La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
- Suis ton instinct, Isabelle… me disais-je…prenant tous les risques…
Et oui, je me reconnais bien là, en cet instant, esclave mais entêtée et vexée, incorrigible et excitée !… Je sentais monter en moi ce que les athlètes appellent la gnac de la gagne, ce petit supplément d’adrénaline qui leur fait donner au moment opportun le coup de reins nécessaire à la victoire. C’est je pense ceci qui m’excitait de savoir la satisfaction du Maître car il me faisait comprendre par ses gestes que j’étais dans les temps… Le troisième tour finissait, 1200 mètres étaient couverts. Il restait 300 mètres… Vexée que j’étais de ma mauvaise performance précédente, mariée aussi de l’image que j’avais donnée de la femelle devant les amis du Maître, selon mon caractère de frondeuse, de Pur-Sang fougueuse, d’amoureuse de la gagne et uniquement de la gagne, aux prix de tous les risques, je décidais de… décider toute seule sans attendre le signal de Monsieur le Marquis pour les derniers cents mètres. J’en étais à couvrir les 100 mètres suivants après les 1200 déjà parcourus. J’allongeais légèrement ma foulée, me tassait très doucement sur mes cuisses, et commençais à accélérer la cadence des jambes. Je lâchais déjà les « chevaux » tout en tenant les rênes… J’avalais ces 100 mètres avec une facilité déconcertante tout en ignorant les grands signes du Noble que je voyais bien mais que je faisais semblant de ne pas voir, tête de mule que je suis... Restaient deux-cents mètres à parcourir. J’accélérai encore lâchant un peu plus la bride de mes jambes… Alors que mon entre cuisses était de plus en plus trempé d’excitation, je parlais à mes jambes :
- Allez, mes belles, allez ! Vous allez y arriver parce que je vous connais, vous êtes les meilleures ! Attendez encore un peu, je vais tout lâcher et vous pourrez vous laisser aller, vous allez montrer à Maître à et à ces hommes ce que vous savez faire.

Ce cent mètres fut avalé en si peu de temps que Maître déjà fouettait l’air de sa cravache en signe de fureur totale. Mais je pris le parti de ne pas en tenir compte : Il me restait cent mètres à faire, en moi, je disais à mes jambes :
- Allez mes belles, donnez tout ce que vous pouvez et Vous aussi Maître, faites-moi confiance, je vais vous rendre fier…
Jamais je n’ai terminé un 1500 mètres aussi aisément. J’avais tout lâché, ma foulée était si longue que je croyais que mes jambes avaient doublé de longueur. Mes orteils, pourtant si légers sur la piste, allaient chercher encore plus loin le point d’impact me propulsant dans la foulée suivante, mes muscles de fesses et de cuisses étaient à fond, mes seins même semblaient vouloir participer à la gagne, les poings serrés de rage, mais de rage contenue, je terminais en boulet de canon, jamais ce terne n’étant aussi bien utilisé. La ligne d’arrivée passée, il me fallut plus de 80 mètres pour retrouver un rythme plus lent et tandis que je sautillais sur place, je revenais vers le groupe, lentement, essoufflée je l’avoue, mais pas du tout cuite. De là où j’étais, je voyais le Châtelain regarder son chronomètre comme ne pouvant en croire ses yeux. Il montrait le chrono à ses amis et passait sa main dans ses cheveux... J’arrivais à très petite foulée derrière le groupe et comprit que j’avais fait un temps canon selon les termes des sportifs. Enfin le groupe se rendit compte de ma présence derrière lui, Monsieur le Marquis me montra le chronomètre et me dit :
- Tu peux m’expliquer comment tu as fais ça ?

Comme je restais sans voix :
- 2 secondes de mieux que ton précédent record et 3 secondes de moins que tes 1500 mètres de tout à l’heure !

Très sincèrement, je ne pouvais donner d’explications cohérentes mais je lisais sur le visage du Maître, à la fois sa fierté mais également son incompréhension. Un de ses amis lui dit en riant :
- Mon ami, vous avez déclenché le chrono en retard après le départ peut-être !

Maître le fusilla du regard !

Quoiqu’il en soit, j’avais bel et bien, non seulement amélioré mon temps, mais battu mon précédent record sur la distance. J’étais couverte de félicitations de la part des amis, certains me touchaient, me pelotèrent les seins, les hanches, me branlèrent furtivement, d’autres voulaient m’embrasser (une femme nue… ça attire). Maître rangeait ses affaires puis soudain :
- A la douche Ma petite femelle. Mes amis, vous allez assister à la douche de mon Pur-Sang.

Je me dirigeais vers les vestiaires mais :
- Non, ici, ordonna Maître !

Il me désignait un endroit où se trouvaient des caillebotis au sol et un tuyau. Je pris place sur le caillebottis et me voilà arrosée d’eau froide par le jet d’eau tenu en mains par le Châtelain. Les Invités étaient hilares me voyant me tortiller sous l’eau glacée. Devant, de dos, l’eau me fouettait les seins, me fit dresser mes tétons, le jet tapait contre mon clitoris et l’excitait encore plus :
- Lève les bras, ordonnait Monsieur le Marquis, écarte tes jambes, la chienne… !

Une fois la douche terminée, les hommes fumaient, certains me dévisageaient lourdement, Maître prit la parole :
- Comme prévu, mes amis, après chaque parcours, avec Ma petite femelle, je fais le débriefing et, comme Moi, vous avez pu constater à quel point son premier chrono était mauvais. Ma pouliche étant tout sauf sotte, j’en déduis qu’elle a couru en se retenant alors qu’en plus, je vous l’avais présentée comme une perle. Elle va donc recevoir sa correction, ici, sous vos yeux.

Je ne bougeais pas attendant qu’Il me désigne l’endroit.

- Viens ici, dit-il, me désignant un endroit.

Les hommes se rapprochèrent, firent cercle autour du Maître et moi-même, penchée en avant, mains derrière la nuque. Un bandeau fut placé sur mes yeux. J’entendis Maître faire glisser un zip et (certainement) ouvrant son sac, en sortit une cravache. A la vue de l’outil :
- Ah oui ! Super, dit un Invité, voilà donc Cher ami, comment vous dressez vos pouliches, on comprend mieux maintenant...

Monsieur le Marquis ne répondit pas mais d’un geste fit élargir le cercle. J’étais toujours mouillée quand la cravache me cueillit en travers des fesses, dans un geste puissant, ce qui me fit tout à la fois dire « hou ! » et me redresser quelque peu. Immédiatement je repris la position, quand le second coup m’atteignit en travers du fessier cette fois, depuis le bas du dos. La sensation de la brûlure de la cravache sur un corps mouillé est intense et cruelle… Trois, quatre, cinq, dix, coups me furent donnés sans retenue.

- Redresses-toi ! Chienne - Oui Maître répondis-je, tandis que des larmes coulaient de mes yeux, sous le bandeau.

Cinq coups furent appliqués à chacun de mes seins et la punition prit fin ainsi.

- Mes amis, maintenant, je vous offre le dessert, servez-vous de Ma chienne selon vos envies ! dit le Maître, et ne vous privez pas !

Ce fut, yeux toujours bandés, un festival de fellations et de remplissage de ma chatte et anus, tandis que le faisant, ces messieurs échangeaient entre eux, qui des questions de la Commune ou des choses des diverses sociétés dont ils étaient les dirigeants. Je devenais l’exutoire de ces Messieurs.

Malgré ou peut-être parce que j’avais les yeux bandés j’étais excitée d’avaler tous ses foutres sans voir à qui ils appartenaient tout comme sentir ces sexes me prendre, me posséder, me besogner de tous côtés... par des verges dressées dont je croiserai peut-être demain les propriétaires sans savoir qu’ils… Les marques sur mon corps excitaient terriblement les Invités. Je devenais citerne, certains se masturbant sur mon dos, et éjaculant sur moi… Recouverte de foutre, remplie ras bords, je servais de vide-couilles à ces Messieurs… Ensuite, une fois que tous furent rassasiés de mon corps offert, ils me firent coucher sur le dos les membres en croix et m’imposèrent d’ouvrir grand la bouche et ils m’urinèrent abondamment sur tous mon corps sans omettre ma cavité buccale … Après cette séance, j’eus droit à une douche bien chaude ! Et ensuite, nous filions nous restaurer dans une auberge, où un repas copieux nous fut servi et au cours duquel, je dus répondre à une foule de questions sur ma condition d’esclave, nouvellement « recrutée » par le Maître. Je dois reconnaître qu’après avoir été souillée de leur sperme et urine à l’hippodrome, ces Messieurs au restaurant ont fait étalage de leur bonne éducation, de leur savoir vivre et du respect que j’ai nettement ressenti de leur part. J’ai pu voir la fierté du Maître dans ses yeux, buvant littéralement mes paroles, et appréciant le respect de ses amis, vis-à-vis de la femelle que je suis…
(A suivre …)

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