Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (10/20)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (10/20) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (10/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Madame Claude rit et me propose de venir à son côté.

• Pauses-toi là, il n’y a jamais posé ses fesses, c’est toujours moi qui suis assise sur mon canapé depuis des années quand je reçois des invités.

Je m’assoie et je lui prends les mains.

• À mon tour de te poser une question ?
• Si je peux y répondre.
• Excusez, je vous ai tutoyé.
• Tu le peux, après la journée que tu as passée hier, par la volonté de ton mari, tu es devenue l’une des nôtres, il n’y a pas d’offense.
• Merci madame Claude, ça me remonte le moral.
A mon tour de te poser une question, quand l’on t’a enlevé ta fille, la femme à qui elle a été confié avait-elle une tache de vin sur la figure ?
• Oui, grosses comme une pièce de 2 € près du nez avec une grosse verrue !

Je lui saute au cou et la serre dans mes bras.

• Je suis ta fille !

Elle comprend mal ce qui arrive, l’émotion manque de la faire défaillir, grande dame rapidement elle se redresse.

• Qui te fait penser que cela soit possible, même s’il est vrai que tu as une certaine ressemblance avec moi quand j’étais plus jeune, nous permettant de le laisser penser !
La ressemblance, oui, mais j’ai des éléments qui se complète suite à ce que tu as dit.
• Lesquelles ?
• Quand tu as parlé du couple à qui l’ont avait donnée ta fille, tu as dit que l’homme était filiforme et la femme une petite grosse, un flash est passé devant mes yeux.
Mes parents correspondent à cette description et surtout combien de femmes petite et grosse ont sur le visage une tache de vin d’une surface d’environ 2 € avec une énorme verrue ?
Je peux t’en donner une autre, un jour ou j’étais parti, un problème de femme m’a obligé à revenir à la maison.
Mes parents étaient sur la terrasse à l’ombre derrière la maison à boire, maman une citronnade, papa sont éternelle boisson anisée sans modération, la porte donnant sur la cuisine était entrouverte.
Mon père a prononcé une phrase que j’ai mal entendue, mais des mots sont venus à mes oreilles.

« Sa pute de mère »

Je n’avais jamais entendu ce genre de mots dans sa bouche, pourquoi les disaient-ils à maman qui était à son côté, je me suis approché pour tout entendre sans qu’il puisse remarquer ma présence, la suite a été explicite même si je n’ai rien compris sur le coup.
Il parlait de la chance qu’il avait eu de faire des travaux dans la maison d’un homme qui leur avait donné leur fille, car maman ne pouvait pas en avoir.
Il a ajouté que pendant les travaux il avait entendu que la femme dont-il avait récupéré la fille avait été envoyée en Belgique dans un bordel, et pour finir, il a ajouté et là je l’ai entendue clairement.

« J’espère qu’ils ne la récupéreront pas. »

• Ces mots n’ont pas eu de sens ce jour-là, mais après ce que tu m’apprends, la femme envoyée dans un bordel ne peut être que toi.
• Léa, tu as raison, hélas, je ne peux pas t’éviter de travailler cette après-midi et dans le futur, ne dit jamais que tu es ma fille à quiconque même à Noémi nous serions en danger.

Elle me tapote la joue semblant avoir encaissée le coup.

• Tu es belle ma fille, j’ai bien fait de rester en vie, le bon dieu que je pris tous les jours m’a exaucée.
• Les deux enfants de Pierre qui sont chez tes beau-parent sont mes petits enfants, hélas, nous ne les reverrons peu être jamais.

Nous nous embrassons tendrement et je quitte son appartement.
De retour dans la chambre, je trouve Annabelle et Noemi en train de se gougnotter sur notre lit.
Annabelle m’attrape le bras et me fait tomber à ses côtés, elle ouvre mon peignoir dénudant mon corps, m’attire jusqu’à elle et me fourre sa langue dans le vagin, direct la nana, à coup sur, elle n’est plus fâchée.
Je passe une demi-heure à sucer, lécher mes amies qui font de même sur mon corps, je jouis deux fois très fort la troisième de façon plus discrète.
Quand nous trouvons le temps de nous reposer, Noélie me dit.

• J’ai expliqué à Annabelle ce qui nous unissait à la naissance de mon fils avant qu’Hugo et ton mari, m’envoient tapiner, elle s’excuse d’avoir été impulsive.
• Et surtout du coup de cravache que je t’ai assénée, nous étions unis à deux, à partir de maintenant nous le serons à trois.
Que te voulait la vieille.

J’ai failli exploser en entendant ce mot de « vieille ».

• Elle a voulu savoir ce que j’avais fait jusqu’à ce jour et comment je prenais ma première journée à me prostituer.

Je suis sauvée par les repas qui nous sont servis par les bouledogues, nous mangeons et nous nous préparons à descendre.
Nous arrivons en bas pour l’ouverture de l’établissement.
Ma mère est déjà en place derrière sa caisse, comme prévue, je me garde d’avouer ma découverte à mes amies, même à Noémi me méfiant quelque peut du revirement d’Annabelle.
Le tirage de la roue a lieu et c’est Marjorie qui s’y colle, c’est en pleure qu’elle monte dessus immédiatement saisi par les hommes de mains d’Hugo qui l’attache pour son marathon jusqu’au bout de la nuit.
Noémi discrètement me parle à l’oreille.

« C’est la première fois »

• Noémi qu’à tu dis à Léa à l’oreille ?
• Que c’était la première fois pour elle, madame Claude.
• Cela passe pour cette fois, tu sais que les messes basses sont interdites entre vous, Léa, la prochaine fois tu prendra la place de celle qui est sur la roue, aller au travail.

Intelligente ma maman, elle doit se douter que m’avoir fait venir dans sa chambre a dû soulevé les interrogations des filles, nous sommes dans un vase clos.

Les clients défilent entre mes cuisses et ma petite boîte se rempli bien, Noémi aussi a sa clientèle, la petite étant sur la roue ne peut concourir aujourd’hui.
Nous avons suivi la tradition et le petit coup de cravache que je lui ai donné ressemblaient plus à une caresse, Marjorie que je surveille chaque fois que je redescends à l’air de bien supporter sa situation.
Vers 21 heures, les deux malabars donnent l’impression de chercher qu’elle chose. Je ne sais plus si je dois dire maman ou madame Claude m’appelle pour une fellation avec un client.
En même temps que le numéro de chambre et le travail à accomplir alors qu’elle nous a dit que les messes basses étaient interdites, elle me glisse discrètement.

• Christine a disparu.

Je monte, je pompe le client ayant trouvée qu’ils aiment qu’on leur caresse les couilles allant même jusqu’à les mettre dans ma bouche jusqu’à ce qu’il éjacule, je crache dans le mouchoir en papier à ma disposition, mais j’ai le temps de sentir le goût fade du sperme, que je le veuille ou pas, descend en petite quantité dans mon estomac.
Les deux premières fellations, j’ai sauté vers le lavabo pour cracher à deux doigts de rendre la salade au foie de volaille que nous avions mangés avant de descendre turbiner.
Lorsque je suis prête à redescendre, je croise, les deux molosses redescendent des chambres portant Christine chacun par un bras sans ménagement comme ils ont transporté Noémi dans la chambre hier.
La blonde est en pleure, il l’emporte au fond du couloir.

Vers 21 heures, deux clients s’approchent de moi et souhaitent monter les deux ensembles, Noémi bois du champagne avec un client a qui elle a soulagé les burnes.
Elle a entendu et me fait signe d’accepter.
Maman Claude fait payer les clients et me donne 4 jetons noirs.
Dans la chambre, je lave les deux bites et j’attends pour savoir comment ils veulent prendre mon corps.
Le premier s’allonge sur le dos et me demande de le sucer pour le faire bander, quand il est près, je comprends qu’il faut que je me mette cette bite dans la chatte.
Je suis de plus en plus experte et je le sens bien me pénétrer par un grand coup de bas en haut.
L’autre se place derrière moi et me défonce l’anus, pour la première fois, je suis pénétré par deux bites.
Je veux en profiter au maximum, ils me liment et un orgasme me submerge, ce qui surprend les deux hommes qui remplissent mes orifices avec de nombreuses giclées de sperme.
Je sais ce qui peut m’être reproché, j’ai pris mon pied avec des clients, rien de tout cela, je viens simplement par cet acte de rébellion de casser le lien avec Hugo.
Ce que m’a dit ma mère ce matin m’a ouvert les yeux sur les deux maquereaux qui m’ont manipulé depuis des années pour que Pierre finisse par me prostituer.
Je me demande comment j’ai pu être assez bête pour croire à leurs belles salades, loin d’être au foie de volaille.
Pour aller au bout de ma rupture, je les embrasse à pleine bouche.
À partir de cet instant, je vais vivre ma vie au sein de ce bordel, je ne peux m’échapper des griffes de ces hommes qui nous oppriment en étant sur de leur force, en s’en prenant à nos enfants.
Christine qui a certainement voulu s’échapper en est la preuve vivante, du moins je le craints.
En redescendant, je m’agenouille près de Marjorie, je me penche et je lui prends les lèvres.

• Comment çà va ma biche ?
• Impeccable, je dors bien.
• Il ne reste pas longtemps avant la fermeture, tout à l’heure j’espère passer un grand moment avec toi, je t’aime, je vous aime toutes.

Lorsque l’heure de la fermeture arrive, je détache Marjorie qui me tombe dans les bras.
Je m’approche d’Annabelle et lui propose d’aller dormir avec Noémi, je souhaite passer la nuit avec la petite, pour me remercier, elle m’embrasse tendrement, je lui ais rendu Noémi, sommes-nous devenues des copines.
À l’ouverture des boîtes, je prends deux de mes jetons noirs et les glissent dans la boîte du petit cœur que je vais cajoler cette nuit.

• Tu me donnes deux jetons nos limites.
• Oui mon cœur, tu seras à moi toute la nuit et toute la matinée, souvient-toi, ils sont noirs, viens montons !...

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