Un agréable souvenir

- Par l'auteur HDS Plaisirdecouple -
Auteur homme.
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Récit libertin : Un agréable souvenir Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un agréable souvenir
Un petit souvenir de jeunesse
Avant de rencontrer celle qui deviendra ma femme, je m’intéressais peu aux filles de mon âge, je ne sais pas pourquoi, je flirtai régulièrement, mais allai rarement plus loin, je ne le sentais pas. En revanche, depuis mon adolescence, j’étais fasciné par les femmes mûres, mères de copains ou copines, c’est en particulier grâce à l‘une d’elle que j’avais été initié aux plaisirs de la chair, ce qui n’avait fait que renforcer cette attirance, j’adorai être le jouet de ces femmes d’expérience, j’étais prêt à tout pour leur plaisir, et celles avec qui j’eu la chance de coucher ne s’en privaient pas ! Je fis mes études sur Paris, ce qui évidemment me permis d’avoir un terrain de chasse beaucoup plus étendu et surtout des proies en quantité et en qualité ! Que de belles femmes, bourgeoises sexy et classes que mes yeux dévoraient et qui parfois m’offraient plus ! En revanche, comme mes parents ne voulaient pas me louer une chambre, je devais rentrer chez moi tous les jours et cela compliquait sérieusement les choses lorsqu’il s’agissait de trouver le lieu adéquat pour des rencontres intimes, ce qui fut un frein certain à ma soif de découverte de ces dames.
Heureusement, les horaires et la liberté de la fac, à cette époque, pas d’appel, y compris en TD, me permettaient de combler mes envies de découvertes culturelles de la capitale, de passer des heures dans les librairies, les disquaires et les magasins de musique, et parfois, de faire des rencontres. Donc, un jour, il était vers les 10 heures, je me rendis au forum des Halles, sans but précis. Je fis mon tour classique à la FNAC, j’avais cours vers 14 heures, donc du temps pour traîner. Je continuai vers les magasins de vêtements lorsqu’une silhouette accrocha mon regard. Une femme habillée d’un tailleur noir, de très belles jambes mises en valeur par une jupe s’arrêtant à mi-cuisses. Elle était grande et avec ses talons elle faisait ma taille, plus d’1 m 80 je précise, très belle femme brune vraiment. Hypnotisé par ses jambes, je me mis à la suivre, discrètement, mais en espérant bien sûr qu’elle me repère. Après quelques dizaines de mètres, elle s’arrêta devant un magasin de lingerie et y entra. Difficile d’être discret, car vu l’heure matinale, nous étions seuls dans cette allée ! Elle se retourna et je vis enfin son visage, confirmation, très belle femme, une petite quarantaine d’années. Je restai devant la vitrine, mais un jeune de 19 ans devant de la lingerie sexy haut de gamme, ce n’était pas vraiment la grande discrétion. Néanmoins, elle me lança un regard, elle avait bien sûr compris que je la suivais, et celui-ci avait l’air plutôt amusé. Je reculai quand même et finalement, je décidai de poursuivre mon propre chemin. Je fis quelques mètres, mais l’envie était trop forte, je retournai sur mes pas et me plaçai de manière à voir l’intérieur du magasin, mais sans être collé à la vitrine. Ce n’était pas trop discret quand même. Je la vis choisir des dessous, notamment un très beau body en dentelle. Puis elle pénétra dans une cabine et referma soigneusement le rideau, grrrr ! Elle ressortit de la cabine et reprit d’autres objets en dentelle tous plus sexy les uns que les autres, mon sexe se durcit en les imaginant sur elle ! Puis elle retourna dans la cabine, mais, oubli volontaire ou non, le rideau ne se referma pas autant que la première fois, et sans vraiment qu’elle s’offre à mon regard, je pouvais apercevoir une petite partie de son corps, je la vis se déshabiller, je devinai qu’elle enlevait sa culotte et elle la posa dans l’ouverture, je crus que j’allai éjaculer dans mon caleçon ! J’osai m’approcher de la vitrine pour voir de plus près cette culotte, elle était très belle et j’imaginai sa chaleur et son odeur ! Je vis sa main sur le rideau et je me reculai très vite, mais en sortant, elle me regarda et je vis un petit sourire. Elle avait gardé sa culotte à la main ! Bon, finalement, elle y retourna une troisième fois, je ne vis pas grand-chose et repartit de la boutique avec un sac bien rempli ! Bien sûr, je ne pus m’empêcher de la suivre. Elle se dirigea vers le métro et nous nous retrouvâmes dans la ligne 1, et moi juste à côté d’elle. J’avais bien remarqué son alliance, mais comme elle semblait plutôt amusée par ma filature, je décidai de tenter ma chance. Elle se prépara à descendre gare de Lyon. Je me plaçai juste à côté d’elle, très tendu, son corps était à quelques centimètres de moi, je bandai très fort ! Dès qu’elle fut sur le quai, je me lançai et lui dit « Bonjour madame, excusez mon audace, mais vous êtes très belle et je tenais à vous le dire ! » Elle me sourit et répondit très gentiment « Merci, jeune homme, c’est très gentil, je me demandais si vous alliez oser me parler ! » Ouah, elle attendait que je l’aborde ! Après ce premier échange, un moment de silence se fit. C’est elle qui le rompit en me proposant de la suivre car elle était pressée. Lorsque je lui demandai pourquoi, elle ruina mes espoirs en m’expliquant qu’elle rentrait à son hôtel car elle devait prendre le train en fin d’après midi pour rentrer chez elle ! Lorsque je m’enquis de sa destination, ce fut pire : l’Allemagne ! Il m’avait semblé qu’elle avait un petit accent et effectivement elle me confirma qu’elle était allemande et qu’elle habitait à Fribourg. Et là, elle fut étonnée lorsque je répondis « Je connais bien, j’y ai habité ! » Du coup, lorsque je lui proposai d’aller boire un café, elle accepta. Nous discutâmes et effectivement j’avais vraiment habité à Fribourg car en cette époque de guerre froide, il y avait une forte garnison française, la 5ème DB et mon père étant officier, j’y avais habité comme dans d’autres villes allemandes, nous avions au moins des points communs ! C’est d’ailleurs en Allemagne que j’avais connu la joie de perdre mon pucelage avec la mère d’une copine ! Elle m’apprit qu’elle était mariée avec un officier français et avait 3 enfants, et comme elle parlait parfaitement français, elle venait régulièrement à Paris pour faire des courses ou aller à des expositions. Puis elle me demanda mon âge et après que je le lui ai dit, elle me questionna sur le fait que je l’avais suivie et abordée. Je lui expliquai alors mon attirance pour les dames plus âgées, globalement au dessus de 40 ans ! Elle me répondit : « Ah, le fantasme de la femme d’expérience ! »Et là, la question qui tue !
« Vous avez aimé les dessous que j’ai choisis ? » Ouf, j’avais envie de me cacher, et je balbutiai « Heu oui ! ».
Et elle m’expliqua qu’elle les achetait ici, car en Allemagne, à cette époque, et j’en savais quelque chose, les femmes n’étaient pas très coquettes et leur dessous ressemblaient plus à des couches en coton qu’à des tangas ! Ou sinon, c’était digne d’un « eros center », donc très vulgaire. Je l’avais abordé vers 11 heure 30, nous discutions depuis une trentaine de minutes lorsqu’elle me demanda exactement de lui dire les raisons pour lesquelles je l’avais accosté.
« Notre discussion est très agréable, mais j’imagine que vous ne m’avez pas abordé pour discuter de vos souvenirs d’Allemagne ? Soyez franc ! » Je répondis en rougissant qu’elle était « très belle et sexy et … ».
Ce fut elle qui le dit « Vous voulez coucher avec moi ? » « Heu, oui madame »« Désolé, d’abord je suis mariée, mon fils aîné a presque votre âge, je ne trompe pas mon mari et en plus, je n’ai pas le temps, or, il faut prendre le temps pour ça, vous ne croyez pas ? »« Heu oui madame ! »« Madame ! Vous êtes trop mignon ! Alors que vous avez envie de faire l’amour avec moi ! On m’a déjà abordé, y compris des jeunes gens, mais aucun ne me disait madame avec ce petit regard pris en faute ! Vous me troublez et je crois que votre patience devant le magasin de lingerie mérite une récompense ! »En entendant ça, l’espoir revint et mon érection avec ! Mais ça ne dura pas car elle rajouta !
- Attention, je n’ai pas dit que je veux coucher avec vous !
Raté !
- Mais je vais vous faire un petit cadeau, je reviens.
Elle se leva et disparut dans les toilettes dont elle ressortit très vite. Elle se rassit et me tendit la main en disant « Tenez ». Je sentis quelque chose de chaud et elle rajouta « Evitez d’étaler ça sur la table ! » tout en souriant. Je regarde discrètement, sa culotte ! Toute chaude, avec quelques traces à l’intérieur, avec l’expérience j’aurai décelé qu’effectivement, elle était troublée, car elle était bien mouillée !
- Mon cadeau vous plait ?
- Oui madame - Madame ! Elle sourit- Je n’ai pas pour habitude de donner ma culotte aux jeunes gens, mais ça me fait plaisir, j’espère que je ne vous choque pas !
- Non, elle est belle.
- Je vous autorise même à aller la sentir dans les toilettes, je vous promets que je vous attends ici.
Donc j’y vais, je la porte à mon nez, je la lèche, trop bon ! Je reviens, elle est encore là et m’accueille avec un grand sourire.
- On peut dire que vous me faites faire des bêtises, je me retrouve là à discuter avec un très jeune homme sans culotte alors que je suis censée préparer mes affaires pour retrouver mon mari ! Et je laisse une culotte en cadeau !
- Et qu’as-tu préféré comme dessous ? Elle était passée au tutoiement !
- Le body, j’aime beaucoup !
- Tu as du goût, oui, il est très joli, je l’ai acheté pour nos 20 ans de mariage.
- Votre mari a beaucoup de chance ! Et là j’osai demander : Vous portez des bas ?
- Comment le sais-tu ? On les voit ?
- Non, mais vous avez été rapide pour enlever votre culotte, avec des collants, ça aurait été plus long !
- Observateur pour un jeune homme, oui, j’aime porter des bas. Décidément, vous me troublez, me voilà à parler de dessous intimes avec un jeune homme que je connais depuis peu ! Il me vient une idée, je vais te faire une proposition, je suis folle, mais bon. On grignote un morceau, et puis je te montre le body sur moi et tu me donnes ton avis, d’accord ? Rien de plus, mon train m’attend !
Oui, elle me proposait de la voir presque nue !
- D’accord madame.
- J’aime quand tu dis madame, trop mignon !
Nous prîmes des croques-monsieurs, mais je n’avais pas vraiment faim, trop impatient de la suite. Nous allâmes vers son hôtel, passâmes devant la réception dont l’employée ne pût s’empêcher de sourire en nous voyant passer. Elle passa devant moi dans l’escalier et je voyais ses mollets juste devant moi, je mourrai d’envie de tendre la main et de les caresser. D’ailleurs, elle en fit la remarque !
- Ils te tentent hein ?
- Oui madame.
Elle s’arrêta et me dit :- Tu peux les caresser si tu veux, au point où nous en sommes !
Je m’empressai de le faire, c’était doux, soyeux, mais quand ma main s’aventura au dessus du genou, j’eu droit à un « stop ! Pas plus haut coquin ! ». Nous entrâmes dans la chambre, elle me dit de m’installer sur le lit le temps qu’elle se change, je bandais comme un fou, c’en était d’ailleurs douloureux. Juste avant d’entrer dans la salle de bain, elle remonta sa jupe et me demanda « Tu aimes mes cuisses ? Je les trouve grosses ! » Ses cuisses étaient somptueuses, coquetterie de femme !
- Oui madame, elles sont très belles !
- Si tu le dis ! Aller, j’y vais.
Elle prit quelques minutes et apparut avec une serviette autour d’elle.
- Tu veux voir ? C’est très intime, je ne le voyais pas aussi transparent !
- Oh oui madame, s’il vous plait !
- Bon, une promesse est une promesse, et elle enleva la serviette !
Elle était magnifique, elle se tourna et comme c’était un body string, les fesses étaient totalement dégagées ! Et effectivement, la dentelle laissait passer ses poils pubiens. Elle regarda mon bas ventre et constata qu’elle me faisait beaucoup d’effets- Visiblement, tu apprécies ! si j’avais su, j’aurai coupé un peu mes poils ! hop, je les cache !
Elle se tourna et j’eu de nouveau la vision de ses fesses , quel cul elle avait !
- Elles sont belles vos fesses madame !
- Merci !
- J’ai envie de vous. Elle se retourna- J’ai vu ! Je sens que j’ai eu tort de t’amener ici, ce n’est pas raisonnable de te donner envie comme ça alors que je dois partir, ça fait un peu allumeuse quand même ! Bon, je vais faire quelque chose pour toi, mais après c’est fini, d’accord ! Baisse ton jean, je vais te caresser et te sucer, tu veux ?
- Ho oui madame ! Je baissai mon jean et mon gland sortait déjà de mon caleçon ! Je le baissai aussi. Elle regarda :- Tu as une jolie queue, pas très longue, mais ton gland est gros et beau !
Elle se baissa pour me prendre dans sa bouche, posa sa main sur ma queue et ce qui devait arriver arriva, depuis le temps que j’étais excité, je me mis à éjaculer à longs traits qui atterrirent sur son bras et son visage !
- Oh, quelle envie, vas-y vide toi mon garçon ! Elle continuait à me branler et se releva lorsque ce fut terminé.
- Tu en as mis partout mon cochon !
J’étais tout gêné et déçu, car j’espérais plus. Néanmoins mon sexe restait droit comme un « i » ! Elle nettoyait la moquette et en étant à 4 pattes, je voyais ses fesses s’agiter devant moi. Ce n’était pas fait pour calmer mon érection. Elle se releva, jeta le PQ plein de mon sperme, revint vers moi, posa la main sur ma queue, prit une de mes mains avec l’autre et la posa sur ses fesses en disant : « Tant pis pour le train, j’ai trop envie de toi mon trésor, viens ! »Nous baisâmes tout l’après midi, je passe les détails, néanmoins elle me fit découvrir des sensations inconnues. Elle dirigea nos ébats et m’encouragea à certaines pratiques que jusque là je trouvais étranges, voire repoussantes. En effet, à un moment de nos ébats, elle me demanda si je voulais lui lécher les pieds. Je ne savais pas trop, mais comme elle en avait envie, j’acceptai et là ce fut une révélation, dès que je suçai ses orteils, à sa demande, je me remis à bander ! J’adorai cette sensation nouvelle. Puis elle me fit découvrir le plaisir de lécher un anus de femme, c’était trop bon et elle jouit avec ma langue enfoncée dans son anus et pour en finir en beauté elle me demanda de la sodomiser. Comme j’avais déjà joui plusieurs fois, je pus rester longtemps dans son conduit et je lâchai mes derniers jets de sperme dans son cul, merveilleuse sensation qui ne m’a jamais quitté.
Elle a bien évidemment raté son train, je lui ai laissé le téléphone de mes parents, mais à cette époque sans internet ni portable, ce fut malheureusement un après midi unique, mais que de souvenirs…et de masturbations !

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