Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Vampire 3 (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Vampire 3 (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Vampire 3 (3/3)
Ayant le plaisir d’être tombé sous l’emprise du maître Chris 71ème de sa lignée, mort il y a 200 ans et qui ne sors de sa cave qu’à la nuit tombée.
Grâce à la force qui passe en moi chaque fois qu’il suce une partie de mon sang, je réussis à dominer Lionel, mon compagnon ainsi qu’un homme client d’un bar que je conduis jusqu’aux crocs de mon amant vampire.
Après cette première prise, il me demande de lui conduire si possible une femme, son sang étant plus tonifiant que celui d’un homme.
Ce soir, maître Chris sera aux anges, ce ne sera pas une, mais deux chattes que je vais lui amener, Sophie et Sylvie, jumelle blonde venant d’arriver en ville, elles ont ouvert une boutique de vêtements au centre-ville.

20 heures trente, je suis à l’heure, j’ai revêtu l’ensemble bleu que j’ai acheté aux filles cette après-midi, elles sortent par la porte jouxtant leur boutique.

• Tu habites loin !
• Non, quelques kilomètres, à qui ai-je à faire.
• Tu hésites Amandine, regarde, le haut de mon sein, je suis Sophie et j’ai un grain de beauté à cette hauteur.
• Amandine, moi aussi j’ai une différence, mais c’est sur ma chatte à l’orée de mes grandes lèvres, tu m’excuses, mais je pense que tu ne verras jamais ce détail, loin d’être accros au vagin de mes amies.
• Donc, la robe rose c’est Sophie, le beige, c’est Sylvie.
• Sur l’instant, Amandine, mais on est capable d’aller dans une chambre où des toilettes et échanger nos vêtements, nous le faisons souvent quand l’une de nous lève un beau mâle.
• Aucun de ceux qui nous ont fait l’amour depuis notre premier amant pour l’anniversaire de nos dix-huit ans, n’est reparti sans avoir seulement baisé l’une de nous, nous les avons toujours partagés.
• Quand la première est satisfaite, elle passe le relais à l’autre et nous épuisons nos partenaires en leur pompant toutes leurs sources vitales comme pourrait le faire un vampire si ces personnages de cinéma existaient vraiment.

Incroyables, elles parlent en relais, l’une d’elles commence une phrase, l’autre prend le relais, en ce qui concerne les vampires, le temps de cette petite conversation, nous approchons du pavillon que maître Chris squatte.
Si la suite des événements se passe sans anicroche, elles vont passer la nuit avec l’un d’eux jusqu’à ce que je les ramène sans en avoir le moindre souvenir, quand il les aura hypnotisées.

• Voilà, c’est ici, suivez-moi.

Le plus difficile reste à faire, hier je me suis servie de la force que me donne mon amant quand il me suce pour apporter ma première proie à mon maître, là, elles sont deux, il s’agit de les faire entrer sans qu’elles s’inquiètent.
Il ne manquerait plus qu’elles partent en courant crier à tous qu’un vampire voulait leur sucer le sang.

• Ne vous inquiétez pas, je présume que les amis qui sont réunis veulent me faire une surprise, ils doivent m’attendre dans le noir pour allumer quand nous rentrerons dans la salle.
• Tu as raison, de nous prévenir, sinon c’est lugubre, si nous étions dans une scène de vampire, ce serait le moment où il nous attaquerait pour boire notre sang.
• Vous avez l’air de bien connaître ce genre de films !
• Quand nous avons eu le droit de voir les films interdits aux moins de douze ans, c’étaient nos films préférés.
• Nous étions chez mamy, elle hurlait, plus elle hurlait et plus nous en regardions.
• Jusqu’au jour où nous avons compris que c’était du cinoche et que le sang, c’était de l’hémoglobine.

Indécrottable, un morceau de phrase chacune.

• Amandine, pourquoi y a-t-il un panneau « Meublé à louer ».
• J’ai emménagé il y a peu et j’ai oublié de l’enlever.
• Dans nos films de vampires, il y avait toujours un panneau à louer, mais le vampire attendait sa victime à l’intérieur, il habitait là provisoirement.

Quel est le con qui a tondu la pelouse et qui a remis le panneau à sa place au risque d’intéresser des loueurs potentiels obligeant mon maître à partir se cacher du soleil ailleurs.

• Que suis-je bête, j’ai oublié mes clefs, voyons si la porte est ouverte, il m’arrive souvent de les oublier et de la fermer à clef, je n’ai pas encore l’habitude d’avoir mon chez-moi ?

Avant que je tourne la poignée, la porte s’ouvre.

• Bonjours mesdames entrées, j’ai entendu la voiture d’Amandine arriver et comme j’avais constaté que tête en l’air comme elle est, elle avait oublié ses clefs, je l’attendais, entrer.

Coup de chance, je suis restée derrière les filles pour enlever et jeter le panneau, je les pousse à l’intérieur, la force que je mets, les aurais fait valser hier, il semble que l’effet du sang que me soutire maître Chris doive s’estomper, il va falloir que je me fasse mordre légèrement afin de rentrer auprès de Lionel et garder le pouvoir sur lui.

• Regardez-moi mesdames, oui comme cela bien dans les yeux, vous êtes de gentilles filles, nous allons passer une bonne soirée.

Chris passe des yeux de Sophie à ceux de Sylvie à la vitesse de l’éclair, incroyable, il a hypnotisé les jumelles en même temps, j’ai bien fait de sortir en nuisette l’autre jour, j’ai récupéré un amant hors norme.
Les filles le suivent comme un toutou dans la salle à manger.

• Sylvie, des bougies, combien il y en a, ça doit vous coûter un paquet de pognon.
• Qu’importe le prix des bougies, déshabillez-vous.

Elles éclatent de rire.

• Sophie, le monsieur te demande d’ôter tes fringues, faisons-lui un strip.
• Amandine, musique, tes autres invités vont arriver.

Problème, pas de courant, encore moins de musique.

• Regardez-moi.
Vous entendez la musique.
• Oui, mais c’est trop rapide pour un effeuillage, il ne prendrait que trente secondes.
• Ce morceau, c’est mieux.
• Oui, asseyez-vous et profitez, nous ne faisons cela qu’entre nous.

Chapeau Chris, mais j’ai un problème, n’étant pas hypnotisé, je n’entends rien.

• Pardon Amandine, j’ai oublié que tu étais là.

Bon morceau, mais de quelle année est-il, Chris a-t-il oublié qu’il avait 200 ans et diffuse-t-il dans nos têtes un morceau de sa jeunesse, qu’importe, les filles commencent un numéro digne des plus grands cabarets de Montmartre.
Peu à peu, dans une harmonie parfaite, elles s’effeuillent jusqu’à être nues.

• C’est parfait, les filles, venez, vous asseoir de chaque côté de moi.

Elles n’y vont pas, elles y courent, je suis dans le fauteuil un peu déglingué, un ressort me rentrant dans une fesse.
Comment dire par de simples mots, comment il s’y prend pour boire les deux filles ?
Je vois, ses crocs sortirent et avant que les jumelles n’aient fait le moindre mouvement, il est sur la gorge de, pardon, le sein avec grain de beauté, mince, Sylvie ou Sophie, tant pis, sur chaque cou les marques montrent qu’il les a sucés.
Chacune mordue, il prend son temps avec celle de droite, l’autre se lève, s’approche de moi et les yeux brillants s’agenouillent.

• Ouvre tes cuisses Amandine, je vais te lécher, je n’ai jamais fait ça avec une femme, mais avec toi, j’ai envie.

Grâce à mon vampire préféré, je n’en connais qu’un, la main de l’une des jumelles écarte ma petite culotte et avant de venir me lécher.

• Je suis sûr que tu ne te souviens pas à qui appartient ce grain de beauté sur mon sein, je suis Sylvie.
• Pourtant, j’avais retenu que le sein, c’était Sophie.
• Même là, nous échangeons nos grains de beauté.

Qui suce mon clitoris, avec une langue qui monte et qui descend à cent à l’heure, certainement une jumelle, c’est ça l’important.
Chris a mordu très rapidement ma petite salope qui commence à me faire jouir surtout que ses mains rejoignent sa langue, le sang qu’il a bu à passer ses forces en elle, rapidité de sa langue et velours de ses doigts me donnent un plaisir phénoménal.

• Sœurette continue à t’occuper d’Amandine, si tu me voyais, je me suis empalé sur la bite de Chris, quand tu voudras me donner ta place, vient sentir le bon amant que je viens de trouver.
Amandine, merci de nous prêter ton copain.

Soeurette, le font-elles exprès, je ne sais, je me fais doigter et lécher par l’une, qui me laisse pour rejoindre Chris, il lui replante ses crocs, la jeune femme lui tendant sa gorge avec envie, Chris aspire son sang deux minutes avant qu’elle se place en levrette et que notre vampire vienne lui mettre sa verge dans l’une de ses intimités.
Pour ma part, j’ai déjà fait des 69 avec Lionel, étant sur lui, avec la seconde, j’en fais de même et pendant que je me fais doigter et lécher, pour la première fois trouvant ça jouissif, je m’envoie en l’air pendant de longs moments.

• Les filles, regardez-moi, non pas toi Amandine, les jumelles, elle va vous reconduire chez vous, je suis repu, votre sang était divin, vous allez vous réveiller demain matin, vous vous souviendrez de la nuit de rêve que vous avez passée.
Demain soir comme hier, Amandine, viendra vous chercher si vous le désirez et nous aurons autant de plaisirs que ce soir.

Je commence à comprendre Maître Chris, pendant deux trois jours, il garde mon sang en réserve et va boire les jumelles.

• Maître, je pense que tu vas aller te coucher après avoir réussi à faire jouir plusieurs fois trois femmes, mais j’aimerais que tu prennes un peu de mon sang pour que je garde la mainmise sur Lionel.

Il ne me mort pas plus de trois secondes, je sens mon sang descendre dans sa gorge, mais un effet inverse, me fais sentir sa force entrée en moi.
Les filles et moi sommes habillés, je les reconduis.

• D’accord pour demain ?
• Sans problème, si tu as du temps dans la journée, passe à la boutique, nous t’offrirons une robe pour la soirée prochaine, même si nous les enlèverons rapidement afin de bien profiter de la queue de notre vampire.
• Sophie à raison, je pète la santé, je ne me suis jamais senti aussi bien, nous qui pensions que les films de vampires, c’était du flan, si mamy savait, mais je sais que Chris m’a fait jurer dans ma tête que je ne dirais rien sur lui.
• Moi aussi je lui ai fait la même promesse, comme toi, je le pense Amandine.
• Bien sûr.

Si elle savait qu’il m’a mordu, mais que je n’ai pas besoin d’hypnose pour être tout à lui comme ce soir et être son principal garde-manger…

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