La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
- Voilà, elle est à vous, poursuivit Maître à l’adresse du gynécologue...

Je sentis le médecin coller sur moi, ses capteurs, sur mes reins, mes ovaires, en haut de mes seins. J’entendis qu’on déplaça un meuble à roulettes qui vint se placer juste sous mon clitoris, comprenant à quoi il allait servir…. Le gynécologue connectait tout cet attirail à son pc, me voilà devenue chienne de laboratoire maintenant. Sans savoir pourquoi et alors que rien m’avait commencé, je commençais déjà à mouiller… (Peut-être la pose, la situation du moment…) Soudain le vibro placé sous mon clitoris se mit en marche, alternant les vibrations douces, moins douces et carrément puissantes. Immédiatement, je me cambrais, creusais les reins, offris mon cul de femelle en chaleur, tandis que les vibrations fortes se poursuivant, je commençais à dandiner chaudement de la croupe.

- Voilà, j’enregistre, dit le médecin, c’est parfait !
- Walter, fait venir Mes esclaves-mâles !, ordonna le Noble- Bien, Monsieur le Marquis, j’ai cru bon de choisir les plus montés - Excellente initiative, mon cher Walter, il lui faut à Ma chienne les plus grosses queues de Mon Cheptel !

Une fois les dix esclaves mâles entrés dans la pièce, Maître s’adressa à eux :
- Mes chiens, votre mission consiste à faire craquer Ma petite chienne. J’exige que vous la pistonner le plus fortement que vous puissiez le faire sans vous arrêter jusqu’à jouissance autorisée, vous pouvez ainsi éjaculer votre foutre de chien mais impérativement après l’avoir besogné le plus longtemps possible, je veux que vous fassiez tout pour que chacun de vous la baise de longues, de très longues minutes… (Puis s’adressant à moi) – Toi, Ma chienne, ta mission, Ma belle jument, est de te retenir le plus longtemps possible ! Tout le monde a bien compris ce qu’il a à faire ?

Les esclaves mâles et moi-même répondirent en concert : - Oui Maître.
- Docteur, êtes-vous prêt ?
- Oui Monsieur le Marquis!
- On y va. Walter, au premier de Mes chiens !

Le Majordome désigna un esclave mâle qui bandait déjà à la perspective de me prendre. Il vint se placer derrière moi, posant son gros gland contre ma vulve pour véritablement me saillir. D’un coup de reins, il me pénétra profondément et commença ses va-et-vient ravageurs. Alternant les rythmes, les profondeurs des pénétrations, les rapidités de mouvements, il commençait sérieusement de m’émouvoir tandis que le vibro placé sous mon clitoris travaillait celui-ci de façon aléatoire mais si efficace. J’arrivais rapidement au niveau du premier orgasme mais me contrôlait cependant tandis que l’esclave mâle, s’activait, lui, de façon très puissante, me pistonnant à grands coups de boutoirs, lâchant des ‘han’ à chaque poussée virile. Son sexe glissait très facilement en ma chatte inondée de cyprine, j’ondulais de la croupe comme une salope qui en demande encore plus. Mes seins ballottaient en tous sens, mais je tenais bon. Je me méfiais surtout de mon clitoris qui, Lui, ne l’entendait pas de cette oreille et commençait très sérieusement à réclamer son du. Après de longues minutes à me besogner sans ménagement, le mâle ne tenant plus, juta enfin dans des râles dignes d’un cerf en rut et je sentis ses jets chauds au fond de ma vulve, jets saccadés qui ébranlèrent ma force de résistance sans me faire craquer. Le médecin enregistrait la saillie et semblait, d’après ses dires, heureux de ce qu’il voyait sur ses schémas. Rapidement Walter fit sortir l’esclave et en fit venir un autre tout aussi bien monté, qui, immédiatement prit la place du premier. Celui-ci fut plus ‘canaille’ me prenant plus doucement mais avec une technique plus persuasive, jouant certainement sur la durée de l’excitation provoquée. Il me travaillait lui aussi moins violement mais avec autant de résultat d’envies.

Mon clitoris continuait de recevoir les ordres du pc… Les va-et-vient de l’esclave me travaillaient fortement, j’avais très envie d’aller plus loin, mais j’arrivais encore à me contrôler relativement aisément. Visiblement, l’esclave maintenant accélérait la cadence de ses coups de reins, ses couilles battaient contre ma vulve, je l’entendais souffler dans mon dos, accélérant encore et encore ses mouvements de mâle en rut, me faisant roucouler comme une bête en chaleur que j’étais de fait.

- C’est extraordinaire, s’écria le médecin, sa force de contrôle est hors normes…
Cette deuxième saillie dura longtemps quand ce second mâle explosa à nouveau en moi en des jets saccadés plus longs que son compère. J’adorais cette sensation des jets de sperme cognant dans le fond de ma vulve, ou contre le nez de mon col utérin, sensation qui me faisait m’enfoncer encore plus sur la tige en train de se vider en moi…. Mais, cependant, j’avais réussi à ne pas craquer bien que les envies devenaient maintenant très difficiles à contrôler…
- Si nous pouvions… commença à dire le gynécologue
Monsieur le Marquis comprit immédiatement ce que voulait dire le médecin et demanda à Walter de placer sous moi un autre mâle et un autre derrière moi. Deux mâles en même temps remplissant à la fois, vulve et anus. Très dociles, les deux mâles entrèrent en action presque en même temps. Quelle sensation alors que j’étais déjà brûlante. Deux grosses bites bien dures entrant en même temps, se touchant presque l’une l’autre, séparées seulement par mes membranes intimes, deux tiges raides à souhait, travaillant en cadence mes deux orifices, une entrant quand l’autre sortait, à moins qu’elles pénétraient toutes deux en même temps et s’enfonçaient le plus profonde possible. Parfois les coups de boutoirs étaient si forts qu’ils me soulevaient de terre me renfonçant ensuite, encore plus profondément sur les bites déchaînées. Ma respiration devenait haletante, mes tétons pointés comme deux missiles, attendaient leurs mises à feu, ce qui arriva quand le mâle de derrière s’en saisit tandis que celui sous moi, donnait des coups de langues sur mes seins. Mon clitoris continuait son escalade vertigineuse, travaillé par de maudit vibro…
Tout mon ventre était devenu bouilloire, cocotte-minute sous pression en même temps que citerne à foutre. Je transpirais à grosses gouttes, la Comtesse devenue chienne lubrique, en redemandait encore et encore, tandis que les orgasmes primaires se déversaient sur moi sans pour autant m’envoyer encore en des galaxies inconnues. Je contrôlais encore, mais pour combien de temps, le feu d’artifice final ! Je fus surprise néanmoins que les deux étalons jutent aussi rapidement leur foutre abondant et chauds et j’avoue que j’en fus déçue quelque peu, salope que je suis car j’aurai voulu qu’ils me baisent ainsi encore et encore longtemps… Celui de derrière se retira, tandis que je tortillais du cul comme appelant déjà le suivant et en remuant j’expulsais celui de devant, qui penaud et pendant, se retira également. Sans une seconde de perdue, deux autres prirent leur place sous l’ordre rapide du Majordome. Ah ces deux-là ! Immédiatement je sentis sans les voir qu’ils seraient plus coriaces, instinct de femelle, direz-vous !… Déjà bien plus fortement membrés, plus longs aussi et plus gros, je me sentis immédiatement remplie comme jamais. Le premier à s’installer en mon orifice vaginal fut celui de dessous, qui m’enfonçait la chatte en l’étirant en longueur. Je n’eus pas le temps d’analyser la sensation que je sentis celui de derrière forcer ma rosette anale. Décidément, il était plus gros en effet et la sensation fut explosive.

Tandis que son épais gland violacé entrait enfin en moi et qu’il commençait de glisser en mon cul, celui de dessous, lui, me lançait de véritables missiles par ses puissants coups de reins ravageurs par sa grosse queue longue et volumineuse, vous imaginez aisément le ressenti. Je sentais les deux bites se toucher en moi et cette sensation d’être pleine me fit perdre le contrôle de l’orgasme sous leurs va-et-vient d’une incroyable intensité cadencée. J’explosais enfin, assaillie de partout à la fois, chatte, cul, tétons, seins, clitoris, tout en même temps en une explosion atomique continue.

- Ca y est, nous y sommes, cria le gynéco, Votre chienne jouit, enfin ! Regardez l’amplitude de ses orgasmes, c’est démentiel, disait-il au Maître…
Les deux étalons étaient déchaînés mais contrôlaient leur éjaculation et poursuivaient méthodiquement leurs courses infernales en moi. Je faisais des bonds de jument comme si je ruais, mes jambes se détendaient l’une après l’autre, donnant des coups de pieds (ruades) au point que le mâle de derrière me prit par les chevilles pour bloquer mes coups de pieds. Je criais de rut, ma tête balançait en tous sens, j’étais en nage, cheveux collés au visage, tandis que mes seins étaient pressés, tétons travaillés lourdement et que dans mon ventre, se déversaient encore et encore, sans interruption, les vagues d’orgasmes explosifs en des décharges électriques ravageuses, délicieuses, toutes plus violentes que les précédentes, me remontant sur toute mon échine et faisant de mon cœur une pompe à haute fréquence. Mes tempes battaient, j’étais ruisselante comme si je sortais de la piscine, mais les deux mâles imperturbables, poursuivaient leurs œuvres pénétrantes à grands coups de reins virils. A chaque coup de bite, je recevais un nouvel orgasme, imaginez la forte dose d’émotions, de sensations jouissives…
- C’est prodigieux s’exclamait le médecin, tout simplement prodigieux, elle jouit non-stop, regardez ! Il interpelait le Maître. C’est du jamais vu…
Lorsque les deux mâles jutèrent enfin tels des lions rugissant, je reçus leur foutre si haut vu la longueur de leur verge que j’en ressentis une nouvelle sensation me faisant me comparer à une citerne à foutre, ce qui déclencha immédiatement une explosive salve d’orgasmes nouveaux et me voilà repartie en une danse effrénée… Complètement déconnectée, comme droguée… Les deux mâles sortirent et j’en fus frustrée, mes cris étaient très clairs à ce sujet.

- Noooon ! Ahhhhhh ! Encooore !

Je me tortillais encore et encore, mais n’étais plus là, dans un autre monde, et ne revins que parce que je sentais à nouveau quelque chose me remplir encore, me faisant dire !

- Ouiiiiiii ! Hummm !

Je sus plus tard que le gynécologue regardait son écran, yeux hagards, vérifiait ses capteurs comme n’y croyant pas d’autant que les deux suivants (j’en étais à huit étalons) étaient déjà en action, chauffés qu’ils étaient par le tableau placé sous leurs yeux depuis le début. Il avait fallu six excellents étalons pour me faire exploser plus un vibro déchaîné, mais maintenant je jouissais non-stop ce qui constituait, aux yeux du gynéco, un autre prodige selon lui.

- Il est impensable de jouir autant et en continu disait-il, co… comment fait-elle et où trouve-t-elle l’énergie physique pour le faire ?...

Monsieur le Marquis fit un signe à Walter qui s’enquit d’une cravache, se mit de travers, perpendiculaire à mon dos et m’asséna un terrible coup sur les reins, coup que je ne vis pas venir. Immédiatement je réagis en rugissant, me soulevant du sol me désaccouplant des deux mâles, puis retombant sur mes genoux en poignets, le second coup arriva en travers de mes fesses déclenchant un orgasme d’une violence inouïe telle que je me mis à hurler, non pas de douleurs mais de plaisirs orgasmiques forts. Les deux mâles me reprirent à nouveau, tandis que la cravache tombait en coups rythmes mais forts, très forts, déclenchant à chaque coup de cravache/reins des mâles, maintenant des torrents d’orgasmes dont la puissance extrême m’était inconnue. Je tremblais de tout mon corps, mais je continuais de jouir, sans discontinu, sans interruption… mais avec de nouveaux orgasmes que je sentais nettement arriver les uns après les autres. Ma vulve commençait de me faire mal, en tout cas l’entrée de la vulve par les coups donnés par les mâles en rut, ainsi que ma rosette écartelée… Je vis plus tard des bleus que je gardais plusieurs jours…
Après que ces deux mâles eurent jutés à nouveau en moi, se présentèrent les deux derniers tandis que Walter plaçait devant ma bouche son propre sexe que je reconnus tout de suite, ayant arrêté la cravache. Ma bouche avala comme une morte de faim sa verge épaisse que je pompais avec l’avidité d’une assoiffée, tandis que les deux derniers étalons, chauffés à mort par la scène, très excités, s’en donnaient à cœur joie, me faisant poursuivre ma cure de jouissances qui ne cessait pas… J’étais devenue insatiable, dans l’incapacité de crier grâce mais surtout j’avais encore assez d’énergie pour déclencher mes envies de femelle en chaleurs. Lorsque je reçus le foutre du Majordome, ce fut pour moi une source infinie de joie, allez savoir pourquoi… Je reconnus son goût et j’avalais tout sans état d’âme. Lorsque les deux esclaves se vidèrent en moi, Maître me prit ensuite, sauvagement par l’anus tandis que le médecin présentait son sexe à ma bouche, et tous deux me mirent pas beaucoup de temps à se vider à leur tour. Plus personne ne se présentait à mes orifices béants, dégoulinant de foutres et m’en sentis délaissée. Je me mis à pleurer, toujours à quatre pattes, toujours réclamant d’autres pénétrations… J’avais déjà vécu des expériences similaires avec mes copines auparavant. J’avais déjà passé des soirées de cul avec plus de dix mâles que j’avais épuisés alors qu’ensuite, je les narguais encore leur disant
- C’est tout ce que vous savez faire Messieurs et qu’au petit matin je leur servais le café avec croissants en pleine forme, sans fatigue aucune…
Je suis ainsi, j’aime le cul, j’aime jouir et le gynécologue avait maintenant de quoi alimenter sa connaissance…
(A suivre …)

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