Camille se déchaîne

- Par l'auteur HDS Philominicuir 7 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Camille se déchaîne Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Camille se déchaîne
La fin de l’année approchait, les beaux jours, les horizons de vacances également.
Laure était toute excitée, vêtue de sa petite jupe en jean (imperméabilisé !) elle était irrésistible à mes goûts de vieux pervers. Elle désira me raccompagner à Paris dans sa petite voiture. Je sautais sur l’occasion. Elle avait beaucoup à me dire, des projets en tête (en cul savant tout…)Elle conduisait jambes plus écartées que nécessaire. Ma main ne tarda pas à aller fouailler entre ses cuisses. Elle était trempée, excitée comme jamais. Elle se confia :« Aujourd’hui avec notre terminale L. je me suis bien amusée, je leur avais donné un devoir de deux heures sur table. Pour les surveiller je m’étais assise sur le bureau… Jambes croisées, décroisées, entrouvertes, voire ouvertes de façon indécente, innocente. Certains et certaines me mataient j’ai mouillé tout le temps. J’ai remarqué Camille qui semblait apprécier mes petits jeux. C’est une vraie petite salope. Je sais qu’elle te plait. Et que tu lui plais. Je vais la contacter. »Laure était tellement excitée qu’elle me dit qu’elle avait envie de se faire enculer devant moi. Elle gara sa voiture sur une ère fréquentée par des camionneurs, sortie, jupe bien retroussée en attente du premier venu qui ne tarda pas à se pointer. Elle n’eut qu’à se baisser pour se faire prendre. Rentrée dans sa voiture elle me demanda de la toucher. Il lui en avait mis plein le cul. Elle me dit qu’elle n’allait pas changer sa culotte durant toute la semaine à venir. Dernière semaine au lycée, dernière semaine pour profiter du proviseur (muté ailleurs) et de sa grosse bite de jouisseur…Elle me laisse entendre qu’elle a d’autres projets, mais qu’il faudra attendre la fin des épreuves du bac pour les réaliser. Elle me tiendra au courant. Elle me touche la bosse qui déforme mon pantalon, surprise de ma bandaison… Elle me dit qu’elle a envie de ma queue (quelle salope, ou non salope résisterait au membre dressé d’un prof de philo ? Impensable). Nous terminons la soirée (la nuit) chez elle. Buvons, mangeons, baisons. Parlons. Elle me parle de la sauterie qu’elle a envie d’organiser. Ca devrait être très excitant. Camille sera maîtresse de cérémonie. Nous devrions être une bonne douzaine de libertins.
Le jour arrive enfin. Hommes et femmes ont revêtu des tenues aussi sexy les unes que les autres. Moi je me retrouve en short en jean. Laure est en micro jupe qui cache à peine sa culotte bien crade (mais parfumée), Camille porte une jupe en cuir, elle semble telle une lionne féroce, avide. Elle a envie de se venger de ses anciens profs (même s’ils lui ont permis de brillamment réussir). Elle vient vers moi, me dit qu’elle aime voir un philosophe en short, elle me touche le sexe, rigole sur ce qu’elle considère comme « infime ». «Tout dans la tronche, pas grand-chose dans le slip » me dit-elle avec vulgarité. Elle m’oblige d’aller lécher la chatte souillée de Laure. « Tu vas souper salopard, voyeur, tu as bandé à regarder mes petites culottes de pisseuse. Alors soupe ! »Je m’exécute. Alors que je suis « à table » entre les cuisses de Laure, je sens quelque chose s’introduire dans mon anus. Camille m’encule avec un gode. « J’encule les enculés, j’encule les philosophes… » Elle est vulgaire, ce qui m’étonne, mais tellement excitée que je lui pardonne ses pulsions sadiques. Je suis humilié, souillé.
Le pire m’attend. Alors que Laure se retire et vient s’occuper de mes couilles et me sucer, Camille, jupette relevée, vient me pisser sur le visage avant de s’asseoir afin que je suce sa culotte souillée. « Tu es un vieux cochon, bouffe, lèche, bois… voilà ce que je pense des philosophes, je leur pisse à la raie, à la bouche, au cul. Je préfère être une salope pisseuse qu’une penseuse de tes deux… »Violente et adorable. Elle va retrouver des types pour se faire bien baiser tout en me narguant.

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