Le Marquis d’Evans dominant l’O – (suite de l'épisode N°840) - Les préparatifs du départ

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : Le Marquis d’Evans dominant l’O – (suite de l'épisode N°840) - Les préparatifs du départ Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le Marquis d’Evans dominant l’O – (suite de l'épisode N°840) - Les préparatifs du départ
Le Marquis d’Evans dominant l’O – (suite de l'épisode N°840) - Les préparatifs du départ de l’esclave Phryné MDE -
Son domaine en plein cœur du Beaujolais allait peut-être lui manquer dans les jours à venir, mais IL savait que d’autres opportunités tout aussi alléchantes s’ouvraient à Lui, qu’Il désirait aussi plus fort que tout de se retrouver rapidement à bord de Son luxueux paquebot L’Odyssée… Dans la Chambre Privée de Monsieur le Marquis d’Evans, le Châtelain profitait de la nuitée pour s’octroyer, avant de dormir, quelques plaisirs charnels en compagnie des 2 chiennes-femelles et des 2 chiens-mâles qu’IL avait entrainés à Sa suite en quittant la Grande Salle de Réception du Château, transformée pour quelques heures en un véritable lupanar où serviteurs et esclaves MDE continuaient de forniquer lubriquement, profitant de chaque instant de cette soirée orgiaque que le Noble avait organisée pour fêter son départ de l’ancestrale Demeure, avant de rejoindre le magnifique paquebot BDSM de luxe « L’Odyssée » qui allait enfin prendre la mer pour une première odyssée sur la Méditerranée, après quelques réceptions inaugurales pour son lancement officiel.

Walter, le Majordome, ayant reçu les consignes qui s’imposaient et sachant que la tâche serait grande le lendemain matin pour ranger tous les effets personnels de voyage de Monsieur le Marquis d’Evans ainsi que pour apprêter les esclaves qui devaient le rejoindre sur L’Odyssée sans tarder, pour préparer et participer aux grandioses soirées festives et mondaines qui avaient été prévues. Le Majordome décida qu’il était temps de mettre un terme à la fornication qui battait son plein dans des râles orgasmiques bruyants. Afin que chacun puisse prendre un minimum de repos avant de se remettre à l’ouvrage, Walter fit donc retenir le gong final demandant poliment aux serviteurs de bien vouloir s’activer de terminer de baiser ou de se faire sucer, et à contrario exigeant fermement des esclaves, en tout cas de tous ceux qui n’étaient pas entre les mains et sous les ordres desdits serviteurs, de bien vouloir interrompre dans l’instant ce qu’ils et elles faisaient, car plus aucune jouissance, ni attouchement et geste sexuel, ne leur été désormais autorisé.

Les esclaves disciplinés s’arrêtèrent aussi sec à l’exception de l’un d’entre eux qui était prêt à décharger dans une « nième » éjaculation de la soirée dans le cul d’une chienne-femelle dont le corps était déjà largement couvert de foutre, plus ou moins séché. L’esclave-femelle avait bien entendu l’ordre impératif donné par le Majordome et elle essayait tant bien que mal de s’extraire de la pénétration sauvage qui lui pourfendait la rondelle afin de pouvoir se prosterner immobile comme tous les autres esclaves. Mais le bestial enculeur, qui sous l’effet de l’excitation et du stupre ambiant en avait presque oublié les règles afférentes à sa condition de chien soumis, en voulait encore et toujours plus, ne désirant pas perdre une occasion ultime de jouir avant de retrouver pour de longues semaines sa cage de chasteté habituelle. Il tenait donc fermement la femelle par les poignées d’amour, ces petites masses charnues qui lui enserraient les hanches, et il continuait de la besogner à grands coups de reins virils venant profondément s’enfoncer dans son anus dilaté, faisant comme si les gémissements de l’esclave enculée avaient pu couvrir le bruit du gong, immédiatement suivi des ordres impératifs de Walter. La petite chienne frêle n’était qu’un jouet que le puissant sodomite musclé et baraqué secouait à sa guise d’avant en arrière pour pouvoir s’empaler jusqu’à la garde, venant à chaque à-coup butter avec ses couilles, lestes mais pas encore vides, sur le fondement de l’esclave-femelle. Le mâle en rut espérait bien arriver à ses fins jouissives en quelques coups supplémentaires de butoirs phalliques, mais c’était sans compter sur l’œil de lynx de Walter qui le regardait attentivement tout en calculant le nombre de secondes écoulées et en réfléchissant la punition qu’il comptait bien lui imposer pour n’avoir pas su obéir à la seconde précise.

Le Majordome s’approcha discrètement jusqu’à venir se planter devant le visage de la soumise maintenue de force en levrette au moment même où le cabot séditieux, dont le dressage complet serait à revoir, se rependait dans les entrailles de celle qui lui avait tout simplement servi de fourreau masturbatoire, de vide-couilles. Il était encore en pleine explosion orgasmique lorsque la cravache s’abattit avec force à plusieurs reprises sur sa cuisse et son arrière-train, le sortant aussi sec de la sensation de plaisirs qui avait envahi son corps et son esprit tandis qu’il était en train de se vider de sa semence laiteuse. Les coups cinglants le firent vite revenir à une autre réalité bien plus punitive que jouissive. Il desserra l’emprise qu’il avait sur les hanches de celle qu’il venait de remplir de foutre. Encore secouée par les derniers soubresauts de cette dernière sodomie sauvage, la femelle s’effondra en larmes sur le sol, épuisée par la soirée où elle avait été mise à rude épreuve sans discontinuité, baisée, possédée, pénétrée, dilatée, souillée, le sort l’ayant désignée pour servir de femelle-soumise à l’un des chiens du Cheptel MDE qui semblait avoir avalé en cachette une boite de pilules bleues, tant il n’avait pas débandé de toute la nuit.

- N’as-tu pas entendu mon ordre impératif, s’écria le Majordome.
- Non, Monsieur, je n’ai rien entendu de tel. Quel est-il ?, répondit avec la plus mauvaise foi le chien-mâle qui espérait bien faire cesser les coups de cravache qui avaient commencé à lui faire sérieusement rougir la couenne des fesses.

Le Majordome avec un ton de voix qui ne laissait aucun doute sur la colère qui l’habitait, rajouta.

- Et en plus tu oses me mentir, misérable cabot bâtard ! Ah tu voulais jouir encore et encore …
Walter attendit un long moment avant de reprendre. Le chien-mâle avait commencé à regretter amèrement son manquement aux règles et il préféra baisser la tête avec humilité et contrition. Il choisit de se taire, plutôt que de risquer d’aggraver son sort en continuant à faire le malin devant celui qui avait toute autorité en la matière pour lui faire regretter amèrement son attitude rebelle. Il pensait qu’il allait devoir supporter longtemps la cage de chasteté, et se réconfortait intérieurement en se disant qu’au moins il avait bien profité de la soirée pour se vider totalement les couilles. Mais c’était sans compter sur la sévérité et la perversité du Majordome qui n’allait pas se contenter d’imposer comme punition une totale abstinence via le simple port prolongé de la cage de chasteté, ce à quoi dans tous les cas, il n’échapperait pas par la suite.

- Et crois-tu que ce soit une position pour un chien de ton espèce, que de rester ainsi la queue encore dressée qui goutte sur le parquet. Ta dernière jouissance va te coûter cher puisqu’elle a eu lieu après le gong des réjouissances autorisées. Que tu aies eu les oreilles bouchées ou que tu aies délibérément outrepassé mon ordre, peu m’importe, car ta queue va le sentir passer !…. Crois-moi sur paroles !

Le Majordome se fit apporter sans tarder une machine à baiser électrique munie d’une trayeuse sur laquelle il fit s’empaler à genoux le chien-mâle sur un gode anal dont il régla la hauteur et la profondeur de pénétration au maximum que sa morphologie pouvait supporter, avant de le mettre en action doucement, mais dont le rythme s’accéléra assez vite.

- A ton tour d’en prendre plein le cul, maintenant que tu as bien défoncé cette petite chienne-femelle pendant des heures. Cela va te remettre les idées en place, puisque j’ai cru voir que tu avais le cerveau qui avait migré de ta tête vers tes parties sexuelles, te privant de toutes idées censées et réfléchies. Mais ceci n’est qu’une toute petite partie de la punition, et sûrement pas la plus désagréable. Je veux juste que tu prennes conscience de ce que tu as fait subir à cette chétive esclave qui est étendue sur le sol le cul béant et le corps souillé de toutes tes salissures abjectes de vieux chien.

Walter attacha fermement le chien-soumis, devenu tout penaud, sur les barres de maintien afin qu’il ne puisse bouger et tenter de se soustraire à la pénétration du gode qui allait et venait dans son fondement. Il prit ensuite l’autre embout de l’appareil qui consistait en une sorte de vaginette mécanisée qui aspirait et relâchait de manière méthodique le sexe qui était maintenu à l’intérieur.

- Tu voulais jouir plus que de mesure. Et bien te voilà servi ! …, ajouta sur un ton ironiquement pervers Walter.

Le chien mâle sentit son sexe aspiré de plus en plus fort et de plus en plus rapidement, mais dans cet engin masturbatoire et extracteur de sperme, les sensations furent un mélange de plaisirs masochistes car il se sentait malgré tout excité par la situation imposée et de déplaisirs car sa hampe et son gland allaient et venaient, dans un fourreau en plastique qui n’avait rien de similaire à un orifice humidifié de femelle. Les tissus de ses chairs sensibles s’échauffaient et il lui tardait que la machine s’arrête, ne sachant pas combien de temps, il allait devoir subir cette « fellation » mécanique, qui ne risquait pas de le conduire à la jouissance, car il n’avait plus rien à sortir de ses bourses plates. Le Majordome lui passa un harnais de tête muni d’un bâillon-bouche, pour lui soustraire l’usage de la parole et il attacha les sangles du harnais de telle manière que le soumis conserve la tête baissée et qu’il soit contraint de regarder le manège des va-et-vient sur son sexe étiré et relâché à chaque mouvement, cet appendice presque élastiqué qui n’était plus qu’un morceau de chair que la machine manipulait à sa guise en fonction des réglages imposés par le Majordome. Pour ajouter un peu de piment à la scène et marquer encore plus l’esprit du cabot désobéissant et fautif, Walter ajouta, en attrapant dans les mains une grosse fiole étalonnée encore vide qu’il présenta sous les yeux du chien-mâle :
- Ne t’inquiète pas, la machine à « gâteries » est réglée avec un cran de sécurité. Elle s’arrêtera toute seule lorsque la bonbonne qui va recueillir ton sperme sera pleine. …… Alors bonnes multiples jouissances, le chien qui ne sait pas s’arrêter de forniquer quand il le faut ! Ah ! Ah ! Ah !

La suite du « milking » punitif ne fut guère une partie de plaisirs jaillissants, car le chien bien que branlé avec frénésie ne put plus sortir que difficilement quelques gouttes de liquide séminal qui calmèrent les inflammations de son gland rougissant sous les frottements continuels, mais plus le moindre jet éjaculatoire avant un long moment. Malgré cette perverse torture, le soumis ne débandais pas car son côté masochiste et le plaisir mental qui va avec, prenait le dessus sur la torture physique. Bref, il ne cessait de bander mais sans arriver à éjaculer ! … Walter délaissa à son triste sort l’esclave qui l’avait bien mérité pour s’occuper de faire évacuer la salle, laissant les serviteurs regagner leurs logements respectifs, et donnant l’ordre que tous les chiens et chiennes du Cheptel MDE furent lavés à grands jets d’eau froide avant d’être renvoyés dans leurs Chenils respectifs pour un court repos bien mérité. Il ne conserva à ses côtés que la vingtaine d’esclaves que Monsieur le Marquis d’Evans avait choisis pour l’accompagner qu’il ferait dormir directement dans un des dortoirs installés dans les sous-sols du Château, pour qu’ils soient préparés dès le début de la matinée. Le Majordome décida également d’aller détacher les esclaves qui avaient passé la nuit accrochés sur les croix de Saint-André. En tout cas, c’est ce qu’il fit pour renvoyer sans tarder dans leurs Cachots esclave Endymion MDE et soumise Laïs MDE. Il récupéra également soumise Aphrodite MDE qui avait profité de la soirée pour s’instruire sur tout ce qu’elle avait pu voir, tâche de simple voyeur passif qui lui avait été assignée par le Maître des Lieux et qui avait eu un impact assez flagrant sur son entrecuisse qui dégoulinait de cyprine.

L’esclave Phryné MDE était encore installée sur la 4ème croix, avec son casque sur les oreilles si bien qu’elle n’entendait rien de ce qui se passait, et ce depuis des heures. Mais comme elle n’avait pas osé baisser la tête et fermer les yeux, respectant les ordres du Maître Vénéré, elle ne pouvait que constater que la fête avait fini par se terminer, que les serviteurs et tout le Cheptel avaient peu à peu quitter les lieux pour ne laisser la place qu’à un petit nombre d’esclaves chargés d’assurer le grand nettoyage de l’endroit où quelques heures plus tôt, dans la débauche la plus totale, cyprine et foutre coulaient à flots. Mais elle avait le sentiment que c’était comme si personne ne se souciait d’elle et même qu’elle avait été tout simplement oubliée sur place, quantité négligeable servile, privée de tous mouvements, de la parole et de l’ouïe. Elle avait résisté jusqu’à cette heure avancée, refusant de penser négativement à ce que Le Châtelain et Maître Vénéré lui avait annoncé lorsqu’IL lui avait clairement précisé que c’était la dernière nuit qu’elle passerait dans les murs « anciens » du Château.

Mais la fatigue avançant, car la position écartelée sur la croix en X avait eu raison de l’engourdissement de tous ses muscles tendus, elle ne put s’empêcher dans la pénombre de la pièce qui était désormais presque vide de laisser couler quelques larmes de désarroi et de désespoir, elle qui pourtant avait une confiance absolue envers Le Maître auquel elle appartenait, elle doutait et elle s’en voulait de douter de Lui. Elle se demandait avec inquiétude ce qui allait lui arriver par la suite. Etait-elle responsable et coupable d’une grave faute justifiant son renvoi immédiat du Château, comme punition ultime qui ne méritait même pas une sanction expiatoire et la moindre indulgence magnanime eu égard à la Dévotion qu’elle portait à Celui à qui elle avait offert sans retenue toute sa vie ? Monsieur Le Marquis d’Evans avait-il décidé de la répudier, sans autre préambule, sans même prendre le temps de lui donner Ses raisons ? Ce qu’en tout état de cause Il n’avait pas à faire et elle en était bien consciente ! ...

(A suivre …)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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