Jeune femme avide de sens ( 2 )

- Par l'auteur HDS Zefire -
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Jeune femme avide de sens ( 2 ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Jeune femme avide de sens ( 2 )
2 Je passe dans la salle de bains, fait une petite toilette intime pour la nuit. Il met son pyjama sans la veste, moi ma nuisette. On se recouche, il est tard, bisous, je m’endors dans ses bras, heureuse, le ventre plein de lui.
Il fait encore nuit, nous sommes à la fin du printemps. Je suis dans un demi-sommeil, je sens que le lit bouge, je suis bercée, je rêve. Je suis sur le côté, change de position, passe sur le dos. Mais ça bouge vraiment, je me réveille, cherche à comprendre, je suis à l’air libre, j’ai un peu froid, je remonte la couverture sur moi. Un tremblement de terre, pas par ici quand même ! Je me redresse, allume, n’en crois pas mes yeux. Comment a-t-elle fait ? Carole est nue, à cheval sur Marc, face à lui. La queue sort par l’ouverture du pyjama. Elle s’est encastrée sur la bite, monte et descend. Il donne des coups de reins, l’aide à mieux s’embrocher, la pénètre à fond. Voyant que je me suis réveillée, elle accélère le mouvement. Elle tombe sur le côté, il roule sur elle, la pistonne dur, elle gémit, subit ses assauts, il se déchaîne, la défonce. Un long râle de mâle, quelques secousses, il gicle en elle, à chaque jet elle pousse des petits cris, jouit. Il reste sur elle, récupère, laisse ressortir sa queue doucement. Il la quitte, retombe entre nous deux. Je la regarde, elle ne bouge plus, n’a pas refermé ses cuisses, a l’air d’attendre qu’il lui en remette un coup. Sa queue est molle, je lui prends les couilles, les caresses doucement. Hier soir j’ai eu ce que je voulais, la première giclée. Elle a profité de mon sommeil, c’est de bonne guerre, je ne lui en veux pas. J’aurais dû me réveiller avant elle, c’est de ma faute si je n’ai pas eu droit à la deuxième cuvée ! Elle se redresse, le prend en bouche, pompe. Il la laisse faire, ne réagit pas. Je lui dis :
- Tu vois bien qu’il est vide, laisse le dormir !
- J’ai encore envie !
Elle se blottit contre lui, je décide d’en faire autant, éteint, on se rendort serrés à trois dans le même lit.
Le jour est levé, la chambre est dans la pénombre. Cette fois je me réveille la première, soulève un peu la couverture, glisse doucement ma main vers l’entrejambe de Marc. Il dort profondément. De l’autre côté, Carole a l’air d’en écraser elle aussi. Je passe ma main dans l’ouverture du pyjama. La queue est molle, au repos, pendouille sur une cuisse. Elle me fait pitié, elle ne peut pas rester dans cet état ! Alors je commence à la caresser doucement, cajole le bout du gland, prends délicatement les couilles. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle réagisse ! Elle se redresse, enfle, durcit, rien que de la sentir dans ma main, je mouille. Avec mon autre main, je glisse deux doigts dans mon trou, les active, me prépare à grimper dessus. Elle est raide comme un morceau de bois, droite comme un piquet, c’est le moment. Je descends du lit, vire drap et couverture, tire sur le pyjama, l’enlève. Je passe sur lui, il grogne, a l’air de sortir du brouillard !
- Qu’est ce que tu fous, laisse moi dormir, je suis crevé !
Avant qu’il ne réagisse, je saute sur le lit, me met à genoux au-dessus de lui, prends la queue, la plante dans moi, l’encastre à fond. Je monte et descends sur ce pieu qui m’emmanche. Il ne dort plus maintenant, accompagne mon action. Je roule sur le côté, je suis en chien de fusil, cuisses fermées, présente mes fesses à sa bite. Il se place derrière moi, appuie son gland sur ma fente, un coup de rein, elle s’ouvre, il est au fond de moi. Il me pilonne avec ardeur, entre et sort, je couine de plus en plus. Carole s’est réveillée, regarde :
- Hé, je suis là, j’en veux !
Elle lui tourne le dos, présente ses fesses dans la même position que moi. Il sort de moi, pivote, elle se retrouve embrochée vite fait. Il y va bon train, passe de l’une à l’autre, on a pas le temps de souffler. La cadence est élevée, on couine toutes les deux sous les coups de piston. Et ça dure, quelle énergie. Il a bien récupéré pendant son sommeil. On passe tour à tour en levrette, sur le dos, sur le ventre. Il nous fait prendre des positions acrobatiques, nous défonce, s’acharne dans nos sexes. Soudain, alors qu’il est sur moi et que mes cuisses sont remontées et écartées au maximum, il se bloque au fond de moi, m’envoie plusieurs giclées, je jouis pendant qu’il décharge. Il sort de moi, attrape la tête de ma copine, lui fourre sa pine en fond de gorge, lui en envoie une dernière giclée, elle étouffe, bave, déglutit. Elle lèche la dernière goutte qui perle, suce le gland, passe sa langue sur la hampe. Il s’adresse à moi :
- T’as eu ce que tu veux ?
- Oui, ça fait longtemps que je n’avais pas été ramonée comme ça !
- J’ai rencard à 10 h, faut qu’on se grouille
Il passe dans la salle de bain, je le suis, Carole rentre dans sa chambre. Je le regarde, c’est vraiment un bel homme, belle queue, belles couilles velues !
- J’aime pas qu’on me regarde pisser !
Dès qu’il a fini, je m’assois, écarte bien les jambes et me soulage à mon tour, j’ai pas honte devant lui. Du foutre coule de mon vagin et le long de mes cuisses, il m’a bien servi. On prend la douche ensemble, on se savonne l’un l’autre en insistant chacun sur les parties intimes de l’autre. Comme il rebande et que je mouille, il me la remet, debout, sous la douche, mains en appui sur le mur. Que c’est bon de le sentir aller et venir dans moi. J’en veux encore, mais il n’a plus rien, il faut qu’il recharge. Dès qu’on en sort, on se sèche, il se rase. Je suis à côté, tente d’effacer les excès de la nuit, sans trop de succès. Carole a fini, elle est habillée, ouvre la porte de la salle de bain:
- Alors, qu’est ce que vous foutez, je suis prête, je vous attends.
Elle entre, tend la main, sa queue pendouille, elle la prend, caresse les couilles.
- Fout moi la paix, je risque de me couper. Dites donc les filles, je vous ai baisé sans capote, vous prenez la pilule au moins !
Carole lui répond :
- Bien sûr, tu penses bien que je la prends, sinon je t’aurais prévenu !
- Pas d’embrouille. Et toi Aurélie ?
- Ca fait 6 mois que je n’ai pas baisé, j’ai arrêté, mais je ne risque rien, j’aurais mes règles dans 2 jours !
On commence à s’habiller, je remets un peu d’ordre sur le lit et dans la chambre. Il est 9 h passé.
- Y a plus de temps à perdre, allez prendre votre petit déjeuner, j’ai encore quelques coups de fil à donner, je vous rejoins dans 10 minutes !
Carole est sortie dans le couloir, je suis prête à la suivre, il me retient par le bras.
- Je te file 500 balles en liquide, tu iras payer la chambre et vos 2 petits déjeuners. Moi je paye à part avec ma carte bancaire. Tu sais, hier je n’étais pas content après toi. Non seulement t’amènes une copine, ce qui n’était pas prévu, mais en plus tu viens m’interrompre quand je la baise. Pour te punir, j’avais envie de dormir avec elle, de ne pas te baiser, tant pis pour toi ! T’aurais pu attendre que je la finisse, après on avait toute la nuit à nous!
- Oui, mais mets toi à ma place. Tu commences par me l’introduire, tu sais que je suis en manque, je te l’ai dit. Tu m’ouvres et ensuite tu me quittes pour aller l’enfiler, c’est pas juste, c’était à elle d’attendre. En plus elle n’est pas venue avec moi pour que tu la sautes, alors !
- Là, je ne te crois pas, c’est plutôt un coup monté, avoue-le ! Tu l’as amené pour qu’on dorme à trois dans le même lit, n’est-ce- pas ?
- C’est vrai, je me suis dis que tu accepterais de nous baiser toutes les deux.
- Bon, vas la rejoindre, grouillez-vous !
Je récupère ma valise, mon sac, elle attend dans le couloir, on descend. On prend un sérieux petit déjeuner, on a la dalle en pente vue les efforts fournis pendant la nuit. Le voilà, il s’installe à la table à côté, ne s’intéresse pas à nous, dévore, lui aussi a la dent creuse ! On a fini, je passe payer à la réception, rends la clé. Je dois rajouter 50 balles, j’avais pas assez. C’est vachement cher pour une nuit. On sort prendre l’air sur le parking en l’attendant.
- Dis donc, c’est lui qui t’a filé tout ce pognon pour la piaule ?
- Ben oui, j’ai pas les moyens de prendre une chambre d’hôtel à ce prix, tu penses bien.
Le voilà. Il nous ouvre la voiture, on monte. Tout en roulant, je lui fais une proposition :
- On aimerait bien te revoir de temps en temps. Si tu veux, Carole a un studio. C’est l’immeuble au fond de la cour, au 4èmedroite. On peut entrer par la porte cochère, ou pour plus de discrétion passer par le café à côté. Tu bois un coup, il y a une sortie à côté des toilettes qui donne dans la cour. Ni vu, ni connu, la discrétion est assurée. Mais elle n’a pas le téléphone. Tu peux m’appeler, vers 6 h je suis toujours chez moi, je lui transmettrais, tu pourras en avoir une ou deux gratis, c’est selon nos disponibilités. Je me retourne :
- Carole, est ce que tu veux bien qu’on s’arrange comme ça ?
- Oui, si ça intéresse Marc, quand il est disponible, ça me ferait plaisir de l’accueillir chez moi, surtout dans moi !
- Marc, que penses tu de cette proposition ?
- Je vais y réfléchir, mais ça ne peut être que dans la journée, et vous n’êtes pas forcément disponibles quand je peux l’être !
- L’une ou l’autre s’arrangera pour l’être, t’en fait pas, à toi de voir ! Tiens, je te donne l’adresse, apprends la puis jette le papier, il ne faudrait pas que ta femme tombe dessus. N’attends plus 8 mois pour m’appeler, on a trop envie de ta bite, elle et moi ! Dès que mes règles sont finies, je reprends la pilule ! J’ai faim de toi !
- OK, je vous dépose à un arrêt de bus. Je vais être en retard, je file à mon rendez-vous.
Il nous dépose vite fait. Je ne sais pas si on le reverra un jour, on l’espère, il est tellement un bon baiseur !

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