La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor
La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) –
… me laissant complètement épuisée mais si heureuse après une multitude d’orgasmes puissants, dévastateurs, qu’il m’ait été impossible de les comptabiliser tant ils étaient nombreux… Au petit matin, alors que je tentais de récupérer quelque peu, dans une position qui me faisait ne plus sentir ni mes bras, ni mes épaules, le vieil homme, à la main sachant fister ma chatte avec délice, revint mais accompagné de Mélanie. Il me défit mes liens, enleva ceinture et bracelets… La simple vue de ce vieil homme me redonna des frissons, tant il m’avait fait jouir, de façon bestiale et explosive. Mélanie était marquée de coups de fouet certainement, et de cravache aussi. Jetée dans mon cachot, le vieil homme, referma la porte sur nous deux.

- Mon dieu, que t’ont-ils faits, demandais-je… - Rien de plus que quand on désobéit, c’est tout, répondit-t-elle… ou qu’on a été mauvaise… - Tu es bien marquée, tout de même, dis-je- C’est simple, hier soir j’ai été conduite dans la chambre du Maître et il a trouvé que j’avais été mauvaise au lit, c’est tout !
- Mais tu dis ça, Mélanie, comme si c’était normal !
- Ca l’est ! Je suis Son esclave, je me dois de le servir parfaitement sans quoi… - Es… es… esclave !, dis-je !
- Ici, nous sommes toutes des esclaves sexuelles, enfin, celles qui ont été dressées pour ça. D’autres, plus récentes ne le sont pas encore, comme toi par exemple, mais elles apprennent à le devenir. Nous sommes toutes consentantes et nous désirons plus que tout à devenir de bonnes esclaves à obéir, c’est notre souhait le plus cher…- Mais moi, je suis ici par hasard ! J’étais en panne sur la route, et ai été dépannée par un homme qui m’a conduite ici, ce n’est pas pareil !
- Ah, je ne le savais pas… - Mais, Mélanie, tu me dis tout ça et tu trouves donc que c’est normal d’être esclave ?
- Oui, c’est ce que je veux, mais tu ne peux pas comprendre. Je suis bien ici, si tu savais, je suis heureuse même car je suis née pour être esclave et là est mon bonheur… - ?

Mélanie se trainait au sol…mais elle me disait qu’elle était si épanouie de vivre ce qu’elle a toujours rêvé d’être… Les mots de Mélanie me revinrent en boucle, plus tard en moi… esclave… et heureuse… de l’être… Le cachot était assez grand pour recevoir plusieurs femelles. Dans le milieu de la matinée, le vieil homme revint à nouveau et comme je lui disais que j’avais envie de faire pipi, il me répondit :
- Pisse sous toi, ici, cela ne gênera personne ! (s’adressant à Mélanie) N’est-ce pas !
- Oui Monsieur, une esclave pisse ainsi en effet !
- Tu vois, écoute les anciennes, allez pisse !

J’avais tant envie que je me laissais aller honteuse au début, mais devant les bienfaits d’uriner quand on a tant envie, la délivrance me fit fonctionner ma vessie, honte passée… après tout, quoi d’anormal et Mélanie le disait elle-aussi… Me voilà devenue femelle animale et maintenant pisseuse décidément ce vieil homme me faisait découvrir beaucoup de choses qui faisaient partie de moi. Tandis que je me vidais de mes urines, sans aucune honte ( !) je ressentais pour lui comme une sorte d’affection. Ce sentiment me troubla ! Les mots de Mélanie tournaient en boucle en moi : ‘‘esclave et heureuse de l’être…’’ Alors que nous étions toutes deux dans le cachot, moi tentant de récupérer quelque peu de mes liens, Mélanie ne bougeant pas, nous entendîmes une effervescence dans la cour… des gens couraient, les bruits se rapprochaient du cachot, pour finalement, faire place à plusieurs hommes inconnus encore. L’un d’eux ouvrit la porte du cachot, les hommes s’effacèrent devant celui que l’on nommait le Maître, suivi des autres hommes. Sa stature imposante l’indiquait comme le chef. Certains étaient très bien habillés, d’autres, en tenue de campagne. Dès que Mélanie vit le Maître, elle s’inclina profondément devant lui, en position prosternée en levrette, tête contre le sol, ses bras allongés devant elle… Le Maître la vit et dit :
- Pour elle, reprenez-là en mains fermement, en ce moment elle ne vaut rien !
- Oui Monsieur, répondit un des hommes notant sur un carnet quelque chose.

Puis le Maître, se tourna vers moi, tandis que je me recroquevillais, bras contre mes seins et cuisses remontées sur mon ventre.

- Elle, en revanche, vous allez la dresser, mais pas comme les autres. Je la sens différente des autres femelles, mieux éduquée, plus de prestance aussi et certainement plus vicieuse… Vous allez la travailler par des prises de poses, dures à tenir, longues dans le temps, poses assorties de cravache, tout cela pour la ramollir en premier. Ensuite, je veux qu’elle reste ici au moins deux jours avant de m’être présentée. Vous demanderez à Roger de s’en occuper personnellement, je lui donne carte blanche. A son âge, il sait s’y prendre avec cette sorte de femelle…
Les hommes ressortirent, refermant la porte. Peu de temps après cette visite, le vieil homme, c’était Roger, revint.

- Bon, vous deux, j’ai reçu ordre de m’occuper de vous, toi s’adressant à Mélanie, tu vas payer cher ta faute de la nuit dernière et toi, (moi) je dois te faire poser ma cocotte… Tu sembles plaire au patron, c’est une bonne nouvelle pour toi, crois-moi… car tu vas te découvrir telle que tu es ! Suivez-moi !

Mélanie se mit à quatre pattes tandis que je restais debout. Me voyant ainsi, celle-ci d’un regard me fit comprendre l’urgence pour moi d’en faire de même avant que Roger ne s’en rende compte. Je me mis donc à quatre pattes rapidement ! Roger devant, nous, le suivant, nous nous dirigions vers un autre cachot situé quelques dizaines de mètres plus loin. En le suivant, nous passions devant d’autres portes, derrière lesquelles nous entendions des gémissements de plaisirs et des cris de jouissance… Doucement et à voix basse, Mélanie me dit :
- Ici, tu entends celles qui sont autorisées à jouir !

J’étais heureuse par ces mots pour celles qui étaient en train de jouir et les cris d’orgasme n’avaient rien d’inquiétant... Roger, nous fit entrer dans une pièce sombre, voûtée, très peu éclairée. Pas de fenêtre comme dans l’autre cachot. Au sol, de la terre battue, et aux murs, des crochets, des anneaux…des barres d’espacements… Les murs en pierre, suintaient, et entretenaient une humidité glaçante… Roger m’attrapa par les cheveux et me tira en un endroit, me fit me tourner vers lui et reculer vers le mur…
- Monte là-dessus et accroupis-toi, ordonna Roger !
- Là-dessus ?, dis-je !

Comme réponse, ses ongles s’enfoncèrent profondément dans mon téton droit qu’il étirait vers le bas, tandis que j’étais juchée sur une sorte de tapis recouvert de petites pointes, assez apparentes pour me blesser orteils et voûte plantaire. Tandis que je tentais vainement de placer mes orteils entre les pointes, Roger tenant mon téton, me fit m’accroupir en me tirant vers le bas ! Derrière moi, au mur, un anneau duquel partaient deux chaînes qui furent reliées à mes chevilles par des bracelets, et une barre métallique qui pendait avec en son bout, un autre collier de métal que Roger fixa autour de mon cou. Sur cette barre, coulissait un système d’attache, emprisonnant mes bras, tirés fortement en arrière de mon dos. Dans cette pose, je ne pouvais absolument pas allonger mes jambes, ni reculer m’adossant au mur pour me soulager de cette inconfortable position si exposée, coincée par la barre qui me tenait au cou, et en plus mon corps posé sur ces petites pointes sous mes pieds… J’étais ainsi offerte, cuisses, hanches et seins très accessibles. Ce fut au tour de Mélanie d’être installée. J’enviais sa pose, attachée par le cou comme moi à une barre, accrochée elle à un anneau fiché dans le mur, bras très resserrés en arrière du dos, mais à genoux...

Comme moi, elle ne pouvait pas se lever, mais au moins, elle pouvait allonger tantôt une jambe, tantôt l’autre. Puis Roger prit sa cravache et commença par Mélanie, la rouant de coups, ajoutant à ce qu’elle avait déjà reçu. Elle criait terriblement de douleur mais elle semblait exprimer du plaisir dans ses plaintes car à chaque coup, elle semblait aussi plus excitée, visiblement son masochisme jouissif s’exprimait d’une façon fulgurante. De mon côté, les pointes me faisaient souffrir de plus en plus ! Je voyais Mélanie exténuée, elle transpirait, jouissait fortement et rapidement à l’évidence tout en pleurant beaucoup. Quel incroyable contraste, ce mélange fou de la douleur et du plaisir et je comprenais un peu mieux pourquoi elle me disait était si épanouie… Roger se tourna vers moi et se recula, leva son bras et l’abattit sur mon sein gauche, avec une telle force que bien qu’avertie, j’en eus le souffle coupé. Alors que le deuxième coup arrivait sur l’autre sein, je poussais un cri si strident, si puissant, que d’autres hommes, dans d’autres cachots hurlèrent :
- La ferme, la nouvelle !

La valse de la cravache se poursuivait, atteignant mes cuisses tendues parce qu’accroupie, mes fesses (sur les côtés) je trépignais m’enfonçant encore plus sur les pointes et je sentais, à ma grande surprise, que cela commençait à m’exciter… Mais je ne pouvais absolument pas me dérober aux coups. Roger se recula et nous regardait toutes les deux. Parfois, il avait un regard sadique et ensuite des yeux de grand-père sympa…
- Écoutez-moi bien, toutes les deux ! (S’adressant à Mélanie) - Toi ce n’est que justice depuis que tu es ici, tu connais la règle, donc…
Il reprit sur les seins, ses coups terribles, donnés en cadence, sur l’intérieur du droit, puis du gauche, puis à nouveau du droit et ainsi de suite, tout en appuyant ses mots :
- Tu savais ce que tu risquais à te comporter comme tu l’as fait, je n’ai donc aucune pitié pour toi… (Puis, me regardant, ses yeux changèrent) - Toi, ce n’est pas pareil mais le Maître t’a dans son viseur. Et j’ai des ordres ! Je ne sais pas pourquoi mais tu lui plais et je dois obéir moi aussi…
Et à nouveau, les coups tombèrent, sur mes seins, tétons… il s’acharnait à viser mes tétons qui devenaient boursouflés, tendus… Dans ma pose, reposant sur mes pieds, mes cuisses étaient donc écartées en face de lui. Alors qu’il avait fait un pas en retrait, il regardait mieux entre mes cuisses, et comme mon bas-ventre réagissait avec une excitation grandissante, il vit de la cyprine commencer à couler lentement…
(A suivre …)

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