu, je prends un dernier verre pour la route et je rentre, tu m'accompagnes ?
- Ouais, je crois que c'est raisonnable...

Une demi-heure plus tard, nous sommes rentrés dans nos chambres, et très vite nous nous retrouvons dans la salle de bain pour une bonne douche avant de nous coucher. Je suis bien alcoolisé, mais portant bien conscient, et je ne sais pas pourquoi, je reviens sur l'épisode du bar pendant qu'il se savonne :
- Franchement, j'ai été sur le cul de voir ce type limite efféminé sortir avec la bombasse brune ! Je les aurais mieux vu lui avec toi et elle avec moi...
- Il n'était pas efféminé, juste un peu précieux peut-être, et encore… Et ses fringues, c'était juste des fringues hors de prix et un peu tape à l’œil. En tout cas tu l'as bien perdu ton pari !
- Ouais. Encore heureux qu'on a rien parié d'ailleurs.
- Ah là je t'arrête, il fallait préciser avant de toper ! Maintenant, c'est au gagnant de décider…
- Tu fais les règles qui t'arrangent dis-donc tu es un peu gonflé, mais moi, je ne suis pas un mec qui se dégonfle comme ça je te préviens ! C'est quoi ton pari alors ? Même si j'ai pas non plus les moyens de payer une Ferrari…
- Oh, je n'en demande pas tant, je pensais juste à une pipe.
- Tu veux me tailler une pipe ???
- Je ne voyais pas les choses dans ce sens là non…

Et il n'ajoute rien, se sèche pendant que j'entre dans la douche, puis repart dans sa chambre sans un mot. J'ai franchement trop bu dans la soirée, je n'ai pas les idées très claires, mais ce dont je suis sûr, c'est que je me sens complètement désinhibé, et je repense à Serge et à notre pari. Je ne suis pas pédé, mais il faut bien dire que je me sens vraiment attiré par lui, et c'est vrai que depuis que je fréquente des plages naturistes et un peu libertines, sur lesquelles j'ai vu finalement pas mal de gays se faire du bien, je me demande ce que ça peut bien faire d'avaler une belle bite, ils semblent tant y prendre du plaisir réciproque. Est-ce qu'avec Serge ce ne serait pas une bonne façon de tester, en sécurité et en toute discrétion ? En sortant de la douche, ma décision est prise, et je me dirige toujours à poil, dans la chambre de Serge.

- Bon, j'ai pas l'habitude de me dérober, je suis pas un pédé ! Elle est où ta bite qu'on en finisse ?

Après cette ultime fanfaronnade, il va bien falloir redescendre sur Terre et s'exécuter. Je me retrouve face à son lit, sur lequel il est allongé sur le dos.
- N'aies pas peur, viens et fais comme tu le sens, ou comme tu aimerais que l'on te fasse.

Je m'approche doucement, quand même un peu hésitant, et mon visage se trouve finalement à une vingtaine de centimètre de son sexe, qui est encore au repos. Je me décide à le saisir, le caresse doucement comme je le ferais avec le mien. Je le sens qui grossit doucement, et sans plus y réfléchir, je le tâte d'abord de la langue, avant de l'enfourner au complet. Je m'applique du mieux que je peux, et sa bite est maintenant bien raide dans ma bouche. Je pratique des mouvements de succion, avec ma langue et avec mes lèvres. Une de mes mains est à la base de son sexe, pendant que l'autre lui caresse les couilles et le périnée. On reste comme ça un bon moment en silence, que Serge interrompt au bout d'une dizaine de minutes :

- Tu suces comme un pro Pascal, c'est vraiment très bien. Et c'est pas pour dire, mais tu as l'air d'aimer ça, tu bandes comme un âne !

C'est pourtant vrai, mais j'ai dépassé le stade de l'étonnement, car je sens bien que je prends vraiment beaucoup de plaisir. Finalement, homme ou femme, ce qui compte c'est de ressentir la chaleur, l'excitation et le plaisir que l'on donne à l'autre. Serge me fait alors allonger tête-bêche, et il me suce à son tour, on se retrouve perdus dans un 69 délicieux. C'est une grande première pour moi, et j'adore ça ! Au bout d'1/4 d'heure de pipe et de caresses pourtant, il se dérobe et me dit :
- Tu as tenu ton pari, et tu vas au bout de tes envies sans a priori, c'est très courageux, tu mérites une petite récompense.

Il saisit alors dans sa table de nuit une capote et un peu de lubrifiant, et me déroule le latex sur le manche. Après quelques pressions de gel, il me fait mettre sur le dos, et vient s'empaler tout doucement sur ma bite, tout en me regardant bien droit dans les yeux. Nous alternons les périodes où c'est lui qui monte et qui descend sur ma bite, et où c'est moi qui le pilonne. Je n'avais jamais fait ça auparavant, et mon nouveau plaisir est énorme. Je suis aussi ébahi de voir à quel point Serge prend son pied : il bande dur et pousse des petits cris de plaisirs qui ne font que renforcer le mien. Du coup, je sens que je ne vais pas tenir bien longtemps à ce rythme, et quand il se met à lâcher sa purée, et que ça gicle jusque dans mon cou, je me libère à mon tour, dans un râle de soulagement.

Tout en se dégageant de ma bite, Serge me dit :
- Non seulement tu suces bien, mais en plus tu baises aussi très bien, j'ai pris mon pied ce soir. Et sans déconner, je t'assure que tu devrais essayer, c'est vraiment quelque chose de se faire enculer.
- Tu m'aurais dit il y a 24h que j'allais avoir une relation avec un autre homme, je ne l'aurais pas cru, c'était impossible pour moi, et j'avoue pourtant que ça m'a plus, et même de te tailler un pipe, ça m'a paru finalement aussi naturel que de lécher un minou. Maintenant, aller plus loin, même si je crois que j'en ai envie, franchement j'appréhende...
- Je comprends, mais je peux te dire que je pense que tu es prêt. Et puis, vu ton histoire, tu ne vas pas virer pédé, c'est juste que tu vas laisser ta bisexualité s'exprimer, et donc progresser dans ton épanouissement personnel.
- Ça, je pense que je peux assumer, mais j'ai peur du côté hygiénique, et aussi d'avoir mal.
- Si ce n'est que ça, c'est le plus facile. L'hygiène ça se gère, quand à la douleur, je peux te garantir qu'une bonne préparation de l'anus permet de ne pas avoir mal. C'est à toi de te décider.
- Je vais y réfléchir cette nuit, et on en reparle demain matin d'accord ?

On se quitte donc pour quelques heures de repos. Une fois dans ma chambre, j'ai du mal à trouver le sommeil, je suis perturbé par tout ce qui m'est tombé dessus aujourd'hui : la découverte de mon attirance pour un autre homme et de ma bisexualité latente, la pipe que je lui ai taillé et le plaisir que j'y ai pris, ma bite dans son joli cul et le plaisir que j'y ai pris également, et enfin il faut bien que je me l'avoue, l'envie que j'ai de me faire sodomiser... Je dors donc mal, mais au réveil ma décision est prise : je dois aller au bout de mon expérience avant de repartir demain soir, et c'est le moment de le faire, avec la bonne personne, en qui je sens que je peux avoir confiance. Je prends donc le temps de me préparer, et après avoir pris une bonne douche, je passe par la salle de bain pour aller ouvrir la porte de mon voisin, avant d'aller m'allonger sur mon lit en espérant qu'il comprenne et qu'il vienne.
Il a dû m'entendre, et je ne tarde pas à l'entendre prendre une douche à son tour. Je m'installe à plat ventre, une jambe légèrement repliée afin que s'il entre, il ait la meilleure vue possible sur mon cul et mon service trois pièces, et qu'il comprenne ce que j'attends. Et il arrive. Il s’assoit sur mon lit. Il commence à me caresser tout le corps, tout doucement. Sa main est légère et précise, et il passe de mon dos à mes cuisses avec une volupté qui m'excite déjà. Petit à petit, ses caresses se font de plus insistantes sur les fesses, et après l'avoir évité plusieurs fois, il commence à passer sur mon anus, puis à le titiller avec plus d'insistance. Je suis tétanisé par cette sensation, et le fait que cela transgresse ce qui était jusqu'alors un tabou n'en a encore que plus d'effets. Enfin, il se place derrière moi et m'écarte les fesses avec ses deux mains. Mon anus se contracte, et je suis surpris quand je sens sa langue qui commence à me lécher. C'est quelque chose que je n'aurais pas imaginé, et un plaisir que je ne contiens bientôt plus : je m'entends pousser des petits cris de plaisir, et je pousse mes fesses vers sa langue pour qu'il continue encore plus loin. Il m'enfonce alors un doigt dans le cul, et commence à le bouger dans tous les sens, tout en continuant à me lubrifier avec de la salive. Je lâche prise progressivement, et au bout d'1/4 d'heure, il peut passer un deuxième doigt, puis bientôt un troisième. Je suis complètement détendu, et je me sens abandonné entre les mains de mon amant. Jamais je n'avais ressenti quelque chose de pareil, et je n'ai plus qu'à me laisser guider.
Bientôt, Serge se redresse, et il me fait mettre à quatre pattes. Ça y est, je vais y passer ! Je sens la pression de son gland qui se place sur mon petit trou tout ramolli, et qui pousse doucement. Vu la taille de son engin, je ne peux pas dire que je n'ai pas un peu mal, mais mon lâcher prise reprend vite le dessus, et il peut commencer à coulisser en moi avec de plus en plus de vigueur. Il me tient par la taille et me pilonne sans ménagement. De temps en temps, il se retire complètement avant de s'enfoncer à nouveau dans mon cul tant qu'il est encore dilaté. Je pousse des petits cris de plaisir à chaque fois. Il décide de changer de position. Je suis maintenant sur le dos les jambes écartées, et il vient me prendre en me regardant bien droit dans les yeux. Au bout d'un moment, je sens une immense chaleur et une vague de plaisir qui monte en moi comme jamais j'aurais cru pouvoir en ressentir une, aussi quand il prend ma queue en main pour la branler, je ne tiens pas deux minutes, et je me mets à éjaculer de grandes giclées de sperme, tout en poussant des cris mêlés de jouissance et de soulagement. Serge continue ses mouvements quelques minutes, puis il se retire et enlève sa capote, pour finir en m'éjaculant dessus.

On reste allongé sur mon lit une demi-heure, et dans le courant de la conversation, nous échangeons sur nos aventures, moi avec des femmes et lui avec d'autres hommes, mais en étant bien d'accord sur l'importance de la protection. Et pour plus de sécurité, on a d'ailleurs tous les deux un test HIV négatif à jour. Du coup, après m'avoir lancé un clin d’œil plein de promesses, il se replace tête bêche et se remet à me sucer ma bite, qui dégouline pourtant encore de mon foutre. La sienne, également encore gluante de son jus est à quelques centimètres de ma bouche, mais je la prends en bouche pour la sucer, et nous retrouvons dans un 69 endiablé, nos corps serrés et collants du sperme qu'il y avait sur moi. Je sens que je vais jouir, et je veux me dégager, mais Serge me garde en bouche jusqu'à ce que je lui crache mon jus ans la bouche. Quand je sens son membre tressaillir à son tour, je ne me dérobe pas, et je prends tout son foutre en bouche avant de l'avaler. Serge remonte vers moi, et il m'embrasse une nouvelle fois avant d'aller prendre une douche, où je le rejoins pour me laver avec lui.

Lorsque l'on sort de la salle de bain, midi arrive bientôt, et on décide d'aller manger quelque chose dans un restaurant près de la plage, avant de passer une dernière après-midi à se faire bronzer et de repartir en France. Vers 16h00, on va se baigner, et on joue à nouveau à se faire tomber dans les vagues. Nos corps se touchent et s’enlacent, et je ressens une nouvelle érection incontrôlable. Serge, nullement gêné par les autres mecs qui nous regardent me prend dans ses bras et m'embrasse tout en me tripotant les fesses et en essayant de me mettre un doigt dans le cul.
- Mais c'est qu'il est insatiable notre nouveau pédé…
- Arrête, je ne suis pas pédé, juste bisexuel. Et puis, il y a du monde autour, qu'est-ce qu'ils vont penser ?
- Comme toi quand tu regardais les deux jeunes l'autre après-midi, et ils vont peut-être même se branler quand on va remonter dans les dunes…
- Mais tu veux aller dans les dunes ? Tu crois pas que c'est trop ? Et puis on n'a pas de capote…

Il hausse les épaules.
- Les capotes on s'en fout, je suis sain, et toi tu l'es aussi. Tu viens ou pas ?

Et le pire c'est que je le suis dans les dunes, la queue déjà bien raide en remontant de l’océan, sous le regard de quelques gars qui doivent se dire que je vais m'en prendre plein le cul dans quelques minutes. Mais je m'en fous.

Serge se met à genoux devant moi, et me pompe jusqu'à ce que je gicle dans sa bouche. Je suis épuisé par nos ébats de la nuit et du matin, mais j'arrive malgré tout à jouir assez vite. Sans un mot, Serge me fait mettre alors à quatre pattes et vient me lubrifier l'anus avec mon propre sperme et avec sa salive. Ça me plaît tellement que je sens que je vais rebander, j'ai l'impression que j'ai vingt ans ! Quand il rentre en moi, je ne ressens même pas douleur, et il peut m'enculer brutalement. Je sens la chaleur de sa bite dans mon cul, et je suis aux anges. En tournant la tête sur ma droite, je vois deux mecs qui nous matent et entre deux râles de plaisir je le dis à Serge :
- Serge, y'a deux mecs qui nous matent en se branlant !
- Mmm, super, j'adore ça, pas toi ?

Et il redouble de plaisir jusqu'à exploser en moi. Je ressens son sperme chaud qui gicle en moi et qui me remplit, c'est extraordinaire ! Il se retire, et on s'écroule tous les deux dans le sable. Au bout d'un moment, on repart à l'eau pour se nettoyer, et j'en ai bien besoin, car son jus coule tout le long de mes cuisses. Après s'être bien lavés dans l'eau de mer, puis séchés environ une demi-heure, on quitte la plage pour refaire nos bagages, car il est temps de rentrer. C'est la fin de mon week-end prolongé, et contrairement à ce que j'avais espéré en venant à Lisbonne, je n'avais baisé avec aucune femme, mais j'avais découvert ma bisexualité et trouvé un amant !

Depuis, je continue à papillonner, toujours avec de femmes qui ne cherchent qu'une relation d'un soir, et il y en a finalement pas mal qui cherchent des quadras tous bronzés et bien fichus comme moi ! Mais avec Serge, on se revoit régulièrement pour se caresser, se sucer, s'enculer, bouffer du foutre… Car on se fait confiance : lui comme moi, on se protège systématiquement avec nos partenaires éphémères, comme ça quand on se retrouve, on peut baiser sans capote.
Et le mois prochain, on prend 1 semaine de vacances ensemble, et on a décidé de faire bungalow commun pour ne pas perdre une minute de sexe…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle histoire où l' érotisme est à la limite du porno.
J'ai pris beaucoup de plaisirs à la lire

Histoire Erotique
Belle histoire de ta découverte de la sexualité entre homme car une fois qu'on y a gouté , on doit reconnaître que seuls les hommes savent ce qui plait aux hommes. J'étais BI mais je préfère les mecs , ils sont plus directes et savent aussi donner beaucoup de tendresse. Bravo pour le réalisme de ce texte qui donne envie de vivre ces moments .

Histoire Erotique
Tu m'as bien fait bander! Surtout la partie où tu le prends. J'ai adoré ( Akileditu)

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belle et bonne histoire

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salut a toi merci pour cette belle histoire de decouverte denvie du sexe tendre et que tu a prix du plaisir j espere bien lire la suite a bientot

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j'ai beaucop aimé.bravo. en plus j'ignorais totalement que les plages de la région de Lisbonne etaient parfois naturistes...interessant, faudrait en savoir plus



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Première fois au Portugal
Histoire sexe : Une rose rouge
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