LE POLICIER

- Par l'auteur HDS Camelias -
Récit érotique écrit par Camelias [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : LE POLICIER Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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LE POLICIER
J’ai parqué ma voiture dans une place où on la pouvait mettre seulement deux heures. Et je l’ai parqué là-bas pendant trois jours. Je n’expliquerai pas pourquoi j’ai dû le faire, mais à Xxxxxx les parkings sont très difficiles à trouver. Les policiers de mon quartier je les connaissais. Enfin, je les reconnaissais, je les avais déjà vus. Une fois j’avais utilisé un vieux modèle de disque horaire, et j’ai reçu une amende quand-même… je ne peux pas dire que je les adorais !
Quand je suis allée chez ma voiture, de loin je voyais qu’il y avait plusieurs amendes.. Et un des policiers était en train de faire l’énième supplément à ma contravention. Je commençais à le détester, mais je me forçais à garder mon plus beau sourire. Merde.. ! Il en avait beaucoup.. En total ça faisait 320 euro ! Le policier réponds à mon sourire, et il me semblait qu’il souriait encore plus, en voyant mon effort pour maintenir mon visage dans cette position.
En plus j’étais sûrement dans le tort, je ne savais pas quoi dire, mais en voyant qu’il persistait dans son sourire, j’ai pensé qu’il allait peut-être être plus gentil qu’autrefois. Je me souvenais que quand j’avais le vieux disque horaire, il avait dit quelque chose comme : « si tu viens chez moi, je peux t’en donner un nouveau, tu sais ? ». Mais je ne savais plus ce que j’avais répondu. C’est certain que je n’étais pas allée chez lui. Il devais avoir 45 ans.. Moi j’en ai 23, et j’ai d’autres choses à faire que répondre aux avances maladroites d’un vieux policier.
Cette fois je lui proposais que une seule amende suffisait.. Mais je n’étais pas assez convaincante, parce que je savais déjà qu’il allait dire non. Après avoir dit non, il dit : « Alors, bonne journée madame. Je m’en vais, j’ai pas le temps de rester ici admirer votre contraventions avec vous. »
C’est bon.. Malgré moi, je lui proposait de venir chez moi boire un café. Il accepta. Alors nous allons dans l’appartement, et je faisais le café. On discutait un peu du quartier, je ne savais pas trop quoi dire. « Ne sois pas timide ! » dit le policier, qu’il était en train de bien observer l’appartement. Moi je ne suis pas timide. Je lui dis comme ça. Lui il arrêta de regarder l’appartement, et commença à me regarder moi.. Il observait tous les détails en regardant sans cesse mes nichons, par conséquent moi j’étais pas très à l’aise, je ne disais plus rien.. Et lui il dit « Tu vois ? Selon moi tu es très timide. ». Il avait fini de boire, il attendait quelque chose. Comme il était encore en train d’observer mes nichons je dis : « veux-tu les voir ? » et je commençais à enlever mon pull. Lui il dit : « non, non.. Ça va, merci. Juste une chose : ce soir t’es libre ? Je voulais seulement boire un verre, si tu viens, tu auras une contravention en moins. ». Tout de suite je ressentis une grande honte.. Je me sentais une pute, et lui il ne pensait pas à ces choses, tandis que moi j’avais tout de suite pensé qu’il le pensait. Je répondis oui, de tout façon ce n’était même pas vendredi, donc je pouvais m’arranger, et soixante euro de moins c’était pas mal pour boire seulement quelque chose.
On allait dans le bar au coin de la rue. Moi j’étais habillée assez sexy, et même s’il faisait assez froid, j’étais assez déshabillée. Il me faisait boire. Moi je connaissais le mec qui était au bar, qui me dis : « Où est-ce que tu l’as trouvé cet homme ? Il me semble de l’avoir déjà vu quelque part.. »
Au bar selon lui il y avait trop de gens, trop de bruit. Je lui disais que s’il voulait, nous pouvons aller encore une fois chez mon appartement, je lui préparais un mojito..
C’était un grave erreur, cette fois j’allait le payer cher.. On venait juste d’entrer dans l’appart, qu’il chercha à m’embrasser et il me serra très fort. J’avais pas très envie de l’embrasser, pas du tout.. Il dit « tu n’as pas envie de m’embrasser, c’est ça..N’est-ce pas ? » En deux gestes, il se débarrassa des pantalons et il me dit fort et clair de sucer sa bite. « Ce n’est pas assez pour t’enlever toutes les contraventions » il me préviens, « mais c’est un début ». Pour faire cette pipe j’y mettais toute moi-même.. C’est une chose que normalement j’adore.. et puis maintenant que j’y étais dans cette situation, ça valait la peine de me faire plaire mes tâches.. Il dit : « oui.. Mais ça te plaît.. !! J’avais tout de suite compris que t’étais de ce gende.. Une petite salope qui boit 2 verres, et qui se prête à tout faire.. ».
Il ajouta : « Mais maintenant, tu vas arriver à la punition.. Tu verras comme c’est beau.. ». Il prend ses pantalons et il enlève la ceinture. Il me l’agite devant le nez, et il me dit : « Si tu n’a pas d’objet plus convenable, ça sera la ceinture à te donner la punition. ». Après avoir entendu cela, je fus presque obligée de lui dire que j’avais un fouet. Il dit : « Ah bon.. On va prendre ce fouet.. T’es une petite timide salope vicieuse.. Nous avons eu de la chance de nous rencontrer comme ça.. Tu sais ?» Il ne m’attacha pas, il me dit seulement de NE PAS bouger pour aucune raison.. Mais c’était impossible. Puis il me dit de me caresser, mais pas mettre les doigts dedans ma chatte. Quand mes fesses furent toutes rouges il arrêta de les fouetter. Ma chatte était maintenant mouillée..
Il me demanda : « Ta chatte, elle est comment ? ». Moi je répondis avec un peu d’hésitation, parce que je ne comprenais pas où il voulait arriver, et je dis « elle est mouillée ». Il dit « Et pourquoi ? Qu’est-ce qu’on fait maintenant.. ? C’était une punition, je devais te punir.. et toi, tu ne peux pas t’empêcher de t’exciter.. ». et puis : « alors, je t’ai demandé pourquoi elle est mouillée !!! Réponds tout de suite, parce qu’ici il y a ma ceinture pour te faire parler.. !». Je répondis « elle est mouillée parce que tu m’as demandé de me caresser.. ». Il dit : « Et qu’est-ce que je faisais moi ? ». « Tu me fouettais.. ».
Il avait compris que ma faiblesse c‘était parler, quand j’avais reconnu la supériorité de quelqu’un, et maintenant il s’amusait à me voir en difficulté.. Il dit aussi : « Quand il te fallait le nouveau disque horaire, tu n’as pas répondu comme ça… t’étais snob, t’étais occupée à te faire fouetter par quelqu’un d’autre, eh ?». Moi je baissai la tête.
Il ajouta « Mais comme je suis gentil, je t’enlève toutes les contraventions si tu es bien sage.. et tu me dis où est-ce que je peux trouver des pinces.. Parce que tu les as sûrement.. » je lui indiquait le tiroir, sans dire un mot. Alors il me tourna, et me posa les pinces sur mes tétons. Il dit « Comme ça c’est parfait, je prendrai une photo… » Après l’avoir prise, il joua avec mes nichons et puis il me dit de lui expliquer ce que je ressentais maintenant. Je prenais un minute pour commencer et je dis « honte d’être devant toi nue, avec les pinces, honte parce que tu te moque de moi, honte parce que je suis obligée à parler.. » il dit « et puis ? » je dis « puis.. je.. ça me plaît trop.. j’ai honte à le dire, mais ça me plaît trop d’être devant toi toute nue pendant que tu joue avec mes nichons……aussi si ça fait mal……. » et je devenais de plus en plus rouge.
Il était beaucoup excité.. et il me voulait me prendre. Je me déplaçais, mais il me donna une gifle, et me traîna par terre, vers lui. Il enfonça sa queue dans ma petite chatte mouillée. Je jouissais.. mais après quand je croyait que c’était fini, je m’aperçus que c’était pas vrai…. Parce que lui dit : « c’est comme si je paye 320 euro.. donc ne te plain pas… » et il veut aussi mon cul.
Le lendemain il m’avait donné rendez-vous à 10 heures du matin devant ma voiture. Mais..
Merde ! Je voyais que c’était pas lui déjà de loin. C’était le policier plus maigre. Merde ! J’ai eu envie de pleurer de rage.. il m’avait foutue, il m’avait bien fouettée et à la fin j’avais rien eu en échange. Je ne pouvais rien dire à personne, bref.. il m’avait traitée de salope. Bon, moi aussi j’avais jouit mais au moins il aurait pu maintenir la parole donnée !
Le policier s’approchait, et me dit : « mon collègue m’a donné ça pour vous.. c’est à vous cette voiture ? En fait il m’a dit qu’il s’était trompé de contravention. Vous n’avez plus rien à payer, c’est bon comme ça ! ». Je venais d’avoir mon payement.

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J'ai joui tellement c'était excitant...



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