Titre de l'histoire érotique : Béa - 01 - La rencontre

- Par l'auteur HDS Cello -
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Auteur couple.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Béa - 01 - La rencontre Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Béa - 01 - La rencontre
Béa - J'ai déjà la cinquantaine, un métier intéressant, une grande maison, suis divorcée et vis seule, mais j'ai un ami, Paul qui a 70 ans. Il est super affectueux. Il me sort et nous faisons aussi l'amour de temps en temps.

Depuis quelques temps, je me trouve changée. J'ai des envies de diversité sexuelle, et j'en ai parlé à Paul, qui a bien ri. Il ne comprend pas cela. Lui est un homme très classique.

En ce moment, je suis au bord de la mer, en vacances, car j'ai ai loué une belle petite villa, avec vue sur l'eau. Et ce soir, je me prépare, car Paul qui m'a rejoint pour deux jours, me sort au restaurant.

Dans ma chambre, je suis devant le miroir. J'ai choisi simplement une petite robe noire d'été fine, à bretelles, moulante. Je mets un string et et un soutien-gorge à balconnet noirs et des escarpins. Je me regarde, ma silhouette est sympa avec mon 1m64 et mes 60 kg. Peut être de petites rondeurs, mais je suis une femme mure.

Je me dis : « Mais non cela ne va pas, je ne peux porter cette robe avec un soutien-gorge » et je le retire.

Bien que mes seins tombent un peu, je trouve que cela va mieux avec la robe à bretelles, très décolletée et mes seins en forme de poire, qui sont encore très denses, mais aussi un peu lourds.

Nous sommes au restaurant. Il est petit, intime, sympa pour un dîner à deux.

Béa - « Mais pourquoi cet homme seul assis à la table voisine me faisant face me regarde-t-il avec insistance ? Il semble sympa, un sexagénaire je pense, un peu dégarni ».

Cello -  Je dîne seul au restaurant. Je me trouve placé en face d'un couple, et mon regard est attiré par une femme, d'âge mure certes, mais séduisante. Je remarque qu'elle a de belles jambes et ne semble pas porter de soutien-gorge sous sa petite robe noire.

Cette femme lui plaît, et son compagnon semble plus âgé qu'elle.
« Peut être qu'il ne la comble pas ? » pense-t-il.

Cello - Après avoir appelé le serveur, Je me décide, me lève et vais vers ce couple.
« Bonsoir, excusez-moi, Je me présente, Cello, me permettez-moi de vous offrir un verre.»

Et à ce moment, le serveur arrive avec une bouteille de champagne et trois coupes qu'il pose sur leur table.

Béa - Je suis surprise, étonnée, mais pas autant que Paul mon ami. Et vous m'entendez dire :
« Oh c'est super sympa ! Prenez place ».

En montrant la chaise à côté de mon homme et face à moi. Le serveur remplit les verres. Tu es face à moi, à un mètre, tu vois mieux mon décolleté et surtout mes seins moulés. Oui, ils sont en forme de poire, un peu tombants mais très gonflés, très denses.

Cello – Je me présente et discute avec vous, en me forçant de ne pas trop regarder ton décolleté, surtout quand Paul me regarde.

Béa - Nous sommes en vacances pour deux semaines. Nous aimons la mer et la maison que nous avons louée en bordure de plage est super. Et passant négligemment une main sur un sein, ce qui montre mieux encore la forme de ma poitrine je précise :
« Paul malheureusement doit partir demain soir pour 4 jours et cela m'ennuie car je me retrouverai seule ».

Cello - J'apprends ainsi que tu vas être seule pendant plusieurs jours, ton homme n'étant là que pour deux jours.
« Je peux vous faire découvrir la région, si vous le souhaitez, appelez-moi si vous le souhaitez ».
Et je te donne une carte de visite.

Béa - Je la prends en souriant et te remercie. Me tournant vers Paul, je
lui dis que ainsi je ne m'ennuierai pas trop. Il approuve et dit même en
te regardant :
« Oh oui Merci, Monsieur... au fait votre prénom c'est ? »

Et il ajoute ;
« Béa aime les balades mais aussi bronzer et les restaurants ».

Béa - Nous sommes à la seconde coupe, je me sens bien, ai les joues un peu rouges et on poursuit de bavarder pour se connaître mieux. Je demande :
« Et vous, je vous êtes d'ici ou aussi en vacances? »

Cello – « Appelez moi Cello, mes amis m'appelle ainsi. Oui je suis né dans cette ville aussi je connais pas mal de coin sympa à voir et à visiter et je saurais me rappeler que madame aime les ballades, les bons restaurants et bronzer ». A ce moment mon pied vient toucher ta cheville et mon regard se noie dans ton sillon mammaire.

Béa - « Oh mais quel est ce contact sous la table, à mon pied. Est-ce Paul, qui a allongé sa jambe ? Est ce le Monsieur ? »

Je penche pour cette seconde possibilité, car Paul continue à bavarder calmement alors que Cello semble sourire de façon un peu coquine et puis son regard sur moi, sur mon décolleté, sur mon sillon. J'en ai des frissons. Cela se remarque à mes petits poils des avant-bras qui se
dressent mais aussi à mes tétons qui s'allongent, durcissent, pointent. Le tissu de la robe est fin. Surtout que Cello engage la conversation sur le soleil, la plage, le naturisme. Son pied reste au contact de ma cheville.

Cello – « Les plages ici sont faites de sable fin, et c'est très agréable de marcher le long de la mer sur le sable chaud. Il y a même deux plages, où le naturisme est toléré, si vous êtes pratiquant. Il m'arrive d'y aller parfois, mais pas systématiquement ».

Pendant ce temps, constatant que tu ne retires pas ton pied, et que tes tétons pointent, je remonte mon pied le long de ton mollet. .

Béa - Et je sens, je sens une chaussure qui monte le long de mon mollet, c'est si surprenant, si inattendu mais que m'arrive-t-il ? Je rougis et en même temps j'apprécie. Mes frissons sont maintenant à mes jambes.

Et toi et Paul qui poursuivez la conversation comme si de rien n'était. Moi je suis comme figée alors que mon homme te dis que lui et moi avons l'habitude d'être nus, à la maison surtout à l'intérieur mais aussi à l'extérieur. Mon sentiment est mitigé, d'une part je suis gênée que notre intimité soit dévoilée, d'autre part je suis excitée qu'un homme inconnu connaisse cela. Et je sens la chaussure sur mon genou.

Cello. : « Vous voulez dire dans votre jardin, ou dans des lieux publics comme des plages naturistes ? Si cela fait plaisir à madame d'y aller, je lui ferais découvrir cette plage."

Mon pied est maintenant entre tes genoux et te force à écarter ceux-ci, remontant légèrement ta robe par la même occasion.

Béa - Oui j'ai senti cette chaussure (j'espère qu'elle est propre) poursuivre son exploration et aller vers mon entre jambe. Et réaction osée de ma part, j'écarte et la chaussure se plaque à mon string. Elle pousse mon mont de venus. Je suis de plus en plus excitée, par le culot de Cello qui continue à parler comme si de rien n'était. Et Paul qui se prend au jeu et précise.
« Dans la maison de Béa, pas ici mais dans le Nord, oui elle aime être nue. Et son terrain est grand avec piscine, gazon et même un coin avec des arbres elle s'y promène aussi ».
Et Paul ajoute « Je lui dis souvent d'être plus prudente mais elle ne m'écoute pas ».

Moi je me permets de lui dire :
« Paul arrête, tu racontes ma vie, en suis gênée ».

Cello : « Oh ! Ne soyez pas gênée, il n 'y a rien de mal à vivre nu chez soi, l'important c'est que vous vous sentiez bien dans le plus simple appareil. Personnellement, la nudité ne me gêne pas non plus ».
Tout en parlant, j'ai ôté ma chaussure et mon pied nu frotte ton entrejambe, car j'ai constaté que tu avais légèrement ouvert tes cuisses pour accueillir mon pied.

Béa - Prise dans la discussion je n'ai pas remarqué que ta chaussure est enlevée et là je sens, je sens un pied nu qui se met contre mon sexe. C'est si bon, si délicieux que je ne puis qu'écarter pour te laisser accéder au mieux à ce lieu qui est chaud et humide. Tu ne tardes pas de t'en rendre compte, même par-dessus mon string. Et nous sommes à la troisième coupe. Et on bavarde. Oui dis je j'aime être nue et avoue que Paul trouve cela un peu nul. Et pour le provoquer je lui dit :
« Peut être en ton absence irais-je bronzer sur la plage naturiste ».

Je serre mes jambes emprisonnant ton pied, te faisant comprendre que j'aime. Je bouge même mes jambes, serrant, desserrant, comme pour me caresser. Oui c'est une caresse pour moi . Et mes tétons sont durs, ils ont presque un centimètre de long.

Cello – Je constate que tu aimes cette caresse de mon pied sur ton sexe, en percevant le mouvement de tes cuisses, et aussi tes tétons qui tentent de transpercer le fin tissu de ta robe.
« Mais dites-moi, pourquoi n'osez vous pas, vous mettre nue dans votre gîte ? Vous craignez d'être vue par des voisins ? ».

Je peux constater l’humidité de ton string. Je retire mon pied quelques instant, Et lorsque je reviens placer mon pied entre tes cuisses que tu as laissées ouvertes, attendant certainement que je poursuive ma caresse. Je m'aperçois au premier contact, que tu es trempée, aussi j'accentue la pression de mon pied sur ton sexe, en frottant celui-ci avec ma plante de pieds.

Béa - C'est trop bon ce que je sens, un pied, une plante de pied, des orteils qui bougent , grattent, chatouillent entre mes cuisses, sur mon string. Celui ci est étroit et fin, je sens bien les orteils. Et je dois être de plus en plus rouge dans mon visage.
- « Tu as chaud ? » demande Paul.
- « Oui, j'ai trop bu » dis je et ajoutant pour Cello
- « Dans le gîte que nous avons loué, nous sommes au bord de la mer. Il y a beaucoup de passage ».

Et puis vous regardant les deux je vous propose :
« Et si nous allions boire une coupe au gîte ? »

Je me lève, me redresse, tire un peu la robe vers le bas et le décolleté s’agrandit.

Cello - Je regarde ton décolleté s’agrandir, me demandant si c'est volontaire ou pas. Je remets rapidement mon pied dans la chaussure, acceptant avec enthousiasme ton invitation, avant que Paul ne puisse intervenir.
« Oh ! C'est avec plaisir, je vous remercie de votre invitation ».

Je me lève et t'aide à te lever en prenant le dossier de ta chaise pour la tirer vers l'arrière. Je remarque alors que ta robe est retroussée sur tes cuisses et je me demande :
« Est ce toi qui a relevé ta robe, ou mon pied la cause de cette vue magnifique ? »

Béa - Je ne me suis pas rendue compte de la robe retroussée. Tu dois avoir eu une belle vue sur mes cuisses. Elles sont encore fermes, mais moyennement grosses. On sort du restaurant, tu peux enfin voir ma silhouette, étant debout. 1M64 et 60 kg. De petites rondeurs et toujours ce décolleté avec des seins  qui sont un peu des obus gonflés.
« C'est à 5 minutes à pied » dit Paul et nous marchons dans la rue, à la lueur des lampadaires pour arriver à une belle maison en bordure de plage, une maison entourée d'un jardinet avec deux palmiers. Durant ce court parcours mes "mamelles" ont eu le temps de se ballotter, au rythme de mes pas.

Cello - Lorsque nous sortons du restaurant, j'ouvre la porte et te laisse passer devant moi. Je constate que ta robe est coincée entre tes fesses. Je sais que tu as un string pour l'avoir touché mais je me mets à penser : « Dommage qu'elle ne soit pas nue sous sa robe ! ».

Puis je marche près de vous deux, toi entre Paul et moi. Je profite de discuter et de me tourner vers vous pour regarder dans ton décolleté. Étant plus grand que toi, j'ai une vue plongeante dans ta poitrine, et je peux voir tes seins ballotter à chacun de tes pas. Je te félicite d'avoir trouvé une aussi belle maison, libre en cette saison.

Béa - Oui, la maison est belle et en attendant que Paul cherche à boire et prépare les verres, je te fais visiter la maison qui est sur deux niveaux . Au rez-de-chaussée un grand salon, un coin repas, une cuisine, des toilettes.
On monte à l'étage, moi devant toi. Tu devines sous la robe l'élastique d'un string. Voici "notre chambre" dis je, voici une seconde chambre et, entre les deux, la salle de bains.
On redescend et on se met assis moi dans le canapé profond, vous en face dans des fauteuils.
« On a bien mangé, dis je,  j'ai très chaud, vous pas ? ».

Cello – Assis en face de toi, j'ai une vue magnifique sur tes jambes et le début de tes cuisses bronzées. Je sais depuis que je t ai caressé sous la table du restaurant avec mon pied que tu as un string. J'espère que tu es suffisamment excitée pour jouer à ton tour avec moi, en croisant et décroisant tes jambes de temps en temps. Lorsque Paul revient avec un plateau, je lui demande s'il a besoin d'aide, mais celui-ci refuse mon aide. Je reste donc encré dans le fauteuil.

Béa - Et moi bien sûr je croise et décroise les jambes. Paul verse à boire et on trinque. Tu vois ma robe très remontée, et face à moi, il n'y a pas comme au restaurant une table qui cache. Tu vois mes mollets bien galbés, mes genoux et mes cuisses qui ne sont ni maigres ni grosses mais qui semblent fermes. Et on bavarde. Cello oriente la discussion.

Cello – Je demande alors à Paul depuis combien te temps vous êtes « amis» Espérant qu'il dévoile encore une partie de ta vie intime, comme il l'a fait au restaurant en avouant que tu aimais vivre nue. Je prends ton verre et te le tend espérant ainsi te faire bouger les jambes. Puis je lève le mien en disant :
« Trinquons à notre nouvelle amitié »

Béa - On trinque, tu me sens détendue et coquine. Et Paul qui répond. Tu apprends que nous nous fréquentons depuis dix ans, que nous ne vivons pas ensemble et que nos relations sont régulières. Comme il a un peu bu aussi il se permet même des confidences qui me gênent. Ainsi tu apprends que je suis attirée par les hommes poilus et qui sont bien pourvus par la nature.
« Arrête » dis je à Paul. « tu dis m'importe quoi ». Mais il insiste. Alors je me lève et dis ; « Puisque c'est ainsi, continuez sans moi je vais me doucher »
Et je monte à l'étage. Tu es seul avec mon homme et tu en profites pour savoir
plus.

Cello – Un fois que nous sommes seuls entre hommes, je pousse Paul à plus de confidence.
« Et votre amie, elle doit aussi avoir des fantasmes, je suppose ? ».
Et là Paul, me confie que tu rêves d'être exhibée devant des vieux et aussi de faire l'amour avec plusieurs hommes et si possible des noirs ou des arabes, qui ont la réputation d'être très bien membrés.

Béa - La douche se termine, je me déplace dans ma chambre et puis j'arrive au haut de l'escalier. Je m'arrête un peu pour écouter. Paul raconte qu'il me comprend pas trop, que pour lui, faire l'amour, c'est de façon classique et que parfois il a peur quand il entend tout ce que je voudrais vivre. Je descends. Vous me découvrez en peignoir court, assez épais.

Cello – Je suis surpris de te voir arriver ainsi. Le peignoir est vraiment très court, il couvre à peine tes fesses et tout juste ton entrejambe. Je ne peux détacher mon regard de tes cuisses puis je regarde Paul qui me dit :
« Quand je vous disais que Béa aimait s'exhiber, vous voyez que je n'invente rien ».
Cello - « Mais je n'ai jamais mis votre parole en doute, et puis Béa à raison de vivre ses pulsions, surtout qu'elle a un corps magnifique ».

Béa - Je suis gênée mais aussi excitée de cette situation et je vous réponds, en avançant vers vous.
« Arrêtez de fantasmer. Je me suis douchée, j'ai mis mon peignoir et je trouve que je ne suis pas indécente. Il me couvre bien ...J'aurais pu revenir vêtue bien différemment et bien plus osée ».

Et ayant faite ces mises au point, je me réinstalle sur le canapé, face à vous, en montant et en repliant mes jambes.

Cello - Paul semble légèrement contrarié, et pour se donner une contenance, il prend la bouteille et remplit une nouvelle fois les verres. De mon côté, j'ai du mal à détacher mon regard de tes cuisses largement découvertes par le peignoir. Je remarque également que tu n'as pas serrée la ceinture et que le haut du peignoir baille et qu'à tout moment un sein peut surgir de sa cachette.

Cello -  « Je ne fantasme pas madame, j'admire juste un corps splendide d'une belle femme ».

Je prends alors ton verre et te le tend, t'obligeant à te pencher légèrement pour attraper celui-ci

Béa - Je suis sur ce canapé confortable, jambes repliées ce qui fait que, vu la longueur du peignoir, toutes mes jambes sont visibles, pieds, mollets et cuisses nus. J'ai aussi remarqué que Paul n'a pas trop apprécié ma dernière remarque. "Tant pis pour lui" me dis-je.
Je me penche pour prendre la coupe et bien sûr les deux pans du peignoir s'écartent un peu, te dévoilant, dévoilant aussi à Paul un sein gonflé, tendu, à la limite de l'aréole qui elle est encore couverte. Je vois que tu apprécies, à ton regard et cela me plaît.
« Merci trinquons une nouvelle fois à notre rencontre » dis je me repenche pour toucher la coupe de Paul puis la tienne.

Cello - En te penchant une nouvelle fois vers moi, pour trinquer, tu as découvert le mamelon et ton téton dressé. Je te souris et regarde Paul qui occupé à boire une gorgée n'a pas remarqué que ton téton était à l'air. Je me demande si tu t'en es aperçu ou pas, en tout cas, tu ne changes rien et tu reprends ta position initiale.

A ton regard et ton sourire, je pense que tu sais que ton sein est découvert, et que tu veux m'allumer à ton tour. J'appréhende juste un peu la réaction de Paul, s'il s'en aperçoit.

Béa - Je me suis redressée et je bois. Je me suis rendue compte que mon sein est bien dégagé et que mon aréole et mon téton sont visibles. Je me doute bien que tu dois être un peu gêné par la présence de Paul. Alors pour détendre l'ambiance mais aussi te rassurer je passe une main sur mon sein sorti du peignoir, je tourne même avec un doigt autour du téton, tout en
buvant et je dis fixant Paul :
« Paul cela te gêne pas j'espère que je sois à l'aise ce soir, je trouve notre soirée sympa et Cello très agréable »

Et tu entends Paul me répondre :
« C'est un peu nouveau pour moi je l'avoue mais tu sais bien que j'aime tout ce que tu aimes et.... je connais un peu tes envies.... ».
J'espère que tu te sens rassuré.

Cello – Oui je suis rassuré, mais également surpris que Paul accepte aussi facilement que tu te montres ainsi. La présence de Paul me gène, aussi je n'ose te rejoindre dans le canapé et reste assis complimentant ta plastique disant que tu es vraiment très jolie et que c'est un plaisir de pouvoir admirer une aussi belle femme.

Béa - Je rougis.
« Merci Cello » dis je ajoutant provocante : « Paul ne me fait que rarement des compliments ».

Alors Paul semble se réveiller et me taquine aussi
« Ah non, Béa, tu ne peux pas dire cela, je te dis souvent que tu as un beau corps »

Et la conversation se poursuit, Paul, l'alcool aidant, se libère :
- Oui un beau corps mais que dis tu parfois de mes seins ?
- De tes seins.. oui je dis qu' ils sont un peu lourds
- Lourds et parfois même tombants, avoue-le
- Je l'avoue et se tournant vers toi il ajoute :
« Béa est une femme mure, elle a de gros seins, je dirais même des nichons bien remplis et elle aime que les hommes les apprécient dans des décolletés vertigineux ».

Cello – Et bien ce soir, je suis gâté, car j'apprécie particulièrement les gros nichons comme dit Paul et ceux de Béa sont parfait. Ils sont gros et légèrement tombants, mais ils semblent encore bien fermes et doux.

Béa - Alors que je reste dans ma position, avec toujours un sein libre et mon mamelon qui dresse fièrement, vous poursuivez le bavardage,. Moi j'écoute attentive et je bois. J'ai des frissons, je bouge légèrement mes cuisses les frottant l'une contre l'autre. C'est une douce caresse, même plus, pour moi.

Paul te dit :
« Vous êtes un bon observateur, oui les mots sont justes pour les nichons de Béa. Lorsque vous aurez vu sa poitrine nue, vous serez étonné de ses outres. Quand nous allons acheter des sous vêtements, les vendeurs sont toujours étonnés par leur taille". Et il me questionne "C'est bien des 95 C ou D ? »

Et je réponds : « Peut-être ! ».

Cello – « Vous savez Béa, je suis assez expérimenté pour parier un restaurant sur du 95 D ».

Je vois que tu bouges très légèrement tes cuisses l'une contre l'autre, et sais que tu es en train de te faire du bien, en nous écoutant parler de ta poitrine. Je finis mon verre et le pose sur la table. Je me demande si je dois prendre congé vu l'heure très avancée de la nuit, sans risquer
d’heur ter mes hôtes, où rester et m'incruster chez ce couple charmant.

Béa - Je me rends compte que tu n'oses pas trop me provoquer en raison de la présence de Paul. En suis un peu déçue. Nos verres sont vides. Je baille un peu et dis en vous regardant.
« Je crois qu'il faut faire dodo »
et je me lève. Ce fut rapide mais tu as cru voir entre mes cuisses, alors que mon peignoir bougeait, une peau nue, avec l'absence de poils. Impression ou réalité ? Alors que le haut du peignoir est bien dégagé et que je ne prends pas la peine de cacher. Je viens vers toi, te fais la bise :
« Merci pour cette belle soirée ».

Et me tournant vers Paul, je lui dis :
« Demain donc tu pars pour trois jours vers 17 heures tu as dit ».

Et vous regardant tous les deux, je dis :
« Que proposez vous en journée? ».

Tu vois, vous voyez mon peignoir avec les pans écartés, mes deux "nichons" sont provocateurs avec les mamelons qui pointent.

Cello - En te voyant te lever, je fais de même pour t'embrasser alors que tu t'approches la poitrine à l'air. Je m'arrange pour frôler l'un de tes seins en voulant poser ma main sur ton épaule. Je place l'autre main contre ton dos, et caresse l'autre sein lorsque je me recule légèrement. J'ai ainsi senti la douceur et chaleur de ta peau et constaté combien tes tétons
étaient durs. Je regarde Paul en pensant qu'il a prévu quelque chose pour sa dernière journée en ta compagnie, mais il semble embarrasser, est-ce ma présence ? Aussi je propose de faire une ballade au bord de la mer avec visite d'un musée sur la dernière guerre mondiale, ajoutant :
« Mais peut être que Paul aurait préféré rester seul avec vous ? »

Béa - Et c'est moi qui réponds :
« Oh non, mais pourquoi n'irions-nous pas à trois bronzer sur la plage ? »

Et sans attendre vos réponses, je vous dis :
« Rendez-vous ici demain matin vers 11h »

Paul te raccompagne et tu rentres chez toi.

Les avis des lecteurs

Un début en douceur pour des suites torrides

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c'est une histoire qui se lit tres bien un bon rythme

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un bon début qui laisse entrevoir une suite bien croustillante



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Béa - 01 - La rencontre
Histoire sexe : Une rose rouge
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