Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. L’abus d’alcool (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. L’abus d’alcool (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. L’abus d’alcool (1/1)
Fumier, salopard, enculé, lopette, je manque de mot pour qualifier Ludo, mon fiancé qui vient de m’envoyer un SMS.

« Je te quitte. »

Trois mots qui plus est, le soir de la Saint-Valentin, résonnent dans ma tête, me donnant le bourdon.
Qu’ait, je fais pour mériter une telle humiliation, j’ai tout donné à Ludo, mon corps, voilà qui est facile surtout quand on aime le sexe comme moi ?
Oui, mais quoi dans mon corps ?
La bouche, je n’ai jamais rechigné à lui sucer la verge pour qu’il soit tendu au maximum de ses possibilités.
Une fois tendu, il avait tout le champ des possibilités, je suis gymnase, j’ai même fait partie de l’équipe de France pendant trois ans, c’est même là que je l’ai rencontré, il entraînait les filles aux barres asymétriques et me donnait des cours particuliers qui immanquablement finissaient sur un tas de tapis de sol.
J’étais vierge, quand il m’a pris la première fois, nous venions de faire des exercices spécifiques à cet appareil quand mes mains ont lâché la barre supérieure, j’aurais pu me vautrer, mais il était là et m’a rattrapé au vol.
Ma bouche s’est trouvée à porter de la sienne et sans que nous ayons prémédité notre geste, je lui donnais mes lèvres et ma langue, avant de rouler enlacée au pied des barres.
Le tapis de réception était moelleux, car pour ces exercices où nous prenions un maximum de risques, il en avait doublé le nombre.
Essayez de défaire un juste au corps, il a massacré le mien pendant que je lui descendais son pantalon de survêtement, j’étais pucelle, mais pas ignorante, les X de Canal, j’en avais vu avec ma cousine, elle s’était une salope, elle se faisait mettre par qui voulait d’elle.
Elle avait même partouzé et s’empressait de me donner tous les détails, alors pour une fois qu’une bite m’était offerte, je suis devenue une première de classe avec Ludo.
Une fois nue et après l’avoir sucé pour la première fois, il m’a dépucelé, mais la douleur a pris le pas sur ma jouissance.
Je savais que je jouissais, car depuis des semaines, même des mois, j’ai appris à me masturber, finissant par faire éclater mon corps chaque fois.
Ce fut trois jours plus tard, ayant entraînement spécifique les mardis et vendredis, qu’il m’a fait jouir pour la première fois, il venait de me prendre en levrette après que j’use ôté moi-même mon vêtement.
Il entrait en moi librement et si même une légère douleur persistait, il a été tellement lent avant de décharger dans sa capote que j’ai eu le temps de sentir une boule monter en moi pour la première fois grâce à sa bite.
Depuis, je n’ai jamais simulé, ça fonctionne ou pas, c’est ce qui est arrivé un soir et où j’ai pris l’initiative dans nos jeux pour la première fois.

Ces souvenirs, alors qu’il vient de me dire qu’il me quitte par ce putain de SMS, font que j’ouvre la bouteille de champagne qui attendait bien sagement dans sa glace qu’il arrive.
Pour ce soir de fête, nous avions prévu de nous retrouver chez moi, pour fêter la Saint-Valentin, j’avais mis les petits plats amoureusement préparer au frigo, prêt à être passé dans mon four.
Il devait arriver Gare de Lyon après avoir pris le train, obligé de partir trois jours pour gérer une compétition dans le sud de la France.
Nul doute qu’une petite pétasse de l’équipe que j’ai dû quitter suite à une cheville en délicatesse, lui a mis le grappin dessus, il est si bel homme, mais surtout charmeur, ils étaient tous à l’hôtel et je savais pour l’avoir vécu qu’il est facile de se tromper de chambre.
J’ai fait sauter le bouchon et je me ressers un deuxième verre.

Ayant étanché ma soif, comme je le disais, j’ai pimenté nos jeux, sur le mur du gymnase où il me donnait des cours particuliers, il y avait une échelle en bois fixe ou il me faisait travailler mes abdos en me pendant de dos par les mains.
Il poussait le vice, mais j’aimais cela à me mettre un ballon dans le dos, il me disait que cela travaillait la courbe de mon dos, cet exercice, je le faisais nue et immanquablement quand j’étais bien cambré, il venait me lécher la chatte.
Je tenais pendue le plus longtemps possible, mais chaque fois que je lâchais, il me récupérait dans ses bras d’athlète, il avait été gymnase lui aussi avec pour spécialité la discipline la plus dure, les anneaux.
Il a été champion du monde et champion olympique à cet appareil grâce à la croix de fer et la croix inversée dont il était le seul à tenir aussi longtemps.
Vous pensez que récupérer une plume comme moi, pesant moins de cinquante kilos, dans ses bras était chose facile et comme en me broutant, cela le faisait bander, je m’empalais avant que j’aie touché le sol.
Il me faisait monter le long de sa tige et chaque fois la gentille boule venait s’occuper de mes lombaires.

Putain de souvenirs, le champagne est à mon service pour m’aider à me souvenir et surtout oublier, je me sers une troisième coupe.

Sur cette échelle, les filles qui travaillaient la gym rythmique avaient pris l’habitude de poser des corps, je suis allée chercher une chaise, je l’ai fait asseoir et je lui ai attaché les mains dans le dos et derrière le dossier.
Je lui ai ôté le pantalon, il était à ma merci, j’ai commencé un strip roulant des hanches, à part mes chaussures, mon juste au corps et mes collants, j’aurais bien voulu que mon effeuillage dur plus longtemps.
Profitant de ma souplesse, je passais une jambe au-dessus de sa tête, arrêtant ma chatte non loin de sa bouche, la pose que je prenais ressemblait à celle de Slatan quand il tapait le ballon en l’air, mais je restais dans cette position le plus longtemps possible.
Mon vagin ruisselet de sentir ses lèvres, il buvait à ma source jusqu’à ce que mes muscles tétanisent et que je finisse le mouvement, reposant mon pied au sol.

Merde, j’ai fini la bouteille, je n’en avais prévu qu’une, j’ai de plus en plus soif, je suis de plus en plus saoule, il faut que je sorte prendre l’air, j’étais en peignoir quand le SMS est arrivé.
La robe longue que j’avais prévu de mettre, nue en dessous pour que Ludo puisse me prendre étant assise sur sa chaise, est là, mais je mets une courte jupe avec un débardeur et mon manteau en peau de lapin, ajoutez mes bottes, en février, il ne fait pas très chaud.
Je cherche une petite culotte, mais dans mon brouillard, c’est con, où je les range, mystère, bof, qui va me mettre la main sous ma jupe et si même, ce fumier de Ludo mérite bien que me fasse sauter par le premier venu.
Putain que j’ai soif.

Je sors et je m’aperçois qu’un café-tabac est ouvert, je ne fume pas, je me contrefiche du tabac, mais un café, ils doivent bien avoir des coupettes.

• Beau gosse, tu m’offres une coupe, j’ai oublié de prendre mon argent.

Il est impossible que ce soit moi qui ai prononcé ces mots.

• Madame, éviter d’emmerder mes clients, si vous n’avez pas d’argent, sortez, rentrez vous coucher, cela vaudrait mieux pour vous.
• Alors beau gosse, une coupette ?
• J’étais descendu acheter des cigarettes pour mes invités, ils sont en panne, si vous voulez, nous avons de quoi boire, je vous invite.
• Toi, tu es sympa, le patron n’est pas près de me revoir, allons boire chez toi.

C’est ainsi que je me retrouve dans un ascenseur, à quel étage je monte, je m’en fous, je vais boire.

• Les copains, cette jeune femme a soif, offrez-lui une bière.
• Du champagne, je veux une coupette.
• Où as-tu ramassé cette pochetronne Luc ?
• Au café en bas en vous achetant votre tabac, je crois que l’on va bien s’amuser.
• On n’a pas de champagne, mais il nous reste plusieurs dizaines de bières, en veux-tu une ?
• Oui, vas-y donnes.
• Avant fait nous un strip, tu auras toute la boisson que tu voudras.

Je suis devenue cinglée, quand celui que j’apprends qu’il s’appelle Luc m’a proposé de monter, il a parlé d’amis, dans mon cerveau alcoolisé, j’ai pensé qu’il y avait des filles, je me rends compte que je suis seule avec quatre mecs.
Un mot déclenche mon cerveau outre la promesse d’une bière, « strip » cela, je sais faire, ne l’ai-je pas fait dans le gymnase avec Ludo, d’autant plus que Luc démarre un CD langoureux à souhait.
Quelle folle, je suis rapidement les seins à l’air, je veux réitérer le passage de ma jambe au-dessus de la tête, je me vautre lamentablement leur montrant l’oubli de ma culotte.

• Les copains, vous avez vu, elle a faim cette salope, elle se promène sans culotte.

J’ai droit à ma bière, je la descends d’un seul coup, quand j’ai fini, un sexe est devant moi, non quatre, ils ont tous baissé leur pantalon, ils ont raison, qu’il me baise, Ludo l’a bien cherché, il doit sauter sa pouffe, je vais satisfaire toutes ces queues.
Rapidement, je me trouve à en prendre à tour de rôle deux dans la bouche, une main droite, l’autre main gauche.
J’aime surtout que je commence à voir plus claire, le fait de me retrouver, me faire sauter par quatre types, dont certains bien montés me remettent les idées en place.
D’un amant Ludo, ce fumier, je saute à cinq, je suis lucide, mais dégrisée.

• Mettez des capotes !
• Sans crainte ma belle, donne-nous ton cul, on a tout ce qu’il faut.

Ma souplesse une fois de plus me sert, quand Luc s’étant encapuchonné veut être le premier à me sauter, il fait valoir son droit de cuissage, n’est-ce pas lui qui a fait monter cette pute près de ses copains.

• Défoncez-moi, même mon cul, personne ne m’a pris par là, je suis pucelle de l’anus.

C’est la dernière chose que je peux dire, une bite dans la chatte, une dans la bouche et la dernière dans le cul, ils sont fous, hélas, impossibles de leur dire que je veux être défoncée, mais pas déformée, quand la première bite m’ayant défoncé l’anus, c’est la quatrième qui entre par le même trou.
Un petit cordonnier avait marqué sur un bandeau « sept d’un coup », je pourrais en poser un avec « quatre d’un coup ».
Je suis retournée, pénétrée, sodomisée, j’avale du sperme par presque toutes les bites, voire deux fois pour certains, j’ai mal à la chatte et surtout à l’anus quand ils décident de me mettre dehors, jetant mes fringues sur le palier, je me rhabille pour rentrer chez moi.

Se retrouver, seule, c’est dur, mais je suis certaine que dans les jours prochains, je rechercherais des sexes de plus en plus nombreux pour me défoncer, il m’a quitté, je vais devenir une pute non rémunérée.
Je prends un bain, quand on sonne à ma porte, seraient-ce eux qui m’ont suivi, j’entoure mon corps d’une grande serviette et je vais voir qui arrive à cette heure.
Ludo.

• Bonsoir, chérie, excuse-moi du retard, comme je te l’ai dit dans un Meal, le TGV est tombé en panne en pleine campagne et nous n’avons pu trouver du réseau qu’au retour près de Paris.
Laisse-moi entrer, je suis crevé.

Qui m’a envoyé ce SMS me disant qu’il me quittait, je récupère mon portable sur le buffet, dernier message, il y a une heure, j’avais encore des bites dans le cul.
Exact, le message de Ludo est là, m’annonçant son retard.
Le message précédent est arrivé environ un quart d’heure, voire une demi-heure après que je fus descendu faire ce que vous savez.

« Alexandra, excuse-moi si je t’ai fait peur, avec mon message, je me suis trompé de contact, entre toi et Alice, Ale et Ali, tu comprends, elle vient d’arriver et semblaient tombées des nues, si tu la vois, ne lui dis rien, nous partons au restaurant.
Nous allons, vous inviter pour me faire, pardonner, bonne Saint-Valentin. »

• Tu as raison, mon amour, je vais mettre ma robe et faire chauffer le repas.
• Je vais remettre de la glace, et mettre cette bouteille de champagne que j’aie achetée avant de partir prendre ce putain de train.

Heureusement, j’avais mis la première bouteille dans la poubelle avant de descendre faire…
Inutile d’en dire plus, vous seuls et moi saurez ce que j’ai fait, d’autant plus qu’après le dessert Ludo s’agenouille, sors de la poche de son costume, un écrin qu’il ouvre.

• Mon amour, veux-tu m’épouser ?

À part « oui », que voulez-vous que je dise !

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