Coup de coeur entre artistes 9

- Par l'auteur HDS July2 -
Récit érotique écrit par July2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Coup de coeur entre artistes 9 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Coup de coeur entre artistes 9
Elle.

De retour à la maison, je repense à la soirée et à la tournure des événements. J’en veux toujours à Thomas, et il n’aurait pas dû s’interposer entre ce type et moi, tout d’abord parce que ma vie ne le regarde plus, et puis je suis tout à fait capable de me défendre toute seule.

Mais en même temps, j’ai trouvé ça très romantique, et même un peu excitant.

Ses mots résonnent dans ma tête ‘’ tu m’avais quitté’’, ‘’ j’ai tout gâché ‘’, ‘’je m’inquiétais pour toi’’. Comme me l’a dit Sophie, ce sont les mots de quelqu’un qui tient à l’autre. Mais je ne sais pas si je pourrai lui faire à nouveau confiance. Il pensait peut être que je l’avais quitté, mais en même temps il lui a fallu à peine plus 48h avant de passer à autre chose.

Sophie a raison : j’ai aussi ma part de responsabilité. Je l’ai ignoré tout ce temps, même pas pris la peine de lire ses sms. J’aurais sans doute pu éviter ça en étant moins fière. D’autant que je me suis fâchée alors que tout ce qu’il voulait c’était me protéger d’Éric.

Je finis par m’endormir en me disant qu’il faudrait que je mette de l’eau dans mon vin et que je m’excuse de mon comportement.

Le lendemain matin, en partant en cours, je trouve une lettre sous l’essuie glace de ma voiture.

‘’ J’espère que tu as mieux dormi que moi. J’ai beaucoup pensé à toi cette nuit, comme depuis que tu m’as demandé de partir…tu me manques…
Comme je te l’ai dit hier soir, je souhaiterais t’expliquer mon comportement. Maintenant tu sais que je pensais que tu ne voulais plus de moi, et moi je sais que tu me faisais simplement la tête. Et avec le recul, en me plaçant de ton point de vue, en effet je peux passer pour un connard. J’espère que tu t’es aussi mise à ma place. J’avoue, 48h ça peut sembler court. Mais tu sais comment je suis.
Cependant, tu ne sais pas tout des raisons qui m’ont rendu ainsi. Je ne me sens pas encore capable de t’en parler, mais si ça peut me permettre de ne pas te perdre, je suis prêt à franchir ce cap.

Tu as les cartes en main, c’est à toi de décider.

Mais si je n’ai pas de tes nouvelles, je serais à 11h30 dans un avion pour le Mali… te savoir si proche dans pouvoir être avec toi, j’ai pas envie de vivre ça.

Je t’embrasse xXx
Thomas’’
Je plie la lettre et la mets dans mon sac. En arrivant dans l’amphithéâtre, je montre la lettre à Sophie.

- Et qu’est-ce que tu fous la ? Pourquoi tu vas pas le voir ?
- Je sais pas si j’arriverai à lui faire confiance encore…- Et tu ne le sauras pas si tu n’essayes pas ! Il va partir sur un autre continent si tu ne te décides pas vite. Après il sera trop tard…
Je cours jusqu’à ma voiture et fonce à son studio. Fermé. Une pancarte ‘’fermeture définitive’’ pend au milieu de la porte vitrée.

Je regarde l’heure : il est 9h50. J’ai moins de 1h40 pour rejoindre l’aéroport de Bordeaux Mérignac alors qu’il m’en faudrait au moins deux. Je ne peux même pas l’appeler : j’étais tellement énervée contre lui que j’ai effacé tous ses messages et son numéro.

Je n’ai pas une minute à perdre. Je fonce en direction de l’autoroute. J’écrase l’accélérateur, ignorant clairement les limitations de vitesse. Mes années de course auto me sont bien utiles pour passer entre les voitures à cette vitesse.

Je me rends compte à quel point je tiens à lui quand je réalise que j’ai peur de ne pas arriver à temps à l’aéroport.

Posé dans le vide-poches, mon portable sonne. Le commissaire de police. C’est absolument pas le moment pour qu’il me prenne la tête celui là.

J’arrive à la base aérienne 5 minutes avant que l’avion ne décolle. Je retrouve espoir. Mais c’est sans compter sur les 2 militaires qui gardent l’entrée. Ils refusent catégoriquement me laisser entrer, malgré mes explications.

J’entends alors les moteurs de l’appareil se mettre en route. Je me jette sur le grillage qui me sépare du tarmac. Des larmes coulent sur mes joues. Je vois l’avion s’éloigner sur la piste avant de décoller.

Je retourne à ma voiture, anéantie. Je prends mon téléphone pour appeler Sophie, quand je vois que le commissaire m’a laissé un message. Je ne serai plus ennuyée par Éric, il a été incarcéré.

Au moment où je lève les yeux de mon portable, je le vois au loin se diriger vers ma voiture, son paquetage sur l’épaule. Il porte un treillis. Et je réalise qu’il était vraiment prêt à partir.

Je sors de la voiture et cours à toute vitesse pour le rejoindre. L’un des deux cerbère tente de me retenir mais je parviens à l’éviter. Quand je suis à 5 mètres de lui, Thomas laisse tomber son sac. Arrivée à sa hauteur, je lui saute au cou.

Lui.

C’est si bon de la voir. J’ai envie de tout lâcher et de courir à sa rencontre, mais je vais la faire languir un peu… Au moment où elle arrive près de moi, je lâche tout pour la prendre contre moi. Elle colle son visage dans mon cou. Je la repose au sol.

- Tu n’avais pas été réformé ? Me demande-t-elle.
- Je partais pas comme soldat… je lui réponds en lui montrant le badge photographe collé à mon treillis.
- Tu allais vraiment partir ?
- Oui…- Et qu’est ce qui t’a fait changer d’avis ?
- J’avais foi en toi. Et je t’aime…
Elle rougit et m’embrasse.

- Je t’aime aussi.

Je la serre dans mes bras comme pour rattraper le temps perdu.

- Viens, on rentre… lui dis-je.

Je ramasse mon sac et nous retournons à sa voiture.

- T’as roulé à combien pour arriver ici à temps ?
- Crois moi, tu n’as pas envie de le savoir, me répond-elle en souriant.

Pendant le trajet, nous ne parlons presque pas. J’ai un nœud l’estomac. C’est la première fois que je vais parler d’une des plus grosses douleurs que j’ai ressenti.

Arrivés chez moi, je nous prépare du café. En m’asseyant sur le canapé, je prends mon courage à 2 mains.

- S’il te plaît, ne m’interromps pas. Tu sais déjà tout à propos de mon père et de ma mère, de mes fugues, de ma première fois. Certes tout ça m’a conduit à avoir une vison assez libérée en matière de sexe, mais ce qui a fait que je ne voulais plus m’attacher à quelqu’un c’est la fille avec qui je me suis fait griller à l’école militaire. On a continué à se voir, tous les week-end tant que j’étais à l’école. Puis on s’est installé ensemble juste avant que je ne parte pour ma première mission, en Irak. Là on ne se voyait plus que tous les 6 mois. Mais quand je rentrais c’était pour un moment. Et la dernière fois que je rentrais d’Irak, je lui ai dit que je rentrerais plus tard que d’habitude, qu’il y avait beaucoup de conflits. En fait je voulais la surprendre en rentrant alors qu’elle ne s’y attendait pas pour la demander en mariage.

Je marque une pause dans mon récit, encore très sensible sur ce sujet.

- Je suis arrivé un mardi matin, je l’avais eu au téléphone la veille encore. Elle m’avait dit qu'elle serait chez nous pour préparer des examens. Je pensais qu'elle serait au salon en train de réviser, mais j’ai entendu de la musique à l’étage. Quand j’ai ouvert la porte de la chambre, je m'attendais à la trouver au milieu du lit, avec ses cours autour d’elle. Elle était au milieu du lit, mais surtout au milieu de 2 mecs… J’ai fait demi-tour, et suis parti. Elle m’a rattrapé, a tenté de se justifier mais difficile de trouver une raison valable dans ces cas là... elle m’a dit qu’il fallait que je comprenne, que c’était long tout ce temps… mais je vivais la même chose qu’elle, je le savais, mais je l’aimais alors je tenais… de ce jour, j’ai décidé de ne plus m’attacher à qui que ce soit, et de profiter pleinement de la vie, de chaque opportunité de me faire plaisir. La suite tu la connais, puis je t’ai rencontrée… je vais être honnête, au début, je t’ai vu comme je voyais les autres filles, une occasion de passer un peu de bon temps, puis quand tu as commencé à dessiner, j’ai craqué… et j’ai eu beau essayé de me convaincre du contraire, avec toi j’avais, et j’ai toujours, envie de me poser. Alors quand j’ai cru que tu m’avais quitté, que j’arrivais plus à te joindre, j’ai essayé de t’oublier, de passer à autre chose, et elle m’a proposé un coup… je me suis dit que ça m’aiderait peut être à aller de l’avant… et je te promets que j’ai jamais autant regretté…
Elle se blottit contre moi et je n’ai jamais été aussi heureux qu’à cet instant. J’ai eu tellement peur de la perdre.

Elle.

J’avoue qu’en se plaçant de son point de vue, avec son vécu, son comportement n’est pas si choquant. J’aurai peut être fait la même chose…
- Mon comportement n’a pas été exemplaire non plus… je te dois aussi des excuses. Que ce soit pour la dispute, ou pour la gifle hier soir. Tu voulais juste prendre soin de moi. D’ailleurs, à propos de la dispute, au final même si je n’y suis pas allée il a été condamné en comparution immédiate. Ils n’ont pas eu besoin de mon identification.

Je suis assez fière de la pique que je viens de lui lancer pour lui montrer que j’ai bien fait de pas y aller.

- Je sais…ils ont eu la mienne…
Ma fierté retombe comme un soufflé.

- Il était hors de question qu’il s’en sorte comme ça… de toute façon, il aurait pas été condamné, je me serai chargé de lui… mais j’ai pas franchement envie de passer les prochaines années en taule… du coup, quand je suis parti de chez toi l’autre soir, j’ai filé au commissariat. Le commissaire a du batailler avec le procureur pour que ça passe, ce dernier n’était pas sûr que le juge estime ça recevable. Ton ex a pris 4 ans, dont 2 fermes. Et quand il sortira il sera sous bracelet électronique, avec interdiction de s’approcher de ton domicile, du mien, de ton lieu de travail ou d’études à moins de 500m.

Je ne sais plus quoi dire…
- Je ne sais pas comment te remercier … je lui murmure à l’oreille.
- J’ai une petite idée moi…
Il attrape ma main et la place sur son sexe durci.

- Tu peux pas imaginer comme je crève d’envie de te faire l’amour… surtout que je suis resté sur ma faim quand tu m’as mis dehors…- C’est honnête comme demande.
- Alors viens on monte que je t’enlève tout ça, me dit-il en tirant un peu sur ma jupe.
- Tu crois que tu peux laisser ton treillis ? Ça a toujours un fantasme de me faire prendre par un mec en uniforme… en plus t’es super sexy…
Lui.

Je me lève du canapé et la porte pour qu’elle entoure ma taille de ses jambes. J’en profite pour passer mes mains sous son cul et je constate qu’elle porte un string, vraisemblablement en dentelle.

- Tout ce qui te fera plaisir ma puce…
Je monte les escaliers, Julie dans mes bras alors qu’elle déboutonne ma veste de treillis.

- Oui, mais je veux profiter de la vue de tes muscles…
J’ouvre la porte de ma chambre, et la pose sur mon lit. Je lui retire ses sandales et les envoie près de la porte. Je parcours ses jambes de petits baisers, de ses chevilles jusqu'à ses cuisses. J'ouvre la boutonnière de sa jupe en jean's et la lui enlève en même temps que son string en dentelle noire.

- Bouge pas bébé...

Je m'assieds au bord du lit et enlève mes rangers avant de me mettre à genoux au-dessus d'elle et déchire son top. Devant son regard plein de stupeur, la seule chose qui sort de ma bouche, c'est : je t'en rachèterai un.

Je la redresse le temps de lui enlever son soutien-gorge. Je m’assois et elle s’assoit sur moi, les jambes autour de ma taille. Elle pose ses mains sur mon torse et j’enfouis mon visage dans ses seins. Je les lèche et les caresse avant de jouer avec ses tétons.

Je bande comme jamais : ça fait une semaine qu’elle m’a jeté dehors alors qu’on était sur le point de s’envoyer en l’air. Une semaine que j’ai envie d’elle comme j’ai jamais eu envie d’une fille.

- Allonge toi sur le ventre bébé et détends toi.

Elle obéit, posant sa tête sur ses bras croisés et écartant légèrement les jambes. Je glisse ma langue entre ses fesses musclées et la passe le long de sa raie plusieurs fois avant de titiller son petit trou avec insistance. Elle gémit et se tortille.

Je glisse un doigt dans son trou tout en ouvrant le tiroir de ma table de nuit. J’en sors un vibro assez fin.

- Ça risque d’être un peu froid ma puce, je la préviens.

Je retire mon doigt et insère le vibro à la place, lentement pour ne pas lui faire mal. Elle est détendue, ça rentre tout seul.

- Humm, gémit-elle doucement.

Je fais un petit mouvement de va et vient avec le jouet et de ma main libre je me branle. J’ai tellement hâte que ce soit ma queue à la place de ce vibro.

J’appuie sur le bouton pour le mettre en marche. Elle gémit de plus belle.

- Mets toi sur le dos bébé…
Elle s’exécute. Je lui écarte un peu les jambes et fourre ma tête entre ses cuisses pour lui lécher la chatte. Je suce son clito et enfonce ma langue en elle jusqu’à la faire jouir. Puis j’ouvre le pantalon de mon treillis et sors mon sexe gonflé de désir. Je la pénètre lentement pour profiter des vibrations que je ressens à travers son vagin. C’est très excitant. Puis je la pilonne de plus en plus fort. Elle jouit en criant et je gicle à mon tour.

Je me laisse tomber à côté d’elle, et alors que je pensais qu’elle s’allongerait à côté de moi, elle commence à me sucer et à jouer avec ma queue.

- Ça m’a trop manqué… j’ai encore envie que tu me prennes, dit-elle entre 2 coups de langues sur ma bite encore pleine de sperme.

Comme elle me présente son cul pour pouvoir me sucer, je lui attrape les jambes pour la mettre au dessus de moi, nous positionnant ainsi en 69. Et alors que je lui mange la chatte, je joue avec le vibro encore dans son petit trou. Elle ondule du bassin, je fais des vas et vient dans sa bouche à mesure qu’elle me suce. Quand je suis à nouveau bien dur, elle se met à califourchon sur moi et glisse doucement le long de ma queue. Elle recommence plusieurs fois, me fixant dans les yeux, se mordillant la lèvre. Putain qu’est-ce qu’elle est bandante comme ça.

J’ai envie de la mettre à 4 pattes et de la prendre en levrette sans ménagement. Elle a l’air d’en avoir décidé autrement. Mais c’est dur de lui laisser le contrôle de la situation. Pourtant je prends sur moi
- Tu seras plus à l’aise comme ça, lui dis-je en lui retirant le vibro alors qu’elle se redresse.

Tout en ondulant sur moi, elle se penche légèrement en avant, m’offrant une magnifique vue sur ses seins. J’en profite pour les caresser et les embrasser. Elle commence à être à l’aise, à se lâcher. C’est très excitant. Et alors que je m’apprête à la retourner pour la prendre à ma manière, elle me surprend.

Elle se redresse, se cambre un peu et attrape mes mains qu’elle pose sur ses hanches avant de glisser sa main à sa chatte et de commencer à se caresser. Je sens une vague d’excitation monter en moi. Je profite pleinement du spectacle.

Cette fille est splendide. Pas comme une nana en couverture de magazine. Non, elle est belle de simplicité. Pas refaite, pas superficielle ni salope. Elle a des yeux bleus qui pétillent quand elle est heureuse ou quand elle jouit. Des cheveux bruns foncés qui ondulent au même rythme que ses hanches quand elle me chevauche. Des seins parfaits, de belle taille, je dirais un 95D, qu’elle ne doit à aucun chirurgien. Elle est musclée juste ce qu’il faut pour une femme.

J’ai plus l’habitude des corps de salope qui écarte les cuisses pour un simple mot murmuré à l’oreille : seins en silicone, faux bronzage, maquillage permanent, faux ongles… Et je me rends compte que je la trouve bien plus belle à regarder et beaucoup excitante en étant naturelle que toutes ces nanas là.

Sous les caresses de sa main et les coups de queue, elle jouit une nouvelle fois en gémissant. Je sens sa cyprine couler le long de ma bite. Je la saisis fermement par les hanches et donne de grands coups de reins jusqu’à jouir en elle.

Elle s’allonge sur moi, dépose un baiser sur mes lèvres et pose sa tête dans le creux de mon cou. Je la serre contre moi. Après quelques minutes enlacés ainsi, elle se couche à côté de moi, la tête sur mon torse.

- Alors, ça t’a plu ? Je ne t’ai pas fait mal ?
- C’était très bon. Et tu ne m’as pas fait mal, t’inquiète, je te l’aurais dit.
- T’aurais envie qu’on recommence et d’aller plus loin, ou tu n’es pas encore prête ?

J’ai du mal à cacher mon envie de la sodomiser…
- Je pense que je suis prête. Même si j’ai un peu peur d’avoir mal… forcément c’est plus gros que le vibro…- Ne t’en fais pas. Je ferai doucement. Et du moment que tu es détendue, y a aucune raison que ça se passe mal… je suis sûr que tu vas adorer.
- Et je savais pas que tu avais ce genre d’accessoires… c’est pas courant pour un mec.
- J’en ai bien d’autres bébé. Je t’ai dit je suis plein de surprises niveau cul… et toi aussi tu as un bel échantillon de jouets ma puce…- Ben quand on est célibataire depuis un moment, faut bien se faire plaisir. Y a pas que les mecs qui ont des envies…
Elle se redresse pour s’asseoir.

- Par contre va falloir que j’y aille, mais j’ai un petit souci : je n’ai plus de haut à me mettre…- Faut vraiment que tu partes ?
- J’ai promis a Peyo de faire la fermeture de la boutique aujourd’hui, il doit partir.
- Désolé d’avoir déchiré ton t-shirt. Ton corps m’a manqué, j’avais trop envie de toi… et quand je suis hyper excité comme ça, j’ai un peu la baise brutale… j’avais qu’une envie c’était de te mettre à 4 pattes et de te prendre en levrette violemment…
Elle rougis un peu. Je l’embrasse tendrement.

- Je vais te prêter un de mes t-shirt, ça risque d’être un peu grand mais au moins tu ne seras pas à moitié nue.

Je lui donne le plus petit de mes t-shirt qui reste quand même plutôt grand. Mais je trouve ça assez sexy de la voir avec mes fringues.

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