Titre de l'histoire érotique : Le doigt dans l'engrenage 2. Marie

- Par l'auteur HDS Romain69130 -
Auteur couple.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Le doigt dans l'engrenage 2. Marie Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Le doigt dans l'engrenage 2. Marie
Résumé:
Un mariage et Christophe pousse sa femme, draguée par un jeune, à aller jusqu'au bout. Ce qui ne devait être qu'une "folie" d'un soir, folie due aux souvenirs et à l'alcool, va continuer car le jeune amant reprend contact le soir même. Le mari l'invite et Marie accepte de le recevoir alors que lui se cache pour les regarder.

Lorsque Chris et moi avons décidé de mettre notre histoire sur papier, il nous a paru évident qu'il faudrait de nombreuses pages pour expliquer, commenter et décrire notre aventure. Comme il voulait le faire paraitre sur "HDS" par une sorte de reconnaissance à ce site pour tous les services rendus dans une vie de couple comme la nôtre, nous avons décidés de couper en deux parties.
Ecrire à deux mains. Pas facile. Alors il a été décidé et je crois à la lecture de ce qu'il vient d'écrire que la première partie était pour lui. Donc, je suis en charge de la seconde. Une vraie introspection. Analyse personnelle jetée en pâture. Mais je ne suis plus à cela prêt.
Chris passe de Franck à Pascal. C'est effacer d'un trait de plume plus d'une année de notre vie. 18 mois bien remplis.

D'abord Franck est revenu et très vite Chris a imposé sa présence. Présence d'abord passive mais attentive, puis, mais pas toujours, active en venant se joindre à nous. Puis il a fait appel aux sites spécialisés dont il parle à la fin de son texte. Des hommes évidemment volontaires pour me baiser. D'autant que le coquin, sur notre blog, ajoutait les commentaires des précédents. On s'habitue vite et on finit par prendre ces commentaires "crus" pour des compliments.
"Vrai salope." "Suce comme une gorge profonde" "Adore se faire enculer" "Insatiable"
Il m'a emmené aussi dans des boites spécialisées. Moi aussi j'ai vu mon mari avec une autre. Mais pas si souvent que cela. Son fantasme est plus centré sur moi.
Petite à petit on s'est fait un cercle de connaissances. On nous invitait. Des réunions plus "familiales" que dans les clubs. Des sortes de réunions entre "Côte à Côtistes", "Candauliste" et quelques fois "Echangistes". Tout un monde insoupçonné, du moins par nous, avec ses codes de bonne conduite et de savoir vivre.
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C'est dans une soirée de ce type que j'ai croisé Pascal pour la première fois. Nous avons passé un bon moment devant Christophe comme témoin. J'ai eu du plaisir mais sans plus. Certains hommes m'avaient plus marqués.
Pourtant en rentrant Chris me dit:
— Pascal est vraiment très attentif. Tu as remarqué ?
— Remarqué quoi ?
— Il t'a placé pour que je sois toujours aux premières loges. Une sorte de balai parfait. Il a de l'expérience. Il sait ce qu'un homme comme moi veut voir. Pas seulement la possession mais aussi ton visage, ton corps afin que je puisse en déceler les nuances.
— Ah !
— Je vais l'inviter à la maison.
Depuis des mois je ne conteste aucune décision de mon mari pour tout ce qui concerne ne sexe. Petit à petit je suis devenue "docile" sur ce sujet. Une docilité qui ne fait que me procurer du plaisir.

Quelques jours plus tard, il l'appelle au numéro que Pascal lui avait donné. Après les présentations d'usage, il se rappelait parfaitement de nous, Chris lui fait l'invitation pour le samedi soir.
— Je viendrais avec plaisir mais je suis pris. Le weekend suivant aussi. Mais vendredi soir ce serait possible. Qu'en pensez-vous ?
Chris a mis le haut-parleur. Il m'interroge du regard. Personne à la maison de prévu.
— Oui, c'est possible pour nous.
— Parfait. Disons 22h, le temps de passer chez moi et de venir.
— Très bien.
— Par contre, je n'apprécie pas les préservatifs. Je trouve qu'ils bloquent certaines sensations..
— Je vous arrête. Il est hors de question de s'en passer.
Je vous passe les détails ou on apprend que Pascal est toubib, qu'il nous mail des ordonnances, pour moi et Chris, afin que nous puissions avoir des résultats rapidos.
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Vendredi.
Comme toujours c'est Chris qui choisit ma tenue. Cette fois je porte un demi-balconnet comme il aime tant. De la lingerie achetée par Franck qui s'était révélé au fil des rencontres comme un quasi fétichiste. Un soutien-gorge qui porte bien son nom même s'il se réduit à sa plus simple expression. On voit très bien mes tétons pointés contre le tissu du chemisier. Pour le bas, petite jupe en cuir et culotte blanche. Bien entendu talons aiguilles.
Il arrive à l'heure pile. Bouteille de champagne (décidemment cadeau bien commun) mais aussi cadeau qu'il "me donnera un peu plus tard".
On s'installe. D'office il se place sur le canapé en face du mien. Une table basse nous sépare. Quelques paroles bien banales et convenues sur notre maison, la route, le temps. Juste deux phrases comme quoi nous avons tous les trois nos résultats et bien sûr négatifs en tout. Mais pendant tout ce temps il ne me quitte pas des yeux.
— Vous êtes très belle ce soir. Très en beauté. C'est vous Christophe qui avec choisi ce que porte votre femme, n'est-ce pas ?
— Oui, mais comment vous le savez ?
— Un grand classique des maris Candaulistes. Ils veulent toujours offrir leur compagne avec les atours de leur fantasme.
— Je ne savais pas.
L'homme sourit.
— Mais aussi je le sais, car vous en parlez dans votre blog. Un ami m'en a donné les coordonnées. Un blog avec de très belles photos d'ailleurs. Je vous félicite. Moi aussi je fais des photos et des vidéos.
— Pas de vidéos. Je ne sais pas flouter les visages en mouvement. Et nous voulons rester discrets.
— Je comprends. Moi je parle de vidéo pour conserver. Avec des partenaires fiables…Mais..
Son regard revient vers moi.
— Aussi les commentaires de mes prédécesseurs. Tous sont élogieux sur vous Marie, mais on voit aussi une nette progression. Vous les avez lus ?
— Oui. Bien sûr. Je fais de mon mieux.
Tout en continuant de me fixer il ajoute.
— Christophe vous voulez bien me décrire ce que porte Marie.
— Si vous voulez. En haut comme vous le voyez un chemisier assez fin, mais pas transparent. Dessous un soutien-gorge qui ne fait que soulever sa poitrine. J'adore ces demi-balconnets. En plus c'est le cadeau du premier amant de ma femme. Franck.
— A quelle époque ?
— Dix-huit mois. Je réponds.
Il me semble voir un éclair de contrariété chez Pascal. Mais je me redresse et respirant plus profondément je sens parfaitement mes tétons s'écraser contre le chemisier. D'ailleurs le regard de l'homme en est le révélateur.
— Et pour le bas ?
— Comme vous le voyez petite jupe en cuir noir, assez moulante et dessous petite culotte blanche.
— Marie, vous voulez bien me montrer cela. Mettez vos deux pieds sur la table et écartez lentement les jambes.
C'est une demande qu'aucun amant ne m'a proposé. Christophe me le demande parfois pour faire la cochonne mais d'habitude les hommes veulent aller plus au but. Je m'exécute. En écartant les cuisses la jupe remonte et bientôt Pascal a une vue plongeante sur ma dentelle.
— Christophe, vous voulez bien défaire les boutons du chemisier. Lentement aussi. J'aime lorsque le mari, dévoile sa femme devant moi. Faite le tour du canapé.
Je n'ose détourner les yeux de Pascal. Je suis comme hypnotisée par ce regard scrutateur. Mais je sens bien que Chris bouge et que bientôt deux mains passent au-dessus de mes épaules et entreprennent de défaire lentement chaque bouton.
C'est étrange mais j'ai chaud. Maintenant me montrez nue et bien pire avec un inconnu ne me dérange plus. Ma pudibonderie est un lointain souvenir. Ma pudeur l'a rejointe. Mais devant Pascal cette simple exhibition me trouble.
Je sens qu'à chaque bouton, Chris ouvre largement le chemisier. Il arrive au dernier.
— Enlevez-lui.
Je l'aide en me décollant du canapé.
— Magnifique. Vous avez raison. Cela lui va très bien.
Chris bouge.
— Non, non, restez derrière elle.
— Marie ?
— Oui.
— Passez votre main dans votre culotte…….Bien…..Caressez-vous….Non, ne repoussez pas votre dentelle. Je veux juste voir le tissu comme une ombre qui souligne votre main….Bien….Bien….Vous êtes humide ?
— Oui. Dis-je étonnée que cette demande me trouble tant.
— Continuez….Non, regardez-moi. Ne quittez pas mon regard……Parfait…. Christophe !
— Oui.
— Je veux que vous caressiez la poitrine de votre femme. Juste des caresses. Effleurez les lobes. Effleurez les tétons. Je veux les voir grandir et pointer encore.
Le silence n'est maintenant que magnifié par nos respirations. De longues secondes, une minute peut être et…
— Marie, vous aimez qu'on vous regarde ?
— Oui.
— Christophe. Vous sentez votre femme excitée ? Ses tétons sont des révélateurs.
— Oui.
— Continuez. Marie ne me quittez pas du regard.
Je ne risque pas. Je ne suis que chaleur, caresses, envie. J'ai glissé un doigt dans ma fente. C'est une grotte humide. Je n'ose trop caresser mon petit bouton. Je le sens trop sensible. Et puis je vois Pascal se lever, enlever ses habits devant moi. Devant nous, car je sens, aux caresses de mon mari, que lui aussi regarde.
Il est nu. Ce n'est pas un Apollon. Pourtant il dégage une masculinité surprenante. Une toison dense sur le torse et les cuisses. Une toison, contrôlée, atténuée, puis absente vers le sexe et les couilles. J'en ai vu des hommes très "poilus", épilés vers le pubis provoquant une frontière artificielle presque choquante. Pascal a manifestement sculpté sa toison pour la rendre progressivement absente. Une preuve de la complexité de cet homme pourtant d'apparence bien commune.
Il est nu et il bande. Là aussi j'apprécie. Certains de ces amants d'un soir avaient besoin de mes caresses pour bander. Lui, Non. C'est un compliment pour moi.
Il est à un mètre, mais c'est comme s'il était avec moi.
Je le vois repousser tout ce qui était sur la table basse.
— Marie. Venez.
Il me montre de la main cette table qu'il a préparée.
— A genoux….Oui…Comme cela….
Je m'exécute. Je me place sur cette table, à genoux, en réalité en levrette, à quatre pattes, déjà chienne de cet homme qui ne m'a pas encore touchée. Je dois paraitre bien "débraillée" avec ma jupe retroussée et ma culotte certainement déjà tachée de mes caresses. Mes seins pendent librement. Le soutien-gorge n'est plus qu'une bande de tissu.
Il me touche. Sans le voir, je l'imagine. Il tire sur ma culotte juste assez pour me rendre disponible. Je sens son membre se frotter à ma fente, Comme s'il voulait vérifier que je suis bien prête pour la saillie. Que la femelle s'était-elle même mise en état de se faire prendre !
Il entre comme en terrain conquis. Je suis toute à lui. Il a suffi de quelques mots, de quelques demandes, des suggestions, et je suis sa chose.
Il me possède lentement. Sa queue me travaille, m'extirpant des couinements que je ne me connaissais pas. Pourtant il n'est pas beau. Ni gros. Ni long. Ni, ni, ni.. Mais c'est bon. Rarement je n'ai senti si bien une bitte coulisser en moi. Et Chris ! Chris qui a quitté la protection du canapé et qui nous regarde. C'est différent ! Pourquoi ? Combien de fois mon mari m'a-t-il "maté" alors qu'un autre me baisait ? Pourtant lui aussi semble différent.
L'homme m'enfile son gourdin. A chaque fois qu'il se retire je me sens vide et inquiète. Et s'il ne revenait pas ?
— Elle est belle votre femme. N'est-ce pas Christophe ? Vous aimez la voir ainsi. Entre les mains d'un autre. Jouir par un autre. Cela vous excite, n'est-ce pas ?
— Oui.
— Alors montrez lui ce qu'elle provoque.
Chris enlève son pantalon, et le reste, et nous exhibe sa bitte de paysan. Verge courte mais au combien massive, sculptée de veines qui courent sous la peau. Une bitte de brute mais contrôlée par le meilleur des maris. Amant attentif. Epoux partageur.
— Regardez Marie, regardez. Vous avez la chance d'avoir un mari qui ne veut que votre bonheur.
— Regardez Christophe, regardez cette femme qui est la vôtre. Vous l'avez éduquée, dirigée pour son plaisir et le vôtre. Mais je la sens sans limite.
Il se tait. Il me baise par sa queue qui me lime. Mais ses paroles, pourtant si proche de la vérité, portent des sous-entendus.
— Marie, vous n'avez pas envie de la verge de votre mari ? De le sucer pendant que je vous baise ? De vous faire prendre entre un mari partageur et un amant d'un soir ?
— Si.
— Alors dites le lui.
— Chérie vient
— C'est un peu juste.
— Vient dans ma bouche. Entre mes lèvres. Donne-moi ton mandrin.
Et il le fait. Il avance un peu et bien vite son gland me déforme les lèvres. Petit à petit il avance, mais je ne suis pas immobile. Pascal me bouscule sous ses coups. Parfois la bitte heurte le fond de ma gorge.
Ce n'est pas moi qui suce mais Pascal qui me fait avancer sur la bitte massive. Très vite de la salive coule de mes lèvres. Très vite je produis un chuintement humide, incongru, et excitant.
Je ne suis qu'une femelle coincée entre deux bittes. Pascal est de plus en plus fort, pourtant mon mari ne recule pas. C'est un roc dont une excroissance me remplit la gorge.
— Retenez-vous. Nous allons cracher notre semence en même temps et nous allons inonder cette petite pute qui est entre nous.
Chris ne proteste pas d'un tel langage. Au contraire il obéit. Mon plaisir est autant physique que mental. Pourtant cette vague qui monte ne peut plus être endiguée. La bouche pleine je ne peux exprimer ma jouissance mais je tremble de tout mon corps.
— Voila.
C'est Chris qui m'étouffe de ses flots de foutre. Je tousse, je crache, mais fidèle à mon vœux de salope j'essaie d'en conserver au mieux. Puis c'est Pascal. C'est chaud, brulant. Bien sur ce n'est qu'une impression mais c'est la première fois qu'un autre que mon mari me balance sa semence, au plus profond de ma matrice.
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— Donc si je comprends bien vous avez commencé votre nouvelle sexualité il y a 18 mois avec ce Franck. Comment c'est arrivé. Une envie depuis longtemps ?
Après avoir récupéré et pris un verre, voilà que Pascal nous pose cette question.
Chris y répond. Puis à une autre, une autre, une autre. L'homme veut tout savoir de nous de nos pratiques de nos envies, de nos plaisirs.
De lui nous savons juste qu'il n'est pas marié mais vrai adepte de la sexualité sous toutes ses formes.
— Je voudrais vous demander une faveur.
C'est étonnant dans la bouche de cet homme qui manifestement aime prendre les choses en main.
— Oui ?
— Visitez votre chambre. Une chambre est un vrai révélateur de ses occupants. Je sais que c'est un peu intrusif. Mais après tout nous nous connaissons intimement.
Le petit sourire atténue cette étrange demande.
— Tu n'y vois pas d'inconvénient Chérie. Me demande mon mari, auquel je réponds d'un "non" de la tête. Je vais vous montrer alors.
— Je préférerais que ce soit Marie. C'est le domaine d'une femme n'est-ce pas !
Et comme il se lève. Il ajoute
— Ne vous inquiétez pas, on vous appelle si jamais nous reprenons…
Inutile de préciser ce que cela signifie.
Je précède l'homme dans l'escalier. J'ai enlevé la jupe, mais Pascal m'a demandé de garder ma culotte. C'est une culotte très humide qui ne doit pas pouvoir contenir ce que l'homme m'a balancé. Je sens bien des coulures…Mais manifestement il aime cette "réalité".
Dans la chambre après en avoir fait le tour, il me demande de lui montrer ma lingerie. Lingerie que j'étale consciencieusement sur le lit. Elle est classée dans mes tiroirs, non pas par couleur et modèle mais par : Quotidienne, c’est-à-dire confortable. Sexy et érotique pour la maison et certaines occasions. Quasi porno du genre culotte fendue, soutien-gorge ouvert, le tout dans des couleurs "chaudes".
Les nuisettes, body et robes "pousse au crime " suivent.
Je m'aperçois ainsi, que depuis Franck, m'a garde-robe s'est fortement enrichie et spécialisée dans le "sexe" si ce n'est le "pute". Cadeaux de Christophe qui se fait plaisir sur internet et boutiques spécialisée.
— Et vos jouets?
— Jouets?
— Sextoys, Godes.
Je sors les quelques jouets que nous avons. Mais Pascal est tout de suite attiré par notre gode ceinture et aussi le double gode que nous avons acheté il y a peu. Une merveille de technologie, avec des formes étudiées, des excroissances bien placées, qui libère du harnais disgracieux. Avec ce dernier, avec ou sans vibro j'arrive à avoir une jouissance alors que j'encule mon Chéri.
— C'est pour Christophe ?
— Oui.
— Oh. Et il aime ça ?
Je me demande si je dois parler de cette pratique que nous n'avons révélée à personne. Chris n'aimerait peut être pas que….
— Rassurez-vous, je mets un point d'honneur à ne jamais parler de ce que je fais ou je vois.
— Oui. Surtout depuis qu'il me regarde avec d'autres. Après leur départ il arrive qu'il veuille ce plaisir.
— C'est tout à fait naturel. Il vous offre. D'une certaine façon lorsque vous le prenez ainsi, vous reprenez le dessus.
— Ah !
— Et avec vos amants.
— Que voulez-vous dire ?
— Est-ce que Christophe profite de vos amants. Pour se faire prendre par eux.
— Jamais.
— Jamais un homme. Même pas une caresse ? Une fellation ? Par eux! Par lui !
— Jamais.
— Et il ne vous a jamais parlé d'une envie.
— Non, jamais. Juste que parfois il commente le sexe de mes amants.
— Ah !
Mais on entend une sonnerie. Je n'avais pas vraiment fait attention mais Pascal est venu avec une petite sacoche et c'est de là que vient la sonnerie. Il sort un téléphone. Après le "Allo, docteur A…. Pascal" il écoute son interlocuteur. Il termine sa liaison par une " J'arrive. 30mn".
Il se tourne vers moi.
— Désolé. Vraiment désolé, mais une urgence.
Déjà il quitte la pièce, descend les escaliers, s'habille rapidement tout en s'excusant à nouveau.
Il ouvre la porte sur la rue. Va nous quitter par un " encore désolé" mais s'arrête et dit:
— Demain, chez moi je reçois une amie et son compagnon qui…C'est compliqué. Je n'ai pas le temps de vous expliquer, mais je pense que vous devriez venir.
Et en reprenant sa marche vers sa voiture:
— Je vous envoie tout par sms. A demain j'espère.

En effet, samedi matin nous recevons son adresse et l'heure du rendez-vous. Il nous intrigue et nous a laissé "sur notre faim". C'était la première fois qu'un amant se comportait ainsi. A la fois avec délicatesse et puissance.
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Samedi 18h nous sonnons chez lui.
Résidence en lisière de forêt, manifestement ancienne maison de garde forestier réactualisée. Un endroit où on pourrait assassiner une famille entière sans que personne ne remarque rien. Plusieurs voitures sur la pelouse juste en face.
La sonnerie résonne au loin.
Je me suis faite belle. Comme je ne sais pas à quoi m'attendre, j'ai fait dans le classique. Tout au moins pour l'extérieur. En réalité, et Chris m'a laissé étonnamment libre de choisir, mes dessous sont de braise. Pascal les a vus sur le lit et j'espère que cela va l'inspirer. Sinon, si ce n'est pour le "cul" pourquoi nous inviter ? J'ai mal dormis et pourtant j'ai enfilé mon mari avec notre jouet fétiche. J'ai bien senti que lui aussi aurait voulu plus !
— A l'heure. Je n'en attendais pas moins de vous. Vous ne savez pas combien je suis heureux de votre présence. Marie, toujours aussi belle ! Christophe en forme ?
Pascal est torse nu. Il ne sans excuse pas. C'est normal pour lui. Cela augure des moments intimes.
— Surtout je vous demanderai de ne pas réagir, même si vous êtes surpris. Nous sommes entre gens de bonne compagnie, c'est le plus important.
Il nous entraine. On descend quelques marches et on suit un long couloir qui débouche dans une autre cave. Manifestement nous passons de la maison principale à des dépendances. Un couloir et une porte. La pièce est vaste, et plusieurs personnes sont présentes. Mais en avançant on découvre que ces personne regardent un couple. Ils sont trois à regarder, deux hommes et une femme. Ce qu'ils regardent pourrait être une fellation mais la femme à quatre pattes devant celui qu'elle gobe est attachée. Ses mains sont attachées dans le dos, mais aussi, elle a un bandeau qui l'aveugle, un collier autour du cou et des poids pendent de ses seins sans parler de ce semble sortir de son petit trou, une sorte de courte queue de cheval manifestement extension d'un gode ou plug dans ses fesses.
L'homme qu'elle suce tient un fouet à la main. Un fouet qu'il abat sur les fesses rebondies. Ce n'est pas manifestement le premier coup car les fesses sont roses. Heureusement pas d'un rose sang qui montrerait le résultat d'une vraie brutalité. Non un rose …
— Je t'ai dit jusqu'aux couilles. Regarde comme ça.
Il se saisit de la tête de la femme pour la forcer à gober toute sa queue. La femme déglutit. On sent qu'elle souffre de ce traitement. Enfin il l'a relâche. Elle tousse. De la salive coule en filets de ses lèvres.
— Une pute comme toi doit pouvoir gober son client jusqu'aux couilles. Recommence.
La femme avance vers le mandrin. On voit ses lèvres progresser….
Mais Pascal nous tire en arrière.

— Vous avez certainement compris maintenant. C'est mon royaume. Et il fait un geste qui enveloppe la pièce. J'ai ici des accessoires et équipements qui m'aident à accomplir les missions qu'on me confie.
On devine en effet dans une ombre discrète des objets plus ou moins imposants. Comme cette cage en métal, ou cette sorte de croix inclinée. Aussi des sièges, des banquettes, une sorte de cheval d'arçon. Un objet que je n'avais plus vu depuis le sport au lycée.
— Du Sado Maso ? Demande Christ
— Pas vraiment. Pas obligatoirement .Je suis ce qu'on appelle un "Maitre". Un dominant si vous voulez et je me charge d'instruire, de diriger, de soumettre celle ou celui qu'on me confie.
— Ah ! Dis-je alors qu'à quelques pas de nous on entend :
""Garde tout en bouche….Voila….Je veux que ton mari constate que tu es devenue une salope. Une salope qui va boire ma sauce….Allez….Avale…Il te regarde. Bien…Dis-lui que tu aimes ça""
Une voix haletante, essoufflée, montrant combien l'homme avait poussé sa queue si loin qu'elle avait eu du mal à respirer, confirme :
""Oui, j'aime ça"" Mais cela ne suffit pas à l'homme qui lui donne un coup de martinet sur les fesses.
""Plus que ça, dis-lui tout ce que tu aimes maintenant que tu es une esclave, bientôt la sienne et qu'il pourra faire de toi tout ce dont il a envie"".
Elle hésite à peine mais relève la tête et s'adressant aux voyeurs dont elle devine la présence.
""Oui, j'aime tout. Maintenant j'aime tout. Je ferai tout pour toi. Me faire prendre. Me faire enculer. Sucer des bites, des chattes. Boire leur jus. Je t'obéirai même si tu m'offre à d'autres que toi, même plusieurs""
""C'est bien! Il a entendu. On va lui montrer. Viens"
L'homme se lève entraine la femme par la laisse qu'elle a au cou et ils s'éloignent de quelques pas vers le fond de la pièce.
— Et bien. Voilà une déclaration bien agréable.
Dit Christ avec un sourire moqueur. Il n'a pourtant pas à se plaindre. Sans aller jusqu’à cette déclaration s'asservissement, je lui obéis et il m'arrive moi aussi de parler très crument sachant que cela excite autant mon amant que mon mari.
— Oui, d'autant que nous partions de loin.
— De loin ?
— Oui, Anne, elle s'appelle Anne, est une dirigeante d'entreprise dans le bâtiment. Elle a la poigne et l'autorité pour cela. C'est une femme faite pour diriger. Mais elle ne faisait pas la séparation travail/maison. Son mari, Marc celui qui porte un polo bleu, n'en pouvait plus. Elle dirigeait tout, jusqu’à leur sexualité. Une sexualité variée dans les plaisirs, les positions, les approches. Mais c'est elle qui dirigeait. Elle avait conscience de cela mais n'arrivait pas à se contrôler. Aussi Marc est venu me voir, m'a exposé son problème. J'ai demandé à voir sa femme ! La soumission est obligatoirement volontairement, acceptée par la soumise ou le soumis. J'insiste beaucoup sur ce point. C'est une relation de confiance qui doit s'installer. Relation qui peut être rompue immédiatement si l'un des partenaires le demande. Donc elle a accepté, bien que je lui ai fait toucher du doigt un monde qu'elle ne connaissait pas. J'ai toujours des exemples à montrer, vidéos, photos, qui parlent pour moi.
Mais Anne est bien plus rebelle que vous Marie. (Petit sourire vers Chris). Il a fallu franchir de nombreuses étapes. Commencer par un simple SMS, un Selfie, un Skype.
— Je ne comprends pas. Demande mon mari.
— La soumission, avant d'être physiquement appliquée, doit déjà être intégrée par la soumise. Elle doit apprendre à "obéir" à des ordres très simples. Envoyer quelques phrases crues. Enlever sa culotte aux toilettes. Faire une photo de son sexe et l'envoyer. Se Skyper alors qu'elle doit se caresser dans sa voiture ou ailleurs.
— A ce point !
— Mon cher Chris. Tout le monde n'a pas la chance d'avoir une épouse aussi volontaire que Marie. Si j'ai bien compris il n'a pas été nécessaire de la pousser beaucoup avec Franck.
Il me regarde.
— Attention Marie, ce n'est pas un reproche, bien au contraire. C'est ce qui me fait envisager….Mais nous en parlerons plus tard. Nous allons les rejoindre. Je termine juste pour dire qu'il a fallu du temps et de la persévérance pour en arriver là. Mais je crois que Marc va être satisfait de la "nouvelle Anne". Quelquefois il faut polir longtemps pour trouver l'éclat d'une pierre précieuse. Parfois non.
Toujours ce regard vers moi.
Mais il nous entraine. Avant de nous assoir dans un canapé, il nous précise.
— Jean. Celui qui dirige Anne est mon adjoint. Vous avez Marc, le mari. Armand, un ami qui participe souvent. Enfin Séverine une amie également.
La femme est vraiment belle. Longue chevelure blonde, à peine maquillée, chemisier légèrement transparent qui laisse deviner une poitrine sans soutien et jupe moulante qui souligne sa silhouette.
Pascal suit notre regard et devine notre questionnement.
— Séverine n'est pas une soumise. Elle a un don particulier. Vous aurez peut-être l'occasion d'en profiter.
La femme devine que l'on parle d'elle. Elle aussi nous regarde et échange avec mon mari un sourire de briseuse de ménage. Enfin je parle de ménage classique.
Mais il existe une autre femme, la soumise que l'adjoint a installé. Elle est allongée sur le dos dans une forme qui épouse son corps. Une sorte de fauteuil dont le dossier et l'assise sont sur le même plan. L'ensemble est suspendu par des sangles au plafond. On dirait une grande balançoire, mais bras et jambes sont fixées aux sangles de suspension. Comme c'est à hauteur de taille, Anne est totalement exposée.
— Je veux t'entendre crier. Montre à ton mari que tu aimes te donner.
L'homme fait un signe à Armand. Il se déshabille. Sa queue est impressionnante. Elle semble aussi dure que longue. Il se calle entre les cuisses de la soumise et d'une poussée la pénètre, accompagnant son coup de rein d'une traction sur la balançoire.
— Ahhhh.
Commence alors un baisage en puissance. Armand joue de l'effet balançoire pour attirer et repousser la femme. Son ventre claque sur les fesses. La femme gémit et par moment comme si l'ordre de Jean revenait périodiquement elle dit quelques mot : ""Oui…C'est bon…Je suis une salope…"" C'est une évidence qu'elle a du plaisir même pour ces mots.
Et puis Jean prend sa place. Pendant tout ce temps Séverine excite-la soumise. Elle l'a fait jouir par ses léchages.
Enfin vient le tour du mari. La belle est déjà souillée par d'autres. Même Pascal est venu se vider dans sa gorge. La belle est une femelle. Où est la chef d'entreprise, dominatrice, autoritaire ?
On lui enlève son bandeau. Son mari est juste à coté. Il a enlevé son pantalon et sa verge mérite le respect. Elle le voit arriver. Elle ouvre ses lèvres pour lui. Il se baise dans sa gorge sans délicatesse, marquant sa propriété. Anne le sait. Elle ne refuse pas. Au contraire elle sait que son initiation se termine. Son mari ne l'a pas touchée depuis des semaines, depuis que la Maître en a donné l'ordre. Il balance une purée qu'elle avait oubliée, pire refusée avant ce dressage. Mais l'homme bande encore. Il va la prendre.
— Viens mon Chéri, viens.
Il entre comme dans du beurre. Chatte et cul montrent le passage d'autres queues avant la sienne. Il baigne dans le foutre, traces visibles et abondantes de la luxure.
— Oui, prends-moi. Je suis ton esclave. Fais de moi….Ahhhhh, oui dans mon cul aussi…..ta pute. Je t'obéirai. Fais de moins ce que tu veux. Pardon, pardon pour avoir été si dure.
L'homme baise sa femme. C'est sa revanche. Il a tant investi dans ce dressage, même s'il a toujours été en retrait, spectateur attendant son tour. Et son tour est arrivé. Il vient de récupérer une autre femme. Elle est loin celle qui n'acceptait son offrande que par "bonté" faisant sentir qu'elle l'acceptait uniquement par devoir.
Chacun regarde. Maitre, adjoint, participants, tous regardent un homme prendre possession de son épouse. Chacun sait que c'est pour le bien du couple et que bientôt ils seront des amants imaginatifs et comblés.
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Lorsqu'Anne réapparait après la douche son mari exige qu'elle reparte avec lui, nue comme un vers. Les deux hommes les accompagnent. La soirée est-elle terminée, ou bien Jean a d'autres projets. Une sorte d'examen de contrôle…
Il ne reste que mon mari, Pascal et cette Séverine si mystérieuse. Un Séverine qui n'a d'yeux que pour mon mec. Elle commence à me gonfler la briseuse de ménage. Si elle le veut il suffit de demander. Mais elle fait autrement et sous nos yeux, lui tend la main sans un mot. Il n'hésite même pas, le cochon déjà fasciné par cet ange blond.


Elle entraine Chris, un petit sourire aux lèvres. Elle pousse une porte et ils disparaissent. Pourquoi l'emmène-t-elle dans une autre pièce ? J'aurais bien aimé les voir, en particulier ce que peut bien avoir de spécial cette mystérieuse Séverine.
Ils ne doivent pas être loin, justes derrière ce mur.
Le regard que je jette à Pascal doit être chargé de reproches mais il sourit franchement. Avec des gestes étudiés et une certaine mise en scène, il tire un rideau. Je comprends son amusement. On voit dans la pièce à côté. Certainement un miroir sans teint car Chris qui nous fait face ne semble pas nous voir.
— Il ne peut ni nous voir, ni nous entendre. Bien entendu Séverine connait l'existence de ce miroir. Nous, on peut les entendre aussi.
Il me montre un haut-parleur juste à côté.
Séverine a perdu son calme. Elle se frotte à mon mari, l'embrasse, le caresse. On dirait une déesse avec plusieurs bras. Lui, se laisse faire. Je le comprends. Qu'une femme de cette beauté, si jeune et pourtant déjà assez mure pour participer aux jeux de Pascal, s'intéresse à lui est un cadeau. En plus cela ne semble pas feint. Elle lui donne tous les codes d'une vraie envie. Envie de lui !
Mais, Pascal tire le rideau et tout disparait.
— Mais pourquoi ?
— Je veux que tu me fasses une promesse.
Le vouvoiement a disparu. Il est vrai que nous avons baisé ensemble, mais aussi que ce qui s'est passé dans cette pièce était si fort, même si nous n'avons été que spectateurs, nous rends complices.
— Mais laquelle.
— Que tu seras ma soumise, avec l'accord de ton mari bien sûr, si….
— Si quoi ?
— Si Séverine réussit la mission que je lui ai confiée.
— Une mission ! Qu'elle mission ? Ils vont baiser c'est évident. Elle va me le rendre épuisé. Et alors ?
— Alors tu me promets ?
— Je ne vais pas promettre alors que je ne comprends pas. Allez rouvre, je veux les voir. Tu m'intrigues.
— Promet d'abord. Lorsque tu verras, tu comprendras. Qu'est-ce que tu risques ?
— Devenir ta soumise !
— Oui. Et c'est une éventualité qui te choque ? Tu as un potentiel formidable. Ton mari aussi d'ailleurs et tu vas le voir. D'une certaine façon tu es déjà la soumise de Chris. Mais moi je peux t'apporter beaucoup plus. Apporter à toi et à lui. Je t'ai vu regarder Anne tout à l'heure. Tu étais excitée. J'ai des projets pour toi. Tu as vu ce que j'arrive à faire avec une femme à peine dégrossie comme Anne. Alors avec toi ! Tu as compris que tout est dans la confiance.
— Bon d'accord, de toute façon…
— Non, Marie c'est Oui ou c'est Non. Je répète ma question : es-tu prête à devenir ma soumise si je te montre quelque chose qui va t'étonner ?
— Oui.
Que peut-il me montrer pour être si sûr ?
Il retire le rideau. Le couple a avancé. Séverine a enlevé son corsage. Sa poitrine est parfaite. Grosse mais pas trop. Ferme ! C'est une évidence. Certainement des seins que la chirurgie a modelés. Si jeune ! A moins qu'elle travaille dans le porno, ou Escort, ou …
Elle est en train d'attaquer la ceinture de Chris. Elle fait durer le plaisir. Le pantalon est encore sur les mollets qu'elle descend le slip. La verge apparait. Il bande bien sûr. La queue respire la force brute.
— Elle est belle. Dit la femme.
Elle la prend dans sa main. La caresse. Chris sursaute de ce simple contact. Il est excité comme une puce. Il faut dire aussi que le spectacle de tout à heure, puis Séverine, font beaucoup pour un homme. Pourtant elle se relève et Chris veut défaire la jupe. Mais la femme le retient.
— Plus tard. Toi d'abord.
Elle le prend par la main et le conduit vers nous, vers le lit qui touche la cloison. C'est comme au cinéma. Presque grand écran. En tout cas on ne voit qu'elle. Elle et la queue de mon mari. La cochonne sait que nous sommes derrière ce miroir. Chris jette des coups d'œil mais c'est pour voir son reflet et la belle fille qui le suce. Il est fier. Pendant qu'elle le pompe, lui joue avec les seins de stars, en particulier les tétons assez gros. Et il a le "retour son" de ses caresses. Comme nous il entend un grognement sortir de la gorge de Séverine, gorge qui gobe toute la bitte. Voilà ce qui excite un homme. La femme pompe mais pas que ! Elle caresse les couilles avec la paume de la main mais passe régulièrement une langue gourmande sur les deux fruits d'un arbre noueux.
A ce rythme-là mon Homme ne va pas tenir longtemps. Elle accélère son mouvement. La salive coule le long de la bitte. Elle le caresse toujours de la main. Sa main donne même l'impression de disparaitre sous lui.
— Mmmm.
Dit mon homme en se crispant l'espace d'une seconde avant de se relâcher. Je reconnais ce pincement des lèvres. Elle le sodomise. Elle a dû lui glisser un doigt dans son petit trou.
C'est beau. Oui j'aime voir cette cochonne donner du plaisir à mon mari. D'habitude c'est presque toujours lui qui regarde et m'apporte le présent d'un amant.
Mais il ne sait même pas que je le regarde. Au fait pourquoi tant de mystère ? Ce n'est pas la première fois que je vais voir mon mec éjacu…
— Mmmmm…
Je reconnais qu'il n'est pas bavard comme la soumise de tout à l'heure qui clamait sur les toits la joie de se faire mettre. Mais c'est tout de même le signe de sa jouissance. Il ouvre les vannes. Séverine est bien placée pour en avoir la primeur. La bouche pleine, elle ne peut s'empêcher de jeter un regard vers nous.
Et oui mon mec se vide en toi !
Et oui tu suce bien !
Et oui….Voilà tu le fait…Tu gardes sa semence et la goute avec une moue digne d'un grand chef qui déguste une sauce nouvelle !
Et alors ? Ou est, ce qui doit me surprendre et qui doit, me livrer pieds et mains liées à Pascal pour faire de moi sa soumise.
Rien. Pourtant mon voisin ne parait pas inquiet. Il regarde toujours.
D'accord regardons.
Séverine se relève. Avec un geste obscène elle s'essuie la bouche. Elle est face à lui, le dominant, toujours perchée sur ses talons échasses. Elle dégrafe sa jupe. Elle apparait en petite culotte. Je suis presque déçue et j'imagine que, Chris aussi s'attendait à une lingerie plus provocante. En tout cas cela allait bien avec le personnage. Non, culotte blanche avec des liserais de dentelle, mais large triangle maintenue par deux rubans qui montent haut vers les hanches.
La femme se tourne. L'arrière est plus fun, les fesses sont bien dégagées. Tout en se tortillant, elle fait descendre la lingerie. Les lobes sont magnifiques. Chris a sous les yeux, à portée de main et même de bouche cette peau bronzée et délicate. Séverine se cambre pour mieux s'offrir. Chris ne résiste pas, il les caresse, il les embrasse. Il n'a même pas à bouger, c'est elle qui ondule.
Elle se redresse. Elle tourne.
Il va enfin avoir la vision de l'intime et du secret. Il se prépare déjà à la caresser. Je vois qu'il rebande déjà. Il va se la faire. Il en rêve. Elle se donne. Mais…
Merde. Je ne peux m'empêcher de regarder mon voisin. Lui aussi me regarde. Il sourit.
Ainsi c'est cela le piège !
Le sexe est en demi-érection. Une verge bien masculine. Séverine est un homme. Du moins elle a un sexe d'homme. Je comprends maintenant cette poitrine parfaite.
Chris est trop sidéré pour parler. Il en a vu des bittes, celle de mes amants. Parfois d'aussi prêt, voyeur impénitent et insatiable. Mais toujours destinées à sa femme. Là c'est différent.
— Caresse-moi.
Demande Séverine sans un mot pour s'expliquer. De toute façon que pourrait-elle dire ?
Chris hésite. Et puis il ose une main. Une main délicate qui envisage à peine se saisir de la hampe encore bien faible. Mais la réaction est quasi immédiate. La queue grandit et se déploie. Je sais ce qu'il ressent. Toutes les femmes qui par une caresse, un baiser, une langue, ont provoqué une érection le savent. Un sentiment de puissance.
La main devient plus entreprenante. Elle va envelopper les bourses comme pour vérifier que tout est bien là. La queue est maintenant une belle tige. Une tige élégante, avec un gland bien rose.
— Suce-moi.
Une voix suave mais ferme. Je cherche Pascal du regard, mais il n'est plus à côté. Soudain je le sens derrière moi. Il se plaque contre mon dos et me susurre à l'oreille.
— Alors. Tu comprends !
Oui, je comprends que ce traitre a utilisé des confidences dans ma chambre, devant le double gode de mon mari, pour lui tendre un piège. Et moi aussi, par la même occasion, je suis prise au piège.
— Traitre.
— Peut-être mais bientôt ton Maitre.
— Une sucette ne compte pas.
— Oui, mais attends…
Le traitre se colle vraiment. Sa tête est à côté de la mienne.
Janus moderne.
Janus Recto-Recto et non pas Recto-Verso.
Chris hésite à peine. De toute façon la femme lui présente le gland au bord des lèvres. Il a juste à les entrouvrir et le gland avance.
La suite est naturelle. C'est chaud, vivant et sentir cette force mâle dans sa bouche est un plaisir. Mon Chris suce une bitte. Il ne se débrouille pas si mal même si je le trouve un peu rapide. Il monte et descend sur la queue un peu vite mais n'oublie pas la salive, ingrédient indispensable à toute bonne fellation. Le plus drôle c'est que c'est lui qui m'a enseigné. De professeur, le voici élève.
— Je vais te prendre. Tu le sais.
— Grrrrr
Pas facile de parler la bouche pleine, hein Chéri !
C'est Oui ? C'est Non ?
De toute façon Séverine n'en tient pas compte. Elle lui retire son mandrin. Elle le pousse. Presque naturellement il se met à quatre pattes comme lorsque je l'enfile avec notre gode. C'est juste que la femme veut le placer d'une certaine façon. Chris doit penser que c'est pour profiter du miroir, mais Pascal et moi savons que c'est pour nous.
Elle se place derrière lui. De profil la vision de ce visage féminin, de ce corps parfait, de cette poitrine magnifique, de ces jambes élancées, de ces talons aiguilles, mais avec ce sexe maintenant érigé dans toute sa splendeur, est troublante. Une vision qui peut inspirer hommes et femmes.
En tout cas une vision qui s'active. De la salive que la femme laisse tomber sur le petit trou. De ce doigt, puis du deuxième qui testent la résistance du muscle.
Il est évident que Séverine sait. Elle sait, informée par Pascal de notre jeu entre Chris et moi. Mais sait-elle que de sa réussite dépend ma vie de femme, femme qui pourrait bien devoir se soumettre à un autre que son mari ? Et si jamais elle réussit et que je doive tenir ma promesse qu'en dira Chris ? Pascal nous a bien expliqué que l'accord des deux était indispensable.
On verra bien. On verra plus tard. Pour l'instant j'ai sous les yeux à quoi ? Un, deux mètres, une femme…Non, un homme…Enfin peu importe. Une queue suffit pour expliquer. Oui une queue qui va embrocher mon mâle de mari. Une queue bien chaude, bien vivante, autrement plus "parlante" que notre gode.
Même Chris regarde. Il profite du miroir pour regarder. Regarder ce qui va le prendre et se glisser en lui, percer son cul, explorer ses entrailles. Il se laisse faire bien facilement. Il a du "fantasmer" sur toutes les bittes qui me prenaient par devant, par derrière, se demandant peut être " Et moi ??".
— Ohhhhhh
C'est tout ! J'espérais plus. Alors que déjà la queue est entrée et avance lentement.
— Ahhhhhhh.
C'est mieux. La bitte est plus longue que notre jouet. Elle doit explorer des endroits encore vierges. Séverine s'est callée contre les fesses de mon mari. Le contraste est encore plus frappant. La verge a disparu. Ne subsiste que les couilles.
— Alors, Soumise ?
Me questionne celui qui est derrière moi et qui manifestement n'est pas insensible à ce que nous voyons.
Je n'ai qu'une parole. Mais en réalité je pense : " Tu es une vraie garce. Tu laisses les autres décider pour toi. Cela t'arrange bien de pouvoir dire : ""j'ai perdu un pari et je devais rembourser""", alors que tu en meures d'envie""
— Oui.
— Oui qui ?
— Oui, Maître.
Une main puissante me force à me pencher. Ma jupe est relevée. Ma lingerie, culotte fendue n'a droit à aucun égard. Elle est repoussée et pratiquement déchirée.
— Dis-moi que tu en a envie.
— Oui, j'ai envie.
La claque sur mes fesses me surprend.
— Oui, j'ai envie Maitre.
— Oui j'ai envie Maitre.
— C'est mieux.
Je sens la pression de sa queue. Un bâton qui cherche son chemin. Il se frotte à ma chatte mais il veut autre chose. Mon cul, voilà ce qu'il cherche.
Il le trouve. C'est le miroir qui me retient tellement la possession est puissante. Il m'a prise du cul.

Chéri ! Chris Chéri. Un mur nous sépare mais je suis avec toi. Pendant que la queue de Séverine te laboure le cul, celle de Pascal m'envahit.
Tu gémis et je t'entends. Je suis heureuse pour toi. Ta première vraie sodomie. Tu sens combien une bitte chaude est autrement plus agréable qu'un gode en plastique même si ta femme bien aimée en faisait un instrument de ta jouissance.
C'est bon. Dit hein c'est bon ? Combien je voudrais être à tes cotés pour te poser la question ! Oui laisse toi faire. Quelle bonne idée cette femme-homme. Pascal est redoutable. Il sait faire d'une pierre deux coups.
Tu me regardes mais tu ne me vois pas. Je sais bien que c'est ton reflet, celui de Séverine et de la belle queue qui réapparait chaque fois avant de plonger en toi, qui t'intéresse. Cela me permet de voir sur ton visage le plaisir que cette possession déclenche.
Tu as de la chance pour ta première fois. Pascal nous a expliqué que tous les participants sont clean et donc que Séverine va pouvoir se libérer en toi. Tu vas connaitre la jouissance de sentir son foutre se répandre.
Elle te laboure le cul. Séverine se laisse aller sans retenue. Un peu comme Pascal, mon Maître qui me retient en tirant sur mes cheveux.

— Tu aimes ça, hein, pervers.
C'est comme si la femme répondait à ma question silencieuse.
— Oui, c'est bon. Continue.
Répond mon mari.
— Tu sais que ta femme te regarde ?
Il n'a pas du entendre. Il ne réagit pas.
— Elle nous regarde et vient de prêter allégeance à Pascal. Elle est désormais sa soumise. A moins que tu t'y oppose. Mais tu ne vas pas le faire.
Chris semble s'éveiller.
— Regarde….Ou ?….Oh, le miroir….Tu es la Chérie….C'est vrai ?
— Frappe le mur qu'il entende. M'ordonne Pascal.
Boum. Boum.
Il entend.
— Tu vois. Elle se régale de ton spectacle. Tu as compris que tu dois donner ton accord pour sa soumission.

Séverine donne des petites claques sur les fesses de mon mari comme pour souligner le mot "soumission". Chris est troublé. Il doit avoir du mal à se concentrer alors qu'on lui prend le cul et qu'il est déjà dans le plaisir.
Séverine insiste.
— Elle t'était soumise. Pascal va prendre ta suite et tu connais maintenant l'étendue de son Art. Crois-moi Elle et Toi allez passer des moments délicieux. Alors, regarde le miroir et dis distinctement ""J'accepte que ma femme Marie devienne la soumise de Pascal".
Il le dit. Sa voix est saccadée par les coups de reins de son enculeuse:
— J'accepte….que Marie…..devienne…..Ahhhh…..la soum…..soumise…de….Oh, c'est bon….de Pascal.
Ses yeux sont mouillés. Je sais maintenant qu'il ne se regarde pas seulement dans ce miroir mais qu'il m'imagine.
Mon dieu que de chemin parcouru en quelques mois.
— Bien. Tu es un bon petit.
Venant d'une femme qui a, au moins 20 ans de moins que lui, la remarque a de quoi surprendre.
— Tourne-toi. Je veux te voir.
Chris obéit. Il s'allonge sur le dos. Séverine vient se placer entre ses cuisses et l'embroche. C'est comme s'il la découvrait. Un visage d'ange. Une chevelure dorée. Une poitrine avec des tétons qui dardent. Des hanches étroites. Un ventre lisse et plat. Mais plus bas, un sexe qui le possède. Un sexe juste dans le prolongement du sien. Un sexe qui disparait dans son ventre et qui fait bouger le sien. Chris bande.
— C'est bon, hein. Insiste la femme.
— Oui.
— Tu me trouve belle ?
— Oui.
— Oui, Maitresse.
— Maitresse ?
La femme se tourne vers le miroir et dit:
— Marie, êtes-vous d'accord pour que votre mari soit mon soumis ? Tapez un coup pour "Oui". Trois coups pour "Non".
Je ne m'attendais pas du tout à cette question. Mais en l'espace de quelques secondes je réalise que la femme dirige mon mari depuis leur entrée dans cette pièce.
Chris soumit ? A cette femme ? Pourquoi me demander à moi, avant Chris ?
Pascal me rappelle à l'ordre en tirant sur mes cheveux me forçant à me cambrer encore plus.
— Tape, femelle.
Pascal me traite comme une pute. Qu'avons-nous fait ? Et Chris dominé par la femme ?
Boum.
Le coup résonne. Ils l'entendent. Chris regarde vers moi. Il comprend que je veux qu'il soit comme moi. Jusqu’à maintenant j'étais son centre d'intérêt, sa raison de vivre de me faire baiser par d'autres et il doit comprendre que moi aussi j'aimerais, comme actuellement, le voir en "plaisir".
— Tu vois ta femme est d'accord. Elle va être la soumise de Pascal. Tu vas être mon soumis.
En parlant ainsi Séverine est une force de la nature. Le coup de rein est victorieux. Mon mari est totalement sous son influence. Je le comprends. Moi-même serait troublée par cette double personnalité.
— Je suis……D'acc…D'accord.
Que c'est beau. Pascal n'est pas si indifférent qu'il n'y parait. Ce "D'accord" sonne comme une libération, un devoir accomplit. Le traitre a bien joué. La femme et le mari Deux esclaves consentants.
Il jouit. Mais comme un photon intriqué en relativité, sa comparse se libère aussi dans mon mari.
C'est beau. Magnifique cette crème qui suinte du cul de Chris alors que j'imagine faire de même.
---------------
Soumise je suis.
Soumis tu es.
Lorsque tu ressorts de cette pièce, tu es comme moi. Avec le signe de la domination, un collier autour du cou. Pas de ces colliers d'esclave en métal rugueux, non un collier de chaines fines avec une laisse. Mais si les anneaux sont délicats la signification est la même. Nous sommes des esclaves.
D'accord, les esclaves, les vrais, hommes et femmes d'une autre époque, auraient rêver de pouvoir dire "STOP".
Mais aussi Pascal nous fabrique un bracelet sur lequel est inscrit " J'appartiens à Pascal" "J'appartiens à Séverine". Bracelet neutre en face visible mais si contraignant en face contre peau. Chaque matin, chaque soir on doit le retourner et prononcer ces mots. Cela n'a l'air de rien mais c'est beaucoup.
-------------
Voilà, vous savez presque tout. Vous savez ou nous ont mené nos rencontres. Depuis plusieurs semaines nous ne nous appartenons plus. Pendant les jours ouvrés, quelques rappels comme une piqure de vaccin. Mais le samedi et le dimanche mon Maitre et la Maitresse décident de tout.
C'est déshonorant ! C'est abandonner sa liberté ! C'est se laisser diriger ! Ne plus avoir à réfléchir ! Plus de libre arbitre ! Revenir au temps du servage !
Mais oui et c'est ce qui est bon. Mon Maître décide pour moi. Séverine décide pour Chris. Le plus dur c'est de passer la semaine sans sexe ni caresses. Nos maitres nous veulent "en forme".
Putain nous y sommes en forme lorsqu'arrive la fin de semaine !
Chut ne le répétez pas, mais je ne suis pas parfaite. Moi je n'arrive pas à tenir tout ce temps et comme mon mari pourrait cafeter, je m'arrange pour me caresser en douce. Des plaisirs d'ado la semaine. Des Jouissances monstrueuses le weekend.

Ce que nous inflige nos dominants ne peut être raconté ici. Chris m'a parlé de la clause de déontologie. Je comprends.
Pourtant si vous saviez !
Chris, à mes côtés, enfilé par des hommes, en suçant d'autres et au service de ces Dames alors que moi… Moi on m'a fait essayer tous ces équipements. Ils ne sont plus mystérieux pour moi. C'est bon, c'est fort, c'est dégradant mais Pascal a trouvé mieux.
Oh mon dieu nous avons perdu toute mesure. La dernière fois, Pascal m'a emmené sur un chantier, dans une de ces "mobil home" ou se terrent ces travailleurs souvent clandestins.
Est-ce profiter de la misère humaine que d'aller leur proposer une "Française bon chic, bon genre" comme moi ?
J'ai eu les plus beaux orgasmes de ma vie.
Des hommes en manque.
Des nationalités diverses.
Mais aussi et surtout cette idée de Pascal, demander de l'argent pour me baiser. Somme à la discrétion de mon amant de passage. Si je sais que l'argent sera intégralement versé à une cause humanitaire cela ne m'empêche pas d'avoir des jouissances extraordinaires. Chaque Euro qui tombe dans la boite est la preuve qu'ils sont satisfaits. Et je fais tout pour. C'est bon de les voir jouir, même si la capote est une frontière autrement plus contraignante que la langue ou leurs coutumes.
Jamais je n'aurais imaginé que cette situation m'excite à ce point. Se faire traiter de "Pute, Salope" était devenu au fil des mois un compliment. Compliment de mon mari. Compliments de mes amants. Mais devenir l'espace de quelques heures une vraie Pute que l'on paye, même si c'est factice, déclenche chez moi une sensibilité dont tout le monde profite.
Mais certains n'aiment pas les femmes. Séverine va nous accompagner avec son soumis, mon mari, esclave sexuel le week-end.
Déjà j'imagine Chris et moi, cote a cote avec un amant et …….

J'ai déjà dépassé les limites. Excusez-moi. Excusez-nous.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Quel evolution pour ce couple....madame passe d'une gentille a epouse a vraie putin....et monsieur de males dominant envers sa femme a soumis...lope a mâles....reve...fantasme ou réalité...je ne sais pas...je suis perdu....excité...et envoûté par cette femelle et son femelle....leurs histoires.... votre histoire!!!!
Merci putin soumise et cocu soumis vous êtes geniaux....

Histoire Erotique
Le site vous donne un score de dix pour vos deux textes et c'est amplement mérité. Deux fois bravo !

Histoire Erotique
On aimerai bien connaître la suite de cette histoire

La très belle histoire de l'expérience vécue d'un couple qui partage tout, même la soumission… c'est assez rare pour être raconté avec quel brio !
L'évolution de cette expérience est habillement amenée pour, dans la première partie, on n'imagine pas la conclusion de l'histoire, du grand art Bravo !
Je reste juste sur ma faim… la suite aurait été tellement intéressante à lire…

Histoire Erotique
Remarquablement bien amené, excellemment bien écrit, réalité ou fiction, qu"importe : le pouvoir d'identification marche ici totalement, autant pour les hommes que pour les femmes. Avec ma femme nous avons sensiblement l'âge du couple et je peux vous dire que cette histoire résonne puissement. Bravo !
Au plaisir de vous lire encore dans d'autres récits.



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