La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
J’obtempérais et écartais cuisses, j’ouvrais ma chatte.... Ma mouille abondante coulait plus fortement, en longs fils translucides, s’accrochant parfois à mes cuisses, et en poursuivant l’excitation du clito, ma chatte étant bien ouverte et béante, les lèvres gonflées d’envies, elle titilla mon méat urinaire, de telle façon que j’eux envie d’uriner... A demi pliée sur mes genoux, je commençais à trembler, à la fois d’envies violentes, de honte mais également de crampes dans les cuisses. L’envie devenant si forte, je devais contrôler maintenant, à la fois mon envie de jouir tout en en faisant de même avec l’envie de pisser... Je me serrais très fort pour me retenir. Elle « travaillait » mon méat urinaire en introduisant un peu une sorte de sonde, ce qui ajoutait à la difficulté de me retenir et la faisait tourner doucement en de petits cercles... Tout d’un coup, elle cala le vibro et me commanda de me poser dessus de façon à poursuivre l’excitation qui devenait presque intenable sans jouir ou uriner. Elle revint avec une sorte de tuyau, un peu plus gros que la sonde et plus long surtout, qu’elle infiltra plus profondément dans le méat me commandant à nouveau de me retenir de pisser. Ne pouvant fermer le méat urinaire, ça devenait plus compliqué et ce qui devait arriver, arriva, alors qu’elle était accroupie en face de moi, elle reçut mes jets d’urines sur elle expulsant de ce fait le tuyau placé. Sa colère fut phénoménale... Cramoisie, et honteuse d’avoir envoyé ma pisse sur elle, je n’en tenais pas large. Marie me cravacha si fort que mes seins étaient devenus violets, mes tétons avaient perdu les extenseurs sous la puissance des coups et étaient eux aussi très meurtris, mes fesses, mes cuisses tout y était passé. Je tentais de parer les coups, sous les insultes abondantes :
- Laisse tes pattes de souillonne derrière ta tête sinon tu vas trinquer encore plus fort, la cochonne qui ne sait pas se retenir.
- Oui Madame Marie, répondis-je immédiatement, tandis que les coups s’abattaient sur moi.

Quand elle eut fini, essoufflée par ses gestes, et tandis que j’essayais de respirer le plus calmement possible, très marquée, elle jeta la cravache et partit... me laissant ainsi mais après avoir dit :
- Je reviens dans un moment, si je te trouve dans une autre position que celle-là, je te massacre, t’as compris la chienne-cochonne ?
- Oui Madame !

Quinze bonnes minutes passèrent ainsi, pendant lesquelles je ne bougeais pas, tandis que des personnes inconnues de moi, habillées, entraient et sortaient de la pièce, venant voir les ordinateurs. Plusieurs d’entre elles s’arrêtaient un moment, regardaient mon corps très marqué et sans m’adresser un mot, se disaient entre elles :
- Elle ne l’a pas ratée, celle-là, mais il parait qu’elle est une belle salope.

Enfin, Marie la cuisinière revint et je remarquai qu’elle n’était pas calmée du tout. Effectivement, elle était allée se changer de ses vêtements souillés de ma pisse. Elle était revenue portant une jupe si courte qu’elle arrivait à ras de son sexe et juste en dessous de ses fesses. Marie la cuisinière était une belle femme mature et elle le savait. Sans un mot et avec un regard de lionne en colère, elle replaça le vibro sur mon clito, le lança à fond brusquement ce qui me fit me cambrer, fermant les yeux, tentant de me contrôler... Elle me laissa ainsi quelques secondes et revint avec une sorte de poire à lavement. Sans ménagement, elle me dit :
- Ouvre ta chatte de pute !
- Oui Madame !

J’ouvrais à nouveau ma vulve et présentais ma chatte. Elle désinfecta ma vulve d’un jet de Bétadine verte, envoyant du liquide à l’entrée de la vulve et sur le méat, et introduisit la canule dans le méat la remontant très haut me semble-t-il. Elle pressa la poire et injecta la totalité du liquide. Je sentais ma vessie se remplir, tandis que je recommençais de me dandiner sur le vibro. L’injection m’excitait aussi, elle alla remplir à nouveau la poire, replongea la canule à nouveau dans le méat et pratiqua la seconde injection vésicale. A ce moment, sentant ma vessie grossir à nouveau, mon excitation augmentait de pair et je perdais de plus en plus de mouille... Une troisième injection acheva de me mettre en des états tels que j’eux beaucoup de mal à contrôler la folie qui m’envahissait. Le vibro reprit en main, était maintenant lancé à pleine vitesse... Je couinais, suppliais, j’ondulais, me dandinais... La perverse cuisinière me montrait sévèrement la cravache... puis elle arrêta tout, me laissant... complètement trempée jusqu’aux genoux.

- Voilà comment je veux que tu paraisses le soir devant le Maître, salope... Pour y arriver, tu viendras me voir toutes les heures jusqu’à ce soir, je t’exciterai à nouveau et tiens ! Bois-ça en attendant, tu en auras d’autres, toutes les heures également.

Elle me tendit un verre assez grand avec ce qui ressemblait à de l’eau mais qui en bouche, n’en était pas et était même impossible à avaler. Comme j’hésitais, deux coups de cravache d’une force terrible s’abattirent sur mes reins, me projetant en avant. Décidément, elle cognait fort !

- Boit, hurla-t-elle sur un ton sadique...

Je bus le verre d’un trait ne sachant pas ce que je buvais.

- Maintenant viens ici, à genoux, mains derrière la nuque, lèche-moi... Je te préviens ne va pas trop vite, j’aime prendre tout mon temps pour jouir...

Marie la cuisinière enleva sa jupe et je découvris un sexe épilé, avec un clitoris gros comme un tronc d’arbre, entièrement décalotté. Elle se posa dans un fauteuil moderne et confortable, fis basculer le dossier en arrière, écarta les cuisses, et d’un geste de son index, me fit m’approcher d’abord puis me désignant sa chatte déjà fort humide, me fit comprendre de commencer. Je déposais tout d’abord en signe de respect un baiser sur son bouton... puis commençais à passer ma langue dessus, sur les côtés, l’aspirant doucement, le repoussant entre mes lèvres en un massage lent mais régulier. Ma langue léchait aussi ses grandes lèvres, ramassant sa glaire, les aspirait pour les faire gonfler encore plus, dégageant les petites lèvres que je léchais consciencieusement les unes après les autres. Je revenais sur son clitoris, que j’aspirais d’un coup, le mordillant, le repoussant, le reprenant à nouveau, l’abandonnant, plongeant ma langue dans la chatte ouverte et luisante, lécha le méat urinaire... Quand soudain, j’eus une violente envie d’uriner et des sensations de satiété dans la vessie. Marie la cuisinière, les yeux fermés s’en rendit compte et dit avec perversité :
- Je me fous que tu aies envie de pisser, tu ne fais que commencer d’avoir envie, retiens-toi sinon... et surtout continue ce que tu as commencé, la pute...
- Oui Madame, répondis-je...

Je collais ma bouche sur son sexe, léchais, aspirais, mordillais, tant et tant que Madame Marie commençait de cambrer ses reins, de geindre, de respirer fortement, elle me prit les mains et les posa sur ses tétons très durcis... je les faisais rouler, les pressais, et la voyait avancer assez vite dans le plaisir par ses gémissements, je malaxais, tirais ses tétons :
- Ah ouiii continue, tires dessus, allonge-les salope, tu sais faire toi…
Je les étirais tout en poursuivant ma besogne du bas, sa chatte avaient des tressautements, elle était trempée, me faisait la lécher ardument tant elle perdait sa cyprine, puis soudainement me fit ouvrir grand la bouche, et vida sa jouissance en moi m’ordonnant ensuite de la nettoyer et de poursuivre.... Tout cela, prit pas moins d’une heure, où je dus la faire jouir ainsi de nombreuses fois. Et pour finir, elle se vida la vessie dans ma bouche en de fort jets d’urine alors que moi j’avais de plus en plus envie de pisser quand on frappa à la porte. Après un ‘’entrer’’ de Marie, la porte s’ouvrit et une esclave tête baissée et qui n’avait pas levé les yeux, entra. La cuisinière lui dit :
- Approche Anna ! (et me désignant du menton) - Elle est bonne celle-là, elle sait y faire la garce, replace-lui le vibro et injecte lui à nouveau une poire, mais avant fais-lui boire ce verre.
- Oui, Madame répondit l’esclave Anna
Anna était une belle esclave d’une trentaine d’années, portant collier et laisse. Anna me tendit le verre aussi dégoutant que le premier, verre que je bus d’un trait. Ensuite, elle replaça le vibro contre mon clitoris, tandis que je poursuivais l’excitation de Madame Marie ... soumise Anna s’approcha de moi, par derrière, et m’injecta une poire de plus, me faisant gonfler complètement la vessie cette fois ! Tandis que j’emmenais une nouvelle fois Marie la cuisinière en des contrées merveilleuses... j’eus une envie de pisser folle... envie que je due à nouveau contrôler... avec aussi mon clitoris redevenu fou d’envies non assouvies... Les gémissements de plus en plus forts et rapides de Marie la cuisinière participaient à mon excitation, entendre une autre femme jouir et moi-même devoir me retenir à quelque chose de très sadique, croyez-moi... Enfin, alors que je m’y attendais pas, elle explosa encore une fois en des bonds et des cris inhumains, des cris de femelle en rut et se lâcha également en m’envoyant de nouveau sur le visage des jets d’urines chauds et longs... se vengeant peut-être, alors que je me dandinais de plus en plus me mordant les lèvres pour me retenir de jouir et de pisser... Je restais ainsi à la regarder jouir comme une démente, yeux crispés... Quel tableau ! J’étais couverte de pisse, de cyprine, souillée comme rarement je l’ai été. Elle posa son pied contre mes seins et me rejeta sans ménagement en arrière, ce qui me fit me renverser, les quatre fers en l’air... Anna regardait Marie la cuisinière « revenir » parmi nous, ce qui prit un temps, tandis qu’elle me faisait signe de la main de me relever prestement, ce que je fis. Enfin, Madame Marie émergea, se releva, fit comme si rien ne s’était passé, me prit par un téton qu’elle serra très fort et m’entraina après elle. Nous sortîmes de la pièce, toujours accrochée à mon téton dans lequel elle enfonçait ses ongles pour ne pas le perdre... Nous arrivâmes dans une vaste pièce …
(A suivre …)

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