COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Découverte. (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Découverte. (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Découverte. (1/3)
Quelle chance j’ai eue de rencontrer Emanuel alors que j’étais sur les bancs de la fac quand je préparais mes études de notaire pour travailler et reprendre l’étude de mon père.
J’avais vingt-deux ans, blonde naturelle et comme bons nombres de mes copines, j’étais vierge.
Oh ! bien sûr, j’ai été souvent sollicité par des garçons qui souhaitaient m’enlever ce qu’ils appelaient notre handicap à notre vie future de femme voulant simplement faire de nous des marie-couche-toi-là.
Justement comme Marie qui l’a fait et qui a continué sa boulimie de sexe allant même jusqu’à se faire payer pour cela.
Elle a fini par quitter les beaux quartiers de Toulon pour la basse ville, qu’ici nous appelons Chicago, bien qu'aujourd’hui, en l’an 2000, le quartier rénové est tendance à acheter un appartement dans ses ruelles où ils nous étaient interdit de rentrer dans ces années-là.
Il se disait de bouche-à-oreille qu’elle travaillait dans un bar où souvent elle disparaissait derrière un rideau suivi d'un matelot qui revenait quelques minutes après, la mine ravie.
Je l’ai revu un jour furtivement alors que j’attendais au feu boulevard de Strasbourg pour traverser et aller dans un grand magasin, elle était assise dans une décapotable rouge très puissante qui a fait un bruit assourdissant quand elle a démarré.
À ses côtés, il y avait un conducteur, bel homme d’une trentaine d'années, j’en ai parlé à Édit qui par la suite a été mon témoin de mariage, m’apprenant que ce beau garçon était son mac et qu’elle tapinait pour lui.
Quelques années après, une nouvelle fois les cancans de ces dames de la haute comme l’on dit dont j’ai intégré le groupe m’ont dit qu’il l’avait perdu au poker et qu’elle était partie pour Marseille où elle a transité vers un pays africain, d’après elles elle avait fait la carrière habituelle de toutes ces filles qui dans notre ville se laissaient tenter.
De mon côté, j’ai rencontré Emanuel dans un de leurs pince-fesses, mais à y bien regarder après de nombreuses années où nous avons été mariés par nos mères qui s’étaient mises d’accord, il venait de finir naval ou il était sorti major de sa promotion à Brest après avoir fait le tour du monde sur le navire-école Jeanne d’arc.
Il avait choisi de rentrer dans les sous-marins postulants pour les sous-marins atomiques.

Le soir de mes noces à Toulon nos parents nous ont retenu une chambre dans un grand hôtel, c’est là que pour la première fois de ma vie, j’ai vu une bite aux naturelles, j’avais vu des photos mais sans plus car chaque fois, j’avais ou tourné les yeux ou tourné la page.
Celle d’Emanuel que j’ai entrevue quelques secondes quand il est venu sur moi pour me pénétrer sans que je sente la moindre douleur, j’étais contente d’avoir reçu ce petit morceau de son sexe de quelques centimètres en moi sans la douleur que me promettait Édit après son dépucelage par son propre mari propriétaire de la plus grande boutique de chaussures de la ville.
Moins de 10 centimètres, en en discutant avec elle je me suis aperçu que mon mari était ce que l’on appelle une petite bite doublée d’un éjaculateur précoce.
J’avais vécu vingt-deux ans comme cela, l’abstinence ne me posant pas de problème, alors dans les temps qui a suivi, je me suis contentée de ces petits coïts sans me rendre compte que c’était frustrant.
Pour notre nuit de noces, nos familles nous ont offert un voyage à la Réunion, joli voyage, mais aucun souvenir de nuit qui aurait dû être torride vue notre jeune âge et notre amour naissant, car il était prévenant.
De retour en France, nous avons trouvé un appartement à Toulon près du boulevard où j’avais vu Marie dans sa voiture.
Emanuel voulait que je le suive dans sa carrière, j’ai abandonné l’idée de remplacer mon père qui de plus est mort l’année qui a suivi mon mariage, une voiture roulant à tombeau ouvert dans les rues de la ville le chauffeur voulant échapper à la police après avoir braqué la station-service près du carrefour de bon Rencontre et l'a percuté.
Maman a vendu l’affaire, ce qui va lui permettre de vivre jusqu’à la fin de sa vie, comme moi nous sommes tributaires des hommes que l’on dit de notre vie.
Après sa formation de sous-marinier où il était à Toulon à la base des sous-marins et qu’il naviguait sur des 400 tonnes du moins, c’est le chiffre que j’ai retenu car 400, 800 où autres, je n’ai rien à faire de ces appellations.
J’avais trouvé la solution à ses sollicitations, j’y allais le dimanche donc pouponné mini-jupes et collant comme bon nombre de filles aussi bien foutues que moi, portais dans ces années-là m’empêchant de descendre dans ces trous noirs.
Ma seule activité ces années-là c’était la salle de sport et les repas allégés pour garder la ligne.
Emanuel est remonté à Brest à l’île longue pour la partie travaille ou il a embarqué sur le Redoutable premier sous-marin atomique français, à part les quelques semaines où il a été basé à Toulon, la question s'est posé Brest ou Toulon près de maman et de sa famille.
Il partait en mission sous les mers dans le cadre de la dissuasion nucléaire 70 jours chaque campagne et il a été préférable que quand il fût à terre, il vient me rejoindre, j’aime la pluie, mais trois jours par an et encore quand nous partons en vacances en Andalousie où ses parents ont une petite propriété à Marbella.
L’été avec Édit, nous passons nos après-midi à la plage des Morillons, la plus huppée proche de Toulon, taille fine et bronzage nous sommes les deux filles que les dragueurs de tous genres essayent de lever, cela marche avec Édit qui cocufie son mari à tour de bras.
Pour ma part, je les éconduis me contentant de quelques petits coups quand monsieur est disposé, car je me garde bien d’être demandeuse, ne trouvant jamais de plaisir à sentir son poids sur moi.

Les années passent, je vais atteindre la cinquantaine toujours très canon malgré les légères rides que je combats, Emanuel est devenu commandant du Téméraire tout nouveau sous-marin nucléaire lanceur d’engins.
Sa paye nous permet de vivre sans souci et lui permet d’avoir une nouvelle passion, pendant ses rotations, il vit sous l’eau et pendant ses repos, il vit sur l’eau plus particulièrement sur son voilier qu’il manœuvre seul et avec lequel il lève l’ancre dès qu’il m’a embrassé cinq minutes.
Un ancien officier ami de son père prépare le bateau pour qu’il puisse appareiller directement sans perdre de temps.

Un jour de retour à la maison Emanuel me met devant le fait accompli.

• Mon amie, je viens de proposer à un de mes officiers d’héberger son fils Lois chez nous dans la chambre d’amis car à part dans la basse ville, c’est hors de prix pour lui.

Mon amie, il m’appelle mon amie, c’est une nouvelle mode, au lieu de m’appeler Véronique comme dans les débuts de notre mariage.

• Bonjour madame, je suis Lois.
• Entrez, vous êtes bien venue chez moi, vous allez égailler mes journées.

C’est comme cela qu’il est entré dans ma vie, très discret comme me l’avait dit Emanuel.
Emanuel qui était au fond des mers quand un jour, j’étais sur la plage et qu’un orage est tombé me mouillant de la tête aux pieds, m’obligeant à prendre le bus au lieu d’appeler un taxi.
Je suis rentrée dans l’appartement, me précipitant dans la salle de bains, tout en commençant à me déshabiller.

• Au pardon.

La salle de bains est occupée par Lois et ce que je vois une fraction de seconde me donne peur.
Devant lui, 30 à 35 centimètres au repos, j’ignorais que des hommes si jeunes pouvaient avoir des trompes d’éléphant à la place où il faut une loupe pour voir celle d’Emanuel.
Je vais dans le salon et je m’assieds sur le sofa.

• Excusez, Madame, si j’avais su que vous étiez rentrée, j’aurais fermé la porte à clef.

Lois est devant moi une serviette de bain autour de la taille.

• Mais, mais qu’est-ce que tu as là, tu es difforme.

Il éclate de rire et ôte la serviette, il est à hauteur de mes yeux, le fait que le regarde le fait grossir et surtout commencer à se tendre.

• Je sais, elle est grande, la nature m’a bien pourvue, mais tu en as déjà vu des comme la mienne.

Heureusement, il est bien élevé et malgré le tutoiement que je relève, il me dit cela d’une manière très naturelle.

• Non, tu es le premier d’ailleurs la seule que j’ai vue est celle de mon mari et il est loin, même très loin d’avoir tes dimensions.
• Prends-la dans la main, tu vas voir, elle va encore grossir.
• Mais tu es fou, tu pourrais être plus que mon fils.

Mais instinctivement, je l'attrape, commençant à le caresser.

• Oui, c’est ça lentement, regarde comme elle aime ce que tu lui fais, elle grossit toujours.

C’est incroyable, moi qui ai repoussé depuis des années toutes les avances d’homme plus près de mon âge que Lois, je suis hypnotisé par ce que je vois, j’aurais presque envie d’aller chercher un mètre pour voir la longueur et la grosseur que j’ai dans ma main.

• Mets là dans ta bouche, elle adore être sucée, où lèche là si elle a du mal à entrer.
• Tu es sûr, cela se fait.

Au secours, arrêté moi, ma bouche s’avance vers ce morceau de chair phénoménal et il faut que j’ouvre mes mâchoires au maximum pour qu’elle pénètre.
Il me prend par la tête et chose étrange, je sens que mon sexe pour la première fois s’humidifie…

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Histoire sexe : Une rose rouge
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