La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor
La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) –
… mais de la cyprine tant je me sentais de nouveau bien excitée… Les deux beaux Messieurs étaient repartis. Je restais avec Anne et les trois gars. Abdou avait ordonné de nous garder toutes les deux, ajoutant « jusqu’à ce que je revienne ». Il était parti depuis un bon moment, j’étais à part avec Anne, tandis que les hommes étaient à quelque mètres de nous. Tout le monde attendait. De temps en temps, l’un des hommes s’approchait de moi, et regardait mon corps et surtout mes fesses et seins, vraiment très marqués. Les zébrures devenaient violacées et boursoufflées… Puis le temps passant, l’un d’entre eux défit sa braguette, sortit sa verge bien raide et fit venir Anne. Il l’empoigna par les cheveux, lui colla la bouche sur le sexe, sans un mot, et Anne se mit à le lécher… Un autre, en fit de même avec moi, tandis que le troisième, sexe sorti, se masturbait lentement. Celui-ci venait se faire sucer soit à moi puis repartait vers Anne, en fait il attendait son tour… Annie et moi, léchions, pompions les deux queues. Tandis que je suçais la queue tendue, je me surpris à tenter de lui donner beaucoup de plaisir, m’appliquant même, et je sentais le gars apprécier ma langue, mes aspirations, mon léchage, mon enfoncement sur la tige, jusqu’au fond de la gorge même alors qu’il ne l’avait pas exigé…
Excitée comme j’étais, je voulais lui donner du plaisir, aussi je m’appliquais aussi, à contrôler son éjac réflexe… de temps en temps je prenais l’autre bite qui allait d’Anne à moi, mais dans ce cas, de ma main, je caressais le gland pour ne pas le laisser refroidir. Le gars que je suçais, me caressait la joue et je sentais dans ses doigts de la douceur… Ensuite, le reprenant en bouche, la douche chaleur de mon palais, ajoutée au toucher velouté de ma langue, il gémissait de plaisirs jusqu’au moment où il se libéra en plusieurs jets de sperme chaud saccadés que j’avalai avec délectation. Le sperme était tonique, non coulant, bon goût, aucune odeur nauséeuse comme c’est souvent le cas… Alors que nous avions terminées, Anne et moi de faire juter les trois gars, une voiture de green arrivait avec accrochée à elle un sulky et derrière le sulky, une petite charrette, légère. C’était Abdou ! Il détela le sulky et la charrette de la voiturette de green. Il regardait Anne, moi, réfléchissait, puis, me désignant :
- Viens ici, toi !

Je m’approchais. Il me montrait le sulky et plus précisément le devant du sulky. Il en fit de même avec Anne qu’il plaça devant la charrette. Alternativement, il nous regardait toutes les deux devant les véhicules, recommençait, nous faisant changer de charrette…pour finalement nous dire :
- Toi ici et toi là.

Annie était devant la charrette et moi devant le sulky. Chacun des deux véhicules n’avait qu’un seul timon… Abdou me le fit enjamber, laissé à terre, tandis qu’Anne en fit de même avec celui de la charrette. Il remonta entre mes jambes le timon, au bout duquel était placée une sorte de ceinture dont je compris très vite l’utilité. Il n’y avait pas que cela ! Deux appendices, articulés et amovibles, se faisaient face… quelques centimètres d’écart l’un de l’autre. Sur le timon qui m’était destiné, Abdou enleva les deux appendices, et en vissa de plus longs et gros. Après que j’eus enjambé le timon, je dus m’assoir sur les appendices de façon à les faire entrer, l’un dans la chatte et l’autre dans l’anus. Tandis que celui destiné à la vulve était de belle longueur et grosseur, celui de l’anus était plus gros encore et plus long également. Après quelques tortillements de cul destinés à faire entrer les gros godes…
Une fois installée, Abdou fixa la ceinture autour de ma taille, tandis qu’Anne était harnachée de même façon avec la charrette. La sensation de remplissage était maximum, au moindre mouvement de mon corps, les deux godes se rappelaient à moi en mes fondements… Je comprenais ce qui allait arriver, mais pas tout cependant…. Du sulky et de la charrette, les rênes, au nombre de deux naturellement devaient bien être reliées à quelque chose, mais quoi ? La réponse arriva bientôt. Abdou fixa la première par une pince croco sans caoutchouc sur mon téton gauche, et la seconde sur le droit. Après les morsures précédentes, imaginez à nouveau la douleur… Tandis qu’Annie se tordait, elle aussi, de son côté. Il grimpa sur le siège du sulky pour tester l’efficacité du système… Il tira à droite, mon téton se tordit me faisant hurler :
- Aïeeee !

Le gauche maintenant… Même douleur. Ma chatte réagit instantanément et je sentais de nouveau celle-ci s’humidifier encore plus que s’il y avait uniquement que le gode bien planté en elle pour la faire mouiller… Redescendu de son siège, il m‘ordonna :
- Ouvre ta gueule de jument, salope ! (J’ouvrais la bouche) … - Ouvre plus !

J’obtempérai… Abdou plaça derrière mes molaires une barre en travers, un mors qui avait deux œilletons, auxquels étaient accrochés, deux cordes… Puis Abdou grimpa sur son siège et dit :
- Ainsi tu as encore plus l’allure d’une jument… Allez, on essaie ! … Ecoute bien, salope, si je tire les deux rênes en même temps, ça veut dire d’aller tout droit, si je tire celle de droite, tu vas à droite, etc, tu as pigé ?
- Oui, Monsieur, répondis-je, avec le mors entre les dents…
Il prit les rênes, et tira les deux en même temps ! Mes tétons s’étirèrent de chaque côté, entrainant les seins…
- Ouf, fis-je, en tentant de ne rien dire
Par la force de mes cuisses, je me mettais en marche, mais me rendis compte très vite qu’en fait, c’étaient les reins qui travailleraient le plus… En démarrant le sulky, les deux godes se tassèrent en moi en s’enfonçant encore plus, celui du cul remontant fortement dans l’anus me provoquant d’excitantes sensations. Le sulky, pourtant léger de nature, ne fut pas aisé à mettre en marche et c’est en cahotant qu’il avançait.

- Soit plus régulière dans tes pas, cria Abdou…
Puis alors que j’avançais maintenant, péniblement, mais j’avançais quand même, un coup de fouet s’abattit sur mon dos, en travers, ce qui me fit changer d’orientation, partant vers la gauche. Immédiatement, Abdou tira fortement sur la rêne droite, pour me remettre dans le bon sens de la marche. A nouveau, mon téton s’étira, le sein suivit, me faisant grimacer de douleurs, me faisant mouiller à chaque fois… Mais à chaque pas, les deux godes bougeaient aussi en moi, et par un jeu de balancier, vu le poids du timon, ils entraient et sortaient de mes orifices en un mouvement régulier, qui, au bout d’un moment, devenait finalement quoique pervers, agréable. J’avançais ainsi mais Abdou ne semblait pas satisfait, malgré les deux ou trois autres coups de fouet, cela n’allait pas assez vite selon lui.

- Tu vas voir, je vais te donner du cœur à l’ouvrage ma belle… (Il repartit vers la voiturette et en rapporta quelque chose que je ne pus voir, me forçant à tourner les yeux)… - Ecarte tes pattes, salope…
J’obéis…. Il tapotait mon clito comme pour le tester, celui-ci érigé cependant ne fut pas du goût d’Abdou, qui recula, prit la cravache accrochée à sa ceinture et en donna un coup sec sur le nez
- Ahhh !, dis-je, me cabrant…
Vous connaissez la façon de réagir de mon ami le clito quand on lui parle ainsi… Abdou, frappa encore et encore, et à chaque fois, mon clitoris se dressait encore plus, tout excité
- C’est mieux ainsi, dit-il
Il sortit de sa poche quelque chose que je ne voyais pas, et le « colla » sur le clito, l’enveloppant entièrement sur sa longueur… Puis, il actionna à distance une télécommande et…
- Ohhhh ! dis-je immédiatement…
Des vibrations d’une telle intensité m’envahirent qui ajoutées à celles provoquées par les godes remuant en moi, me donnèrent, selon Abdou, un meilleur cœur à l’ouvrage. En tirant le sulky, les deux godes travaillaient mes trous de salope, tandis qu’Abdou, depuis son siège, accélérait ou diminuait les vibrations, augmentant ainsi mes excitations clitoridiennes… Un coup de fouet sur les reins, les deux rênes tirées en même temps et me voilà partie… telle une jument, tirant son cavalier juché… Le mors en bouche ne servait qu’au décor… Abdou poussa la ressemblance, quand l’essai fut terminé, à m’attacher par mon collier à un anneau de mur… Il fit les mêmes choses avec Anne… Un gars prit place aux commandes de la charrette attelée à Anne ! Abdou et le gars tirèrent sur les rênes en même temps et nous voilà parties, elle et moi, pratiquement côté à côte, sur un chemin relativement plat et sableux, telle sur une piste d’hippodrome.

Le plus dur était de lancer les deux machines, mais ensuite, il suffisait d’entretenir la cadence, nous n’allions pas vite, ce n’était pas le but. Le problème était ailleurs…. Mes tétons saignaient, mordus comme ils étaient par les pinces, mais c’étaient surtout les godes et encore plus le vibro placé sur le clito qui me faisaient des sublimes effets insoupçonnés. La simple marche, faisait remonter et descendre le timon et donc les deux godes, qui s’enfonçaient et ressortaient de mes trous de femelles, et que je le veuille ou pas, les sensations reçues par eux, augmentées par celles que le clito recevait, me mettait surement et encore plus en un état de femelle en rut… Aussi étonnant que celui puisse paraître, le fait d’être harnachée ainsi participait à une sorte de dégradation humaine, m’avilissant et me ramenant à l’état de bête, d’une jument… Ainsi, mes plus bas instincts refaisaient surface, je me sentais femelle, bonne à subir tout dressage afin de m’éduquer en une bonne esclave docile et chienne en chaleur … Et j’aimais ça, j’en ressentais un plaisir inouï à être ainsi traitée de la sorte, en une simple esclave femelle …
Le tout, mis bout à bout, me faisait me concentrer sur le ressenti de ma chatte, mon cul et mon clito… Rapidement, mes envies orgasmiques prirent le dessus, et les coups de fouet reçus sur le dos, participaient de mon excitation bestiale… Rapidement, je lançais un coup d’œil à Anne qui me semblait être dans le même état excité que moi… Cependant, la montée de mon désir, me déconcentrait parfois dans mes pas, et un solide coup de fouet me ramenait à la réalité… Mais on ne pouvait pas empêcher cette puissante excitation, cette humidification intense qui me taraudait la chatte.

- Ahhhh ! criais-je, me reprenant, tandis que le clito vibrait…
Oui mon clito vibrait de plus en plus fort alors que les godes montaient et descendaient en moi en un massage érotique devenant brûlant…
Mes seins ballotant, Mes tétines fortement pincées, activées de temps en temps par les rênes, les godes bien enfouis et bougeant, mon clito érigé, tout s’emballait en moi… jusqu’au moment, où n’en pouvant plus, les orgasmes arrivèrent sans crier gare, me faisant ruer dans les brancards, recevant de plus en plus de coups de fouet et les tétons étirés fortement des deux côtés… Mes seins très écartés, car tirés de chaque côté, me faisaient souffrir horriblement, à cause du mors, je bavais… mais je jouissais comme une bête sans interruption dans une explosion orgasmiques d’une intensité incroyable… Les hommes riaient aux éclats, m’abreuvant de quolibets salaces… jusqu’au moment où Abdou arrêta le sulky, descendit, et se présenta à moi, braguette ouverte, verge déjà dressée sortie me faisant signe de le sucer… Me voir jouir ainsi l’avait très certainement excité. L’autre gars en fit de même avec Anne… Malgré le mors qui me gênait beaucoup, je léchais, titillais, pompais, avalais, recrachais la bite durcie d’Abdou, qui commençait de sourdre…
De ma langue, j’écartais la fente de son gland, léchant la liqueur qui commençait de se répandre, comme une assoiffée de foutre … mes lèvres resserrées autour de sa tige, je le sentais arriver… je pressais son gland entre ma langue et le palais, pour ralentir sa venue…. mais trop excitée moi-même, je n’y parvins pas entièrement et le laissa se vider en plusieurs jets de sa semence… que j’avalais aussitôt… Une fois ses couilles vidées, et à ma grande surprise, il sortit de ma bouche, toujours aussi raide qu’au début, il me mit à rire devant ma mine étonnée, ses dents très blanches tranchaient à côté de la couleur de sa peau et il me dit :
- Recommence petite toubab, j’en ai encore pour toi !

A nouveau je le repris en bouche, tandis qu’il actionnait sa télécommande la lançant à fond… Je me cambrai tant la vibration était forte et violente…
- Ahhhh ! … ouiiii ! … encore !, criais-je…
Pour toute réponse je reçus une paire de gifles, tandis que de son doigt, il me désignait sans un mot, son gland…. ses yeux étaient rieurs…. J’avalais à nouveau sa tige, et recommençais de le branler du mieux possible, tandis qu’en moi se déversaient des torrents de lave en fusion… Mon bassin, remuait en tous sens, faisant bouger ces satanés godes en moi… tandis que, toujours penchée en avant, je continuais de le pomper activement… J’enviais Anne qui avait été désaccouplée du gode vaginal et était prise par le gars en cet endroit à même le sol en levrette…. J’avais la chatte en fusion… mais Abdou ne semblait pas, à la fois juter à nouveau, se contentant du léchage que je lui faisais subir, et s’intéresser à autre chose que ce qu’il voulait, lui ! Il mit beaucoup de temps à juter à nouveau, mais cette fois, ce ne fut pas des jets mais un seul et quel jet… J’en avais la bouche remplie, vraiment remplie, pas de ces jets de la taille d’une petite cuillérée à café habituelles, mais plutôt de celle d’une louche, tant ma bouche en était remplie à me faire rendre. Je mis trois fois à tout avaler faisant bien attention de ne pas en perdre… Pour une surprise, ce fut une surprise…
C’est dans cet appareil que nous fûmes ramenées à nos box d’écurie, nos voisines nous regardant arriver, Anne et moi. Nous avons été désaccouplées de nos godes, des vibros, les mors nous ont été enlevés, et les pinces aussi, nous laissant des marques sanguinolentes… Réinstallées dans les box, nous fûmes attachées par nos colliers à l’anneau placé dans le mur, mains liées sur les reins… J’avais soif, et je dus me mettre à quatre pattes, lapant dans mon écuelle, l’eau fraîche. Je bus tant que quelques temps plus tard, prise de pipi urgent, j’écartais les cuisses et urinaient debout, sur la paille servant de litière… J’étais devenue un animal, un chose, un objet sexuel… et si heureuse de l’être !…
(A suivre …)

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