April, en quête de sexe 16

- Par l'auteur HDS CleeydL -
Récit érotique écrit par CleeydL [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : April, en quête de sexe 16 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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April, en quête de sexe 16
Après la partie à trois que j'avais eue avec Scott et son collègue ( voir « April 2 » de l'auteur DXD), j'avais bien envie de me venger. Je décidais alors d'appeler Scott avec mon portable pour qu'il me rejoigne dans ma chambre. Il accepta bien évidemment, et me dis qu'il arrivait le plus vite possible. Ravie, je me cachais derrière la porte d'entrée avec un bandeau dans les mains. Il ne tarda pas à frapper à la porte que j'ouvris tout en restant dans l'ombre. Une fois qu'il fut entré je me glissais dans son dos et lui bandais les yeux tout en lui murmurant à l'oreille :

- Bonsoir Scott.


Scott sembla surpris mais se laissa faire :

- Euh salut... C'est pour pimenter la soirée le bandeau ?


Je lui mordillais le lobe de l'oreille :

- Oui, ce soir j'ai envie de m'amuser avec toi.


Je lui pris la main et le guidais près du lit. Je pris son visage entre mes mains et l'embrassais tendrement. Il répondit à mon baiser sans tenter d'enlever son bandeau. Je rompis notre baiser et je le déshabillais lentement. Docile, il ne bougea pas et me laissa le soin de lui retirer tout ses habits. Une fois qu'il fut nu, je l'allongeais sur le lit et je lui écartais ses membres pour le menotter aux coins du lit. Il se laissa faire, sa verge toute tendue m'indiquait que la situation l'excitait. Il était maintenant à ma merci, immobilisé par ses liens. Je lui embrassais son torse et je descendis jusqu'à son sexe qui était déjà dur comme du béton. Délicatement, je le décalottais, libérant son gland violacé de désir. Je lui donnais des petits coups de langue sur son urètre et je fis tournoyais mon organe buccal autour de sa couronne. Je déposais de doux baisers tout le long de sa hampe pour ensuite venir gober ses testicules. Scott gémissait et se tortillait sous mon traitement que je lui infligeais. J'aspirais ses boules tout en les léchant. Je remontais ensuite m'occuper de sa tige que je léchais de haut en bas. Je repris ensuite son gland en bouche que je suçais tout en tournoyant ma langue autour. Scott gémissait de plus en plus :

- Mmmh, c'est super bon April.


Souriante, je continuais ma lente fellation. Je m'appliquais à lui faire une superbe pipe lorsque je sentis sa queue se tendre, prête à lâcher la sauce. J'arrêtais alors ma fellation d'un coup pour le frustrer. Il râla et se plaint :

- Pourquoi tu t'arrêtes ?


- Tu m'as bien fait la même chose la dernière chose avec ton collègue alors maintenant je te rends la pareille.
- Allez, sois pas rancunière.
- Non, ce soir tu es à moi, un point c'est tout.


Sur ces mots, je me levais et ouvrit l'armoire pour prendre une tenue spéciale. Je commençais à me déshabiller.


- Qu'est ce que tu fais ?


Je ne lui répondis pas et j'enfilais ma tenue. Une fois rhabillée, je m'approchais de lui pour qu'il me voie dans cette nouvelle tenue. Une fois ses yeux posés sur moi, il me complimenta :

- Waw ! Tu es superbe April !
- Merci.


J'avais revêtu une tenue noire faite de latex. Elle était donc extrêmement moulante : mon fessier bombé était bien mis en valeur et la tenue possédait un décolleté profond qui retenait à peine mes seins. En plus, ma chevelure blonde associée à cette tenue en latex noire me donnait un peu l'air de la Chatte Noire. Je mis debout sur le lit, mes jambes de part et d'autres de Scott. Je posais mon pied sur son sexe et le caressais sensuellement. Je lui demandais alors d'une voix séductrice :

- Alors, tu veux que je m'occupe de ta queue jusqu'à la faire cracher ?
- Oui, vas-y.


Je défis une fermeture éclair au niveau de mon entrejambe, laissant apparaître mon sexe, et je m'assis sur sa bouche.


- D'abord occupe-toi ma chatte et après je m'occuperais de toi.


Scott poussa un râle de mécontentement étouffé par ma vulve puis il s'exécuta de bonne grâce à me lécher. Il me fit un merveilleux cunni comme il savait si bien les faire. Je me déhanchais sur sa bouche, accompagnant le mouvement de sa langue en moi. Il me titillais le clitoris du bout de sa langue, me le mordillant de temps en temps. Grâce à son habileté, j'obtins un délicieux orgasme qui me fit crier de satisfaction. Je mis quelques secondes à me remettre puis je me levais et j'allais chercher une capote que j'enfilais sur sa queue. Je lui lançais un sourire carnassier et je m'empalais sur lui sans attendre. J'entrepris alors de le baiser comme je savais si bien le faire. Je me balançais d'avant en arrière, de droite à gauche, ballottant sa verge au gré de mes coups de reins. Je le baisais lentement, ne désirant pas aller trop vite car je ne voulais pas qu'il jouisse. Je continuais donc ma chevauchée en le surveillant attentivement pour ne pas lui faire atteindre l'orgasme. Je continuais ainsi quelques minutes jusqu'à finalement atteindre le septième ciel. Je gémis longuement sous cet orgasme. Je continuais tout de même à baiser Scott désirant le frustrer comme jamais. Accentuant mes coups de reins jusqu'à l'amener aux portes de la jouissance, je sentis son corps se tendre à l'approche de l'orgasme alors j'arrêtais tout pour encore le frustrer. Il soupira d'insatisfaction :

- April, s'il te plaît, fais-moi jouir...


Je me retirais de lui et approcha mon visage très près du sien. Il tenta de m'embrasser mais j'éloignais légèrement mon visage pour l'en empêcher :

- Non. Ce soir c'est moi qui ai le contrôle de ton corps, donc tu ne jouiras que sur mon bon vouloir. Est-ce que c'est bien compris ?


Scott râla et détourna les yeux sans me répondre. Je lui pris alors son menton entre mes mains et le forçait à me regarder :

- Est-ce que c'est compris ?


Scott soutint mon regard et me répondit à contrecœur :

- Oui, c'est compris.
- Bien.


Je me redressais alors, lui retirais la capote, je mis ma chatte luisante d'excitation contre son membre turgescent et je me déhanchais pour frotter nos deux sexes l'un contre l'autre. J'allais lentement toujours pour le faire jouir. Je caressais sa queue tout le long grâce à mon sexe qui glissait parfaitement dû au fait que j'étais mouillée d'excitation. Scott se débattit mais les menottes le maintenaient efficacement plaqué contre le plaisir. Je prenais du plaisir à me frotter sur sa verge mais aussi à se débattre, impuissant face à moi ; ça me plaisait énormément. Pour accentuer mon côté dominante, j'accélérais la cadence et le tint à la gorge tout en lui lançant un sourire démoniaque. Scott transpirait d'excitation et ne put s'empêcher de m'implorer :

- Je t'en prie April, fais-moi jouir.
- Si tu le veux vraiment, alors appelle-moi maîtresse et supplie-moi. Si tu le fais j'envisagerais peut-être de te laisser jouir.


Malgré mon traitement, Scott refusa et serra les dents pour tenir. Mais je comptais bien le faire craquer : j'accélérais alors la cadence, l'amenant plusieurs fois aux portes de l'orgasme mais ralentissant toujours au dernier moment, l'empêchant ainsi d'atteindre la délivrance. Mais malgré ça, il tenait toujours bon. J'en fus surpris mais qu'importe, arriver à le faire craquer serait une meilleure satisfaction. Je ralentis donc mon mouvement mais j'accentuais la pression sur son frein ainsi que son gland : beaucoup de mecs étaient très sensibles à ces endroits-là et Scott ne faisait pas exception. Malgré le fait qu'il serrait les dents pour résister à la montée de plaisir qui l'envahissait, il ne put retenir des cris légers. Il se tortillait encore plus et je veillais à le maintenir à la limite de la jouissance pour le faire craquer. Il n'était pas loin de craquer, alors je massais ses couilles d'une main tandis que l'autre titillait le bout de son gland. C'en fut trop pour Scott et il finit par flancher :

- Je t'en supplie maîtresse, j'en peux plus, fais-moi jouir je t'en prie !


Je lui lançais un sourire sadique au son de ses paroles qui annonçaient sa défaite. Néanmoins, j'avais envie de le tourmenter encore un peu aussi je me déplaçais pour venir m'asseoir sur son visage :

- Maintenant esclave, tu vas faire jouir ta maîtresse 3 fois et ce n'est qu'après que tu pourras jouir. Allez au boulot !


Je sentis un soupir de déception mais aucune protestation, il entreprit donc de me faire jouir trois fois comme je lui avais ordonnée. Mon premier orgasme arrivait rapidement, dû au fait que je m'étais longtemps frotté contre sa bite. Il faut dire que j'étais aussi très excitée par la situation et que je prenais beaucoup de plaisir à dominer Scott. Il continuait à me lécher efficacement et il me donna peu de temps après un nouvel orgasme. Il était vraiment très doué pour les cunnis, j'avais beaucoup de chance de l'avoir comme sexfriend, les hommes savant bien pratiquer le cunnilingus sont plutôt rares. Je mis ma main dans ses cheveux pour l'accompagner dans sa pratique. Sous sa langue experte et ma main qui dirigeait sa tête je finis par avoir un troisième orgasme tout aussi intense. Je m'écroulais alors sur Scott, sonnée par les trois orgasmes de suite qu'il m'avait infligé. Je mis quelques instants pour reprendre mes esprits puis je m'attaquais à ce qu'il désirait depuis le début de cette soirée : jouir. Je pris donc sa queue en main et entamais une lente branlette :

- Tu as bien fait ton boulot soumis, alors tu as le droit à ta récompense. Mais ça ne sera qu'une branlette et pas plus. Ça te pose un problème, esclave ?


Scott déglutit et, entre deux gémissements, parvint à me dire :

- Aucun maîtresse.
- Bien.


J'entamais une lente branlette sur sa queue que je n'avais jamais vu aussi dure : cette attente et cette excitation avait dû le faire bander comme jamais. Je le caressais lentement, insistant sur le gland. Il était déjà aux portes de l'orgasme, sa bite tressautait entre mes mains. J'accélérais le mouvement et titilla son frein ce qui le délivra : dans un grand cri, il jouit et eut une intense éjaculation ; son corps trembla de plaisir, et quelques gouttes de spermes s'écoula encore de son urêtre. Il avait le souffle court et semblait exténué. Je mis mon visage à hauteur du sien et lui demandais :

- Ca t'a plu, esclave ?
- Oui c'était super maîtresse.


Je lui souris et l'embrassa. Je lui retirais alors ses menottes et lui fis un câlin : un peu de tendresse après une chaude baise n'a jamais fait de mal à personne ! Nous nous reposâmes un peu l'un contre l'autre puis Scott repartit dans sa chambre après un dernier baiser.

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