Un apprentissage plein d'enseignements - 1ère partie.

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Un apprentissage plein d'enseignements - 1ère partie. Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un apprentissage plein d'enseignements - 1ère partie.
Ce que je vais vous raconter s’étale sur quelques mois…

Comme dans toutes les filières technologiques, j’ai effectué plusieurs stages au cours desquels j’alternais les cours au lycée pro’ et les semaines en entreprise…
Je dois avouer que la semaine au lycée me pesait pas mal et vous comprendrez que j’appréciais bien plus l’autre facette de ma formation.
Je rencontrais des personnes de tous âges et de toutes origines…

Au cours de la dernière année, j’ai eu la chance de décrocher un stage de trois mois qui, bien que ne correspondant pas strictement à ma formation, m’apporté beaucoup de choses…
En effet, le stage se déroulait au sein de la plateforme logistique d’une enseigne bien connue de la grande distribution.
Nous recevions les camions de marchandises diverses qui, pour les non périssables, étaient stockées sur place et redistribuées vers les magasins en fonction de leurs besoins… Seuls les fruits et les légumes étaient absorbés dans un circuit court qui partant du Marché d’intérêt national du secteur les distribuait directement…
L’année précédente, j’avais effectué également un stage de trois mois prolongé par un CDD de deux mois pendant les vacances d’été dans une grande surface de la région…
Ainsi, j’avais une vue sur l’ensemble de la filière.


Le travail s’effectuait en deux postes… Le matin de 6 h à 13 heures nous recevions les marchandises et de 13 à 20 heures, les remorques des camions étaient chargées pour être acheminée en cours de nuit vers leur destination.
Je ne faisais pas de manutention mais je devais relever sur les diverses palettes, les dates de péremption des produits, le lieu de stockage et bien évidement la nature des denrées ou produits.
J’entrais les données dans une tablette et elles étaient transmises directement au service informatique de la plateforme…
Donc, tout se passait pour le mieux…


La dernière semaine de stage venait de commencer…
Ce soir la, nous n’étions plus que deux sur la plateforme : Ingrid, la directrice adjointe qui allait se charger de la fermeture et de la mise en sécurité et moi…
Lorsqu’elle est sortie par la porte de service, j’étais en train de fourrager dans le moteur de ma vieille voiture, qui une fois encore ne voulait pas démarrer !
J’avais consacré la majeure partie de mes économies pour passer mon permis de conduire et il ne me restait pas beaucoup d’argent pour acheter une voiture potable.
Ainé d’une fratrie de six enfants, mes parents ne pouvaient pas m’aider d’autant que deux de mes jeunes sœurs étaient internes dans un lycée pro à plus de 150 km de la maison.
Ingrid s’est approchée en disant :
• Laisse tomber… On va déposer tes clés avec un mot pour le chef mécano… Il regardera à ta voiture demain matin.
• Ok… C’est sympa… Je vais faire du stop pour renter chez moi…
• Non, viens te laver les mains qui sont pleines de cambouis et je te déposerai avant de revenir chez moi. Demain, tu prendras un taxi et je m’arrangerai pour payer la course.
• Oh, vous êtes vraiment sympa…

En cours de route, j’observais Ingrid du coin de l’œil… Cette dernière parlait peu, toute concentrée sur la conduite de son bolide, un Clio RS flambant neuve qu’elle avait depuis une semaine…
En moi-même je pensais que je voudrais bien avoir une telle voiture… les minettes me tomberaient toutes crues dans les bras…
Mais en fait de minette, c’est moi qui suis tombé dans les filets d’Ingrid !
Alors que nous approchions de chez elle, elle m’a dit :
• J’habite au bout de cette rue… Tu vois, nous n’habitons pas loin l’un de l’autre… As-tu quelque chose de prévu ce soir ?
• Non, j’ai juste envie de manger un morceau en écoutant de la musique. Pourquoi ?
• Si tu veux, nous allons partager ce que j’ai dans le réfrigérateur… Mon homme est absent pour la semaine et il ne rentrera que dans la nuit de vendredi à samedi. Je n’ai pas envie d’être seule… La journée a été difficile avec ce camion accidenté dont il a fallu récupérer la cargaison ! Cela ne fera du bien de bavarder avec quelqu’un de jeune.
• Décidément vous êtes une patronne vraiment TOP !

Après avoir ouvert la porte avec la télécommande, Ingrid a rentré sa voiture directement dans le garage et m’a dit :
• Je te montre le chemin… Installe-toi au salon, j’arrive dans deux minutes.

J’avais déjà observé Ingrid à la dérobée à plusieurs reprises et là, dans cet escalier montant au rez-de-chaussée, je la regardais et me disais qu’elle était bien belle !
A un peu plus de 40 ans, elle était une grande femme blonde (je pense un bon mètre soixante dix) aux cheveux toujours impeccablement relevés en chignon haut sur la nuque dégagée pour montrer un cou fin…
Ce soir là, elle porte une jupe un peu longue en tissu épais qui arrive à mi mollet avec une veste unie dont la taille est prise dans une large ceinture de cuir fauve.
Je ne sais pas si elle le fait exprès ou si ce sont ses chaussures à talon qui lui font cette démarche, toujours est-il que j’ai le regard attiré par le balancement des ses hanches au point qu’il me vient des idées salaces !

Quand Ingrid revient au salon, les bras chargé d’un plateau avec plein de victuailles et boissons diverses, je vois qu’elle a posé sa veste… Elle portait en dessous un chemisier en soie de couleur fauve qui lui va bien au teint… Les premiers boutons étaient défaits et j’apercevais le sillon mammaire… Waouh… elle est vraiment belle et je lui en fais le compliment.
• Vil flatteur… Tu pourrais être le fils que je n’ai jamais eu…
• Non… c’est sincère, je vous trouve belle… Ce soir je peux vous regarder sans avoir peur d’être surpris par quelqu’un d’autre !
• Serais-tu un peu coquin à regarder les femmes sans qu’elles s’en doutent ?
• Non, je vous le dis, vous êtes belle ! Pourquoi ne pas vous le dire ?
• Trêve de balivernes, mangeons… j’ai une faim de louve !

En fait nous mangeons tout en bavardant de choses et d’autres mais Ingrid se montre très curieuse quant à ma sexualité de jeune homme… et je lui confie volontiers mes secrets…
• Oh, il n’y a pas grand-chose à en dire… Certes, je ne suis plus puceau… mais les deux filles avec lesquelles j’ai fait l’amour un peu à la sauvette après une boum étaient un peu coincées… D’ailleurs, la première était vierge elle aussi !
• Dis donc, c’est la disette ! Cela te suffit ?
• Bien sur que non, je me masturbe mais ce n’est pas facile car un de mes frères couche dans la même chambre que moi !

Je dois reconnaitre qu’à ce moment là, toutes mes inhibitions étaient tombées, un peu aidées par le bon vin que nous dégustions verre après verre au point que j’avais chaud les oreilles et les yeux d’Ingrid brillaient : La bouteille était VIDE !
Lorsqu’elle est venue près de moi sur le divan, elle m’a tendu ses lèvres en me disant de l’embrasser… qu’elle avait envie de moi…
Je n’osais pas l’enlacer… c’était quand même un des cadres de l’entreprise… mais quand elle a posé sa main sur mon entrejambe où mon érection montait, j’ai perdu toute retenue.
J’ai répondu à son invitation et aussitôt nos langues se sont mêlées dans un baiser torride !
Je me suis enhardi en posant une main sur un de ses seins, c’était chaud et doux…
Ingrid s’est dégagée et elle a ôté son chemisier en disant :
• Nous serons plus à l’aise ainsi…

Puis elle a fait sauter l’agrafe de son soutien gorge laissant apparaitre une belle paire de seins haut placés avec une aréole bistre qui tranchait sur la peau laiteuse de blonde…
Certes, ce n’était pas les premiers seins que je voyais ainsi… Il y avait assez de filles ou de femmes qui sur la plage avaient opté pour le monokini !
Nous nous embrassions à en perdre le souffle… D’une main distraite Ingrid caressait mon entrejambes par-dessus le tissu du jean et mon sexe ne cessait de grandir… J’avais de plus en plus envie de cette femme, oubliant son statut par rapport au mien…
Mais n’est-ce pas elle qui en quelque sorte avait fait les premiers pas ?
Soudain (pour autant que je m’en souvienne exactement), elle me dit :
• Viens… Allons dans la chambre… Nous y serons mieux… Je vais te faire découvrir ce que c’est que de faire l’amour à une femme !

Par contre, ce dont je me souviens c’est comment elle s’est mise nue et m’a ensuite déshabillé.
Elle a fait glisser sa jupe qui s’est étalée à ses pieds, elle a retiré ses chaussures et elle ne portait plus qu’un tanga assorti au soutien gorge resté sur le tapis du salon !
Lorsque j’ai été nu, elle a fait glisser son dernier vêtement et elle m’est apparue dans la splendide maturité de la femme de 40 ans…
• Je vais t’apprendre comment faire monter le désir chez une femme… Un homme ne doit pas se comporter en hussard mais amener la femme au point où c’est elle qui désire faire l’amour.
Je n’avais jamais envisagé cela : Je pensais naïvement : tu me plais… on se plait… on baise ensemble…

Ingrid s’est allongée sur le lit et m’a tendu les bras.
• Tout d’abord, je vais te faire découvrir le sexe d’une femme… Je suppose que tes copines se sont contentées de relever leur jupe et de baisser leur culotte !
• Oui… Effectivement… Elles ne se sont pas déshabillées. On a même baisé debout dans un coin de porte.
• Je m’en doutais… Franchement, à plus de 18 ans, tu es encore bien naïf !

C’est ainsi que j’ai découvert le sexe féminin et ses différentes parties. Ingrid m’expliquait comment être caressée avec les doigts, avec la langue… avant de m’inviter aux travaux pratiques. Là encore elle m’a guidé pendant que je léchais sa fente qui suintait doucement.
• Le clitoris est sorti de son capuchon, mordille-le doucement… Il est très sensible... Je suis excitée…
• Mais moi aussi, je suis excité… Regardez mon sexe ! Il est dur et bandé !
• C’est pour mieux me pénétrer… Plus ton désir sera fort, plus tu vas bander… Maintenant, glisse ta langue entre mes lèvres vaginales… Elles vont s’ouvrir… Darde ta langue dans l’entrée… Tu vois, je mouille… cela signifie que tu me fais du bien et je suis bien excitée ! Maintenant tu vas me baiser… Enfile d’abord une capote…

Ingrid a fouillé dans un tiroir de sa table de nuit et m’a tendu un chapelet de préservatifs… J’en ai déroulé un sur mon sexe qui était dressé devant mon pubis… J’avais un peu honte de me montrer ainsi !
• Oh… La nature t’a bien servi… Je sens que nous allons nous régaler ! Viens, place-toi entre mes jambes et enlace moi… Pour une première, tu vas me baiser à la missionnaire ! Je vais te guider…
Mon sexe est entré dans le sien… C’était bon… Je sentais la chaleur au travers du latex… Je n’osais me coller contre Ingrid et je restais en appui sur mes bras…
• Vas doucement nous ne sommes pas pressés ! Arrête-toi en restant en moi… Laisse retomber la pression !
C’est que j’étais particulièrement chaud et si Ingrid ne m’avait pas freiné dans mes élans, je serais parti après quelques va-et-vient !
D’elle-même elle m’a incité après quelques minutes à recommencer… Elle basculait son bassin pour me faire aller et venir dans son sexe si bien que je me suis lâché sans qu’elle ne jouisse !
• Ce n’est pas grave… Tu m’as dit que tu te masturbais de temps en temps… Je vais te montrer comment fait une femme.
• Oui… Montrez-moi !
• Arrête de me vouvoyer… Dans ma chambre c’est incongru ! Regarde, on peut se caresser avec les mains comme tu le fais mais il y a mieux… J’ai plusieurs jouets pour me faire plaisir quand je suis en manque mais rassure-toi… ce soir je n’avais pas envie d’un jouet : JE VOULAIS UNE VRAIE BITE !

Ingrid sort de sa table de nuit qui décidément recèle bien des secrets tout un assortiment de godes de formes et de couleurs diverses… Il y en a même un noir de taille que je juge gigantesque par rapport à mon sexe pourtant bien dimensionné d’après ce que j’ai su par la suite…
Elle caresse ses lèvres vaginales avec deux doigts qui entrent de temps en temps dans sa chatte puis elle revient sur le clitoris qu’elle fait rouler…
Elle saisit un gode très réaliste et après avoir mis en route le mécanisme vibratoire, elle me montre comment elle s’en sert en l’introduisant dans son vagin puis dans son sphincter dans lequel il entre sans peine.
Mais elle se garde bien de se caresser jusqu’à la jouissance !
Je bande à nouveau comme un cerf en rut… et lorsqu’Ingrid se met à quatre pattes, comme prosternée, m’offrant la vision de ses fesses ouvertes, je me couvre à nouveau et elle me dit :
• Baise-moi en levrette… J’adore…
Je connaissais cette position que j’avais découverte dans un film X que nous avions regardé chez un copain avec plusieurs camarades de classe… Mais là, j’allais l’expérimenter moi-même…
La bite dressée devant mon pubis, j’ai tâtonné quelques secondes à l’orée du vagin d’Ingrid puis, quand j’ai senti que j’étais bien placé, je me suis introduit vivement en faisant claquer mon ventre contre les fesses de ma maîtresse qui s’est écriée !
• Ooouuuuiiiiiii ! Comme çà ! Fort !
Les mains cramponnées autour de sa taille, je me suis mis à aller et venir en elle, sortant à chaque fois pour mieux la pénétrer à nouveau en force… sous des encouragements répétés…
En même temps j’observais l’entrée de son sphincter qui palpitait doucement… Erotisme terriblement fascinant !
Puis Ingrid s’est libérée dans un grand cri… jouissant avec force, ruant comme une cavale empalée sur mon sexe… qui a jailli à son tour !
Nous nous sommes affalés sur le lit, mon sexe encore fiché dans le sien dont je ressentais les contractions… J’avais l’impression qu’Ingrid se servait de ses muscles intimes pour extraire le maximum de mon jus…
J’étais bien…
Ingrid m’a désarçonné et nous nous sommes retrouvés dans les bras l’un de l’autre… Je contemplais sans gêne son beau visage et sa jolie poitrine que je caressais d’une main distraite. Je voyais les tétons s’ériger et imaginant qu’ils m’appelaient, j’ai descendu mes lèvres jusqu’à eux pour les embrasser et les sucer…
Cela devait faire du bien à Ingrid car elle a collé son pubis contre le mien et elle a entrepris une sorte de danse lubrique et frottant son sexe contre le mien…
Puis nous nous sommes endormis… ivres de la fatigue de la journée, un peu partis à cause de la bouteille de vin vidée et de nos joutes ardentes.


Il faisait déjà jour quand nous nous sommes éveillés… Nous avons pris une douche ensemble et Ingrid m’a congédié en disant :
• Nous nous reverrons bientôt…

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