Titre de l'histoire érotique : UNE TRANCHE DE VIE 11

- Par l'auteur HDS Maceron -
Récit érotique écrit par Maceron [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : UNE TRANCHE DE VIE 11 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : UNE TRANCHE DE VIE 11
Le bain de minuit
Le samedi 23 aout 1980 – Jean raconte
En quittant la boite au lieu de tourner à droite, je tournais à gauche.
AL : « Où vas tu ? »
Moi : « À la plage, nous allons nous baigner »
AL : « Je n’ai ni maillot, ni serviette »
MI : «J’ai toujours des serviettes (En fait la travaillant sur la route bordant l’océan, il m’arrivait à midi ou le soir d’aller prendre un bain avant de rentre à la maison, j’avais donc toujours des serviettes de bains dans la voiture). Tu n’auras pas besoin de maillot, il fait nuit. Les bains de minuit se prennent nus. »
AL : « Il est fou. Je n’ai pas l’intention de me baigner nue »
Arrivé à l’hutte, (petite case en feuilles de palmes tressées, qui se trouvait sur la plage et que nous louions aux pêcheurs), je l’aidais à descendre du 4x4 et nous nous sommes rendu dans l’hutte. Bon gré mal gré, AL me suivi. Je la pris dans mes bras et après quelques baisers et des frottements corps à corps, je la retournais et me collais derrière elle. Avec son immense décolleté, je pouvais atteindre ses seins et c’est ce que je fis. Je descendis la fermeture éclair de sa robe elle avait le dos nu, en dégageant les épaulettes de la robe, celle-ci tomba sur le sable, elle était ainsi complètement nue, et j’avais ainsi accès directement à ses seins et les caressais, puis le ventre et je descendais jusqu’à son intimité, qui était toute chaude et humide.
Elle réagit assez vite, et se colla un peu plus à moi, elle du sentir que j’étais raide, ce qui me fit penser que B avait du bien la chauffer, comme Véro m’avait chauffé.
Al : « Qu’as-tu dans la tête. Je n’aime pas être nue comme ça, va encore pour se baigner, mais tu n’aurais pas l’intention de faire l’amour ?»
Moi : « Pourquoi pas, tu es toute chaude, t’es trempée, ça va être très bon »
Il me fallait la mettre en condition rapidement.
J’enlevais, rapidement, mon pantalon et mon boxer. J’étais collé contre son dos, je lui caressais longuement les seins, puis je descendais lentement sur le ventre, les hanches, sa respiration s’accélérait au rythme de mes allées et venues sur son corps.
AL : « Arrêtes, on rentre à la maison et on fait l’amour comme tu veux, mais pas ici, on risque de nous voir »
Moi : »Tu ne sens pas que j’ai très envie de toi, maintenant, tout de suite, j’ai envi de te baiser »
Tout en la serrant fort contre moi, ma main droite se glissa dans son entrejambe. Elle poussa un long soupir et après une petite hésitation, écarta les cuisses pour me laisser lui caresser la chatte et recula son bassin et j’en profitais pour bien placer ma queue entre ses fesses. Encore un peu de patience, de ma part, et ce serait le moment ou elle serait prête à s’ouvrir et à s’offrir à moi, car elle serait bien chaude et bien humide et elle me voudrait en elle.
AL : « Non pas ici, STP . »
Je la retournais face à moi et je lui fis sentir que j’avais très envie d’elle. Elle se laissa faire et se colla contre moi, je sentais ses seins contre la poitrine et son ventre collé à mon sexe bien dur.
Enfin, la prenant sous les cuisses, je la soulevais et la posais sur la table en lui disant :
« Ouvres ta chatte, je veux sucer tes grosses lèvres et boire ton jus »
Je lui écartais les cuisses et continuais à lui caresser l’entrejambe. Enfin elle se laissa aller sur la table, elle était complètement couchée, les cuisses relevées bien écartées, c’était une invite. Avec ma langue, je lui parcourais la chatte, puis j’y ajoutais mes doigts qui, après les avoir humidifiés de sa mouille j’allais jusqu’à son petit trou que j’enfonçais doucement. Je savais qu’elle aimait ces jeux de langues et de doigts se promenant de sa chatte à son petit trou.
Au début c’était : « Non pas ici, puis Non, puis Non pour enfin devenir Oui, puis Oui, enfin Oui et Oh !!! oui continues, continues »
Effectivement elle devenait de plus en plus accueillante, bien ouverte, dégoulinant de cyprine. Je quittais sa chatte, et me mettant debout, je lui relevais les jambes et je me trouvais à hauteur pour la pénétrer, je m’enfonçais en elle. Elle s’ouvrit encore et je pus glisser en elle tellement elle était trempée. Je commençais une série de va et vient dans sa chatte, elle participa activement du bassin et de la voix, jusqu’à pousser un cri de gorge qui indiquait qu’elle était en train d’avoir un orgasme et qu’elle se mettait à jouir, ce qui fit que brutalement je jouissais en elle et me vidais à grands coups de reins.
Nous sommes allés nous baigner et aussi nous faire des canailleries dans l’eau. AL n’était moins inhibée par le fait d’être nue, je pense au contraire.
Après le bain direction la maison.
A la plage – Nouveau RV
Dimanche 24 Août1981– Jean raconte
Le lendemain comme à l’habitude, nous retrouvions toute la bande à la plage. Véro et B arrivèrent, ce fut « Salut tout le monde » et ils s’installèrent. Véro s’était allongée à prendre le soleil, avec parcimonie, normal avec sa peau de blonde, et on avait l’impression qu’elle n’était pas là. J’essayais de croiser son regard, impossible. J’avais pensé qu’après ce qui s’était passé la veille, j’aurais un sourire, enfin un signe, rien. J’étais déçu, mais enfin l’occasion était passée, j’en avais profité tant mieux. Il ne fallait pas avoir de regrets inutiles. En bikini elle montrait vraiment un corps parfait. Un ventre plat, une taille mince avec de belles hanches et des seins généreux, comme je l’avais imaginé taille C, confortable.
Avec la bande nous avons déjeuné sur place et sommes rentrés à la maison en raccompagnant un ami. Il fut donc impossible de discuter avec AL.
À peine arrivée à la maison, Al souleva sa mini jupe et retira son maillot en disant : « Ouf, j’ai oublié de prendre un slip et j’ai été obligé de garder mon maillot mouillé. C’est désagréable, je vais mettre un slip. »
Moi : « Pourquoi, je te préfère sans rien sous ta mini. D’ailleurs tu aurais pu l’enlever à la plage ?»
AL : « Pour me balader les fesses à l’air, au vue et sus de tout le monde. Tu rêves, mais maintenant n’imagine rien, hier soir tu m’a surprise, je vais aller faire la sieste. »
Moi : «Ne dis pas que tu n’as pas apprécié notre bain de minuit ? »
AL : « Oui, enfin, je n’aime pas trop me promener toute nue »
Moi : « J’ai bien aimé la séance sur la table, et le bain, j’aurais du prendre des photos. »
AL : « Oui, j ‘ai aimé, je reconnais, mais heureusement qu’il n’y avait personne. »
Moi : « Je regrette simplement hier soir de ne pas avoir pris des photos, lors de la baignade ».
AL : « Me prendre en photo nue ? Non »
Moi : « Mais si et tu apprécieras. On en reparlera. Au fait comment ça se passe avec le beau militaire ? Il m’est apparu qu’il te serrait de très près ? A-t-il réduit la forteresse AL ? »
AL : « Tu arrêtes de faire l’imbécile ? On n’a pas eu le temps d’en parler. »
Moi : « Je t’écoute, …, Non, je vais te raconter : Chère AL, tu enseignes tellement bien cette langue que, j’aimerais pouvoir reprendre encore quelques heures pour me perfectionner et te montrer que j’ai fait quelques progrès dans cette langue. »
AL : « Tu as fini ? »
Moi : « Je suis certain qu’il a apprécié toutes tes qualités et il t’a demandé de te revoir et de remettre le couvert ? »
AL : « Oui, tu m’agaces, je me demande pourquoi je t’ai épousé ? »
Moi : « Parce que je suis un gentil mari, je te fais bien l’amour, que je vais te prendre en photo nue et que ça va t’exciter, que j’accepte que tu te fasses sauter par un autre, et que tu aimes que je regarde … Alors ? »
AL : « Arrêtes tu m’agaces. Eh bien oui, il voudrait que l’on se revoit. »
Moi : « T’as envie de faire des galipettes avec lui. J’ai déjà accepté une fois, pourquoi pas une deuxième fois. Non ? J’aimerais malgré tout que ce soit un peu discret. Je ne voudrais pas que l’on me prenne pour un mari complaisant et qui prête sa femme et de plus que ça fasse le tour de ville. «
AL: « Ne sois pas grossier, tu ne prêtes pas ta femme. »
Moi : « Quand allez vous consommer ? J’aime bien cette façon d’appeler la chose. »
AL : « Je n’ai encore dit ni oui, ni non. »
Moi : « Bon, quand tu te seras décidé, car tu vas te décider pour le oui, ou veut-il que vous vous ébattiez ? Il vient ici, comme la dernière fois. »
AL : « Il a un collègue qui est parti et lui a laissé les clés de son appartement. »
Moi : « Hors de question, si on se met d’accord il faudra qu’il vienne ici »
AL : « Naturellement, parce que tu voudras assister ?
Moi : « Ne dis pas que ça ne t’existe pas de savoir que je te regarde. Tu aimes ça. »
AL: « Pour être honnête, j’étais un peu coincé au début, mais après, je pense que je t’ai un peu oublié et qu’ensuite j’ai aimé de te savoir là. Pourtant, je n’ai la fibre exhibitionniste. »
Moi : « Qu’est ce que tu proposes ? »
AL : « La même chose, tu veux rester à regarder, tu restes ? »
Moi : « Bien sur, mais en plus ? »
AL : « Quoi. Oh non, … tu ne veux pas faire des photos ? »
Moi : « Oui, je veux faire des photos »
AL : « Moi avec B en train de …. Non tu es fou. »
Moi : « Pas de photos, pas de B ... Réfléchis. »
Je quittais la salle de séjour pour aller dans mon bureau, ou, comme tous les dimanches j’avais de la paperasse à rattraper, AL quant à elle, allait dans notre chambre pour faire la sieste. En soirée, la soupe à la grimace semblait vouloir s’installer quand heureusement des amis sont passés pour prendre l’apéritif et nous sommes allés, tous ensemble manger une pizza. En rentrant nous sommes allés nous coucher, mais ça était l’hôtel du cul tourné. Je m’y attendais un peu.
Le lundi départ de bonne heure AL, dormait encore. Déjeuner sur le chantier. Retour le soir tranquille.

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